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  CIM Magazine May 2013  
By Simon Rees
Par Simon Rees
  Industry at a glance  
Back in 2010, China imposed taxes and quotas that limited the amount of rare earths for export. The country, which produces more than 90 per cent of the world's REEs, also put restrictions on the enterprises allowed to export rare earths.
En 2010, la Chine avait décidé d'imposer des taxes et des quotas d'exportation sur ses terres rares. La Chine, qui assure à elle seule plus de 90 % de la production mondiale d'ÉTR, impose également des restrictions sur les entreprises autorisées à exporter des terres rares.
  Untangling REE research  
CIM: There are about 17 known REEs. Which specific ones are found in Canada?
ICM : Quels avantages présenterait l’extraction de ce type d’énergie pour les sociétés minières?
  Great Western to mine t...  
Already, China has placed restrictions on the amounts of REEs being sold to external markets. The prediction is that Chinese supply will at best remain flat through 2010. Part of the reason for this, said Billingsley, is that there simply aren’t any new places for China to mine.
La conception initiale ne comportait pas l’extraction des ÉTR; ils sont donc extraits d’empilements en surface. Un seul autre gisement est toutefois devenu un « désastre environnemental » en raison des exploitations illégales. Le gouvernement hésite à rouvrir ce site qu’il vient tout juste de fermer.
  The big thaw  
With China currently controlling about 97 per cent of the world’s supply of REEs, the end of the uranium ban is as much about developing Greenland’s prodigious reserves of REEs as it is about uranium.
Il n’y a donc pas encore de ruée, mais l’intérêt est là. En 2012, un rapport de l’Institut danois de recherche internationale (DIIS) prévoyait que le Groenland pourrait un jour produire jusqu’à 2 000 tonnes d’uranium par année. Les sociétés qui possèdent déjà des intérêts d’exploration ont hâte d’aller de l’avant, notamment parce qu’une bonne portion de l’uranium du Groenland se trouve tout près de réserves de terres rares, dont l’uranium est un sous-produit de production. Puisque la Chine détient actuellement environ 97 pour cent de l’approvisionnement mondial en terres rares, la levée de l’interdiction touchant l’uranium peut entraîner le développement des prodigieuses réserves de terres rares du Groenland autant que de son uranium.
  Rare Earth Elements  
Obtaining a social licence to operate is another fundamentally important dimension of any project, and the EU has very high standards in this area. Therefore, it could be a number of years before Europe can start supplying its own REEs.
La chaîne d’approvisionnement en ÉTR est interdépendante. Les extrants d’une étape sont les intrants de la suivante et c’est ainsi que nous créons des solutions fiables et rentables. Pour réussir, il faut que les spécifications des extrants-intrants techniques et commerciaux et les interfaces soient coordonnées et peut-être même modifiées pour l’efficacité générale de toute la chaîne. Nous qui, en tant que partenaires, alliés et acteurs de l’industrie mondiale, parlons d’échanges et de coopération à l’échelle internationale, nous devons les mettre en œuvre.
  Great Western to mine t...  
The original design did not incorporate the extraction of REEs from the ore, so for the time being, the Chinese operation has a massive stockpile on the surface from which to extract the precious elements.
Si tout va bien et que Hoidas Lake respecte son calendrier, la mine fournira 10 000 tonnes annuellement. Trois autres exploitations australiennes pourraient démarrer en même temps. Cependant, tous ces projets combinés ne dépasseraient pas une production annuelle de 25 000 tonnes, laissant un manque du même ordre de grandeur et annonçant une compétition serrée entre les utilisateurs d’ÉTR pour leur approvisionnement.
  Untangling REE research  
Negeri: All of them. REEs are generally categorized as “heavy” or “light.” The heavies are more valuable [dysprosium, for example], but the lights [neodymium, for example] are also very important. Canada is rich in both.
M. Madiseh : Notre étude démontre que les sites miniers peuvent économiser de 200 000 à 300 000 $ par année en dépenses énergétiques. Et il s’agit là du scénario le plus prudent; les économies varieraient d’une mine à l’autre, selon la quantité de chaleur thermique qu’elle produit et sa facture énergétique actuelle.
  The big thaw  
With China currently controlling about 97 per cent of the world’s supply of REEs, the end of the uranium ban is as much about developing Greenland’s prodigious reserves of REEs as it is about uranium.
Il n’y a donc pas encore de ruée, mais l’intérêt est là. En 2012, un rapport de l’Institut danois de recherche internationale (DIIS) prévoyait que le Groenland pourrait un jour produire jusqu’à 2 000 tonnes d’uranium par année. Les sociétés qui possèdent déjà des intérêts d’exploration ont hâte d’aller de l’avant, notamment parce qu’une bonne portion de l’uranium du Groenland se trouve tout près de réserves de terres rares, dont l’uranium est un sous-produit de production. Puisque la Chine détient actuellement environ 97 pour cent de l’approvisionnement mondial en terres rares, la levée de l’interdiction touchant l’uranium peut entraîner le développement des prodigieuses réserves de terres rares du Groenland autant que de son uranium.
  Untangling REE research  
Born in Ethiopia and trained in mining, mineral processing and extractive metallurgical engineering in Europe, senior mineral processing research engineer Tesfaye Negeri is today leading the physical processing component of a Natural Resources Canada (NRCan) flagship program to expedite the development of Canada’s promising but nascent rare earth elements (REEs) industry.
M. Madiseh : En raison des longs hivers froids du Canada, les mines ont un énorme besoin de préchauffage pour fonctionner, souvent pendant plus de 160 jours par année. On ne peut tirer de l’air d’une température de -30 à -40 °C dans une formation souterraine. Les humains ne peuvent y travailler, et tous les tuyaux, roulements, ouvertures et arbres gèleraient et se briseraient. L’air est donc réchauffé à l’aide d’appareils de chauffage au gaz avant d’être envoyé sous terre, ce qui coûte actuellement une fortune et nécessite des millions de gallons de gaz naturel ou de propane. Nous songeons à faire la même chose à l’aide de l’énergie géothermique extraite de l’eau de mine.
  Great Western to mine t...  
“There are new applications for REEs being developed almost every day,” said Billingsley. Existing applications already include catalytic converters (cerium), any electronic device that needs small, high-powered magnets (neodymium), and LCD monitors (yttrium, europium, and terbium), to name but a few.
Il faut tout d’abord savoir que les éléments des terres rares (ÉTR) ne sont ni des terres ni rares. Le nom a été donné au groupe des lanthanides dont certains éléments sont plus abondants que le plomb. « Le défi n’est pas de les trouver mais de trouver un gisement assez concentré pour être rentable », dit Gary Billingsley, président et directeur financier de Great Western Minerals Group. Il est aussi surprenant de voir à quel point ces éléments sont inconnus étant donné leur grand impact sur notre vie quotidienne.
  Untangling REE research  
Born in Ethiopia and trained in mining, mineral processing and extractive metallurgical engineering in Europe, senior mineral processing research engineer Tesfaye Negeri is today leading the physical processing component of a Natural Resources Canada (NRCan) flagship program to expedite the development of Canada’s promising but nascent rare earth elements (REEs) industry.
M. Madiseh : En raison des longs hivers froids du Canada, les mines ont un énorme besoin de préchauffage pour fonctionner, souvent pendant plus de 160 jours par année. On ne peut tirer de l’air d’une température de -30 à -40 °C dans une formation souterraine. Les humains ne peuvent y travailler, et tous les tuyaux, roulements, ouvertures et arbres gèleraient et se briseraient. L’air est donc réchauffé à l’aide d’appareils de chauffage au gaz avant d’être envoyé sous terre, ce qui coûte actuellement une fortune et nécessite des millions de gallons de gaz naturel ou de propane. Nous songeons à faire la même chose à l’aide de l’énergie géothermique extraite de l’eau de mine.
  Untangling REE research  
Born in Ethiopia and trained in mining, mineral processing and extractive metallurgical engineering in Europe, senior mineral processing research engineer Tesfaye Negeri is today leading the physical processing component of a Natural Resources Canada (NRCan) flagship program to expedite the development of Canada’s promising but nascent rare earth elements (REEs) industry.
M. Madiseh : En raison des longs hivers froids du Canada, les mines ont un énorme besoin de préchauffage pour fonctionner, souvent pendant plus de 160 jours par année. On ne peut tirer de l’air d’une température de -30 à -40 °C dans une formation souterraine. Les humains ne peuvent y travailler, et tous les tuyaux, roulements, ouvertures et arbres gèleraient et se briseraient. L’air est donc réchauffé à l’aide d’appareils de chauffage au gaz avant d’être envoyé sous terre, ce qui coûte actuellement une fortune et nécessite des millions de gallons de gaz naturel ou de propane. Nous songeons à faire la même chose à l’aide de l’énergie géothermique extraite de l’eau de mine.