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Keybot 12 Results  www.biographi.ca
  Biography – CREIGHTON, ...  
Creighton witnessed English Canada’s reinvention of itself evolving around him – how, for example, “dominion” had become a foreign word. He protested against what he believed to be its rejection of its past and the complicity of the historical profession in this process. Against this backdrop he delivered his presidential address to the Canadian Historical Association in 1957. He excoriated Canadian historical writing in the previous half-century for what he called its Liberal bias. According to the Liberal interpretation, or “authorized version,” Canadian history delineated the country’s emancipation from British imperialism: successive Liberal prime ministers were applauded for their contributions to this story of freedom, defenders of the imperial connection were condemned, and Canada assumed its continental destiny as a North American nation. But the Liberal interpretation and its historians – principally those he described privately as that “pot-bellied little bastard,” Frank Underhill, and the “pestiferous” Arthur Lower – ignored the fact that Canada was not only a North American nation and that the imperial connection mattered to its independence. Their interpretation negated what, in
La biographie de Macdonald eut pour effet de distinguer Creighton de ses collègues historiens Underhill et Lower. Tous les deux interprétaient l’histoire du Canada comme l’histoire de son émancipation de la Grande-Bretagne. Même s’il demeurait une monarchie constitutionnelle et n’aspirait guère à devenir une république, le Canada était un pays nord-américain. Comme Underhill le fit observer, le Canada et les États-Unis n’étaient pas fondamentalement différents. « Ce ne fut pas la Déclaration d’indépendance qui fit des Américains un peuple distinct, mais l’océan Atlantique ; et le Canada est du même côté de l’Atlantique. » Lower était d’accord avec cette position. Élément révélateur, tandis que Creighton avait intitulé son histoire du Canada en un volume
  Biography – CLARKE, CHA...  
Clarke's crusade helps explain how, in delivering the prestigious Maudsley Lecture before the Royal Medico-Psychological Association in England on 24 May 1923, he could announce that immigration had pushed Canada to the brink of crisis. It was being "bled white" by emigration to the United States and pumped full of defectives, many of them British. The lecture underscored the fact that the issue exerted a powerful, almost mesmeric attraction on his mind. He campaigned so relentlessly that he alienated numerous provincial and federal authorities. On occasion acerbic, combative, and stubborn, he was rarely diplomatic when it came to immigration and other concerns that he felt strongly about. Such force was necessary to sway minds on what, in his opinion, were vital public-health questions. By the late 1920s, however, the psychiatric profession was beginning to move away from the crude eugenics advocated by Clarke and the CNCMH.
Sensible aux pressions de Clarke et du Canadian National Committee for Mental Hygiene, le Parlement amenda la Loi sur l'immigration en 1919. Clarke n'était pas encore satisfait. Les médecins inspecteurs conservaient un rôle purement consultatif ; ils remplissaient des formules, mais c'était des fonctionnaires qui décidaient des admissions. Souvent, à la demande des autorités gouvernementales, ces fonctionnaires ne tenaient pas compte des règles d'entrée. Pour Clarke et bien d'autres psychiatres, le système resterait inefficace tant que l'on n'affecterait pas d'inspecteurs à l'étranger, aux ports d'embarquement – ce qui se ferait seulement à compter de 1928.
  Biography – WILLCOCKS, ...  
What in practice sparked the rise of a political opposition in Upper Canada was the widespread reaction against government changes in land policy, implemented between 1802 and 1804, which increased the fees on land grants and tightened the rules concerning the eligibility of loyalists for free land grants.
, Thorpe alléguait que le Parlement d’une colonie comme le Haut-Canada était, selon les termes de Blackstone, « sujet [...] au contrôle du Parlement [britannique], sans toutefois (comme l’Irlande, [l’île de] Man, et autres) être assujetti aux lois sanctionnées par le même Parlement, à moins d’y être expressément nommé ». Thorpe, tout comme Weekes, était frappé de voir à quel point le gouvernement colonial semblait éloigné de cet idéal. En fait, la possibilité d’un mauvais gouvernement semblait croître dans la mesure où augmentait la distance d’avec la métropole. En conséquence, des hommes comme Willcocks et Thorpe se montraient encore plus chatouilleux à l’égard de supposés abus de pouvoir et encore plus sûrs que la seule solution pour parer au problème d’un mauvais gouvernement était de reconnaître la légitime indépendance législative de la colonie, et de s’assurer que les conseillers exécutifs se considéraient responsables devant le Parlement plutôt que devant le gouverneur. Beaucoup de fonctionnaires du Haut-Canada furent surpris de ces façons de voir, non seulement parce que le gouvernement colonial leur semblait relativement indépendant, mais, chose plus importante, parce que ceux qui se permettaient de critiquer le gouvernement semblaient démontrer ainsi qu’ils abusaient des postes de confiance qu’ils détenaient.
  Biography – MOWAT, Sir ...  
The duty of fidelity to the constitution also yielded electoral profit in allowing him to link his defence of the rights of Ontario’s Catholics to the struggle against their old protectors, the “Quebec Tories”; like provincial rights, separate schools derived their legitimacy from what in 1890 he called the confederation “compact.”
Le 4 mai 1896, après quelques semaines de négociations, on annonça que Mowat avait accepté de se joindre aux libéraux fédéraux de Wilfrid Laurier. Ce n’était pas la première fois qu’un chef libéral fédéral tentait de l’attirer à Ottawa. Mackenzie lui avait offert le département de la Justice quand Blake avait quitté le cabinet, en janvier 1878, mais Mowat avait refusé parce que des élections fédérales approchaient. En janvier 1887, à la veille d’un autre scrutin, Blake lui-même l’avait invité à lui succéder à la tête de l’opposition. Cependant, Blake avait reculé quand Mowat et son bras droit au cabinet provincial, Timothy Blair Pardee*, lui avaient signalé que le moment était mal choisi et que, en plus, Mowat n’ayant guère de fortune, il devrait reprendre la pratique du droit pour gagner sa vie s’il perdait son élection. En 1896, la conjoncture était différente. En Ontario, Mowat avait subjugué les Patrons et fait chuter le nombre de sièges conservateurs à l’Assemblée autant qu’on pouvait raisonnablement l’espérer. Des élections nationales se tiendraient en juin, et les libéraux semblaient avoir plus de chances de les gagner qu’en 1878 ou 1887, surtout si Mowat était avec eux.
  Biography – SEYMOUR, FR...  
Then in December Seymour telegraphed requesting a loan for $50,000 and wrote describing the now critical financial position of his government. After another period of silence, Birch inquired of an official in British Columbia in February 1868, “What in the world has become of you all?”
La visite de la région du Cariboo avait certainement renforcé la foi du gouverneur en la prospérité de la colonie ; néanmoins, la nouvelle de la faillite en novembre 1864 de la Macdonald’s Bank, banque privée qui faisait affaire dans les mines, fut pour lui une source d’inquiétude. Ce n’est toutefois pas avant le printemps de 1865, quand le flot habituel de prospecteurs venus de San Francisco ne se présenta pas, que des doutes sur l’avenir de la colonie commencèrent à se manifester. Néanmoins, Seymour autorisa le prolongement et l’amélioration des routes des régions du Cariboo et de Dewdney et, lorsqu’une nouvelle région minière s’ouvrit à l’exploitation sur le Big Bend du fleuve Columbia, il approuva également la construction d’une voie le long de la rivière Thompson jusqu’à Kamloops et des aménagements pour la navigation à vapeur sur les lacs Kamloops et Shuswap. Ces travaux entraînèrent des déboursés de $1 342 000. Tout au long de 1865, les affaires périclitèrent à Victoria, où de grandes quantités de denrées et de marchandises avaient été entreposées en prévision de la ruée des chercheurs d’or, ainsi que dans les petites localités le long du Fraser supérieur. Ces revers attirèrent l’attention sur la nécessité de comprimer les dépenses et, à Victoria, le mouvement en faveur de l’union des deux colonies prit de l’ampleur.