vieh – Traduction – Dictionnaire Keybot

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  BLW - Endosulfan - Prod...  
Gefährlich für Vieh.
Dangereux pour le bétail.
Pericoloso per il bestiame.
  Agrarbericht 2001  
abgenommen. Deutlich geringer sind die Ausgaben für Futtermittel, Saat- und Pflanzgut, Vieh sowie für Dünger und Pflanzenschutzmittel. Demgegenüber erhöhten sich die Aufwendungen für Dienstleistungen und Energie
La valeur de la consommation intermédiaire a diminué globalement de 250 millions de francs entre 1990/92 et l’an 2000. Les agriculteurs ont dépensé nettement moins pour les fourrages, les semences et les plants, le bétail ainsi que les engrais et les produits phytosanitaires. Par contre, leurs dépenses pour les services et pour l’énergie se sont accrues.
Fra il 1990/92 e il 2000 il valore delle prestazioni preliminari è diminuito di 250 milioni di franchi. Una flessione considerevole si è registrata a livello di uscite per alimenti per animali, sementi, materiale vegetale, animali, concimi e prodotti fitosanitari. Sono invece cresciute le uscite per prestazioni di servizio ed energia.
  Agrarbericht 2001  
Dennoch macht die staatliche Agrarstützung immer noch drei Viertel der landwirtschaftlichen Bruttoeinnahmen aus. Für Milchprodukte, Vieh, Pferde, Früchte, Kartoffeln und einige landwirtschaftliche Verarbeitungsprodukte werden weiterhin Exportsubventionen ausgerichtet.
Les réformes engagées en 1993 et poursuivies dans le cadre de l'initiative "Politique agricole 2002" ont permis de réduire l'intervention de l'Etat dans le secteur; les contributions accordées par l'Etat pour maintenir le revenu agricole par le biais de paiements directs sont principalement fondées sur des considérations environnementales et le champ d'application des systèmes de marge et de prix garantis a été considérablement réduit. Toutefois, le soutien de l'Etat à l'agriculture représente encore près des trois quarts des recettes agricoles brutes; les exportations de produits laitiers, de bétail, de chevaux, de fruits, de pommes de terre et de certains produits agricoles transformés sont subventionnées. L'incidence des réformes sur les prix a été limitée par l'absence de concurrence dans certaines branches d'activité, par les programmes de soutien des prix, et par le remplacement des offices de commercialisation par des institutions mandatées par l'Etat. Le système de prise en charge (applicable aux importations de certains produits agricoles) en vertu duquel l'accès aux contingents est subordonné à l'achat de produits nationaux, joue également un rôle. En conséquence, les prix intérieurs des produits agricoles sont restés élevés, par rapport à leur niveau dans d'autres pays. L'effet négatif des prix élevés des produits agricoles utilisés comme intrants par l'agro-industrie a été atténué par des incitations très diverses. L'agriculture demeure le secteur le plus protégé. L'équivalent ad valorem des droits NPF appliqués aux importations de produits agricoles est d'environ 34 pour cent, en moyenne arithmétique, soit quatre fois la moyenne générale, avec un maximum de 678 pour cent. Par ailleurs, les importations de produits agricoles sont soumises à un régime de licences, pour des raisons sanitaires, phytosanitaires ou relatives à la constitution de stocks de réserve obligatoires et à la gestion des contingents tarifaires, ainsi qu'à des prescriptions en matière d'étiquetage. Dans l'ensemble, la politique agricole demeure complexe.
Le riforme avviate nel 1993 e proseguite nel quadro della "Politica agricola 2002" hanno consentito di ridurre l’intervento dello Stato nel settore agricolo; i contributi concessi dallo Stato sotto forma di pagamenti diretti per sostenere i redditi agricoli sono spesso vincolati a prestazioni ecologiche. È stato inoltre ridotto considerevolmente il campo d’applicazione dei sistemi che prevedono margini e prezzi garantiti. Nonostante ciò, il sostegno statale al settore agricolo rappresenta tuttora tre quarti delle entrate lorde del primario. Le esportazioni di latticini, bestiame, cavalli, frutta, patate e di alcuni prodotti agricoli trasformati sono tuttora sovvenzionate. L’impatto delle riforme sui prezzi è stato limitato dall’assenza di concorrenza in diversi ambiti, da provvedimenti di sostegno dei prezzi e dalla sostituzione delle organizzazioni dedite alla commercializzazione di prodotti mediante istituzioni che operano su mandato dallo Stato. Anche il sistema di ritiro (applicabile alle importazioni di determinati prodotti agricoli), in virtù del quale l’attribuzione dei contingenti è subordinata all’acquisto di prodotti indigeni, svolge un ruolo importante. I prezzi dei prodotti agricoli sono tuttora più elevati rispetto ad altri Paesi. Le ripercussioni negative dei prezzi elevati dei prodotti agricoli, utilizzati come materie prime dall’industria agroalimentare, sono state attutite da incentivi di diverso genere. L’agricoltura rimane uno dei settori più protetti. Nella media aritmetica l’equivalente ad valorem dei dazi sulle importazioni agricole applicati alle Nazioni più favorite ammonta all’incirca al 34 per cento, ossia al quadruplo della media generale con una punta del 678 per cento. Inoltre, le importazioni di prodotti agricoli sottostanno all’obbligo del permesso per motivi sanitari, fitosanitari o legati alla costituzione di scorte obbligatorie e alla gestione dei contingenti doganali nonché a prescrizioni in materia di etichettatura. Dal profilo globale, la politica agricola è ritenuta ancora complessa.