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  Case Law of the Boards ...  
The boards stress that an opponent is required to submit all his objections during the opposition period, setting each out in full.
Les chambres de recours soulignent que l'opposant doit en principe soulever et exposer toutes ses objections de manière complète et détaillée pendant le délai d'opposition.
Die Beschwerdekammern betonen, dass es grundsätzlich notwendig ist, dass der Einsprechende alle Einwände während der Einspruchsfrist vorbringt und ausführlich und vollständig darlegt.
  Case Law of the Boards ...  
In T 6/83 (OJ 1990, 5) the board found that an invention relating to the co-ordination and control of the internal communication between programs and data files held at different processors in a data processing system having a plurality of interconnected data processors in a telecommunications network, the features of which were not concerned with the nature of the data and the way in which a particular application program operated on them, was to be regarded as solving a problem which was essentially technical.
Dans la décision T 6/83 (JO 1990, 5), la chambre a estimé qu'une invention ayant pour objet la coordination et le contrôle de la communication interne entre des programmes et des fichiers de données tenus par différents processeurs dans un système de traitement de données comprenant une pluralité de processeurs de données interconnectés dans un réseau de télécommunication, et dont les caractéristiques n'ont pas de lien avec la nature des données et la façon dont un programme d'application particulier les traite, doit être considérée comme résolvant un problème essentiellement technique. Par conséquent, ce programme de gestion est assimilable aux systèmes d'exploitation traditionnels nécessaires à tout ordinateur pour coordonner ses fonctions de base internes et permettre ainsi la mise en œuvre d'une très grande diversité de logiciels d'application. Ce type d'invention doit être considéré comme la solution essentiellement technique d'un problème et donc comme une invention au sens de l'art. 52(1) CBE 1973.
In T 6/83 (ABl. 1990, 5) stellte die Kammer fest, dass eine Erfindung, die sich auf die Koordinierung und Steuerung der internen Kommunikation zwischen Programmen und Dateien beziehe, die in einem Datenverarbeitungssystem mit einer Vielzahl von in einem Telekommunikationsnetz miteinander verbundenen Prozessoren bei verschiedenen Prozessoren geführt würden, und deren Merkmale nicht auf die Art der Daten und die Art und Weise gerichtet seien, wie ein bestimmtes Anwendungsprogramm auf diese einwirke, als Lösung einer im Wesentlichen technischen Aufgabe anzusehen sei. Eine derartige Erfindung sei als eine Erfindung im Sinne von Art. 52 (1) EPÜ 1973 anzusehen.
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It was held in T 839/95 that an interlocutory decision in the case of an allowable auxiliary request, whilst foreseen in the instructions to examiners for auxiliary requests in opposition proceedings, was not appropriate in ex parte examination proceedings.
Dans l'affaire T 839/95, la chambre a estimé que si les Directives relatives à l'examen pratiqué à l'OEB prévoient la possibilité de rendre une décision intermédiaire, lorsqu'une requête subsidiaire est admissible, dans la procédure d'opposition, une décision intermédiaire n'est pas appropriée dans une procédure d'examen ex parte. La chambre a notamment motivé son opinion par le fait que les tiers peuvent élever des objections quant à la brevetabilité d'une invention en application de l'art. 115 CBE 1973. La chambre a jugé légitime que ces objections soient prises en compte tant que l'examen quant au fond de la demande n'est pas clos. Si une décision définitive sur une partie de la demande était prise avant ce stade de la procédure, l'effet des observations de tiers serait restreint. La décision G 12/91 (JO 1994, 285) fournit des détails sur le moment où une décision devient définitive (chapitre VI.J.4, date de la décision).
In der Entscheidung T 839/95 wurde festgehalten, dass eine Zwischenentscheidung zu einem zulässigen Hilfsantrag in den Instruktionen für Prüfer zwar im Einspruchsverfahren vorgesehen, aber im einseitigen Prüfungsverfahren nicht angemessen sei. Ein Grund dafür sei, dass Dritte Einwendungen gegen die Patentierbarkeit einer Erfindung gemäß Art. 115 EPÜ 1973 erheben könnten. Es erschien der Kammer legitim, solche Einwendungen zu berücksichtigen, solange die Sachprüfung der Anmeldung noch nicht abgeschlossen ist. Eine abschließende Entscheidung zu einem Teil der Anmeldung vor diesem Verfahrensstadium würde die Wirkung von Einwendungen Dritter einschränken. Näheres zur Frage, wann eine Entscheidung rechtskräftig wird, s. G 12/91 (ABl. 1994, 285) (Kapitel VI.J.4, Datum der Entscheidung).
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In J 15/01 the board ruled that the fact that an appeal was against a communication, as opposed to a decision under Art. 106(1) EPC 1973, did not justify refunding the appeal fee. If - as in the case before it - the board concluded that there had not been an appealable decision under Art. 106(1) EPC 1973, this made the appeal inadmissible but did not mean it had never existed, the requirements under Art. 108 EPC 1973 having been met.
Dans la décision J 15/01, la chambre a déclaré que le fait qu'un recours ait été formé contre une notification, et non pas contre une décision conformément à l'art. 106(1) CBE 1973, justifie le non remboursement de la taxe de recours. Lorsque la chambre - comme dans le cas d'espèce - parvient à la conclusion qu'il n'existe pas de décision susceptible de recours au sens de l'art. 106(1) CBE 1973, il s'ensuit que le recours est irrecevable, mais néanmoins existant puisqu'il a été satisfait aux exigences de l'art. 108 CBE 1973. Par conséquent, il était impossible de rembourser la taxe de recours.
In J 15/01 stellte die Kammer fest, dass die Tatsache, dass sich die Beschwerde gegen einen Bescheid und nicht gegen eine Entscheidung nach Art. 106 (1) EPÜ 1973 richtet, die Rückzahlung der Beschwerdegebühr nicht rechtfertigt. Wenn die Kammer - wie im vorliegenden Fall - zu dem Ergebnis komme, dass keine anfechtbare Entscheidung nach Art. 106 (1) EPÜ 1973 vorliege, so habe dies zwar zur Folge, dass die Beschwerde unzulässig, gleichwohl aber existent sei, da die in Art. 108 EPÜ 1973 vorgesehenen Erfordernisse erfüllt seien. Die Beschwerdegebühr konnte infolgedessen nicht zurückgezahlt werden.
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In G 1/04 (OJ 2006, 334) the Enlarged Board recalled that an independent claim within the meaning of R. 29 EPC 1973 should explicitly specify all of the essential features needed to define the invention, and the meaning of these features should be clear for the person skilled in the art from the wording of the claim alone.
Dans l'affaire G 1/04 (JO 2006, 334), la Grande Chambre de recours a rappelé qu'une revendication indépendante, au sens de la règle 29 CBE 1973, doit énoncer explicitement toutes les caractéristiques essentielles qui sont nécessaires à la définition de l'invention, et que la signification de ces caractéristiques doit ressortir clairement, pour l'homme du métier, du seul libellé des revendications. Le même principe devrait s'appliquer par analogie à une revendication portant sur l'objet exclu de la protection par brevet au titre de l'art. 52(4) CBE 1973 (art. 53(c) CBE). Ces exigences servent l'objectif supérieur que constitue la sécurité juridique.
In G 1/04 (ABl. 2006, 334) wies die Große Beschwerdekammer darauf hin, dass ein unabhängiger Anspruch im Sinne von R. 29 EPÜ 1973 alle zur Festlegung der Erfindung wesentlichen Merkmale ausdrücklich nennen sollte und dass die Bedeutung dieser Merkmale für den Fachmann schon allein aus dem Wortlaut des Anspruchs klar hervorgehen sollte. Das Gleiche muss entsprechend auch für einen Anspruch gelten, der einen gemäß Art. 52 (4) EPÜ 1973 (Art. 53 c) EPÜ) aus dem Schutzbereich eines Patents ausgenommenen Gegenstand betrifft. Diese Erfordernisse dienen dem übergeordneten Ziel der Rechtssicherheit.
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In T 284/94 (OJ 1999, 464) the board stated that an amendment of a claim by the introduction of a technical feature taken in isolation from the description of a specific embodiment was not allowable under Art. 123(2) EPC 1973 if it was not clear beyond any doubt for a skilled reader from the application documents as filed that the subject-matter of the claim thus amended provided a complete solution to a technical problem unambiguously recognizable from the application.
Dans l'affaire T 284/94 (JO 1999, 464), la chambre a décidé qu'une modification d'une revendication par le biais de l'introduction d'une caractéristique technique tirée isolément de la description d'un mode de réalisation spécifique de l'invention n'est pas admissible en vertu de l'art. 123(2) CBE 1973 si, pour l'homme du métier, il ne ressort pas sans le moindre doute des pièces de la demande telle que déposée que le contenu des revendications ainsi modifiées fournit une solution complète au problème technique identifiable sans ambiguïté à partir de la demande. L'art. 123(2) CBE 1973 ne permet pas non plus une modification qui vise à remplacer une caractéristique spécifique divulguée soit par sa fonction, soit par un terme plus général et introduit ainsi des équivalents non divulgués dans le contenu de la demande telle que déposée.
In T 284/94 (ABl. 1999, 464) erklärte die Kammer, dass es nach Art. 123 (2) EPÜ 1973 nicht zulässig sei, einen Anspruch durch Aufnahme eines aus der Beschreibung einer bestimmten Ausführungsart einzeln herausgegriffenen technischen Merkmals zu ändern, wenn der fachkundige Leser den Anmeldungsunterlagen in der eingereichten Fassung nicht zweifelsfrei entnehmen könne, dass der Gegenstand des so geänderten Anspruchs eine aus der Anmeldung eindeutig ersichtliche technische Aufgabe vollständig löse. Ebenso wenig sei eine Änderung nach Art. 123 (2) EPÜ 1973 zulässig, die ein offenbartes konkretes Merkmal entweder durch seine Funktion oder durch einen allgemeineren Begriff ersetze und somit nicht offenbarte Äquivalente in den Inhalt der Anmeldung in der eingereichten Fassung einführe.
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In T 643/00 the board stated that an arrangement of menu items (or images) on a screen might be determined by technical considerations. Such considerations might be intended to enable the user to manage a technical task, such as searching and retrieving images stored in an image processing apparatus, in a more efficient or faster manner, even if an evaluation by the user on a mental level was involved.
Selon l'affaire T 643/00, une disposition d'éléments de menu (ou d'images) sur un écran peut être déterminée par des considérations techniques. De telles considérations peuvent viser à permettre à l'utilisateur d'exécuter de façon plus efficace ou plus rapide une tâche technique telle que la recherche et l'extraction d'images enregistrées dans une installation de traitement d'images, même si une évaluation par l'utilisateur d'ordre mentale est impliquée. Bien que cette évaluation ne soit pas en tant que telle couverte par le sens du mot "invention" selon l'art. 52 CBE 1973, le simple fait que des activités mentales soient impliquées ne qualifie pas nécessairement l'objet en cause comme non technique, puisque toute solution technique vise, en définitive, à procurer des outils qui servent, facilitent ou remplacent des activités humaines de différentes sortes, y compris des activités mentales.
In der Sache T 643/00 wies die Kammer darauf hin, dass eine Anordnung von Menüpunkten (oder Abbildungen) auf einem Bildschirm von technischen Überlegungen geleitet sein kann. Solche Überlegungen könnten darauf abzielen, dass es dem Nutzer ermöglicht wird, eine technische Aufgabe wie die Suche und Abfrage von Abbildungen, die in einem Bildverarbeitungsgerät gespeichert sind, effizienter oder schneller auszuführen, selbst wenn dies eine intellektuelle Bewertung durch den Nutzer beinhaltet. Auch wenn eine solche Bewertung für sich genommen nicht unter die Bedeutung des Begriffs "Erfindung" gemäß Art. 52 EPÜ 1973 fällt, macht die bloße Tatsache, dass intellektuelle Tätigkeiten involviert sind, einen Gegenstand nicht zwangsläufig nichttechnisch, weil jede technische Lösung letztlich dazu dient, Hilfsmittel bereitzustellen, die menschliche Tätigkeiten verschiedener Art einschließlich intellektueller Tätigkeiten fördern, unterstützen oder ersetzen.
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In T 295/02 the board found that an inconsistency between a claim and the provisional description was not a valid reason to refuse the application if the inconsistency arose from an amendment, if it was apparent that the text of the description was not intended by the applicant to form the agreed basis of any decision, especially one concerning its consistency with the amended claims, and if the appellant was prepared to adapt the description to conform to a definite allowable set of claims.
Dans l'affaire T 295/02, la chambre a considéré qu'une incohérence entre une revendication et la description provisoire ne constituait pas une raison valable pour rejeter la demande lorsque l'incohérence résulte d'une modification, s'il apparaît que le texte de la description n'était pas destiné, d'après l'intention du demandeur, à former la base consensuelle d'une quelconque décision, en particulier en ce qui concerne la cohérence avec les revendications modifiées, et si le demandeur était prêt à adapter la description pour la rendre conforme à un jeu bien précis de revendications admissibles.
In T 295/02 stellte die Kammer fest, dass eine Unstimmigkeit zwischen einem Anspruch und der vorläufigen Beschreibung kein triftiger Grund sei, die Anmeldung zurückzuweisen, wenn der Widerspruch von einer Änderung herrühre, wenn es auf der Hand liege, dass der Wortlaut der Beschreibung seitens des Anmelders nicht als verbindliche Grundlage irgendeiner Entscheidung bestimmt war, insbesondere nicht einer über die Übereinstimmung mit den geänderten Ansprüchen, und wenn der Anmelder bereit war, die Beschreibung an einen endgültigen Satz gewährbarer Ansprüche anzupassen.
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In T 3/03 the board decided that an amendment consisting in the generalisation of an effect obtained for particular embodiments was not admissible. In the case in point, the results obtained for particular embodiments could not be generalised since the particular circumstances of use, including the type of additive used, determined whether or not filterability was improved.
Dans l'affaire T 3/03, la chambre a décidé que la modification consistant à généraliser un effet obtenu pour certains modes de réalisation n'était pas admissible. En effet, les résultats obtenus pour certains modes de réalisation ne pouvaient pas, en l'espèce, être généralisés car ils étaient liés à certaines conditions d'utilisation, et notamment au type d'additif utilisé, indépendamment du fait que la filtrabilité soit améliorée ou non.
In T 3/03 urteilte die Kammer, dass eine Änderung, die in der Verallgemeinerung einer für bestimmte Ausführungsformen erzielten Wirkung bestand, nicht zulässig war. Die für bestimmte Ausführungsformen erzielten Ergebnisse ließen sich nämlich vorliegend nicht verallgemeinern, da es von den besonderen Umständen der Verwendung einschließlich der Art des verwendeten Additivs abhing, ob die Filtrierbarkeit verbessert wurde.
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The board of appeal held in T 729/90 that an appeal could be admissible if, despite its not being clear from the statement of grounds why the contested decision was incorrect, claims were put forward in auxiliary requests which overcame the objections of the department of first instance (see also T 105/87 and T 563/91; for the question of whether the appellants are adversely affected see chapter VII.E.7.4.2, party adversely affected).
Dans la décision T 729/90, la chambre a affirmé qu'un recours peut être recevable, alors même que les raisons pour lesquelles la décision attaquée est jugée incorrecte ne ressortent pas clairement de l'exposé des motifs, si des revendications présentées dans le cadre de requêtes subsidiaires remédient aux objections de la première instance (cf. aussi T 105/87 et T 563/91 ; en ce qui concerne la question de savoir s'il est ou non fait droit aux prétentions du requérant, on se reportera au chapitre VII.E.7.4.2, partie déboutée).
Die Beschwerdekammer kam in T 729/90 zu der Ansicht, dass eine Beschwerde zulässig sein kann, wenn sich zwar aus der Begründung nicht ergibt, warum die angefochtene Entscheidung falsch sein soll, aber in den Hilfsanträgen Ansprüche vorgeschlagen werden, die die Einwände der ersten Instanz ausräumen (vgl. auch T 105/87 und T 563/91; zur Frage, ob der Beschwerdeführer beschwert ist, siehe auch Kapitel VII.E.7.4.2, materielle Beschwerdeberechtigung).
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The boards have on several occasions stressed that an alleged lack of clarity in a claim cannot be used as a reason for an objection based on lack of unity (see W 31/88, OJ 1990, 134; W 7/89, W 59/90, W 9/02).
Les chambres ont souligné à plusieurs reprises que l'allégation du manque de clarté d'une revendication ne peut servir de fondement à une objection d'absence d'unité d'invention (cf. W 31/88, JO 1990, 134 ; W 7/89, W 59/90, W 9/02). Dans l'affaire W 21/04, la chambre a observé que selon la jurisprudence constante des chambres de recours la caractéristique d'une revendication indépendante dont d'ACRI estimerait qu'elle ne répond pas aux exigences de l'art. 6 PCT, ne peut pas être ignorée pour l'examen d'une objection fondée sur le manque d'unité de l'invention.
Wiederholt unterstrichen die Kammern, dass die mangelnde Klarheit eines Patentanspruchs nicht als Begründung für einen Einwand wegen Nichteinheitlichkeit der Erfindung herangezogen werden kann (vgl. W 31/88, ABl. 1990, 134; W 7/89, W 59/90, W 9/02). In W 21/04 verwies die Kammer auf die ständige Rechtsprechung der Beschwerdekammern, wonach ein Merkmal eines unabhängigen Anspruchs, das nach Ansicht der IPEA den Erfordernissen des Art. 6 PCT nicht genügt, bei der Prüfung eines Einwands mangelnder Einheitlichkeit der Erfindung nicht außer Acht gelassen werden darf.
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The decision further notes that an individual common opponent not being the common representative, or a subgroup of the group who filed the opposition in common, but without their common representative, is not allowed to act or intervene on his own or on behalf of one or more or all of the other individuals.
Cette décision précise également qu'un co-opposant qui n'est pas le représentant commun, ou qu'un sous-groupe du groupe ayant formé l'opposition conjointe mais sans leur représentant commun, n'est pas autorisé à agir ou à intervenir en son nom propre ou au nom d'un ou plusieurs ou de tous les autres opposants. Ainsi, seul le représentant commun est habilité à signer les pièces produites (règles 100 et 36(3) CBE 1973), la signature des autres opposants n'étant pas requise. A n'importe quelle étape de la procédure, qu'il s'agisse de la procédure d'opposition ou de recours, il peut aussi arriver que le représentant commun ait l'intention de ne plus agir conjointement, donc de se retirer de la procédure. Si tel est le cas, il doit en informer l'OEB ; au niveau de la procédure, il en résulte qu'aux fins de la désignation d'un nouveau représentant commun, les dispositions de la règle 100(1) CBE 1973 s'appliquent à la procédure d'opposition en vertu de la dernière phrase de cette règle, et à la procédure de recours ultérieure en vertu de la règle 66(1) CBE 1973.
Die Kammer hielt ferner fest, dass eine einzelne Person aus dem Kreis der gemeinsamen Einsprechenden, die nicht der gemeinsame Vertreter ist, bzw. eine nicht den gemeinsamen Vertreter umfassende Teilgruppe der Gruppe, die gemeinsam Einspruch eingelegt hat, nicht für sich selbst oder für eine, mehrere oder alle übrigen Personen auftreten oder tätig werden dürfe. Zur Unterzeichnung der einzureichenden Schriftstücke sei folglich nur der gemeinsame Vertreter berechtigt (R. 100 und R. 36 (3) EPÜ 1973), wobei die Unterschrift anderer Personen nicht erforderlich sei. Desgleichen könne es in jeder Phase des Verfahrens - sei es im Einspruchs- oder im Beschwerdeverfahren - dazu kommen, dass derjenige unter den gemeinsamen Beteiligten, der gemeinsamer Vertreter ist, nicht mehr gemeinsamer Beteiligter sein, d. h. sich aus dem Verfahren zurückziehen möchte. In einem solchen Fall müsse er dem EPA seine Entscheidung mitteilen mit der Verfahrensfolge, dass zur Bestimmung eines neuen gemeinsamen Vertreters die Vorschriften der R. 100 (1) EPÜ 1973 angewandt werden müssen, und zwar im Einspruchsverfahren gemäß dem letzten Satz dieser Regel und im anschließenden Beschwerdeverfahren gemäß R. 66 (1) EPÜ 1973.
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Art. 19(2) EPC stipulates that an opposition division must consist of three technical examiners, at least two of whom must not have taken part in the proceedings for grant of the patent to which the opposition relates.
L'art. 19(2) CBE dispose qu'une division d'opposition se compose de trois examinateurs techniciens, dont deux au moins ne doivent pas avoir participé à la procédure de délivrance du brevet qui est l'objet de l'opposition.
Nach Art. 19 (2) EPÜ setzt sich eine Einspruchsabteilung aus drei technisch vorgebildeten Prüfern zusammen, von denen mindestens zwei in dem Verfahren zur Erteilung des Patents, gegen das sich der Einspruch richtet, nicht mitgewirkt haben dürfen.
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In unclear cases there can be no presumption that an applicant has waived his right to be heard under Art. 113(1) EPC 1973. As was emphasized by the Enlarged Board of Appeal in decision G 1/88 (OJ 1989, 189), surrender of a right cannot be simply presumed ("a jure nemo recedere praesumitur").
En cas de doute, il ne peut être présumé que le demandeur a renoncé à son droit d'être entendu en vertu de l'art. 113(1) CBE 1973. Comme l'a souligné la Grande Chambre de recours dans la décision G 1/88 (JO 1989, 189), la renonciation à un droit ne se présume pas ("a jure nemo recedere praesumitur"). Par conséquent, une décision de rejet prononcée en application de l'art. 97(1) CBE 1973, fondée sur une telle présomption et rendue avant l'expiration du délai initial de réponse à une notification, contrevient à l'art. 113(1) CBE 1973 et constitue donc un vice substantiel de procédure. La chambre a clairement indiqué que lorsque la réponse d'un demandeur à une première notification établie conformément à la règle 51(2) CBE 1973 ne contient qu'une requête d'ordre procédural sans incidence aucune sur le fond, la division d'examen n'a pas le pouvoir de rejeter la demande en application de l'art. 97(1) CBE 1973.
In Zweifelsfällen könne nicht unterstellt werden, dass ein Anmelder auf sein Recht auf rechtliches Gehör nach Art. 113 (1) EPÜ 1973 verzichte. Wie von der Großen Beschwerdekammer in G 1/88 (ABl. 1989, 189) ausdrücklich festgestellt, dürfe ein Rechtsverzicht nicht ohne Weiteres vermutet werden ("a jure nemo recedere praesumitur"). Eine Zurückweisungsentscheidung gemäß Art. 97 (1) EPÜ 1973, die auf einer solchen Annahme basiere und vor Ablauf der ursprünglich gesetzten Frist für die Beantwortung eines Bescheids getroffen worden sei, verstoße gegen Art. 113 (1) EPÜ 1973 und weise somit einen wesentlichen Verfahrensmangel auf. Die Kammer machte deutlich, dass die Prüfungsabteilung nicht befugt sei, die Anmeldung gemäß Art. 97 (1) EPÜ 1973 zurückzuweisen, wenn das Antwortschreiben eines Anmelders auf einen ersten Bescheid nach R. 51 (2) EPÜ 1973 nur einen prozessualen Antrag ohne jegliche materiellrechtliche Auswirkung enthalte.
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In T 491/99, the board held that an earlier patent, which used terminology which at first sight was suggestive of the product invention claimed, was not in fact a prejudicial disclosure if a skilled person could actually only make the product in question later, from the process and machine described for the first time in the European patent in suit.
Dans l'affaire T 491/99, la chambre a décidé que si, par suite de la terminologie utilisée, un document de brevet antérieur paraît de prime abord suggérer l'invention de produit revendiquée, ce document antérieur n'est pas susceptible d'en affecter la brevetabilité dès lors que l'homme du métier ne peut matériellement réaliser le produit en question qu'ultérieurement, à partir du procédé et de la machine comme décrits pour la première fois dans le brevet européen en cause.
In der Sache T 491/99 entschied die Kammer, dass eine vorveröffentlichte Patentschrift, die das beanspruchte Erzeugnis auf den ersten Blick aufgrund der verwendeten Begriffe vorwegzunehmen scheint, dessen Patentierbarkeit nicht berührt, wenn der Fachmann die betreffende Erfindung nur im Nachhinein anhand des Verfahrens und der Vorrichtung, wie sie erstmals im europäischen Patent beschrieben sind, tatsächlich ausführen kann.
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In T 641/00 (OJ 2003, 352) the board held that an invention within the meaning of Art. 52 EPC 1973 could only be made up of those features which contributed to the technical character.
Dans l'affaire T 641/00 (JO 2003, 352), la chambre a estimé qu'une invention au sens de l'art. 52 CBE 1973 ne peut comprendre que des caractéristiques qui contribuent au caractère technique.
In T 641/00 (ABl. 2003, 352) stellte die Kammer fest, dass eine Erfindung im Sinne von Art. 52 EPÜ 1973 nur aus den Merkmalen bestehen kann, die zum technischen Charakter beitragen.
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The board took the line that an obligation to maintain secrecy was clear from the circumstances. The recipients of the quotations had no discernible reason for passing on the contents of the quotation to third parties and hence for choosing to ignore the references on the drawings.
Selon la chambre, l'obligation de confidentialité découlait clairement des circonstances. Elle ne voyait aucune raison pour laquelle les destinataires des offres auraient eu intérêt à communiquer le contenu de l'offre à des tiers et, ce faisant, à passer outre à la mention sur les dessins. L'argument selon lequel il n'a pas été question d'une obligation de confidentialité ne suffit pas pour infirmer la supposition qu'il y avait une obligation tacite de confidentialité. De même, l'affirmation selon laquelle des représentants de commerce avaient été également présents ne constitue pas une preuve du contraire.
Die Kammer war der Auffassung, dass eine sich aus den Umständen ergebende Geheimhaltungspflicht bestanden habe. Es seien keine Gründe ersichtlich, dass der jeweilige Angebotsempfänger ein Interesse gehabt hätte, den Inhalt des Angebots an Dritte weiterzugeben und sich damit über die Vermerke auf den Zeichnungen hinwegzusetzen. Die einfache Behauptung, über eine Geheimhaltungspflicht sei nicht gesprochen worden, reiche nicht aus, um die Annahme einer impliziten Geheimhaltungsverpflichtung zu entkräften. Auch die Behauptung allein, Handelsvertreter seien ebenfalls anwesend gewesen, reiche als Beweis des Gegenteils nicht aus.
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It is established case law that an applicant or patentee may restate the specific problem set out in the description if, in particular, the objective assessment of inventive step draws on newly introduced prior art which is closer to the invention than that cited in the original application or granted patent.
Il est de jurisprudence constante que le demandeur ou le titulaire du brevet peut être autorisé à reformuler le problème spécifique énoncé dans la description, notamment si la question de l'activité inventive doit être appréciée objectivement par rapport à un nouvel état de la technique plus proche de l'invention que celui qui avait été cité dans la demande de brevet initiale ou dans le fascicule du brevet délivré. A cette fin, les effets techniques obtenus par l'invention revendiquée par rapport à l'état de la technique (nouveau) le plus proche sont évalués afin de définir le nouveau problème technique objectif. En principe, tout effet produit par l'invention peut être utilisé comme base pour reformuler le problème technique, dès lors que ledit effet peut être déduit de la demande telle qu'elle a été déposée (cf. Directives, C-IV, 11.5.2, version d'avril 2010).
Es gehört zur ständigen Rechtsprechung, dass der Anmelder oder Patentinhaber eine in der Beschreibung genannte spezifische Aufgabe insbesondere dann abwandeln darf, wenn zur objektiven Beurteilung der Frage der erfinderischen Tätigkeit ein neu eingeführter Stand der Technik herangezogen wird, der der Erfindung näher kommt als der in der ursprünglichen Patentanmeldung oder in dem erteilten Patent herangezogene. Hierzu werden die technischen Wirkungen beurteilt, die die beanspruchte Erfindung gegenüber dem (neuen) nächstliegenden Stand der Technik erzielt, und auf dieser Grundlage wird die neue objektive technische Aufgabe bestimmt. Grundsätzlich kann jede Wirkung der Erfindung als Grundlage für die Neuformulierung der technischen Aufgabe verwendet werden, sofern die entsprechende Wirkung aus der Anmeldung in der ursprünglich eingereichten Fassung ableitbar ist (s. Richtlinien IV-C, 11.5.2, Stand April 2010).
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The boards stress that an opponent is required to submit all his objections during the opposition period, setting each out in full. In T 117/86 (OJ 1989, 401) it was pointed out that facts and evidence in support of an opposition which were presented after the nine-month period had expired were out of time and late, and might or might not be admitted into the proceedings as a matter of discretion under Art. 114(2) EPC 1973.
Les chambres de recours soulignent que l'opposant doit en principe soulever et exposer toutes ses objections de manière complète et détaillée pendant le délai d'opposition. Dans la décision T 117/86 (JO 1989, 401), la chambre a fait observer que les faits invoqués et les preuves produites à l'appui d'une opposition après l'expiration du délai de neuf mois ne l'étaient pas en temps utile, et que, par conséquent, en application de l'art. 114(2) CBE 1973, il pouvaient ou non être admis dans la procédure, à la discrétion de l'OEB. Cela va dans l'intérêt de l'accélération de la procédure et répond au principe d'équité à l'égard de l'autre partie. Les parties doivent présenter l'ensemble des faits, preuves et arguments pertinents de façon aussi précoce et complète que possible, notamment dès que la partie concernée a connaissance des moyens en question (voir les décisions T 101/87, T 237/89, T 951/91, JO 1995, 202 ; T 34/01, T 1182/01, T 927/04, T 1029/05).
Die Beschwerdekammern betonen, dass es grundsätzlich notwendig ist, dass der Einsprechende alle Einwände während der Einspruchsfrist vorbringt und ausführlich und vollständig darlegt. In T 117/86 (ABl. 1989, 401) wird darauf hingewiesen, dass Tatsachen und Beweismittel zur Stützung eines Einspruchs, die nach Ablauf der Frist von neun Monaten und damit verspätet vorgelegt werden, gemäß Art. 114 (2) EPÜ 1973 von der Kammer nicht im Verfahren zugelassen zu werden brauchen. Das entspreche dem Beschleunigungsgrundsatz und dem Prinzip der Fairness gegenüber der anderen Partei. Jeder Beteiligte sollte alle für seine Sache relevanten Tatsachen, Beweismittel und Argumente so frühzeitig und vollständig wie möglich vorlegen, vor allem wenn ihm diese Beweismittel bereits bekannt waren (s. T 101/87, T 237/89, T 951/91, ABl. 1995, 202, T 34/01, T 1182/01, T 927/04, T 1029/05).
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It was held that an agreement concerning the treatment of misdirected documents involved a necessary step to ensure the functioning of the EPO for the following reason: the misdirection of papers led to the risk of loss of rights, as a result of failure to meet a time limit, caused by the late receipt of documents.
La conclusion d'un accord relatif au traitement de documents qui n'arrivent pas à la bonne destination, pour éviter le risque d'une perte de droits à cause d'un dépassement de délais dû à des retards dans la transmission des documents, représente une telle mesure utile pour assurer le bon fonctionnement de l'OEB. L'accord administratif entre l'OEB et l'Office allemand des brevets est donc valide dans la mesure où il existe effectivement - comme à Munich - une possibilité de confusion entre les bureaux de réception des deux Offices.
Es sei eine zweckmäßige Maßnahme, wenn zur Sicherstellung des ordnungsgemäßen Funktionierens des EPA ein Abkommen über die Behandlung von fehlgeleiteten Schriftstücken abgeschlossen werde, um der Gefahr des Rechtsverlusts infolge einer Fristversäumung durch Zugangsverzögerung zu begegnen. Das Verwaltungsabkommen zwischen dem EPA und dem DPA sei daher insoweit wirksam, als - wie in München - eine tatsächliche Verwechslungsmöglichkeit bezüglich der Annahmestellen der beiden Ämter bestehe.
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The finding that an appeal is admissible may be given in an interlocutory decision. Art. 110(1) EPC and R. 101 EPC show that the boards have to examine whether an appeal is admissible before considering its merits.
Il peut être conclu à la recevabilité du recours dans une décision intermédiaire. Il résulte de l'application combinée de l'art. 110(1) CBE et de la règle 101 CBE l'obligation pour la chambre de recours de vérifier tout d'abord la recevabilité du recours avant d'entreprendre l'examen au fond. Une décision de ce type peut être indiquée lorsque les questions de droit concernant la recevabilité ont une portée générale et appellent une décision rapide (cf. T 152/82, JO 1984, 301 et également T 109/86 du 20.7.1987).
Die Zulässigkeit einer Beschwerde kann in einer Zwischenentscheidung festgestellt werden. Art. 110 (1) EPÜ und R. 101 EPÜ zeigen, dass die Beschwerdekammer die Zulässigkeit der Beschwerde zu prüfen hat, bevor sie mit der sachlichen Prüfung beginnt. Eine Zwischenentscheidung kann zweckmäßig sein, weil die die Zulässigkeit betreffenden Rechtsfragen von allgemeiner Bedeutung sind und einer raschen Entscheidung bedürfen (s. T 152/82, ABl. 1984, 301 und auch T 109/86 vom 20.7.1987).
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Art. 72 EPC provides that an assignment of a European patent application must be made in writing and requires the signatures of the parties to the contract. This Article remains unchanged under the EPC 2000.
L'art. 72 CBE dispose que la cession de la demande de brevet européen doit être faite par écrit et requiert la signature des parties au contrat. Cet article demeure inchangé conformément à la CBE 2000. Selon la règle 22 CBE (règle 20(1) CBE 1973) un transfert de la demande de brevet européen est inscrit au Registre européen des brevets à la requête de toute partie intéressée, si des documents prouvant ce transfert ont été fournis à l'OEB. Celle-ci est adaptée à la réglementation en vigueur du PCT (règle 92bis.1 PCT). Le nouveau texte de la règle 22(1) CBE n'implique aucun changement de pratique en ce qui concerne le niveau de preuves requis si des transferts doivent être inscrits.
Art. 72 EPÜ bestimmt, dass die rechtsgeschäftliche Übertragung der europäischen Patentanmeldung schriftlich erfolgen muss und der Unterschrift der Vertragsparteien bedarf. Er wurde unverändert ins EPÜ 2000 übernommen. Nach R. 22 EPÜ (R. 20 (1) EPÜ 1973), wird ein Rechtsübergang der europäischen Patentanmeldung auf Antrag eines Beteiligten in das Europäische Patentregister eingetragen, wenn er dem EPA durch Vorlage von Urkunden nachgewiesen wird. Dieser wird an die im PCT geltende Regelung (R. 92bis.1 PCT) angeglichen. Die neue Fassung der R. 22 (1) EPÜ lässt die bisherige Praxis unberührt, was Art und Umfang der für die Eintragung von Rechtsübergängen geforderten Nachweise angeht.
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In T 551/89 the board stated that an effect which was to be expected as the result of an obvious measure could not contribute to recognition of the required inventive step, even if the scale of this effect was surprising to the skilled person.
Dans la décision T 551/89, la chambre a déclaré qu'un effet obtenu, comme on devait s'y attendre, par l'application d'une mesure évidente ne saurait davantage contribuer à faire reconnaître l'existence d'une activité inventive, lorsque son ampleur est surprenante pour l'homme du métier. Dans ce cas, un effet dépassant en quantité les espérances de l'homme du métier ne constitue qu'un avantage inattendu, qui découle inévitablement de l'application d'une mesure évidente et dont bénéficie l'homme du métier sans faire preuve d'inventivité (T 506/92, T 882/94).
In T 551/89 führte die Kammer aus, dass eine als Ergebnis einer naheliegenden Maßnahme zu erwartende Wirkung auch dann nicht zur Anerkennung der erforderlichen erfinderischen Tätigkeit beitragen kann, wenn das quantitative Ausmaß dieser Wirkung für den Fachmann überraschend ist. In diesem Fall stellt nämlich eine die Hoffnungen des Fachmanns quantitativ übertreffende Wirkung lediglich einen Extra-Effekt dar, der sich zwangsläufig aus der Verwendung einer naheliegenden Maßnahme ergibt und dem Fachmann ohne eigene erfinderische Leistung in den Schoß fällt (T 506/92, T 882/94).
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As early as T 35/85 the board had stated that an applicant or patentee may discharge his onus of proof by voluntarily submitting comparative tests with newly prepared variants of the closest state of the art identifying the features common with the invention, in order to have a variant lying closer to the invention so that the advantageous effect attributable to the distinguishing feature is thereby more clearly demonstrated (T 40/89, T 191/97, T 496/02).
Dans l'affaire T 35/85, la chambre a déjà déclaré qu'un demandeur ou un titulaire de brevet peut s'acquitter de la charge de la preuve qui lui incombe, en produisant volontairement des tests comparatifs avec de nouvelles variantes de l'état de la technique le plus proche, qui présentent des caractéristiques identiques à celles de l'invention de façon à disposer d'une variante qui se rapproche davantage encore de l'invention, et ce afin de démontrer plus clairement l'effet avantageux attribuable à la caractéristique distinctive (T 40/89, T 191/97, T 496/02).
Bereits in T 35/85 hatte die Kammer ausgeführt, dass ein Anmelder oder Patentinhaber seiner Beweispflicht dadurch nachkommen könne, dass er freiwillig Vergleichsversuche mit nachgestellten Varianten des nächstliegenden Stands der Technik durchführt, bei denen die mit der Erfindung gemeinsamen Merkmale soweit identisch gemacht sind, dass eine der Erfindung näher kommende Variante vorliegt, sodass die auf das Unterscheidungsmerkmal zurückzuführende vorteilhafte Wirkung deutlicher nachgewiesen werden kann (T 40/89, T 191/97, T 496/02).
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In T 287/84 (OJ 1985, 333) the board decided that an application for re-establishment of rights could be considered as complying with the requirement that it had to set out the facts on which it relied (Art.
Dans l'affaire T 287/84 (JO 1985, 333), la chambre a décidé qu'une requête en restitutio in integrum peut être considérée comme satisfaisant à l'exigence posée par l'art. 122(3) CBE 1973 selon laquelle elle doit indiquer les faits et les justifications invoqués à son appui, dès lors que la requête écrite initialement déposée, qui ne contient pas ces faits, peut se lire en relation avec un autre document qui en fait état et qui est déposé avant l'expiration du délai prévu pour le dépôt de la requête.
In T 287/84 (ABl. 1985, 333) entschied die Kammer: Ein Antrag auf Wiedereinsetzung entspricht der Voraussetzung des Art. 122 (3) EPÜ 1973, dass die zur Begründung des Antrags dienenden Tatsachen glaubhaft zu machen sind, auch dann, wenn der ursprünglich eingereichte schriftliche Antrag diese Tatsachen zwar nicht enthält, aber im Zusammenhang mit einem anderen, sie enthaltenden Schriftstück gesehen werden kann, das vor Ablauf der Antragsfrist eingereicht worden ist.
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In J 12/83 (OJ 1985, 6) the board held that an applicant for a European patent could be "adversely affected", within the meaning of Art. 107 EPC 1973, by a decision to grant the patent if the patent were granted with a text not approved by the applicant, contrary to Art. 97(2)(a) EPC 1973.
Dans l'affaire J 12/83 (JO 1985, 6), la chambre a estimé que la décision de délivrer un brevet européen pouvait ne "pas faire droit" aux prétentions du demandeur au sens de l'art. 107 CBE 1973, si celui-ci n'a pas donné son accord sur le texte dans lequel est délivré le brevet, contrairement à ce qui est exigé à l'art. 97(2)a) CBE 1973. Aux fins de cet article, il convient d'établir l'existence d'un tel accord "dans les conditions prévues par le règlement d'exécution" (en l'occurrence, règle 51(4) CBE 1973).
In J 12/83 (ABl. 1985, 6) befand die Kammer, dass ein europäischer Patentanmelder durch einen Erteilungsbeschluss "beschwert" im Sinne von Art. 107 EPÜ 1973 sein kann, wenn das Patent entgegen Art. 97 (2) a) EPÜ 1973 in einer Fassung erteilt wird, mit der der Anmelder nicht einverstanden ist. Für die Zwecke dieses Artikels müsse das Einverständnis "nach Maßgabe der Ausführungsordnung" (hier R. 51 (4) EPÜ 1973) festgestellt werden.
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As proof that an invention has been insufficiently disclosed, the boards require that the attempt to repeat it must fail despite following the conditions given in the examples. This requirement is not fulfilled where the opponent repeats the patented process under conditions covered by claim 1 but differing in many respects from those applying in the contested patent's examples (T 665/90).
Comme preuve de l'impossibilité d'exécuter l'invention, les chambres de recours exigent que l'invention ne puisse pas être reproduite même lorsque les conditions spécifiées dans les exemples sont respectées. Cette condition n'est pas remplie lorsque l'opposant reproduit le procédé breveté dans des conditions qui sont certes couvertes par la revendication 1, mais qui diffèrent à maints égards de celles appliquées dans les exemples du brevet contesté (T 665/90).
Für den Nachweis mangelnder Ausführbarkeit der Erfindung verlangen die Kammern, dass die Nacharbeitung bei Einhaltung der in den Beispielen genannten Bedingungen nicht gelingt. Dieses Erfordernis ist nicht erfüllt, wenn der Einsprechende das patentierte Verfahren unter Bedingungen wiederholt, die zwar unter Anspruch 1 fallen, sich aber in mehrfacher Hinsicht von denen der im Streitpatent genannten Beispiele unterscheiden (T 665/90).
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The board noted that an interlocutory decision in the case of an allowable auxiliary request is foreseen in the instructions to examiners only for auxiliary requests in opposition proceedings. It did not consider it appropriate for the department of the first instance to proceed in the same way in grant proceedings.
La chambre a relevé que les Directives relatives à l'examen pratiqué à l'OEB ne prévoient la possibilité de rendre une décision intermédiaire, lorsqu'une requête subsidiaire est admissible, que dans la procédure d'opposition. Selon la chambre, l'instance du premier degré n'a pas lieu d'agir de même lors de la procédure de délivrance. En effet, le but de la décision intermédiaire dans la procédure d'opposition est d'épargner au titulaire du brevet les frais supplémentaires liés aux exigences de forme prévues à la règle 58(5) CBE 1973, avant que ne soit rendue une décision finale sur le texte dans lequel le brevet peut être maintenu (T 89/90, JO 1992, 456). La procédure de délivrance ne connaît pas de situation similaire, étant donné qu'il n'y a pas de partie adverse susceptible d'élever des objections à l'encontre du texte approuvé par le demandeur. La chambre a par ailleurs estimé que le recours était recevable, car les requêtes précédentes du demandeur ayant été rejetées, il n'avait pas été fait droit à ses prétentions.
Die Kammer stellte dazu fest, dass der Erlass einer Zwischenentscheidung bei Vorliegen eines gewährbaren Hilfsantrags nach den Prüfungsrichtlinien nur für Hilfsanträge im Einspruchsverfahren vorgesehen sei. Einem erstinstanzlichen Organ stehe es nicht zu, im Erteilungsverfahren in dieser Weise vorzugehen. Zweck der Zwischenentscheidung im Einspruchsverfahren sei es, dem Patentinhaber die bei Erfüllung der Formvorschriften nach R. 58 (5) EPÜ 1973 anfallenden Kosten zu ersparen, bis eine Endentscheidung über die Fassung ergehe, in der das Patent aufrechterhalten werden könne (T 89/90, ABl. 1992, 456). Dies treffe aber im Erteilungsverfahren nicht zu, weil es hier keine gegnerische Partei gebe, die Einwände gegen die vom Anmelder gebilligte Fassung erheben könnte. Die Beschwerde sei zulässig, weil der Beschwerdeführer durch die Zurückweisung seiner vorangegangenen Hilfsanträge beschwert sei.
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In J 12/83 (OJ 1985, 6) the board found that an applicant for a European patent might be "adversely affected" within the meaning of Art. 107 EPC 1973 by a decision to grant the patent, if the patent was granted with a text not approved by him under Art. 97(2)(a) EPC 1973 and R. 51(4) EPC 1973.
Dans la décision J 12/83 (JO 1985, 6), il a été jugé qu'une décision relative à la délivrance d'un brevet européen peut ne "pas faire droit" aux prétentions du demandeur, au sens où l'entend l'art. 107 CBE 1973, si celui-ci n'est pas d'accord sur le texte dans lequel est délivré le brevet, comme l'exigent l'art. 97(2)(a) CBE 1973 et la règle 51(4) CBE 1973. Dans la décision J 12/85 (JO 1986, 155), il a été affirmé que ce n'est que si la décision de délivrer un brevet européen va à l'encontre de ce que le demandeur a expressément requis que l'on peut considérer qu'elle ne "fait pas droit" aux prétentions du demandeur, au sens où l'entend l'art. 107 CBE 1973 (cf. T 114/82 et T 115/82, toutes deux publiées au JO 1983, 323, ainsi que T 1/92, JO 1993, 685). Dans l'affaire J 5/79 (JO 1980, 71), la chambre a constaté que si la restitutio in integrum a été accordée au demandeur avant la publication de la demande de brevet pour laquelle la perte du droit de priorité résultant de la non-présentation des documents de priorité a été constatée, la décision ne fait plus grief au demandeur.
So wurde in der Entscheidung J 12/83 (ABl. 1985, 6) festgestellt, dass ein europäischer Patentanmelder durch die Entscheidung zur Erteilung des Patents "beschwert" im Sinne von Art. 107 EPÜ 1973 sein kann, wenn das Patent in einer Fassung erteilt wird, mit der er nicht gemäß Art. 97 (2) a) EPÜ 1973 und R. 51 (4) EPÜ 1973 einverstanden ist, und in J 12/85 (ABl. 1986, 155), dass ein europäischer Patentanmelder nur dann durch eine Entscheidung zur Erteilung des Patents im Sinne von Art. 107 EPÜ 1973 "beschwert" ist, wenn die Entscheidung nicht mit dem übereinstimmt, was er ausdrücklich beantragt hat (vgl. auch T 114/82 und T 115/82, beide ABl. 1983, 323; T 1/92, ABl. 1993, 685). In J 5/79 (ABl. 1980, 71) wurde festgestellt, dass ein Anmelder, dessen Prioritätsrecht wegen Nichteinreichung der Prioritätsunterlagen für erloschen erklärt wurde, durch die Entscheidung nicht mehr beschwert ist, wenn er vor Veröffentlichung der Anmeldung in den vorigen Stand wiedereingesetzt wurde.
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In T 633/97 the opponent had to prove that an alleged prior use had in fact been made public, i.e. there was no obligation to maintain secrecy between the respective contractors. The board stated that, depending on the nature of the business relations and the status of the companies involved, the existence of such an obligation might be assumed on a prima facie basis without the necessity of a written agreement.
Dans l'affaire T 633/97, l'opposant devait prouver que l'usage antérieur allégué avait en fait été public, c'est-à-dire que les différents contractants n'étaient pas soumis à une obligation de secret. La chambre a déclaré que selon la nature des relations commerciales et le statut des entreprises concernées, l'existence d'une telle obligation peut être présumée de prime abord, sans qu'un accord écrit ne soit nécessaire. Dans l'affaire en question, LLNL agissait dans l'intérêt national des Etats-Unis d'Amérique, dans des domaines à considérer comme secret-défense. En l'espèce, les ébauches en verre fournies par CII à LLNL et mentionnées par le requérant devaient être utilisées dans le projet SILVA (séparation isotopique par laser de la vapeur atomique), en fonction de la qualité optimale de silice fondue disponible. La nature même de ce projet, à savoir une technique d'enrichissement de l'uranium, permettait de conclure que toutes les personnes impliquées devaient être tenues au secret.
In T 633/97 musste der Einsprechende den Beweis erbringen, dass die angebliche Vorbenutzung tatsächlich öffentlich gewesen war, d. h., dass zwischen den jeweiligen Vertragspartnern keine Geheimhaltungsverpflichtung bestanden hatte. Die Kammer stellte fest, dass je nach der Art der Geschäftsbeziehungen und dem Status der beteiligten Gesellschaften prima facie vom Bestehen einer solchen Verpflichtung ausgegangen werden könne, ohne dass es einer schriftlichen Vereinbarung bedürfe. Im vorliegenden Fall handelte LLNL im nationalen Interesse der Vereinigten Staaten auf Gebieten, die als geheimhaltungsbedürftig einzustufen waren. Insbesondere waren die von CII an LLNL gelieferten Glasrohlinge, auf die sich der Beschwerdeführer bezog, zur Verwendung im Projekt zur Isotopentrennung nach dem atomaren Laserverfahren (AVLIS-Projekt) bestimmt, für das es auf die beste erhältliche Qualität an Quarzglas ankam. Aus der Eigenart dieses Projekts, das die Technologie der Uraniumanreicherung betraf, konnte geschlossen werden, dass alle Beteiligten zur Geheimhaltung verpflichtet waren.
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In T 701/97 the board stated that an amendment had to be regarded as introducing subject-matter extending beyond the content of the original application, if the overall change in the content of the application resulted in the skilled person being presented with information which was not clearly and unambiguously presented in the original application, even when account was taken of matter which was implicit to a person skilled in the art (see also T 383/88 and T 688/99).
Dans la décision T 701/97, la chambre a constaté qu'une modification doit être considérée comme introduisant un objet qui s'étend au-delà du contenu de la demande initiale si l'ensemble du changement apporté au contenu de la demande a pour effet de confronter l'homme du métier à des informations qui n'avaient pas été présentées de façon claire et non ambiguë dans la demande initiale, même en tenant compte d'éléments implicites pour l'homme du métier (cf. aussi T 688/99 et T 383/88). La chambre a déclaré que les critères à appliquer pour comparer une invention revendiquée à l'objet divulgué dans un document antérieur divulguant soi-disant la même invention ont récemment été à nouveau définis dans la décision G 2/98 (JO 2001, 413). Si, comme en l'espèce, une revendication indépendante figurant dans la demande principale telle que déposée initialement a été modifiée par l'ajout de caractéristiques limitant l'étendue de la revendication et tirées d'un certain nombre de parties de la demande initiale qui ne sont pas clairement liées, le fait que chaque caractéristique ajoutée a été divulguée dans la demande initiale n'est pas suffisant. Au contraire, un homme du métier utilisant ses connaissances générales doit pouvoir déduire clairement et sans ambiguïté du document la combinaison des caractéristiques en question. Par conséquent, les limitations multiples conduisant à un objet spécifique non déductible de la demande initiale ne peuvent être admises.
In T 701/97 stellte die Kammer fest, dass eine Änderung als Einbringen von Sachverhalten anzusehen sei, die über den Inhalt der Anmeldung in der ursprünglich eingereichten Fassung hinausgehen, wenn die Gesamtveränderung des Inhalts der Anmeldung dazu führt, dass der Fachmann Angaben erhält, die nicht unmittelbar und eindeutig aus der ursprünglichen Anmeldung hervorgehen, auch wenn Sachverhalte in Betracht gezogen werden, die für den Fachmann vom Inhalt mit erfasst waren (s. auch T 688/99, T 383/88). Die Kriterien für den Vergleich einer beanspruchten Erfindung mit dem Gegenstand, der in einem früheren, angeblich dieselbe Erfindung betreffenden Dokument offenbart ist, seien in G 2/98 (ABl. 2001, 413) erneut definiert worden. Wenn, wie im Streitfall, ein unabhängiger Anspruch der Hauptanmeldung in der ursprünglich eingereichten Fassung durch die Hinzufügung von Merkmalen geändert wurde, die den Schutzumfang des Anspruchs einschränken und mehreren nicht eindeutig zusammenhängenden Teilen der ursprünglichen Anmeldung entnommen sind, reiche es nicht aus, dass alle hinzugefügten Merkmale für sich genommen in der Anmeldung in der ursprünglich eingereichten Fassung offenbart sind. Vielmehr müsse die entsprechende Merkmalskombination für den Fachmann unter Heranziehung des allgemeinen Fachwissens unmittelbar und eindeutig aus diesem Dokument zu entnehmen sein. Mehrfache Einschränkungen, die zu einem bestimmten, aus der Anmeldung in der ursprünglich eingereichten Fassung nicht herleitbaren Gegenstand führen, seien daher nicht zulässig.
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In T 934/02 the board decided that an appeal may be substantiated by filing amended claims which deprive the contested decision of its basis even though it does not state any specific reasons why the contested decision is wrong.
Dans l'affaire T 934/02, la chambre a déclaré qu'un recours peut être étayé par le dépôt de revendications modifiées qui privent la décision contestée de tout fondement, même s'il ne précise pas les raisons pour lesquelles la décision attaquée est erronée. Il est par conséquent inutile, aux fins d'étayer le recours, de produire des motifs à l'appui du texte d'une revendication que le requérant (titulaire du brevet) ne défend plus dans la procédure de recours. Ce faisant, la chambre s'est référée à la jurisprudence constante des chambres, selon laquelle un recours est suffisamment étayé même s'il n'indique pas les raisons pour lesquelles la décision est attaquée, dès lors que deux critères sont remplis : i) l'objet de la procédure a changé, du fait par exemple qu'un nouveau jeu de revendications modifiées a été déposé avec le mémoire du recours ; et ii) les motifs de la décision ne sont plus pertinents suite au changement de l'objet de la procédure. Dans l'affaire T 1276/05, la chambre a constaté que des explications étaient superflues compte tenu de la situation particulière de l'affaire qu'elle instruisait, dans laquelle, fait inhabituel, les modifications proposées rendaient caducs les motifs de la décision ; le recours était donc recevable.
In der Sache T 934/02 entschied die Kammer, dass eine Beschwerde begründet werden kann, indem geänderte Ansprüche eingereicht werden, die die angefochtene Entscheidung ihrer Grundlage berauben, auch wenn nicht genau angegeben wird, warum die angefochtene Entscheidung falsch ist. Es wäre daher unnötig, zur angemessenen Begründung einer Beschwerde eine Begründung zur Stützung einer Anspruchsfassung einzureichen, die der Beschwerdeführer (Patentinhaber) im Beschwerdeverfahren nicht mehr verteidigt. Die Kammer verwies auf die ständige Rechtsprechung der Kammern, wonach eine Beschwerde ausreichend begründet ist, auch wenn sie die Gründe für die Anfechtung der Entscheidung nicht angibt, sofern zwei Voraussetzungen erfüllt sind: i) der Gegenstand des Verfahrens hat sich geändert, z. B. durch die Einreichung eines neuen, geänderten Anspruchssatzes mit der Beschwerdebegründung; und ii) die Gründe für die Entscheidung sind angesichts des geänderten Verfahrensgegenstands nicht mehr zutreffend. In T 1276/05 stellte die Kammer fest, dass auf eine Begründung verzichtet werden konnte, weil eine besondere Situation gegeben war, in der - ausnahmsweise - die vorgeschlagenen Änderungen die Gründe für die Entscheidung hinfällig machten; deshalb war die Beschwerde zulässig.
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Furthermore it had to be considered that an objective definition of the problem to be solved by the invention should normally start from the problem described in the contested patent. Only if examination showed that the problem disclosed had not been solved or if inappropriate prior art were used to define the problem, was it necessary to investigate which other problem objectively existed.
De plus, lorsqu'il s'agit de déterminer objectivement le problème résolu selon l'invention, il convient normalement, dans un premier temps, de partir du problème formulé dans le brevet en litige. Ce n'est que s'il ressort de l'examen que le problème posé n'est pas résolu ou que l'état de la technique invoqué pour définir le problème n'est pas pertinent, qu'il y a lieu d'examiner quel autre problème se posait, d'un point de vue objectif, en évitant de formuler des problèmes artificiels, irréalistes sur le plan technique (cf. T 246/91, T 495/91, T 731/91, T 741/91, T 334/92, T 881/92, T 380/93, T 813/93, T 68/95, T 644/97, T 747/97 et T 946/00). Ce principe de droit s'applique également dans les procédures ex parte (T 881/92, T 882/92, T 884/92). Dans l'affaire T 419/93, la chambre a ajouté que lorsqu'il s'agissait de déterminer le problème, il fallait vérifier l'exactitude des informations données à ce sujet dans la demande par rapport à l'état de la technique, ainsi que leur pertinence de fait pour les caractéristiques de la solution revendiquée. Ce n'est que lorsque le problème formulé dans la demande n'est pas conforme à l'état de la technique et/ou n'a pas été résolu conformément aux caractéristiques de l'invention, qu'il doit être adapté à l'état de la technique et/ou au succès technique effectivement obtenu. Dans l'affaire T 800/91, la chambre a souligné que le problème posé devait en tout état de cause être un problème que l'homme du métier, qui connaît uniquement l'état de la technique, souhaite effectivement résoudre. Il convient de ne pas formuler le problème de telle manière que le développement ne puisse aller que dans la direction de la solution revendiquée, car cela serait tendancieux. Dans l'affaire T 400/98, le problème technique sur lequel porte le brevet en litige doit être de nouveau formulé, parce que le problème technique décrit dans le brevet en litige n'a pas été résolu de façon crédible.
Es ist weiter zu berücksichtigen, dass bei der objektiven Ermittlung der erfindungsgemäß gelösten Aufgabe zunächst von der im Streitpatent formulierten Aufgabe auszugehen ist. Erst wenn die Prüfung ergibt, dass die dort gestellte Aufgabe nicht gelöst ist, oder wenn ein unzutreffender Stand der Technik zur Definition der Aufgabe herangezogen wurde, muss untersucht werden, welche andere Aufgabe objektiv bestand. Dabei soll vermieden werden, künstliche und technisch unrealistische Aufgaben zu definieren (s. T 246/91, T 495/91, T 731/91, T 741/91, T 334/92, T 881/92, T 380/93, T 813/93, T 68/95, T 644/97, T 747/97 und T 946/00). Dieser Rechtsgrundsatz gilt auch für Ex-parte-Verfahren (T 881/92, T 882/92, T 884/92). In T 419/93 wurde dem hinzugefügt, dass bei der Ermittlung der Aufgabe die diesbezüglichen Aussagen in der Anmeldung auf ihre Korrektheit gegenüber dem Stand der Technik und auf ihre De-facto-Relevanz für die beanspruchten Lösungsmerkmale untersucht werden müssten. Erst wenn die in der Anmeldung formulierte Aufgabe dem Stand der Technik nicht gerecht wird und/oder nicht im Sinne der Erfindungsmerkmale gelöst wurde, muss sie an den Stand der Technik und/oder den tatsächlichen technischen Erfolg angepasst werden. In T 800/91 wurde dazu hervorgehoben, dass die gestellte Aufgabe in jedem Fall eine Aufgabe sein sollte, die der Fachmann, der nur den Stand der Technik kennt, tatsächlich zu lösen wünscht. Die Aufgabe sollte nicht tendenziös so formuliert werden, dass die Entwicklung einseitig in Richtung der beanspruchten Lösung gelenkt wird. In der Sache T 400/98 musste die im Streitpatent dargelegte technische Aufgabe umformuliert werden, weil sie nicht glaubhaft gelöst wurde.
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In T 409/97 the board held that an erroneous statement in the introduction to the description was of no assistance in interpreting the claim and establishing the subject-matter for which protection was being sought, where this statement contradicted its actual content.
Dans l'affaire T 409/97, la chambre a estimé qu'une indication erronée dans l'introduction de la description ne pouvait permettre d'interpréter la revendication et de déterminer l'objet pour lequel la protection était demandée, lorsque cette indication est en contradiction avec le contenu de ce document.
In T 409/97 entschied die Kammer, dass eine fehlerhafte Angabe in der Beschreibungs-einleitung kein geeignetes Hilfsmittel zur Auslegung des Anspruchs und zur Festlegung des Gegenstands, für den Schutz begehrt wird, darstelle, wenn diese Angabe dem tatsächlichen Inhalt dieser Druckschrift widerspreche.
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In T 384/08 the board starts from the premises that an opponent status may be transferred or assigned to a third party as part of the opponent's business assets, together with the assets in the interests of which the opposition was filed (see G 4/88, OJ 1989, 480).
Dans l'affaire T 384/08, la chambre est partie du principe que la qualité d'opposant peut être transmise ou cédée à titre d'accessoire de l'élément patrimonial (activité économique) de l'opposant conjointement avec cet élément dans l'intérêt duquel l'action en opposition a été intentée (cf. décision G 4/88, JO 1989, 480). Dans ce contexte, le terme "activité économique" doit être compris dans un sens large, comme qualifiant des opérations exécutées ou susceptibles d'être exécutées par l'opposant et qui constituent un élément particulier de son patrimoine. Dans la présente affaire, le terme "activité économique" englobait également les activités principales de l'opposant, à savoir les travaux de recherche et de développement scientifique dans le domaine des puces à ADN. Une telle activité existe et peut être transmise même si l'entreprise a mis fin à ses opérations courantes et va être dissoute en raison de difficultés financières. Si le terme d'activités économiques "suspendues" ou "résiduelles" peut éventuellement être employé dans ces circonstances, une entreprise conserve une activité économique tant qu'il existe un élément patrimonial économique qui lui permet de mener à bien son activité principale correspondante. Aucune transmission d'activités économiques n'a résulté de la vente aux enchères de nombreuses immobilisations corporelles (excepté le portefeuille de brevets et les installations de laboratoire nécessaires aux activités économiques), destinée à valoriser l'entreprise dans la perspective d'un rachat ou d'une fusion.
In T 384/08 geht die Kammer von der Prämisse aus, dass die Einsprechendenstellung als zum Geschäftsbetrieb des Einsprechenden gehörend zusammen mit jenem Bereich dieses Geschäftsbetriebs an einen Dritten übertragen oder abgetreten werden kann, auf den sich der Einspruch bezieht (s. G 4/88, ABl. 1989, 480). Der Begriff Unternehmen ist in diesem Zusammenhang im weitesten Sinne als eine Geschäftstätigkeit zu verstehen, die vom Einsprechenden ausgeübt wird oder ausgeübt werden kann und die einen Bestandteil seines Vermögens darstellt. Im vorliegenden Fall umfasst der Begriff Unternehmen auch das Kerngeschäft des Einsprechenden, nämlich die wissenschaftliche Forschung und Entwicklungstätigkeit auf dem Gebiet der Microarrays. Eine solches Unternehmen besteht und ist übertragbar, auch wenn die Firma ihren laufenden Betrieb eingestellt hat und aufgrund finanzieller Schwierigkeiten aufgelöst werden soll. Unter diesen Umständen lässt sich zwar möglicherweise von einem Unternehmen "in eingefrorenem Zustand" oder einem "Restunternehmen" sprechen, doch besteht ein Geschäftsbetrieb für eine Firma so lange, wie sie über Vermögensbestandteile verfügt, die es ihr ermöglichen, ihr damit verbundenes Kerngeschäft zu betreiben. Dass viele Sachanlagen (ausgenommen das Patentportfolio und die für den Geschäftsbetrieb erforderliche Laborausrüstung) versteigert wurden, um die Firma als Übernahme- oder Fusionskandidat interessanter zu machen, hat nicht zu einer Übertragung des Geschäftsbetriebs geführt.
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In T 389/86 (OJ 1988, 87) the board stated that an appeal which was filed after pronouncement of a decision in oral proceedings but before notification of the decision duly substantiated in writing complied with the time limit pursuant to Art. 108, first sentence, EPC 1973.
Dans la décision T 389/86 (JO 1988, 87), la chambre a estimé que le délai prévu à l'art. 108 CBE 1973, première phrase était observé si le recours était formé après le prononcé d'une décision au cours d'une procédure orale, mais avant la signification de la décision écrite assortie des motifs. Voir également les décisions T 427/99 et T 1125/07.
In T 389/86 (ABl. 1988, 87) hat die Beschwerdekammer geklärt, dass eine Beschwerde, die nach Verkündung einer Entscheidung in einer mündlichen Verhandlung, aber vor Zustellung der schriftlich begründeten Entscheidung eingelegt wird, die Frist nach Art. 108 Satz 1 EPÜ 1973 wahrt. Siehe auch T 427/99 und T 1125/07.
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In T 1239/01 the board confirmed that an intermediate intended for the preparation of a known end-product is deemed to be inventive if its preparation took place in the course of an inventive complete process.
Dans la décision T 1239/01, la chambre a confirmé qu'un produit intermédiaire destiné à la préparation d'un produit final connu est réputé impliquer une activité inventive s'il est préparé dans le cadre d'un procédé global impliquant une activité inventive.
In T 1239/01 bestätigte die Beschwerdekammer, dass ein für die Herstellung eines bekannten Endprodukts bestimmtes Zwischenprodukt als erfinderisch anzusehen sei, wenn seine Bereitstellung im Zuge eines erfinderischen Gesamtverfahrens erfolge.
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In T 833/90 the board held that an appeal should be considered admissible if it was not clear or ascertainable whether the opponent (appellant) had agreed to maintenance of the patent. This was followed in T 616/08.
Dans la décision T 833/90, la chambre a décidé qu'il convient de considérer le recours recevable lorsque l'on ne peut pas clairement établir si l'opposant et requérant a donné son accord au maintien du brevet. Cette conclusion a été suivie dans la décision T 616/08.
In T 833/90 hat die Kammer entschieden, dass zugunsten der Zulässigkeit der Beschwerde zu entscheiden ist, wenn nicht klar und nicht feststellbar ist, ob der Einsprechende und Beschwerdeführer der Aufrechterhaltung des Patents zugestimmt hat. Diese Entscheidung wurde in T 616/08 bestätigt.
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In T 71/93 the board held that an "implicit prior description" of a feature could not be based on the grounds that a person skilled in the art would have been aware of some disadvantages and of the lack of other forms of improvement related to a feature, since this was a criterion for the evaluation of inventive step.
Dans la décision T 71/93, la chambre a estimé qu'une "description antérieure implicite" d'une caractéristique ne pouvait être fondée sur le fait que l'homme du métier aurait connu certains inconvénients et l'absence d'autres formes d'amélioration d'un élément, ceci constituant un des critères d'appréciation de l'activité inventive.
In T 71/93 vertrat die Kammer die Auffassung, dass eine "implizite Vorbeschreibung" eines Merkmals nicht damit begründet werden könne, dass dem Fachmann gewisse Nachteile und das Fehlen sonstiger Verbesserungsmöglichkeiten im Zusammenhang mit dem Merkmal bekannt gewesen seien, da dies ein Kriterium für die Beurteilung der erfinderischen Tätigkeit sei.
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The Enlarged Board found in G 1/88 (OJ 1989, 189) that the fact that an opponent had failed, within the time allowed, to make any observations on the text despite an invitation to do so under R. 58(4) EPC 1973 did not render his appeal inadmissible.
Dans la décision G 1/88 (JO 1989, 189), la Grande Chambre de recours a dit que le recours formé par un opposant ne peut être jugé irrecevable au motif que celui-ci, après avoir reçu l'invitation prévue par la règle 58(4) CBE 1973, a négligé de présenter dans le délai prescrit ses observations sur le texte dans lequel il est envisagé de maintenir le brevet européen.
In G 1/88 (ABl. 1989, 189) hat die Große Beschwerdekammer entschieden, dass die Beschwerde eines Einsprechenden nicht deswegen wegen mangelnder Beschwer unzulässig ist, weil dieser es unterlassen hat, fristgerecht auf eine Aufforderung nach R. 58 (4) EPÜ 1973 zu der Fassung, in der das europäische Patent aufrechterhalten werden soll, Stellung zu nehmen.
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In J 3/91 the board held that an experienced practitioner could have noticed the obvious discrepancy because the claimed Japanese priority date (31.12.1983) and the European application date (3.1.1984) were close together and the Japanese file number was mentioned.
Dans l'affaire J 3/91, le praticien expérimenté aurait pu remarquer une contradiction manifeste, parce que la date de priorité japonaise revendiquée (31.12.1983) et la date de la demande européenne (3.1.1984) se suivaient de près et que le numéro de dépôt japonais était mentionné.
In J 3/91 hätte dem erfahrenen Praktiker eine offensichtliche Unstimmigkeit auffallen können, weil der beanspruchte japanische Prioritätstag (31.12.1983) und der europäische Anmeldetag (3.1.1984) nahe beieinander lagen und das japanische Aktenzeichen angegeben war.
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The board in J 29/97 emphasised that an examiner could not be treated as a legal adviser of the appellant who had to consider what possible action the appellant might wish to take. The principle of the protection of legitimate expectations did not extend that far.
Dans l'affaire J 29/97, la chambre a souligné que le principe de protection de la confiance légitime n'allait pas jusqu'à considérer l'examinateur comme un conseiller juridique tenu d'envisager les mesures que le requérant pourrait souhaiter prendre.
Die Kammer unterstrich in J 29/97, dass der Prüfer nicht als Rechtsberater des Beschwerdeführers zu sehen sei, der die möglicherweise für den Beschwerdeführer infrage kommenden Schritte zu empfehlen habe. Der Vertrauensgrundsatz gehe so weit nicht.
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Under the EPC 2000, the wording of Art. 14 EPC implies that an application may be filed in any language. However, a translation into an official language must be filed. According to Art. 14(2) EPC, if a required translation is not filed in due time, the application shall be deemed to be withdrawn.
Conformément à la CBE 2000, le texte de l'art. 14 CBE implique qu'une demande peut être déposée dans une quelconque langue. Toutefois, une traduction dans une langue officielle doit être produite. Selon l'art. 14(2) CBE, si la traduction requise n'a pas été produite dans les délais, la demande est réputée retirée.
Der Wortlaut von Art. 14 EPÜ 2000 impliziert, dass eine Anmeldung in jeder Sprache eingereicht werden kann. Jedoch muss eine Übersetzung in einer Amtssprache eingereicht werden. Wird eine vorgeschriebene Übersetzung nach Art. 14 (2) EPÜ nicht rechtzeitig eingereicht, so gilt die Anmeldung als zurückgenommen.
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In T 582/90 the board ruled that an objection of prior public use had to be examined if it appeared to be relevant, even if it had not been sufficiently substantiated.
Dans l'affaire T 582/90, la chambre a décidé qu'il y avait lieu d'examiner un usage antérieur public, dès lors qu'il paraissait pertinent, même s'il n'avait pas été suffisamment justifié.
In T 582/90 entschied die Kammer, dass auf eine offenkundige Vorbenutzung einzugehen ist, auch wenn sie nicht ausreichend substantiiert wurde, sofern sie relevant erscheint.
  When can the EPO act as...  
If this requirement is not met it may be that an extension agreement was in force on the international filing date that provides for the extension of a European patent to the state for which patent protection is sought (see points 122 ff).
Si cette condition n'est pas remplie, il est possible qu'à la date du dépôt international, un accord d'extension ait été applicable, permettant l'extension des effets d'un brevet européen à l'Etat pour lequel la protection par brevet est demandée (cf. points 122 s.).
Falls dieses Erfordernis nicht erfüllt ist, besteht noch die Möglichkeit, dass am internationalen Anmeldedatum ein Erstreckungsabkommen in Kraft war, gemäß dem europäische Patente auf den Staat erstreckt werden können, für den Patentschutz angestrebt wird (vgl. 122 ff.).
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In T 515/00 the board pointed out that an invention cannot be considered to be irreproducible merely because a claim encompasses a hypothetical embodiment which lies outside the breadth of the claim as determined by the Protocol on the Interpretation of Art. 69 EPC 1973, which embodiment cannot be reproduced.
Dans l'affaire T 515/00, la chambre a indiqué qu'une invention ne peut être considérée comme ne pouvant être reproduite simplement parce qu'une revendication comprend un mode de réalisation hypothétique qui n'est pas couvert par la portée de la revendication telle que déterminée par le protocole interprétatif de l'art. 69 CBE 1973 et qui ne peut pas être reproduit.
In T 515/00 betonte die Kammer, dass eine Erfindung nicht allein deshalb als nicht nacharbeitbar gelten könne, weil der Anspruch eine hypothetische Ausführungsform umfasse, die nicht in den Schutzbereich des Anspruchs im Sinne des Protokolls über die Auslegung des Art. 69 EPÜ 1973 falle und nicht nacharbeitbar sei.
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In T 906/97 the board stated that an a posteriori demonstration that the original claims, considered in isolation from the rest of the application documents, could possibly be construed in such a way as to cover a specific type of apparatus failed to provide convincing evidence that such specific apparatus was actually disclosed to the skilled person.
Dans l'affaire T 906/97, la chambre a déclaré qu'il n'était pas possible de prouver de manière convaincante qu'un type donné d'appareil était effectivement divulgué à l'homme du métier, en démontrant a posteriori que les revendications initiales, considérées abstraction faite des autres pièces de la demande, pouvaient être interprétées comme couvrant l'appareil en question.
In T 906/97 ging es darum, ob ein nachträglicher Nachweis, dass unter die ursprünglichen Ansprüche möglicherweise eine bestimmte Art von Vorrichtung subsumiert werden könnte, wenn die Ansprüche losgelöst von den übrigen Anmeldungsunterlagen betrachtet würden, überzeugend beweise, dass die betreffende Vorrichtung dem Fachmann tatsächlich offenbart wurde. Die Kammer verneinte dies.
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In T 919/95 the appellant was of the opinion that an interlocutory revision had to result in the appeal being allowed. A 'cassatory' revision that merely set aside the contested decision and resumed the suspended proceedings was not compatible with the Convention.
Dans l'affaire T 919/95, le requérant a estimé que la décision rendue dans le cadre de la révision préjudicielle pouvait uniquement faire droit au recours. Selon lui, une révision préjudicielle de type "cassation", qui se borne à annuler la décision attaquée et rouvre la procédure qui, dans un premier temps, avait été close, n'est pas conforme à la Convention. La révision préjudicielle doit être de type "réformation", à savoir qu'elle doit accorder au requérant ce qui lui avait été refusé dans la décision contestée. Dès lors que le recours recevable supprime le motif sur lequel se fonde la décision attaquée, les conditions de l'art. 109 CBE 1973 sont remplies, si, après annulation de la décision attaquée, il est possible de prononcer la décision demandée ou bien il y a lieu de poursuivre la procédure, car il est nécessaire d'examiner de nouveaux faits ou motifs. Dans ce dernier cas, le prononcé d'une nouvelle décision de rejet n'est pas exclu. La révision préjudicielle vise à accélérer la procédure. Si la division d'examen annule une décision en application de l'art. 109 CBE 1973, dans le seul but de délivrer un brevet conformément à une requête subsidiaire, et ce alors que le demandeur insiste sur sa requête principale, la procédure ne s'en trouve pas accélérée, mais retardée. Cela constitue donc un vice substantiel de procédure. (cf. T 142/96 dans le chapitre VII.E.13.3, révision préjudicielle).
In T 919/95 war der Beschwerdeführer der Auffassung, dass die Abhilfeentscheidung nur in einer Stattgabe bestehen kann. Eine "kassatorische Abhilfe", die lediglich die angefochtene Entscheidung beseitigt und das zunächst abgeschlossene Verfahren wiedereröffnet, sei mit dem Übereinkommen nicht zu vereinbaren. Eine Abhilfe müsse eine "reformatorische Abhilfe" sein, also dem Beschwerdeführer etwas gewähren, was ihm mit der angefochtenen Entscheidung abgeschlagen worden sei. Die Kammer erklärte, dass die Voraussetzungen des Art. 109 EPÜ 1973 erfüllt sind, wenn durch das zulässige Beschwerdevorbringen der Grund für die angefochtene Entscheidung entfallen ist, insofern als nach Aufhebung der angefochtenen Entscheidung entweder der Erlass der beantragten Entscheidung erfolgen kann oder das Verfahren fortzusetzen ist, da eine weitere Prüfung von neuen Gründen bzw. Tatsachen erforderlich wird. Im letzteren Fall ist eine spätere Zurückweisungsentscheidung nicht ausgeschlossen. Zweck der Abhilfe ist eine Beschleunigung des Verfahrens. Hebt die Prüfungsabteilung eine Entscheidung nach Art. 109 EPÜ 1973 auf, nur um ein Patent nach einem Hilfsantrag zu erteilen, obwohl der Anmelder auf seinem Hauptantrag besteht, so wird dadurch das Verfahren nicht beschleunigt, sondern sogar verzögert. Darin liegt daher ein wesentlicher Verfahrensmangel (s. auch T 142/96 unter Kapitel VII.E.13.3, Abhilfe).
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In W 32/88 (OJ 1990, 138) the board was of the opinion that an invitation to pay an additional fee on the grounds that an international application concerning a process and an apparatus related to two different inventions, whereas the apparatus was specifically designed for carrying out the process, had no legal basis, even if the claims for the apparatus were not restricted to such use (see also W 16/89).
Dans sa décision W 32/88 (JO 1990, 138), la chambre a conclu qu'est dépourvue de base légale une invitation à payer une taxe additionnelle au motif que la demande internationale concerne deux inventions distinctes de procédé et de dispositif, alors que le dispositif est spécialement conçu pour la mise en œuvre du procédé, même si les revendications relatives au dispositif ne sont pas limitées à un tel emploi (voir aussi W 16/89).
In W 32/88 (ABl. 1990, 138) war die Kammer der Auffassung, für eine Aufforderung zur Zahlung einer zusätzlichen Gebühr, die damit begründet werde, dass die internationale Anmeldung zwei getrennte Erfindungen - ein Verfahren und eine Vorrichtung - enthalte, obwohl die Vorrichtung zur Ausführung des Verfahrens besonders entwickelt worden sei, bestehe keine Rechtsgrundlage, selbst wenn die Vorrichtungsansprüche nicht auf diese Verwendung beschränkt seien (s. auch W 16/89).
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In D 5/86 (OJ 1989, 210), the board held that an infringement of the rules of professional conduct had to be established to the satisfaction of the disciplinary body before it could impose a disciplinary measure.
Dans la décision D 5/86 (JO 1989, 210), la chambre a estimé que la prise d'une mesure disciplinaire suppose qu'il puisse être constaté un manquement aux règles de conduite professionnelle emportant la conviction de l'instance disciplinaire. S'il n'est pas nécessaire que cette constatation corresponde à une certitude absolue, il faut toutefois qu'elle repose sur un degré élevé de probabilité tel qu'il équivaille dans la pratique à une certitude. Une mesure disciplinaire ne peut être prise s'il est possible, en s'appuyant sur des arguments raisonnables, de mettre en doute la constatation d'un manquement à une règle de conduite professionnelle.
In D 5/86 (ABl. 1989, 210) vertrat die Kammer die Auffassung, die Verhängung einer Disziplinarstrafe setze voraus, dass eine Verletzung beruflicher Regeln zur Überzeugung des Disziplinarorgans festgestellt werden könne. Für diese Feststellung sei zwar keine absolute Gewissheit erforderlich, jedoch ein so hoher Grad von Wahrscheinlichkeit, dass er nach der Lebenserfahrung der Gewissheit gleichkomme. Eine Disziplinarmaßnahme könne nicht verhängt werden, wenn gegen die Feststellung, dass eine berufliche Regel verletzt sei, vernünftige Zweifel geltend gemacht werden könnten.
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In T 54/82 (OJ 1983, 446) the board held that an objection under Art. 123(2) EPC 1973 did not necessarily arise when an amendment was proposed which involved combining separate features of the original subject-matter of an application.
Dans l'affaire T 54/82 (JO 1983, 446) la chambre a décidé qu'il n'y a pas nécessairement lieu de soulever une objection au titre de l'art. 123(2) CBE 1973 si une modification proposée fait intervenir la combinaison de caractéristiques séparées de l'objet initial de la demande. L'état de la technique peut aussi entrer en ligne de compte lorsqu'on examine la question de savoir s'il est permis d'associer différentes parties de la description contenue dans la demande.
In T 54/82 (ABl. 1983, 446) entschied die Kammer, dass Änderungen, bei denen verschiedene Merkmale des ursprünglichen Gegenstands einer Erfindung kombiniert würden, nicht zwangsläufig einen Einwand nach Art. 123 (2) EPÜ 1973 zur Folge hätten. Bei der Beurteilung, ob verschiedene Teile der Beschreibung einer Anmeldung eigentlich im Zusammenhang gesehen werden müssten, könne auch der Stand der Technik herangezogen werden.
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On the other hand, in J 7/94 (OJ 1995, 817) the board did not allow the correction. It held that the mere fact that an existing priority was not claimed could not justify adding this priority by correction.
Dans l'affaire J 7/94 (JO 1995, 817), la chambre a par contre refusé la rectification. La chambre a estimé que le seul fait qu'une priorité existante n'a pas été revendiquée ne peut justifier son ajout par voie de correction. Il ne peut être fait droit à une requête en rectification des indications relatives à la priorité, qui n'a pas été présentée suffisamment tôt pour être signalée dans la publication de la demande, que si des circonstances particulières le justifient (confirmation de la décision J 6/91, JO 1994, 349). Voir également T 796/94.
In J 7/94 (ABl. 1995, 817) hingegen ließ die Kammer eine Berichtigung nicht zu. Die Kammer vertrat die Auffassung, die bloße Tatsache, dass eine bestehende Priorität nicht in Anspruch genommen worden sei, rechtfertige noch nicht deren spätere Hinzufügung im Wege einer Berichtigung. Die Berichtigung von Prioritätsangaben, die nicht so rechtzeitig beantragt wird, dass in die Veröffentlichung der Anmeldung ein entsprechender Hinweis aufgenommen werden kann, ist nur dann zuzulassen, wenn sie aufgrund besonderer Umstände gerechtfertigt ist (Bestätigung der Entscheidung J 6/91, ABI. 1994, 349). Siehe auch T 796/94.
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In T 754/89 - "EPILADY" the board detailed its reasons for ruling that an inventive step was involved. Although factors such as commercial success, the overcoming of prejudice, the age of the documents cited, the cost of advertising and the creation of a new market segment, the satisfaction of a long-standing need, the existence of imitations and forms of infringement had received considerable attention, particularly in the parties' written submissions, the technical facts of the case were such that secondary indications of inventive step had lost any relevance.
Dans l'affaire T 754/89 - "EPILADY", la chambre a conclu à l'existence d'une activité inventive, motivation détaillée à l'appui. Bien que dans les moyens qu'elles avaient notamment présentés par écrit, les parties aient longuement développé des considérations telles que le succès commercial, le triomphe sur un préjugé, l'ancienneté des antériorités, les frais publicitaires et la satisfaction d'un besoin existant depuis longtemps ou l'apparition d'imitations et de formes de contrefaçon, il n'a plus été tenu compte, au vu des données techniques, de ces indices de l'existence d'une activité inventive.
In T 754/89 - "EPILADY" bejahte die Kammer mit eingehender Begründung das Vorliegen erfinderischer Tätigkeit. Obwohl vor allem im schriftlichen Vorbringen der Parteien Erwägungen wie Markterfolg, Überwindung eines Vorurteils, Alter der Entgegenhaltungen, Werbeaufwand und Schaffung eines neuen Marktsegments, Befriedigung eines lange bestehenden Bedürfnisses, Auftreten von Nachbauten und Verletzungsformen breiten Raum eingenommen hatten, kam es angesichts der technischen Fakten auf die sekundären Beweisanzeichen für erfinderische Tätigkeit nicht an.
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In T 1464/05 the board considered that an amount of 200 kg of the product, although clearly a bigger amount than the small sample initially delivered, would not have been sufficient for the production of optical cables on a commercial scale, but at the most for possibly carrying out tests in the production of optical cables and with the cables so obtained.
Dans l'affaire T 1464/05, la chambre a estimé que 200 kg du produit représentaient certes un volume plus important que le petit échantillon initialement livré, mais insuffisant pour produire des câbles optiques à l'échelle commerciale. Un tel volume aurait suffi, au plus, pour effectuer éventuellement des essais lors de la production de câbles optiques et pour tester les câbles ainsi obtenus. La chambre a indiqué que le simple fait qu'un produit a été livré aux fins d'éventuels tests dans le cadre d'une transaction commerciale manifestement ordinaire ne constitue pas en soi, en l'absence d'autres circonstances particulières ou de preuves en ce sens, une condition suffisante pour conclure que la livraison du produit était nécessairement soumise à un accord de confidentialité implicite (voir à cet égard les décisions T 602/91, T 264/99, T 913/01, T 407/03 et T 1510/06). S'agissant de la livraison de 200 kg du produit, il n'y avait en l'espèce aucune indication ni de l'existence d'un accord de confidentialité explicite entre les deux sociétés, ni même d'une relation particulière allant au-delà des rapports ordinaires entre vendeur et acheteur. Comme il a été indiqué dans la décision T 681/01, on ne saurait faire abstraction d'une livraison manifestement effectuée dans le cadre d'une transaction commerciale ordinaire et considérer que les biens livrés n'ont pas été rendus accessibles à un membre du public que s'il existe des circonstances à l'appui d'une relation confidentielle.
In T 1464/05 stellte die Kammer fest, dass 200 kg des Erzeugnisses zwar zweifellos eine größere Menge gewesen seien als die ursprünglich gelieferte kleine Probe, aber für die Herstellung von optischen Kabeln im kommerziellen Maßstab nicht ausreichend gewesen wären, sondern allenfalls für die Durchführung von Versuchen für die Herstellung von optischen Kabeln sowie von Versuchen mit den auf diese Weise hergestellten Kabeln. Die bloße Tatsache, dass ein Erzeugnis möglicherweise für die Durchführung von Versuchen in einem Rahmen geliefert worden sei, der als Ergebnis einer gewöhnlichen geschäftlichen Transaktion erscheine, könne für sich genommen in Ermangelung anderweitiger besonderer Umstände oder entsprechender Beweise den Schluss nicht hinreichend stützen, dass das Erzeugnis zwangsläufig mit der Maßgabe einer impliziten Geheimhaltungsvereinbarung geliefert worden sei (s. diesbezüglich die Entscheidungen T 602/91, T 264/99, T 913/01, T 407/03 und T 1510/06). Unter den besonderen Umständen des vorliegenden Falls und mit Blick auf die Lieferung, die 200 kg des Erzeugnisses umfasste, gab es keinen Anhaltspunkt dafür, dass zwischen den beiden Gesellschaften entweder eine ausdrückliche Geheimhaltungsvereinbarung oder ein besonderes oder außergewöhnliches Verhältnis bestanden hätte, das über die gewöhnliche Beziehung zwischen Käufer und Verkäufer hinausgegangen wäre. Wie es in der Entscheidung T 681/01 heißt: "Den Umständen muss ein Anhaltspunkt für das Vorliegen eines vertraulichen Verhältnisses zu entnehmen sein, wenn eine Lieferung, die als Ergebnis einer gewöhnlichen geschäftlichen Transaktion erscheint, außer Betracht gelassen werden soll, weil die gelieferten Waren damit nicht einem Mitglied der Öffentlichkeit zugänglich gemacht werden".
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In T 929/94, a preliminary examination by the board of the third-party observations and the supporting material showed that an entirely new case based on new facts and evidence had been presented against the patentability of the claimed invention in these observations.
Dans l'affaire T 929/94, l'examen préliminaire, par la chambre, des observations du tiers et des pièces produites à l'appui, a montré qu'une affaire entièrement nouvelle, basée sur de nouveaux faits et preuves, avait été présentée à l'encontre de la brevetabilité de l'invention revendiquée. Afin de préserver le droit du demandeur au réexamen par un recours d'une décision défavorable de la première instance, la chambre a renvoyé l'affaire pour examen de ces nouvelles pièces et décision à leur propos, comme requis par le demandeur.
In der Sache T 929/94 ergab die vorläufige Prüfung der Einwendungen eines Dritten und der vorgelegten Beweismittel durch die Kammer, dass diese Einwendungen aufgrund neuer Tatsachen und Beweismittel ein völlig neues Vorbringen gegen die Patentierbarkeit der beanspruchten Erfindung darstellten. Um das Recht des Anmelders zu wahren, Beschwerde gegen jede abschlägige Entscheidung der ersten Instanz einzulegen, verwies die Kammer den Fall angesichts des neuen Materials zur Prüfung und Entscheidung zurück, wie dies vom Anmelder beantragt worden war.
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Following T 57/84, it was stated in T 254/86 (OJ 1989, 115) that an invention which relied on a substantial and surprising improvement of a particular property did not also need to show advantages over the prior art with regard to other properties relevant to its use, provided the latter were maintained at a reasonable level so that the improvement was not completely offset by disadvantages in other respects to an unacceptable degree or in a manner which contradicted the disclosure of the invention fundamentally (see also T 155/85, OJ 1988, 87).
A la suite de la décision T 57/84, la chambre a déclaré dans la décision T 254/86 (JO 1989, 115) qu'une invention qui repose sur une amélioration substantielle et inattendue apportée à une propriété déterminée ne doit pas nécessairement présenter des avantages par rapport à l'état de la technique en ce qui concerne d'autres propriétés relatives à son utilisation. Il faut cependant que ces dernières subsistent dans une mesure raisonnable, afin que l'amélioration obtenue ne soit pas annulée par des inconvénients intolérables à d'autres égards, ou tels qu'ils contredisent fondamentalement l'exposé de l'invention (cf. également T 155/85, JO 1988, 87). Il n'est donc pas nécessaire qu'une amélioration soit obtenue à tous les égards (T 302/87, T 470/90).
Im Anschluss an T 57/84 wurde in T 254/86 (ABl. 1989, 115) ausgeführt, dass eine Erfindung, die auf einer wesentlichen, überraschenden Verbesserung einer bestimmten Eigenschaft beruht, nicht auch bei anderen Verwendungseigenschaften eine Verbesserung gegenüber dem Stand der Technik aufzuweisen braucht; allerdings dürfen sich diese Eigenschaften nicht so weit verschlechtern, dass die Verbesserung durch unzumutbare Nachteile in anderer Hinsicht völlig aufgehoben wird oder der Offenbarung der Erfindung grundsätzlich zuwiderläuft (s. gleich unten T 155/85). Es ist somit keine Verbesserung in jeder Hinsicht erforderlich (T 302/87, T 470/90).
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In G 3/99 (OJ 2002, 347), the Enlarged Board of Appeal held that an opposition filed in common by two or more persons, which otherwise met the requirements of Art. 99 EPC 1973 (now Art. 99 in conjunction with R. 75 EPC) and Rules 1 and 55 EPC 1973 (now R. 3 and 76 EPC), was admissible on payment of a single opposition fee.
Dans l'affaire G 3/99 (JO 2002, 347), la Grande Chambre de recours a tout d'abord constaté qu'une opposition formée conjointement par deux personnes ou plus et qui répond par ailleurs aux exigences de l'art. 99 CBE 1973 (désormais art. 99 ensemble règle 75 CBE) ainsi que des règles 1 et 55 CBE 1973 (désormais règles 3 et 76 CBE) est recevable sur paiement d'une seule taxe d'opposition. Le paiement de la taxe d'opposition est lié à la formation d'une seule opposition, et non au nombre de personnes qui forment l'opposition. Du point de vue de la procédure, il n'existe aucune différence par rapport à une opposition formée par une seule personne physique, une seule personne morale ou une seule société assimilée à une personne morale en vertu du droit dont elle relève.
In G 3/99 (ABl. 2002, 347) legte die Große Beschwerdekammer zuerst fest, dass ein Einspruch, der von mehreren Personen gemeinsam eingelegt wird und ansonsten den Erfondernissen des Art. 99 EPÜ 1973 (jetzt Art. 99 i. V. m. R. 75 EPÜ) sowie der Regeln 1 und 55 EPÜ 1973 (jetzt R. 3 und R. 76 EPÜ) genügt, zulässig ist, wenn nur eine Einspruchsgebühr entrichtet wird. Die Zahlung der Einspruchsgebühr ist an die Einreichung eines Einspruchs geknüpft und nicht an die Zahl der Personen, die ihn einlegen. Verfahrenstechnisch macht es keinen Unterschied, ob ein Einspruch von einer einzigen natürlichen Person, von einer einzigen juristischen Person oder von einer einzigen Gesellschaft eingelegt wird, die einer juristischen Person nach dem für sie maßgebenden Recht gleichgestellt ist.
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In the ex-parte case T 781/04 the board also stated that an appeal filed via electronic means did not comply with the requirement of Art. 108 EPC 1973 that an appeal must be filed in writing. However, the appellant, who had filed the appeal via electronic means (epoline®), had been misled into believing that the appeal had been duly filed.
Dans l'affaire ex parte T 781/04, la chambre a également estimé qu'un recours formé par voie électronique ne satisfaisait pas à l'exigence prévue par l'art. 108 CBE 1973, selon laquelle le recours doit être formé par écrit. Toutefois, le requérant, dont le recours avait été formé par voie électronique (epoline®), avait été induit en erreur, en étant amené à penser que le recours avait été dûment formé. La chambre a donc considéré que le principe de la bonne foi exigeait que l'erreur du requérant soit rectifiable et que le remède approprié était de faire droit à la requête en restitutio in integrum du requérant.
Auch im Ex-parte-Verfahren T 781/04 stellte die Kammer fest, dass eine Beschwerde, die auf elektronischem Wege eingereicht wird, nicht das Erfordernis in Art. 108 EPÜ 1973 erfüllt, die Beschwerde schriftlich einzulegen. Allerdings war der Beschwerdeführer, der die Beschwerde auf elektronischem Wege (mithilfe von epoline®) eingereicht hatte, zu der Annahme verleitet worden, die Beschwerde sei ordnungsgemäß eingelegt worden. Der Grundsatz des Vertrauensschutzes gebiete es daher, ihm die Möglichkeit zu geben, seinen Irrtum zu korrigieren; die geeignete Abhilfe sei, hinsichtlich des Antrags des Beschwerdeführers die Wiedereinsetzung in den vorigen Stand zuzulassen.
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In W 4/87 (OJ 1988, 425) the board decided that an application for restitutio in integrum could be submitted in cases where the statement of grounds supporting the protest under R. 40.2(c) PCT was submitted late, since Art. 122 EPC 1973 applied in conjunction with Art. 48(2) PCT.
Dans la décision W 4/87 (JO 1988, 425), la chambre a décidé qu'une requête en restitutio in integrum peut être présentée dans le cas où la déclaration indiquant les motifs sur lesquels est fondée la réserve formulée conformément à la règle 40.2 c) PCT est tardive, étant donné que l'art. 122 CBE 1973 est applicable en liaison avec l'art. 48(2) PCT.
In W 4/87 (ABl. 1988, 425) entschied die Kammer, dass ein Antrag auf Wiedereinsetzung auch dann gestellt werden könne, wenn die Begründung für den gemäß R. 40.2 c) PCT eingelegten Widerspruch verspätet eingereicht worden sei, da man Art. 122 EPÜ 1973 i. V. m. Art. 48 (2) PCT anwenden könne.
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