kna – Traduction – Dictionnaire Keybot

Spacer TTN Translation Network TTN TTN Login Deutsch English Spacer Help
Langues sources Langues cibles
Keybot 7 Résultats  www.saison.ch
  Stufare / Brasare - Cuc...  
La quantità d’acqua dipende dal grado di maturazione della frutta. Più essa è matura, più è ricca d’acqua e quindi meno occorre aggiungerne.
La quantité d’eau doit être adaptée au niveau de maturité des fruits. Plus ils sont mûrs, plus ils contiennent d’eau, et moins il faut en ajouter.
Die Wassermenge richtet sich nach dem Reifegrad der Früchte. Je reifer und je mehr Wasser sie enthalten, desto weniger muss zugefügt werden.
  Birchermüesli di Rolf H...  
banana matura
banane mûre
reife Banane
  Sorbetto fiorito - Rice...  
Il sorbetto può essere preparato anche con altra frutta matura come le albicocche o le ciliege.
Peut aussi être préparé avec d’autres fruits mûrs, p. ex. des abricots ou des cerises.
Kann auch mit andern reifen Früchten zubereitet werden, zum Beispiel mit Aprikosen oder Kirschen.
  Riempire a caldo - Cuci...  
Per la confettura, cuocete la frutta con lo zucchero gelificante, per la composta, con lo sciroppo di zucchero. Per la confettura, utilizzate frutta molto matura, per la composta, frutta un po’ più soda.
Pour la confiture, cuire les fruits avec du sucre gélifiant; pour la compote, les faire pocher dans un sirop de sucre. Choisir des fruits bien mûrs pour la confiture et plus fermes pour la compote. Pocher les légumes dans un fond au vinaigre.
Für Konfitüre Früchte mit Gelierzucker, für Kompott in Zuckersirup kochen. Für Konfitüre sehr reife Früchte wählen, für Kompott eher festere. Gemüse in Essigsud kochen.
  Lemano alla riscossa - ...  
Ora gestisce un ettaro di terreno piantato a merlot, chardonnay, gamay e tempranillo, quale omaggio al periodo trascorso in Portogallo, dove si occupava di un vigneto di ben novanta ettari. Inoltre, vinifica il Trois Helvètes, un assemblaggio di diolinoir, garanoir e galotta, l’unica sua creatura che non matura nelle botti di legno ma nei serbatoi d’acciaio inox.
Q ui veut réussir en viticulture doit posséder un solide savoir. Tous les vignerons ou presque en bénéficient aujourd’hui. Et notamment Christian Guyot, 45 ans, ingénieur agronome de formation. Chargé de cours d’analyse sensorielle et de géographie viticole à la Haute école spécialisée de Changins, il a commencé par vinifier pour deux amis vignerons genevois afin de ne pas perdre le contact avec la pratique. En 2005, outre son activité principale d’enseignant, il a pris à bail une parcelle de vigne et a mis en bouteilles son premier millésime. Entretemps, il exploite 1 hectare, planté de merlot, chardonnay, gamay et nouvellement de tempranillo, en souvenir du temps qu’il a passé au Portugal où il était responsable d’un domaine de 90 hectares. Il cultive en outre les cépages suisses récents que sont le diolinoir, le garanoir et le galotta, qu’il assemble dans son Trois Helvètes, le seul vin de la maison qui ne vieillit pas en fûts de bois mais en cuves. L’année prochaine, Christian Guyot a l’intention de planter du viognier et il s’intéresse aussi à de nouveaux cépages résistants. Peu mais bon, telle est sa devise. Il offre un élevage long à ses vins – tous des crus de gastronomie et complexes que l’on ne savoure qu’en mangeant, comme la plupart des vins genevois – et il travaille selon des méthodes traditionnelles: bâtonnage manuel, c’est-à-dire brassage manuel des lies et levures avec une dodine pour les remettre en suspension, ce qui donne plus de corps et d’expressivité au vin. Par ailleurs, il met tous ses crus en bouteille sans filtration ni collage.
Wer es im Weinbau zu etwas bringen will, braucht fundiertes Wissen. Das hat erst recht Christian Guyot, 45 Jahre alt und Ingenieur-Agronom. Im Hauptberuf arbeitet er als Dozent für Sensorik und Weingeografie an der Fachhochschule Changins. Um nicht den Bezug zur Praxis zu verlieren, vinifizierte er zuerst für zwei Genfer Winzer. 2005 konnte er eine Rebparzelle pachten und seinen ersten eigenen Jahrgang abfüllen. Mittlerweile bearbeitet er eine Hektare, bestockt mit Merlot, Chardonnay, Gamay und Tempranillo. Eine Reverenz an seine Zeit in Portugal, wo er für 90 Hektaren verantwortlich war. Zudem pflegt er die Schweizer Neuzüchtungen Diolinoir, Garanoir und Galotta, vereint sie zum Trois Helvètes, zum einzigen Wein des Hauses, der nicht im Holz, sondern im Tank reift. Nächstes Jahr will Christian Guyot die aromatische, aber seltene Viognier aus den Côtes-du- Rhône pflanzen. Auch neue, resistente Sorten reizen ihn; sie sind kaum anfällig für Pilzkrankheiten und müssen deshalb weniger chemisch behandelt werden. Er lässt seinen Weinen Zeit – ausnahmslos komplexen Gastronomieweinen, die man nur zum Essen trinkt, so wie die meisten Genfer Tropfen –, bedient sich traditioneller Methoden: Er rührt die Hefe von Hand auf, wodurch die Weine mehr Struktur und Ausdruckskraft erhalten. Zudem füllt er alle Säfte unfiltriert und ungeschönt ab.
  Isola in tavola: Zanzib...  
Infatti a Zanzibar maturano almeno venti varietà di banane, grosse, piccole, verdi, gialle, da dessert o da cuocere, che danno un’impronta alla cucina locale. Al mercato Darajani di Stone Town si acquistano a caschi.
Car pas moins de vingt sortes de bananes mûrissent à Zanzibar, des grosses, des petites, des vertes, des jaunes, tantôt à consommer en dessert, tantôt à cuire. Logique, donc, qu’elles soient omniprésentes en cuisine. Au marché de Darajani, à Stone Town, on les achète par régimes entiers. La noix de coco occupe elle aussi une place de choix et donne lieu à des plats raffinés, tels ceux dont on se régale au Restaurant Two Tables. Depuis dix-sept ans, soir après soir, Salim et son épouse Hidaya accueillent les gourmets dans leur grande maison un peu à l’écart de la vieille-ville. Ce soir-là, un jeune couple d’Anglais a pris place à la salle à manger, ainsi que deux femmes médecins hollandaises venues à Zanzibar pour un cours de swahili avant de partir travailler dans un dispensaire de l’arrièrepays tanzanien. Salim ne cesse d’apporter de nouveaux plats, tout en en dévoilant la composition avec un large sourire quelque peu édenté. Détaillant la recette du poisson en sauce coco, l’homme insiste sur un point essentiel: «La noix de coco que l’on râpe pour la sauce doit être âgée d’environ trois mois.» La pulpe râpée est mise à tremper dans de l’eau, puis essorée dans un linge afin d’obtenir un lait particulièrement riche. La sauce coco n’accommode pas seulement le poisson; les bhajia, une variété végétarienne de beignets, sont présentés avec un chutney de noix de coco particulièrement relevé. Ce n’est qu’une fois le dessert servi – des bananes cuites au miel – que l’épouse Hidaya, vêtue d’une robe ondoyante et, en bonne musulmane, la tête couverte d’un foulard, vient recueillir les compliments de la tablée repue et satisfaite.
Der Grund dafür: Auf Sansibar gibt es mindestens 20 verschiedene Bananensorten, grosse, kleine, grüne, gelbe, Dessert- und Kochbananen. Und diese prägen die lokale Küche. Auf dem Darajani-Markt in Stone Town kauft man sie gleich büschelweise. Einen ebenso grossen kulinarischen Stellenwert geniessen Kokosnüsse. Wie man raffiniert mit ihnen kocht, erlebt man im Restaurant Two Tables. Zusammen mit seiner Frau Hidaya bekocht Salim seit 17 Jahren Abend für Abend zahlende Gäste in seinem geräumigen Haus etwas ausserhalb der Altstadt. An den beiden langen Tischen im Esszimmer haben an diesem Abend ein junges englisches Paar und zwei holländische Ärztinnen Platz genommen. Sie absolvieren in Sansibar Town einen Kurs in Swahili, um nachher in einem kleinen Spital im tansanischen Hinterland zu arbeiten. Immer wieder bringt Gastgeber Salim ein neues Gericht herein und verrät mit einem fast zahnlosen Lächeln, was er Feines auftischt. Nach dem Rezept des Fischs auf Kokosnusssauce gefragt, betont er, worauf es wirklich ankomme: «Die Kokosnuss, die man für die Sauce raspelt, sollte reif sein, etwa drei Monate alt.» Das geraffelte Kokosfleisch wird in Wasser eingelegt und nachher durch ein Tuch ausgepresst, um die besonders reichhaltige Milch zu erhalten. Nicht nur der Fisch wird mit Kokossauce gereicht, auch die vegetarischen Bhajia, Falafel-ähnliche Kugeln, kommen in Begleitung eines sehr scharfen Kokosnuss-Chutneys. Erst nachdem das Dessert – in Honig gekochte Bananen – serviert ist, nimmt Köchin Hidaya in wallendem Gewand und als gute Muslimin mit bedecktem Kopf die Komplimente der zufriedenen Gäste entgegen.