ls – Übersetzung – Keybot-Wörterbuch

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Apron XL LS
Tristar 70 WSP
  Structure and propertie...  
A new kind of blend material was prepared by the incorporation of lignosulfonate calcium (LS), as the filler, into biodegradable poly(butylene succinate) (PBS), as the polymeric matrix, with the process of melt mixing and subsequent compression molding.
On a préparé une nouvelle sorte de matériau mixte en incorporant du lignosulfonate de calcium (LS), comme matière de charge, dans du poly (succinate de butène) (PSB) biodégradable, comme matrice polymère, grâce à un procédé de fusion/mélange suivi d’un moulage par compression. La nucléation du LS a amélioré les propriétés cristallines du composant PSB de ces mélanges. Combinés à la nature rigide de la matière de charge LS, les modules de Young des mélanges ont été améliorés. De plus, l’introduction de LS dans le polyester biodégradable a légèrement accru le caractère hydrophile des mélanges, a permis des valeurs plus grandes d’incorporation d’eau à l’équilibre. Ceci pourrait faciliter la biodégradation des polyesters hydrophobes. La présente étude a donc ouvert la voie à une amélioration de la rigidité et à une diminution du coût des matières plastiques biodégradables à base de PSB.
  Structure and propertie...  
A new kind of blend material was prepared by the incorporation of lignosulfonate calcium (LS), as the filler, into biodegradable poly(butylene succinate) (PBS), as the polymeric matrix, with the process of melt mixing and subsequent compression molding.
On a préparé une nouvelle sorte de matériau mixte en incorporant du lignosulfonate de calcium (LS), comme matière de charge, dans du poly (succinate de butène) (PSB) biodégradable, comme matrice polymère, grâce à un procédé de fusion/mélange suivi d’un moulage par compression. La nucléation du LS a amélioré les propriétés cristallines du composant PSB de ces mélanges. Combinés à la nature rigide de la matière de charge LS, les modules de Young des mélanges ont été améliorés. De plus, l’introduction de LS dans le polyester biodégradable a légèrement accru le caractère hydrophile des mélanges, a permis des valeurs plus grandes d’incorporation d’eau à l’équilibre. Ceci pourrait faciliter la biodégradation des polyesters hydrophobes. La présente étude a donc ouvert la voie à une amélioration de la rigidité et à une diminution du coût des matières plastiques biodégradables à base de PSB.
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A new kind of blend material was prepared by the incorporation of lignosulfonate calcium (LS), as the filler, into biodegradable poly(butylene succinate) (PBS), as the polymeric matrix, with the process of melt mixing and subsequent compression molding.
On a préparé une nouvelle sorte de matériau mixte en incorporant du lignosulfonate de calcium (LS), comme matière de charge, dans du poly (succinate de butène) (PSB) biodégradable, comme matrice polymère, grâce à un procédé de fusion/mélange suivi d’un moulage par compression. La nucléation du LS a amélioré les propriétés cristallines du composant PSB de ces mélanges. Combinés à la nature rigide de la matière de charge LS, les modules de Young des mélanges ont été améliorés. De plus, l’introduction de LS dans le polyester biodégradable a légèrement accru le caractère hydrophile des mélanges, a permis des valeurs plus grandes d’incorporation d’eau à l’équilibre. Ceci pourrait faciliter la biodégradation des polyesters hydrophobes. La présente étude a donc ouvert la voie à une amélioration de la rigidité et à une diminution du coût des matières plastiques biodégradables à base de PSB.
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A new kind of blend material was prepared by the incorporation of lignosulfonate calcium (LS), as the filler, into biodegradable poly(butylene succinate) (PBS), as the polymeric matrix, with the process of melt mixing and subsequent compression molding.
On a préparé une nouvelle sorte de matériau mixte en incorporant du lignosulfonate de calcium (LS), comme matière de charge, dans du poly (succinate de butène) (PSB) biodégradable, comme matrice polymère, grâce à un procédé de fusion/mélange suivi d’un moulage par compression. La nucléation du LS a amélioré les propriétés cristallines du composant PSB de ces mélanges. Combinés à la nature rigide de la matière de charge LS, les modules de Young des mélanges ont été améliorés. De plus, l’introduction de LS dans le polyester biodégradable a légèrement accru le caractère hydrophile des mélanges, a permis des valeurs plus grandes d’incorporation d’eau à l’équilibre. Ceci pourrait faciliter la biodégradation des polyesters hydrophobes. La présente étude a donc ouvert la voie à une amélioration de la rigidité et à une diminution du coût des matières plastiques biodégradables à base de PSB.
  Quantification of effec...  
Leaf spotting diseases (LS) in wheat are widespread in western Canada. The most prevalent LS are tan spot and the septoria leaf blotch complex. Near-isogenic lines (NILs) for LS resistance were used to determine the impact of LS on grain yield and market quality of durum wheat.
Les maladies responsables des taches foliaires (TF) chez le blé sont très répandues au Canada. Les plus courantes sont l’helminthosporiose et la septoriose. Des lignées quasi isogéniques (LQI) ont été utilisées, pour leur résistance aux TF, pour déterminer les effets de ces dernières sur les rendements de grain et la qualité commerciale du blé dur. Seize pairs de LQI, sensibles et résistantes aux TF causées principalement par Pyrenophora tritici-repentis (helminthosporiose), ont été évaluées au stade laiteux à deux endroits dans le sud de la Saskatchewan, de 2000 à 2002. L’helminthosporiose était la TF la plus courante. Selon les milieux, il y avait des différences quant à la croissance des plants et à la gravité de la maladie. Toutefois, dans la plupart des cas, les LQI résistantes affichaient le plus faible degré de gravité par rapport aux TF. En général, les LQI résistantes affichaient des rendements plus élevés et des concentrations de protéine plus faibles que les LQI sensibles, bien que les différences entre lignées individuelles ne soient pas toujours significatives. En ce qui concerne les quatre pairs qui, le plus invariablement, ont donné des résultats positifs durant les années les plus propices (2000 et 2002), une réduction de 16,2 % des TF correspondait à des augmentations de 17,2 % du rendement et de 4,6 % du poids d’amandes à Swift Current, tandis qu’une réduction de 5.5 % des TF était associée à des augmentations de 26,6 % du rendement et de 2,8 % du poids d’amandes à Indian Head. Cela montre que, dans la région semi-aride de Swift Current, une réduction plus importante de TF était requise pour obtenir une augmentation du rendement et de la qualité équivalant à celle obtenue dans les régions à plus grand potentiel de rendement comme Indian Head. Chez les LQI résistantes, la teneur en protéine a été réduite de 4,1 % à Swift Current et de 7,6 % à Indian Head, ce qui suggère que des améliorations sur le plan de la résistance aux TF doit s’accompagner d’un programme de sélection visant de plus fortes teneurs en protéines ou des recommandations relatives aux applications d’azote afin de maximiser les rendements.
  Quantification of effec...  
Leaf spotting diseases (LS) in wheat are widespread in western Canada. The most prevalent LS are tan spot and the septoria leaf blotch complex. Near-isogenic lines (NILs) for LS resistance were used to determine the impact of LS on grain yield and market quality of durum wheat.
Les maladies responsables des taches foliaires (TF) chez le blé sont très répandues au Canada. Les plus courantes sont l’helminthosporiose et la septoriose. Des lignées quasi isogéniques (LQI) ont été utilisées, pour leur résistance aux TF, pour déterminer les effets de ces dernières sur les rendements de grain et la qualité commerciale du blé dur. Seize pairs de LQI, sensibles et résistantes aux TF causées principalement par Pyrenophora tritici-repentis (helminthosporiose), ont été évaluées au stade laiteux à deux endroits dans le sud de la Saskatchewan, de 2000 à 2002. L’helminthosporiose était la TF la plus courante. Selon les milieux, il y avait des différences quant à la croissance des plants et à la gravité de la maladie. Toutefois, dans la plupart des cas, les LQI résistantes affichaient le plus faible degré de gravité par rapport aux TF. En général, les LQI résistantes affichaient des rendements plus élevés et des concentrations de protéine plus faibles que les LQI sensibles, bien que les différences entre lignées individuelles ne soient pas toujours significatives. En ce qui concerne les quatre pairs qui, le plus invariablement, ont donné des résultats positifs durant les années les plus propices (2000 et 2002), une réduction de 16,2 % des TF correspondait à des augmentations de 17,2 % du rendement et de 4,6 % du poids d’amandes à Swift Current, tandis qu’une réduction de 5.5 % des TF était associée à des augmentations de 26,6 % du rendement et de 2,8 % du poids d’amandes à Indian Head. Cela montre que, dans la région semi-aride de Swift Current, une réduction plus importante de TF était requise pour obtenir une augmentation du rendement et de la qualité équivalant à celle obtenue dans les régions à plus grand potentiel de rendement comme Indian Head. Chez les LQI résistantes, la teneur en protéine a été réduite de 4,1 % à Swift Current et de 7,6 % à Indian Head, ce qui suggère que des améliorations sur le plan de la résistance aux TF doit s’accompagner d’un programme de sélection visant de plus fortes teneurs en protéines ou des recommandations relatives aux applications d’azote afin de maximiser les rendements.
  Quantification of effec...  
Leaf spotting diseases (LS) in wheat are widespread in western Canada. The most prevalent LS are tan spot and the septoria leaf blotch complex. Near-isogenic lines (NILs) for LS resistance were used to determine the impact of LS on grain yield and market quality of durum wheat.
Les maladies responsables des taches foliaires (TF) chez le blé sont très répandues au Canada. Les plus courantes sont l’helminthosporiose et la septoriose. Des lignées quasi isogéniques (LQI) ont été utilisées, pour leur résistance aux TF, pour déterminer les effets de ces dernières sur les rendements de grain et la qualité commerciale du blé dur. Seize pairs de LQI, sensibles et résistantes aux TF causées principalement par Pyrenophora tritici-repentis (helminthosporiose), ont été évaluées au stade laiteux à deux endroits dans le sud de la Saskatchewan, de 2000 à 2002. L’helminthosporiose était la TF la plus courante. Selon les milieux, il y avait des différences quant à la croissance des plants et à la gravité de la maladie. Toutefois, dans la plupart des cas, les LQI résistantes affichaient le plus faible degré de gravité par rapport aux TF. En général, les LQI résistantes affichaient des rendements plus élevés et des concentrations de protéine plus faibles que les LQI sensibles, bien que les différences entre lignées individuelles ne soient pas toujours significatives. En ce qui concerne les quatre pairs qui, le plus invariablement, ont donné des résultats positifs durant les années les plus propices (2000 et 2002), une réduction de 16,2 % des TF correspondait à des augmentations de 17,2 % du rendement et de 4,6 % du poids d’amandes à Swift Current, tandis qu’une réduction de 5.5 % des TF était associée à des augmentations de 26,6 % du rendement et de 2,8 % du poids d’amandes à Indian Head. Cela montre que, dans la région semi-aride de Swift Current, une réduction plus importante de TF était requise pour obtenir une augmentation du rendement et de la qualité équivalant à celle obtenue dans les régions à plus grand potentiel de rendement comme Indian Head. Chez les LQI résistantes, la teneur en protéine a été réduite de 4,1 % à Swift Current et de 7,6 % à Indian Head, ce qui suggère que des améliorations sur le plan de la résistance aux TF doit s’accompagner d’un programme de sélection visant de plus fortes teneurs en protéines ou des recommandations relatives aux applications d’azote afin de maximiser les rendements.
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Leaf spotting diseases (LS) in wheat are widespread in western Canada. The most prevalent LS are tan spot and the septoria leaf blotch complex. Near-isogenic lines (NILs) for LS resistance were used to determine the impact of LS on grain yield and market quality of durum wheat.
Les maladies responsables des taches foliaires (TF) chez le blé sont très répandues au Canada. Les plus courantes sont l’helminthosporiose et la septoriose. Des lignées quasi isogéniques (LQI) ont été utilisées, pour leur résistance aux TF, pour déterminer les effets de ces dernières sur les rendements de grain et la qualité commerciale du blé dur. Seize pairs de LQI, sensibles et résistantes aux TF causées principalement par Pyrenophora tritici-repentis (helminthosporiose), ont été évaluées au stade laiteux à deux endroits dans le sud de la Saskatchewan, de 2000 à 2002. L’helminthosporiose était la TF la plus courante. Selon les milieux, il y avait des différences quant à la croissance des plants et à la gravité de la maladie. Toutefois, dans la plupart des cas, les LQI résistantes affichaient le plus faible degré de gravité par rapport aux TF. En général, les LQI résistantes affichaient des rendements plus élevés et des concentrations de protéine plus faibles que les LQI sensibles, bien que les différences entre lignées individuelles ne soient pas toujours significatives. En ce qui concerne les quatre pairs qui, le plus invariablement, ont donné des résultats positifs durant les années les plus propices (2000 et 2002), une réduction de 16,2 % des TF correspondait à des augmentations de 17,2 % du rendement et de 4,6 % du poids d’amandes à Swift Current, tandis qu’une réduction de 5.5 % des TF était associée à des augmentations de 26,6 % du rendement et de 2,8 % du poids d’amandes à Indian Head. Cela montre que, dans la région semi-aride de Swift Current, une réduction plus importante de TF était requise pour obtenir une augmentation du rendement et de la qualité équivalant à celle obtenue dans les régions à plus grand potentiel de rendement comme Indian Head. Chez les LQI résistantes, la teneur en protéine a été réduite de 4,1 % à Swift Current et de 7,6 % à Indian Head, ce qui suggère que des améliorations sur le plan de la résistance aux TF doit s’accompagner d’un programme de sélection visant de plus fortes teneurs en protéines ou des recommandations relatives aux applications d’azote afin de maximiser les rendements.
  Quantification of effec...  
Leaf spotting diseases (LS) in wheat are widespread in western Canada. The most prevalent LS are tan spot and the septoria leaf blotch complex. Near-isogenic lines (NILs) for LS resistance were used to determine the impact of LS on grain yield and market quality of durum wheat.
Les maladies responsables des taches foliaires (TF) chez le blé sont très répandues au Canada. Les plus courantes sont l’helminthosporiose et la septoriose. Des lignées quasi isogéniques (LQI) ont été utilisées, pour leur résistance aux TF, pour déterminer les effets de ces dernières sur les rendements de grain et la qualité commerciale du blé dur. Seize pairs de LQI, sensibles et résistantes aux TF causées principalement par Pyrenophora tritici-repentis (helminthosporiose), ont été évaluées au stade laiteux à deux endroits dans le sud de la Saskatchewan, de 2000 à 2002. L’helminthosporiose était la TF la plus courante. Selon les milieux, il y avait des différences quant à la croissance des plants et à la gravité de la maladie. Toutefois, dans la plupart des cas, les LQI résistantes affichaient le plus faible degré de gravité par rapport aux TF. En général, les LQI résistantes affichaient des rendements plus élevés et des concentrations de protéine plus faibles que les LQI sensibles, bien que les différences entre lignées individuelles ne soient pas toujours significatives. En ce qui concerne les quatre pairs qui, le plus invariablement, ont donné des résultats positifs durant les années les plus propices (2000 et 2002), une réduction de 16,2 % des TF correspondait à des augmentations de 17,2 % du rendement et de 4,6 % du poids d’amandes à Swift Current, tandis qu’une réduction de 5.5 % des TF était associée à des augmentations de 26,6 % du rendement et de 2,8 % du poids d’amandes à Indian Head. Cela montre que, dans la région semi-aride de Swift Current, une réduction plus importante de TF était requise pour obtenir une augmentation du rendement et de la qualité équivalant à celle obtenue dans les régions à plus grand potentiel de rendement comme Indian Head. Chez les LQI résistantes, la teneur en protéine a été réduite de 4,1 % à Swift Current et de 7,6 % à Indian Head, ce qui suggère que des améliorations sur le plan de la résistance aux TF doit s’accompagner d’un programme de sélection visant de plus fortes teneurs en protéines ou des recommandations relatives aux applications d’azote afin de maximiser les rendements.
  Flux Footprints in the ...  
We investigated the flux footprints of receptors at different heights in the convective boundary layer (CBL). The footprints were derived using a forward Lagrangian stochastic (LS) method coupled with the turbulent fields from a large-eddy simulation model.
Nous avons étudié les empreintes de flux de capteurs placés à des altitudes différentes dans la couche limite convective (CLC). Nous avons obtenu ces empreintes au moyen d’une méthode stochastique lagrangienne (SL) progressive couplée aux champs turbulents d’un modèle de simulation de tourbillons forts. Nous avons obtenu des empreintes de flux intégrées aux vents latéraux en fonction de la distance vers l’amont et de l’altitude des capteurs dans la CLC, et les avons comparées au moyen de deux méthodes SL de simulation de particules : un rejet instantané et un rejet continu linéaire dans des vents latéraux. À presque toutes les altitudes dans la CLC, il y a une empreinte de flux positif important près du capteur en amont, ainsi qu’une empreinte de flux négatif faible plus loin en amont, la bande de transition ayant une largeur entre 1,5 et 2,0 approximativement, en distances sans dimension dans le sens contraire du vent. Nous avons également simulé des empreintes de flux bidimensionnelles (2D) pour un capteur ponctuel. Avec un capteur placé à une hauteur égale à 0,158 zi, où zi est l’épaisseur de la CLC, nous avons constaté qu’une empreinte de flux positif important suivait une empreinte de flux négatif faible dans la direction vers l’amont. Deux empreintes de flux positif encore plus faible étaient également présentes de chaque côté de l’axe des empreintes, ce dernier ayant subi une légère rotation par rapport à la direction du vent géostrophique. Au moyen d’une mise à l’échelle de la CLC, nous avons normalisé l’empreinte 2D pour faire voir les zones des sources, et l’avons utilisée avec des paramètres réels basés sur des mesures effectuées au moyen d’aéronefs. Avec une vitesse moyenne du vent U dans la CLC de 5,1 ms-1, une vitesse de convection w de 1,37 ms-1, une profondeur zi de 1000 m pour la CLC et une altitude de 159 m au-dessus de la surface pour le vol, nous avons estimé que l’empreinte de flux totale s’étalait de 0,1 à 4,5 km environ du côté amont quand le vent était perpendiculaire au trajet de l’aéronef. Quand le vent était parallèle au trajet, l’empreinte totale s’étalait approximativement sur 0,5 km d’un côté du trajet, et sur 0,8 km de l’autre côté.
  Effect of different cra...  
The effect of cranberry extracts and juices during cranberry juice processing on the antiproliferative properties against colon cancer cells was investigated. Two colon cancer cell lines HT-29 and LS-513 were treated with different concentrations of cranberry phenolic extracts from fruits, puree, depectinised puree and pomace and different concentration of three juices (raw, filtered and concentrated juices).
Nous avons étudié l’effet des extraits et des jus de canneberge durant la préparation du jus de canneberge sur les propriétés antiprolifératives à l’égard des cellules de cancer colique. Nous avons traité deux lignées de cellules de cancer colique HT‑29 et LS‑513 au moyen de différentes concentrations d’extraits phénoliques de canneberge issus des fruits, de la purée, de la purée dépectinée et du marc, et au moyen de différentes concentrations de trois types de jus (brut, filtré et concentré). Les extraits phénoliques étaient constitués de composés phénoliques hydrosolubles, de composés phénoliques apolaires et d’anthocyanes. Nous avons analysé les effets de ces extraits phénoliques et des jus sur deux lignées cellulaires, à pH 2,5 (pH naturel du jus) et à pH 7,0 (pH physiologique). Tous les jus et les extraits de canneberge pouvaient inhiber la croissance des deux lignées cellulaires avec des CI50 (concentration de composés phénoliques requise pour inhiber 50 % de la croissance des cellules cancéreuses) situées entre 3,8 et 179,2 μg d’équivalent d’acide gallique/mL. Nous avons observé qu’à pH 7,0, ce sont trois types d’extrait de fruit qui ont inhibé le plus efficacement la croissance des cellules HT‑29. Les extraits contenant des anthocyanes provenant du fruit et du marc ont été respectivement les plus et les moins efficaces pour inhiber la croissance des deux lignées de cellules cancéreuses. De plus, trois jus à pH naturel (pH 2,5) ont inhibé plus efficacement la croissance des deux lignées cellulaires par comparaison aux jus à pH 7,0. Ce sont les jus concentrés aux deux valeurs de pH qui ont inhibé le plus efficacement les deux lignées de cellules cancéreuses par comparaison aux deux autres types de jus.
  Quantification of effec...  
Leaf spotting diseases (LS) in wheat are widespread in western Canada. The most prevalent LS are tan spot and the septoria leaf blotch complex. Near-isogenic lines (NILs) for LS resistance were used to determine the impact of LS on grain yield and market quality of durum wheat.
Les maladies responsables des taches foliaires (TF) chez le blé sont très répandues au Canada. Les plus courantes sont l’helminthosporiose et la septoriose. Des lignées quasi isogéniques (LQI) ont été utilisées, pour leur résistance aux TF, pour déterminer les effets de ces dernières sur les rendements de grain et la qualité commerciale du blé dur. Seize pairs de LQI, sensibles et résistantes aux TF causées principalement par Pyrenophora tritici-repentis (helminthosporiose), ont été évaluées au stade laiteux à deux endroits dans le sud de la Saskatchewan, de 2000 à 2002. L’helminthosporiose était la TF la plus courante. Selon les milieux, il y avait des différences quant à la croissance des plants et à la gravité de la maladie. Toutefois, dans la plupart des cas, les LQI résistantes affichaient le plus faible degré de gravité par rapport aux TF. En général, les LQI résistantes affichaient des rendements plus élevés et des concentrations de protéine plus faibles que les LQI sensibles, bien que les différences entre lignées individuelles ne soient pas toujours significatives. En ce qui concerne les quatre pairs qui, le plus invariablement, ont donné des résultats positifs durant les années les plus propices (2000 et 2002), une réduction de 16,2 % des TF correspondait à des augmentations de 17,2 % du rendement et de 4,6 % du poids d’amandes à Swift Current, tandis qu’une réduction de 5.5 % des TF était associée à des augmentations de 26,6 % du rendement et de 2,8 % du poids d’amandes à Indian Head. Cela montre que, dans la région semi-aride de Swift Current, une réduction plus importante de TF était requise pour obtenir une augmentation du rendement et de la qualité équivalant à celle obtenue dans les régions à plus grand potentiel de rendement comme Indian Head. Chez les LQI résistantes, la teneur en protéine a été réduite de 4,1 % à Swift Current et de 7,6 % à Indian Head, ce qui suggère que des améliorations sur le plan de la résistance aux TF doit s’accompagner d’un programme de sélection visant de plus fortes teneurs en protéines ou des recommandations relatives aux applications d’azote afin de maximiser les rendements.
  Quantification of effec...  
Leaf spotting diseases (LS) in wheat are widespread in western Canada. The most prevalent LS are tan spot and the septoria leaf blotch complex. Near-isogenic lines (NILs) for LS resistance were used to determine the impact of LS on grain yield and market quality of durum wheat.
Les maladies responsables des taches foliaires (TF) chez le blé sont très répandues au Canada. Les plus courantes sont l’helminthosporiose et la septoriose. Des lignées quasi isogéniques (LQI) ont été utilisées, pour leur résistance aux TF, pour déterminer les effets de ces dernières sur les rendements de grain et la qualité commerciale du blé dur. Seize pairs de LQI, sensibles et résistantes aux TF causées principalement par Pyrenophora tritici-repentis (helminthosporiose), ont été évaluées au stade laiteux à deux endroits dans le sud de la Saskatchewan, de 2000 à 2002. L’helminthosporiose était la TF la plus courante. Selon les milieux, il y avait des différences quant à la croissance des plants et à la gravité de la maladie. Toutefois, dans la plupart des cas, les LQI résistantes affichaient le plus faible degré de gravité par rapport aux TF. En général, les LQI résistantes affichaient des rendements plus élevés et des concentrations de protéine plus faibles que les LQI sensibles, bien que les différences entre lignées individuelles ne soient pas toujours significatives. En ce qui concerne les quatre pairs qui, le plus invariablement, ont donné des résultats positifs durant les années les plus propices (2000 et 2002), une réduction de 16,2 % des TF correspondait à des augmentations de 17,2 % du rendement et de 4,6 % du poids d’amandes à Swift Current, tandis qu’une réduction de 5.5 % des TF était associée à des augmentations de 26,6 % du rendement et de 2,8 % du poids d’amandes à Indian Head. Cela montre que, dans la région semi-aride de Swift Current, une réduction plus importante de TF était requise pour obtenir une augmentation du rendement et de la qualité équivalant à celle obtenue dans les régions à plus grand potentiel de rendement comme Indian Head. Chez les LQI résistantes, la teneur en protéine a été réduite de 4,1 % à Swift Current et de 7,6 % à Indian Head, ce qui suggère que des améliorations sur le plan de la résistance aux TF doit s’accompagner d’un programme de sélection visant de plus fortes teneurs en protéines ou des recommandations relatives aux applications d’azote afin de maximiser les rendements.
  Effects of Foliar-Appli...  
The net photosynthetic rate (An), carboxylation efficiency (CE), maximum carboxylation velocity of Rubisco (Vcmax), chlorophyll (Chl) content and stomatal limitation (Ls) were higher in 800 mg L-1 exogenous glutamic acid treatment than in control.
Nous avons mesuré les variations diurnes des paramètres d’échange gazeux et de fluorescence chlorophyllienne (CF) chez une aubépine (Crataegus pinnatifida Bunge), six jours après l’application foliaire de 0, 200, 400 et 800 mg L-1 d’acide L glutamique (Glu), lequel traitement pourrait affecter le métabolisme des flavonoïdes. Le taux de photosynthèse nette (An), le rendement de carboxylation (CE), la vitesse maximale de carboxylation de la Rubisco (Vcmax), la teneur en chlorophylle (Chl) et la limitation stomatique (Ls) étaient plus élevés dans le cas de l’application de 800 mg L-1 de Glu exogène que dans le cas du traitement témoin. L’application de 800 mg L-1 de Glu a toujours fait augmenter l’An, particulièrement à midi. Une dépression de l’An est survenue à mi-journée dans le cas de tous les traitements, mais cette dépression était moins prononcée dans le cas de l’application de 800 mg L-1 de Glu que dans le cas du traitement témoin. Le transport d’électrons par centre de réaction actif (ET0/RC) était semblable pour tous les traitements, y compris le témoin, mais la fluorescence maximale (Fm), le rendement quantique maximal du photosystème II (PSII) (Fv/Fm), le rendement quantique potentiel du PSII (Fv/Fo), le rendement quantique maximal du PSII après adaptation à l’obscurité (ΦPo), ainsi que la probabilité qu’un photon absorbé déplace un électron sur la chaîne de transport d’électrons au-delà du point QA (ΦEo) étaient significativement plus élevés avec l’application de 800 mg L-1 de Glu qu’avec le traitement témoin. L’application de 800 mg L-1 de Glu a amélioré l’absorption d’énergie par centre de réaction actif (ABS/RC) et la capture d’énergie par centre de réaction actif (TR0/RC) du PSII, ce qui a eu pour effet d’accroître les rendements de conversion d’énergie et de conversion d’électrons et de réduire la dissipation d’énergie par centre de réaction actif (DI0/RC). Nos résultats semblent indiquer que l’application de Glu peut améliorer le rendement photosynthétique et la capacité de capture d’énergie des pigments accessoires pour le transport photochimique d’électrons ainsi que réduire la photo-inhibition.
  Quantification of effec...  
Leaf spotting diseases (LS) in wheat are widespread in western Canada. The most prevalent LS are tan spot and the septoria leaf blotch complex. Near-isogenic lines (NILs) for LS resistance were used to determine the impact of LS on grain yield and market quality of durum wheat.
Les maladies responsables des taches foliaires (TF) chez le blé sont très répandues au Canada. Les plus courantes sont l’helminthosporiose et la septoriose. Des lignées quasi isogéniques (LQI) ont été utilisées, pour leur résistance aux TF, pour déterminer les effets de ces dernières sur les rendements de grain et la qualité commerciale du blé dur. Seize pairs de LQI, sensibles et résistantes aux TF causées principalement par Pyrenophora tritici-repentis (helminthosporiose), ont été évaluées au stade laiteux à deux endroits dans le sud de la Saskatchewan, de 2000 à 2002. L’helminthosporiose était la TF la plus courante. Selon les milieux, il y avait des différences quant à la croissance des plants et à la gravité de la maladie. Toutefois, dans la plupart des cas, les LQI résistantes affichaient le plus faible degré de gravité par rapport aux TF. En général, les LQI résistantes affichaient des rendements plus élevés et des concentrations de protéine plus faibles que les LQI sensibles, bien que les différences entre lignées individuelles ne soient pas toujours significatives. En ce qui concerne les quatre pairs qui, le plus invariablement, ont donné des résultats positifs durant les années les plus propices (2000 et 2002), une réduction de 16,2 % des TF correspondait à des augmentations de 17,2 % du rendement et de 4,6 % du poids d’amandes à Swift Current, tandis qu’une réduction de 5.5 % des TF était associée à des augmentations de 26,6 % du rendement et de 2,8 % du poids d’amandes à Indian Head. Cela montre que, dans la région semi-aride de Swift Current, une réduction plus importante de TF était requise pour obtenir une augmentation du rendement et de la qualité équivalant à celle obtenue dans les régions à plus grand potentiel de rendement comme Indian Head. Chez les LQI résistantes, la teneur en protéine a été réduite de 4,1 % à Swift Current et de 7,6 % à Indian Head, ce qui suggère que des améliorations sur le plan de la résistance aux TF doit s’accompagner d’un programme de sélection visant de plus fortes teneurs en protéines ou des recommandations relatives aux applications d’azote afin de maximiser les rendements.
  Quantification of effec...  
Leaf spotting diseases (LS) in wheat are widespread in western Canada. The most prevalent LS are tan spot and the septoria leaf blotch complex. Near-isogenic lines (NILs) for LS resistance were used to determine the impact of LS on grain yield and market quality of durum wheat.
Les maladies responsables des taches foliaires (TF) chez le blé sont très répandues au Canada. Les plus courantes sont l’helminthosporiose et la septoriose. Des lignées quasi isogéniques (LQI) ont été utilisées, pour leur résistance aux TF, pour déterminer les effets de ces dernières sur les rendements de grain et la qualité commerciale du blé dur. Seize pairs de LQI, sensibles et résistantes aux TF causées principalement par Pyrenophora tritici-repentis (helminthosporiose), ont été évaluées au stade laiteux à deux endroits dans le sud de la Saskatchewan, de 2000 à 2002. L’helminthosporiose était la TF la plus courante. Selon les milieux, il y avait des différences quant à la croissance des plants et à la gravité de la maladie. Toutefois, dans la plupart des cas, les LQI résistantes affichaient le plus faible degré de gravité par rapport aux TF. En général, les LQI résistantes affichaient des rendements plus élevés et des concentrations de protéine plus faibles que les LQI sensibles, bien que les différences entre lignées individuelles ne soient pas toujours significatives. En ce qui concerne les quatre pairs qui, le plus invariablement, ont donné des résultats positifs durant les années les plus propices (2000 et 2002), une réduction de 16,2 % des TF correspondait à des augmentations de 17,2 % du rendement et de 4,6 % du poids d’amandes à Swift Current, tandis qu’une réduction de 5.5 % des TF était associée à des augmentations de 26,6 % du rendement et de 2,8 % du poids d’amandes à Indian Head. Cela montre que, dans la région semi-aride de Swift Current, une réduction plus importante de TF était requise pour obtenir une augmentation du rendement et de la qualité équivalant à celle obtenue dans les régions à plus grand potentiel de rendement comme Indian Head. Chez les LQI résistantes, la teneur en protéine a été réduite de 4,1 % à Swift Current et de 7,6 % à Indian Head, ce qui suggère que des améliorations sur le plan de la résistance aux TF doit s’accompagner d’un programme de sélection visant de plus fortes teneurs en protéines ou des recommandations relatives aux applications d’azote afin de maximiser les rendements.
  Quantification of effec...  
Leaf spotting diseases (LS) in wheat are widespread in western Canada. The most prevalent LS are tan spot and the septoria leaf blotch complex. Near-isogenic lines (NILs) for LS resistance were used to determine the impact of LS on grain yield and market quality of durum wheat.
Les maladies responsables des taches foliaires (TF) chez le blé sont très répandues au Canada. Les plus courantes sont l’helminthosporiose et la septoriose. Des lignées quasi isogéniques (LQI) ont été utilisées, pour leur résistance aux TF, pour déterminer les effets de ces dernières sur les rendements de grain et la qualité commerciale du blé dur. Seize pairs de LQI, sensibles et résistantes aux TF causées principalement par Pyrenophora tritici-repentis (helminthosporiose), ont été évaluées au stade laiteux à deux endroits dans le sud de la Saskatchewan, de 2000 à 2002. L’helminthosporiose était la TF la plus courante. Selon les milieux, il y avait des différences quant à la croissance des plants et à la gravité de la maladie. Toutefois, dans la plupart des cas, les LQI résistantes affichaient le plus faible degré de gravité par rapport aux TF. En général, les LQI résistantes affichaient des rendements plus élevés et des concentrations de protéine plus faibles que les LQI sensibles, bien que les différences entre lignées individuelles ne soient pas toujours significatives. En ce qui concerne les quatre pairs qui, le plus invariablement, ont donné des résultats positifs durant les années les plus propices (2000 et 2002), une réduction de 16,2 % des TF correspondait à des augmentations de 17,2 % du rendement et de 4,6 % du poids d’amandes à Swift Current, tandis qu’une réduction de 5.5 % des TF était associée à des augmentations de 26,6 % du rendement et de 2,8 % du poids d’amandes à Indian Head. Cela montre que, dans la région semi-aride de Swift Current, une réduction plus importante de TF était requise pour obtenir une augmentation du rendement et de la qualité équivalant à celle obtenue dans les régions à plus grand potentiel de rendement comme Indian Head. Chez les LQI résistantes, la teneur en protéine a été réduite de 4,1 % à Swift Current et de 7,6 % à Indian Head, ce qui suggère que des améliorations sur le plan de la résistance aux TF doit s’accompagner d’un programme de sélection visant de plus fortes teneurs en protéines ou des recommandations relatives aux applications d’azote afin de maximiser les rendements.
  Transposable elements i...  
Whole genome comparative analysis of the recently sequenced strains VdLs.17 and VaMs.102 revealed that non-random insertions of transposable elements (TEs) have contributed to the generation of four lineage-specific (LS) regions in VdLs.17.
Contexte. Le Verticillium dahliae (Vd) et le Verticillium albo-atrum (Va) sont des champignons cosmopolites du sol qui causent des maladies vasculaires hautement perturbatrices chez un vaste éventail de plantes cultivées. À ce jour, aucun stade sexuel n’a été identifié chez l’un ou l’autre de ces microorganismes, ce qui laisse supposer que les mutations somatiques sont une cause importante de la diversité génétique. L’analyse comparative des génomes entiers des souches VdLs.17 et VaMs.102 qui ont été séquencés récemment a révélé que des insertions non aléatoires d’éléments transposables ont contribué à générer quatre régions spécifiques de la lignée (LS, lineage specific) chez la souche VdLs.17. Résultats. Nous présentons ici l’analyse détaillée des rétrotransposons de Classe I et des éléments d’ADN « copiés-collés » de Classe II découverts dans les génomes de Verticillium. Nous discutons également de leur distribution dans d’autres isolats de Vd et de Va provenant de différentes régions géographiques. Chez la souche VdLs.17, nous avons trouvé et caractérisé 56 rétrotransposons complets de type Gypsy-, Copia- ou LINE (éléments dispersés longs), ainsi que 34 éléments complets des superfamilles « copiés-collés » Tc1/mariner, Activator et Mutator. Si les éléments transposables Copia et Tc1/mariner étaient présents en multiples copies identiques, les séquences Activator et Mutator étaient hautement divergentes. La plupart des éléments comprenaient des ORF complets et des EST appariées, et étaient activement transcrits après un traitement causant un stress. Nous n’avons trouvé de signes de mutations ponctuelles induites par des répétitions (RIP) que dans certains rétroéléments de type Gypsy. Même si les transposons de type Copia-, Gypsy- et Tc1/mariner étaient nombreux, nous avons observé une grande diversité d’éléments mobiles chez les autres souches de Verticillium étudiées. Enfin, aucun élément transposable complet ou incomplet de type « copié-collé » n’a été trouvé chez la souche VaMs.102. Conclusions. Les transposons de type Copia-, Gypsy- et Tc1/mariner sont les éléments transposables (ET) les plus répandus chez les phytopathogènes V. dahliae et V. albo-atrum. Chez le VdLs.17, nous avons identifié plusieurs rétroéléments et transposons de type « copiés-collés » encore potentiellement actifs. Certains d’entre eux se sont diversifiés et ont ensuite été amplifiés de manière sélective après leur introgression dans le génome fongique. D’autres, comme les élém
  Flux Footprints in the ...  
We investigated the flux footprints of receptors at different heights in the convective boundary layer (CBL). The footprints were derived using a forward Lagrangian stochastic (LS) method coupled with the turbulent fields from a large-eddy simulation model.
Nous avons étudié les empreintes de flux de capteurs placés à des altitudes différentes dans la couche limite convective (CLC). Nous avons obtenu ces empreintes au moyen d’une méthode stochastique lagrangienne (SL) progressive couplée aux champs turbulents d’un modèle de simulation de tourbillons forts. Nous avons obtenu des empreintes de flux intégrées aux vents latéraux en fonction de la distance vers l’amont et de l’altitude des capteurs dans la CLC, et les avons comparées au moyen de deux méthodes SL de simulation de particules : un rejet instantané et un rejet continu linéaire dans des vents latéraux. À presque toutes les altitudes dans la CLC, il y a une empreinte de flux positif important près du capteur en amont, ainsi qu’une empreinte de flux négatif faible plus loin en amont, la bande de transition ayant une largeur entre 1,5 et 2,0 approximativement, en distances sans dimension dans le sens contraire du vent. Nous avons également simulé des empreintes de flux bidimensionnelles (2D) pour un capteur ponctuel. Avec un capteur placé à une hauteur égale à 0,158 zi, où zi est l’épaisseur de la CLC, nous avons constaté qu’une empreinte de flux positif important suivait une empreinte de flux négatif faible dans la direction vers l’amont. Deux empreintes de flux positif encore plus faible étaient également présentes de chaque côté de l’axe des empreintes, ce dernier ayant subi une légère rotation par rapport à la direction du vent géostrophique. Au moyen d’une mise à l’échelle de la CLC, nous avons normalisé l’empreinte 2D pour faire voir les zones des sources, et l’avons utilisée avec des paramètres réels basés sur des mesures effectuées au moyen d’aéronefs. Avec une vitesse moyenne du vent U dans la CLC de 5,1 ms-1, une vitesse de convection w de 1,37 ms-1, une profondeur zi de 1000 m pour la CLC et une altitude de 159 m au-dessus de la surface pour le vol, nous avons estimé que l’empreinte de flux totale s’étalait de 0,1 à 4,5 km environ du côté amont quand le vent était perpendiculaire au trajet de l’aéronef. Quand le vent était parallèle au trajet, l’empreinte totale s’étalait approximativement sur 0,5 km d’un côté du trajet, et sur 0,8 km de l’autre côté.