lg – -Translation – Keybot Dictionary

Spacer TTN Translation Network TTN TTN Login Deutsch Français Spacer Help
Source Languages Target Languages
Keybot 10 Results  www5.agr.gc.ca
  Effects of partially re...  
Cows were fed the control diet (CON: 45% barley silage, 5% alfalfa hay, and 50% concentrate mix), a low forage (LF) diet or a low grain (LG) diet, in which barley silage or barley grain was replaced by DDGS at 20% of dietary dry matter, respectively.
Les drêches et solubles de distillerie séchés (DSDS) ont été couramment utilisés comme source de protéines dans l’alimentation des vaches laitières en lactation. Toutefois, nous savons très peu de choses sur leur utilisation comme produit de remplacement partiel du fourrage ou du grain. L’objectif des travaux présentés ici était de déterminer les effets du remplacement partiel de l’orge ensilée ou de l’orge-grain par des DSDS de maïs/blé sur la consommation de matière sèche, l’activité masticatoire, la fermentation ruminale et la production de lait. Nous avons utilisé six vaches Holstein en lactation pourvues d’une canule ruminale dans un dispositif en carré latin 3 x 3 répété avec des périodes de 21 jours. Les vaches ont reçu une ration témoin (groupe témoin : 45 % d’orge ensilée, 5 % de foin de luzerne et 50 % d’un mélange concentré) ou encore une ration à faible composante de fourrage (groupe FF) ou une ration à faible composante de grain (groupe FG) dans lesquelles l’orge ensilée ou l’orge-grain ont été remplacées par des DSDS à raison de 20 % de la matière sèche alimentaire, respectivement. Toutes les rations contenaient 18 % de protéines brutes et ont été données aux vaches comme des rations totales mélangées. Par comparaison aux vaches témoins, nous avons mesuré, chez les vaches du groupe FF, des valeurs supérieures de consommation de matière sèche (26,0 contre 22,4 kg/j), de rendements en lait (36,4 contre 33,0 kg/j), de protéines du lait (1,18 contre 1,05 kg/j) et de lactose du lait (1,63 contre 1,46 kg/j), mais le rendement en matières grasses du lait n’a pas été changé. La ration FF a entraîné une baisse du temps de mastication par comparaison à la ration témoin (29,7 contre 39,1 min/kg de la consommation de matière sèche), mais n’a pas changé le pH ruminal, ni la période pendant laquelle le pH ruminal est demeuré sous 5,8. Par comparaison à ce que nous avons observé chez le groupe témoin, la ration FG a eu tendance à augmenter les valeurs minimum et maximum du pH ruminal, mais elle n’a pas changé la consommation de matière sèche, le rendement en lait et la composition du lait dans ces travaux. Nos résultats indiquent que le remplacement partiel de l’orge ensilée par des DSDS peut améliorer la productivité des vaches laitières en lactation, sans nuire à la fermentation ruminale ou à la production de matières grasses du lait. L’orge-grain peut aussi être partiellement remplacée par des DSDS dans la ration des vaches laitières en lactation sans n
  Effects of partially re...  
Cows were fed the control diet (CON: 45% barley silage, 5% alfalfa hay, and 50% concentrate mix), a low forage (LF) diet or a low grain (LG) diet, in which barley silage or barley grain was replaced by DDGS at 20% of dietary dry matter, respectively.
Les drêches et solubles de distillerie séchés (DSDS) ont été couramment utilisés comme source de protéines dans l’alimentation des vaches laitières en lactation. Toutefois, nous savons très peu de choses sur leur utilisation comme produit de remplacement partiel du fourrage ou du grain. L’objectif des travaux présentés ici était de déterminer les effets du remplacement partiel de l’orge ensilée ou de l’orge-grain par des DSDS de maïs/blé sur la consommation de matière sèche, l’activité masticatoire, la fermentation ruminale et la production de lait. Nous avons utilisé six vaches Holstein en lactation pourvues d’une canule ruminale dans un dispositif en carré latin 3 x 3 répété avec des périodes de 21 jours. Les vaches ont reçu une ration témoin (groupe témoin : 45 % d’orge ensilée, 5 % de foin de luzerne et 50 % d’un mélange concentré) ou encore une ration à faible composante de fourrage (groupe FF) ou une ration à faible composante de grain (groupe FG) dans lesquelles l’orge ensilée ou l’orge-grain ont été remplacées par des DSDS à raison de 20 % de la matière sèche alimentaire, respectivement. Toutes les rations contenaient 18 % de protéines brutes et ont été données aux vaches comme des rations totales mélangées. Par comparaison aux vaches témoins, nous avons mesuré, chez les vaches du groupe FF, des valeurs supérieures de consommation de matière sèche (26,0 contre 22,4 kg/j), de rendements en lait (36,4 contre 33,0 kg/j), de protéines du lait (1,18 contre 1,05 kg/j) et de lactose du lait (1,63 contre 1,46 kg/j), mais le rendement en matières grasses du lait n’a pas été changé. La ration FF a entraîné une baisse du temps de mastication par comparaison à la ration témoin (29,7 contre 39,1 min/kg de la consommation de matière sèche), mais n’a pas changé le pH ruminal, ni la période pendant laquelle le pH ruminal est demeuré sous 5,8. Par comparaison à ce que nous avons observé chez le groupe témoin, la ration FG a eu tendance à augmenter les valeurs minimum et maximum du pH ruminal, mais elle n’a pas changé la consommation de matière sèche, le rendement en lait et la composition du lait dans ces travaux. Nos résultats indiquent que le remplacement partiel de l’orge ensilée par des DSDS peut améliorer la productivité des vaches laitières en lactation, sans nuire à la fermentation ruminale ou à la production de matières grasses du lait. L’orge-grain peut aussi être partiellement remplacée par des DSDS dans la ration des vaches laitières en lactation sans n
  Effects of glycerol on ...  
Eight ruminally cannulated Simmental steers (450 ± 12 kg) were used in a replicated 4 × 4 Latin Square arrangement of treatments with experimental period of 21 days long. The treatments were: control (without glycerol), LG, MG and HG with 100, 200 and 300 g glycerol per head per day, respectively.
Dans l’étude présentée ici, nous avons évalué les effets d’un supplément de glycérol sur la fermentation ruminale, l’excrétion urinaire de dérivés puriques et la digestibilité des aliments dans le tube digestif de bouvillons. Nous avons utilisé pour ces travaux huit bouvillons Simmental (450 ± 12 kg) pourvus d’une canule ruminale; nous avons appliqué un dispositif de traitements en carré latin répété 4 × 4, avec des périodes expérimentales de 21 jours. Les traitements se caractérisaient comme suit : témoin (sans glycérol), faible apport de glycérol (FG : 100 g de glycérol par animal par jour), apport moyen de glycérol (MG : 200 g de glycérol par animal par jour) et apport élevé de glycérol (EG : 300 g de glycérol par animal par jour). La ration se composait de 60 % de canne de maïs et de 40 % de concentré (en proportion de la matière sèche). La consommation de matière sèche (moyenne : 9 kg/jour) a été limitée à un maximum de 90 % de la consommation à volonté. Le pH ruminal (intervalle de 6,58 à 6,23) a baissé de façon linéaire (P < 0,05), tandis que la concentration d’acides gras volatils totaux (intervalle : de 93,40 à 99,61 mM) a augmenté de façon linéaire (P < 0,03) avec l’augmentation de l’apport en glycérol. Le rapport acétate/propionate a baissé de façon linéaire (P < 0,02), passant, avec l’augmentation de l’apport de glycérol, de 4,56 à 3,64 en raison de l’augmentation de la production de propionate. La dégradation ruminale in situ des fibres au détergent neutre de la canne de maïs s’est améliorée, mais la dégradabilité des protéines brutes du mélange concentré a diminué avec l’augmentation de l’apport de glycérol. L’excrétion urinaire de dérivés puriques a changé de façon quadratique (P < 0,02) avec le changement de l’apport de glycérol (témoin : 65,0 mmol/jour; FG : 65,7 mmol/jour; MG : 71,1 mmol/jour; EG : 67,2 mmol/jour). De même, la digestibilité de la matière organique, des fibres au détergent neutre et des protéines brutes dans le tube digestif a aussi augmenté de façon linéaire avec l’augmentation de l’apport de glycérol. Ces résultats permettent de penser qu’un supplément de glycérol pourrait vraisemblablement améliorer la fermentation ruminale en entraînant l’augmentation de la production de propionate et de la digestibilité des aliments dans le tube digestif des bovins de boucherie. Le glycérol stimulerait les microorganismes du rumen ou les enzymes digestives en proportion de la dose. Dans les conditions expérimentales de ces travaux, l
  Effects of glycerol on ...  
Eight ruminally cannulated Simmental steers (450 ± 12 kg) were used in a replicated 4 × 4 Latin Square arrangement of treatments with experimental period of 21 days long. The treatments were: control (without glycerol), LG, MG and HG with 100, 200 and 300 g glycerol per head per day, respectively.
Dans l’étude présentée ici, nous avons évalué les effets d’un supplément de glycérol sur la fermentation ruminale, l’excrétion urinaire de dérivés puriques et la digestibilité des aliments dans le tube digestif de bouvillons. Nous avons utilisé pour ces travaux huit bouvillons Simmental (450 ± 12 kg) pourvus d’une canule ruminale; nous avons appliqué un dispositif de traitements en carré latin répété 4 × 4, avec des périodes expérimentales de 21 jours. Les traitements se caractérisaient comme suit : témoin (sans glycérol), faible apport de glycérol (FG : 100 g de glycérol par animal par jour), apport moyen de glycérol (MG : 200 g de glycérol par animal par jour) et apport élevé de glycérol (EG : 300 g de glycérol par animal par jour). La ration se composait de 60 % de canne de maïs et de 40 % de concentré (en proportion de la matière sèche). La consommation de matière sèche (moyenne : 9 kg/jour) a été limitée à un maximum de 90 % de la consommation à volonté. Le pH ruminal (intervalle de 6,58 à 6,23) a baissé de façon linéaire (P < 0,05), tandis que la concentration d’acides gras volatils totaux (intervalle : de 93,40 à 99,61 mM) a augmenté de façon linéaire (P < 0,03) avec l’augmentation de l’apport en glycérol. Le rapport acétate/propionate a baissé de façon linéaire (P < 0,02), passant, avec l’augmentation de l’apport de glycérol, de 4,56 à 3,64 en raison de l’augmentation de la production de propionate. La dégradation ruminale in situ des fibres au détergent neutre de la canne de maïs s’est améliorée, mais la dégradabilité des protéines brutes du mélange concentré a diminué avec l’augmentation de l’apport de glycérol. L’excrétion urinaire de dérivés puriques a changé de façon quadratique (P < 0,02) avec le changement de l’apport de glycérol (témoin : 65,0 mmol/jour; FG : 65,7 mmol/jour; MG : 71,1 mmol/jour; EG : 67,2 mmol/jour). De même, la digestibilité de la matière organique, des fibres au détergent neutre et des protéines brutes dans le tube digestif a aussi augmenté de façon linéaire avec l’augmentation de l’apport de glycérol. Ces résultats permettent de penser qu’un supplément de glycérol pourrait vraisemblablement améliorer la fermentation ruminale en entraînant l’augmentation de la production de propionate et de la digestibilité des aliments dans le tube digestif des bovins de boucherie. Le glycérol stimulerait les microorganismes du rumen ou les enzymes digestives en proportion de la dose. Dans les conditions expérimentales de ces travaux, l
  Impact of Stocking Rate...  
We employed a randomized complete block design with three replications and four grazing treatments (nongrazed exclosure [Control]), lightly grazed [LG], moderately grazed [MG], and heavily grazed [HG]) by sheep in a continuously grazed system (June to November), to test the effect of stocking rate on sheep performance.
Le rendement de la production animale, indicateur essentiel des systèmes de production herbagère, est fortement tributaire des précipitations et des taux de chargement de bétail. Ces relations ont été examinées de plus près dans la région de steppe désertique aride du nord-est de la Chine. Les essais ont été réalisés en blocs complets randomisés et comportaient trois répétitions et quatre traitements en système de pâturage continu (de juin à novembre) par des moutons : absence de pâturage assuré par un exlos (témoin), pâturage léger (PL), pâturage modéré (PM) et pâturage intense (PI). Le but visé était d’étudier les effets du taux de chargement sur la production ovine. Les taux de chargement planifiés étaient de 0, de 0,15, de 0,30 et de 0,45 mouton ha-1 mois-1 pour le traitement témoin et les traitements PL, PM et PI, respectivement. Les taux de chargement réels ont cependant été calculés pour chaque enclos et chaque année en fonction d’un équivalent de mouton (EM) de 50 kg. La production primaire annuelle nette (PPAN) a été établie au moment de la récolte sur pied maximale, d’août 2004 à 2008. On a calculé le gain de poids vif pour les périodes estivales et automnales de même que pour l’ensemble de la période de pâturage, pour chaque année. La PPAN a diminué avec l’augmentation du taux de chargement, et le gain de poids vif quotidien par tête a diminué linéairement avec l’augmentation des taux de chargement pour l’ensemble de la période de pâturage, mais suivant une relation quadratique pour la période estivale avec atteinte d’un plateau aux taux inférieurs. La production ovine maximale par unité de surface pour l’ensemble de la saison de pâturage a été enregistrée à environ 2 EM ha-1 pour une période de pâturage d’environ 5 mois, mais on a prédit que les gains individuels par mouton diminueraient après environ 1 EM ha-1, probablement en raison de limites liées au pâturage. Toutefois, pour assurer une production annelle stable, nous recommandons que la steppe désertique soit soumise à un pâturage d’environ 0,77 EM ha-1 pendant une période de 5 mois (0,15 EM ha-1 mois-1). Cette estimation se fonde sur des stratégies de pâturage publiées tenant compte d’une PPAN moyenne et d’un taux d’utilisation recommandé de 30 %.
  Impact of Stocking Rate...  
We employed a randomized complete block design with three replications and four grazing treatments (nongrazed exclosure [Control]), lightly grazed [LG], moderately grazed [MG], and heavily grazed [HG]) by sheep in a continuously grazed system (June to November), to test the effect of stocking rate on sheep performance.
Le rendement de la production animale, indicateur essentiel des systèmes de production herbagère, est fortement tributaire des précipitations et des taux de chargement de bétail. Ces relations ont été examinées de plus près dans la région de steppe désertique aride du nord-est de la Chine. Les essais ont été réalisés en blocs complets randomisés et comportaient trois répétitions et quatre traitements en système de pâturage continu (de juin à novembre) par des moutons : absence de pâturage assuré par un exlos (témoin), pâturage léger (PL), pâturage modéré (PM) et pâturage intense (PI). Le but visé était d’étudier les effets du taux de chargement sur la production ovine. Les taux de chargement planifiés étaient de 0, de 0,15, de 0,30 et de 0,45 mouton ha-1 mois-1 pour le traitement témoin et les traitements PL, PM et PI, respectivement. Les taux de chargement réels ont cependant été calculés pour chaque enclos et chaque année en fonction d’un équivalent de mouton (EM) de 50 kg. La production primaire annuelle nette (PPAN) a été établie au moment de la récolte sur pied maximale, d’août 2004 à 2008. On a calculé le gain de poids vif pour les périodes estivales et automnales de même que pour l’ensemble de la période de pâturage, pour chaque année. La PPAN a diminué avec l’augmentation du taux de chargement, et le gain de poids vif quotidien par tête a diminué linéairement avec l’augmentation des taux de chargement pour l’ensemble de la période de pâturage, mais suivant une relation quadratique pour la période estivale avec atteinte d’un plateau aux taux inférieurs. La production ovine maximale par unité de surface pour l’ensemble de la saison de pâturage a été enregistrée à environ 2 EM ha-1 pour une période de pâturage d’environ 5 mois, mais on a prédit que les gains individuels par mouton diminueraient après environ 1 EM ha-1, probablement en raison de limites liées au pâturage. Toutefois, pour assurer une production annelle stable, nous recommandons que la steppe désertique soit soumise à un pâturage d’environ 0,77 EM ha-1 pendant une période de 5 mois (0,15 EM ha-1 mois-1). Cette estimation se fonde sur des stratégies de pâturage publiées tenant compte d’une PPAN moyenne et d’un taux d’utilisation recommandé de 30 %.
  Effects of glycerol on ...  
Thirty-six multiparous cows, blocked by lactation number, previous 305 day mature equivalent milk production and expected calving date, were arranged into four groups in a randomized block design. Treatments were: control (without glycerol), glycerol-low (LG), glycerol-medium (MG) and glycerol-high (HG) with 100, 200 and 300 g glycerol per cow per day, respectively.
L’objectif des travaux présentés ici était d’évaluer les effets d’un supplément alimentaire de glycérol sur la consommation de nourriture, le rendement en lait et la composition du lait ainsi que sur les métabolites sanguins et le bilan énergétique de vaches laitières Holstein en lactation depuis 4 à 63 jours (jours de lactation). Nous avons réparti 36 vaches multipares, d’après le nombre de lactations, l’équivalent adulte antérieur de production de lait à 305 jours et la date de vêlage prévue, en 4 groupes suivant un dispositif en bloc aléatoire. Les traitements étaient : témoin (sans glycérol), faible apport de glycérol (GF), apport moyen de glycérol (GM) et apport élevé de glycérol (GE), soit, respectivement, 100, 200 et 300 g de glycérol par vache par jour. Le glycérol de qualité alimentaire ajouté aux rations (0,998 g/g) était mélangé à la main dans le premier tiers supérieur de la ration quotidienne. Les vaches ont eu accès à volonté à une ration totale mélangée composée en proportions égales de fourrage et de concentré. La consommation de nourriture, le rendement en lait et la composition du lait n’ont pas été changés par le glycérol ajouté. Le bilan énergétique, correspondant à la différence entre l'apport net et la dépense nette d'énergie (énergie nette d’entretien + énergie nette de lactation) et exprimé en MJ par vache par jour, a augmenté (P < 0,04) avec l’augmentation de l’apport de glycérol, surtout durant les premiers 17 jours et les derniers 20 jours de la période de 63 jours. Chez les vaches ayant reçu un apport de glycérol, nous avons constaté une tendance (P < 0,06) vers une moindre baisse du poids corporel, surtout durant les premiers 17 jours et les derniers 20 jours de la période de 63 jours. La concentration plasmatique de glucose était plus élevée chez les vaches qui ont reçu du glycérol que chez les vaches témoins (54,1 mg/dL par comparaison à 58,1 mg/dL) et s’est accrue de façon linéaire (P < 0,01) avec l’augmentation de l’apport de glycérol. Les concentrations d'acides gras non estérifiés, de bêta-hydroxybutyrate et de cétones urinaires étaient moins élevées chez les vaches recevant du glycérol aux jours 7, 14 et 21 de la lactation et ont baissé de façon linéaire (P < 0,01) avec l’augmentation de l’apport de glycérol. Même si le rendement en lait et la consommation de nourriture n'ont pas changé, les vaches recevant un apport de glycérol avaient un bilan énergétique plus positif (concentration plasmatique de glucose supérieure e
  Pyramided QTL underlyin...  
QPRR-1 (anchored in the interval of SSR markers Satt325 and Satt343 of LG F), QPRR-2 (anchored in the interval of Satt005 and Satt600 of LG D1b+w), and QPRR-3 (anchored in the interval of Satt579 and Sat_089 of LG D1b+w) derived their beneficial allele from ‘Conrad’.
En Amérique du Nord, la pourriture phytophthoréenne (PP) du soja (Glycine max (L.) Merr.) est la deuxième cause de perte de rendement attribuable à la maladie, le nématode à kystes étant la première (Wrather et al. in Can J Plant Pathol 23:115-121, 2001). La tolérance est un moyen de lutte contre la maladie qui peut être utile, sur le plan économique, le soja tolérant étant partiellement résistant à la PP. Dans les travaux présentés ici, nous avons cherché à identifier de nouveaux locus de caractères quantitatifs (QTL) associés à la tolérance à la PP et nous avons évalué les effets de locus empilés, ou en pyramide, sur le degré de tolérance. Pour ce faire, nous avons croisé un cultivar nord américain, ‘Conrad’, tolérant à la PP, avec un cultivar du nord est de la Chine, ‘Hefeng 25’, tolérant à la PP. Par filiation unipare, nous avons produit 140 lignées pures recombinantes F2:5 et 2:6. En tout, nous avons utilisé 164 microsatellites marqueurs pour élaborer une carte de liaisons génétiques. Pendant 2 ans (2007 et 2008), nous avons mesuré la mortalité des plantules au champ dans quatre lieux naturellement infectés, au Canada et en Chine, après une nouvelle infection du sol, et, en serre, après inoculation d’un isolat de Phytophthora sojae. En tout, nous avons trouvé huit QTL de tolérance à la PP, dans cinq groupes de liaison (F, D1b+w, A2, B1 et C2). La variation phénotypique attribuable aux locus allait de 4,24 à 27,98 %. ‘Conrad’ a fourni l’allèle bénéfique de QPRR 1 (situé dans l’intervalle borné par les microsatellites marqueurs Satt325 et Satt343 du groupe de liaison F), de QPRR 2 (situé dans l’intervalle borné par les marqueurs Satt005 et Satt600 du groupe de liaison D1b+w) et de QPRR 3 (situé dans l’intervalle borné par les marqueurs Satt579 et Sat_089 du groupe de liaison D1b+w). Ils se trouvaient à des emplacements chromosomiques associés à la tolérance à la PP dans du matériel génétique de différentes origines. Nous avons trouvé cinq QTL dont les allèles bénéfiques provenaient de ‘Hefeng 25’. Les QTL (QPRR 1 à QPRR 7) que nous avons trouvés dans au moins trois des milieux étudiés ont été retenus pour l’empilement de locus ainsi que pour l’analyse de la relation entre le nombre de locus de tolérance et les pertes causées par la maladie. L’accumulation de locus de tolérance s’est révélée être en corrélation positive avec la baisse des pertes dues à la maladie. La pyramide de locus associés à la tolérance à la PP a permis de fournir du matériel génét
  Comparative Mapping of ...  
Seven pairs of oat near-isogenic lines (NILs) (Kibite in Crop Sci 41:277–278, 2001) contrasting for the Dw6 dwarfing gene were used to test for correlation between tall/dwarf phenotype and polymorphic genotype using restriction fragment length polymorphism (RFLP) and other molecular markers selected from the Kanota × Ogle (K×O) (Wight et al. in Genome 46:28–47, 2003) and Terra × Marion (De Koeyer et al. in Theor Appl Genet 108:1285–1298, 2004) recombination maps. This strategy located the Dw6/dw6 locus to a small chromosomal region on K×O linkage group (LG) KO33, near or at a putative RFLP locus aco245z.
Nous avons utilisé sept paires de lignées quasi-isogéniques d’avoine (NIL, pour near-isogenic lines) [Kibite, in Crop Sci 41:277–278, 2001) contrastées pour le caractère de nanisme codé par le gène Dw6 pour vérifier la corrélation entre le phénotype normal/nain et le génotype polymorphe à l’aide du polymorphisme de longueur des fragments de restriction (RFLP) et des marqueurs moléculaires choisis dans les cartes de recombinaison de Kanota × Ogle (K×O) (Wight et al. in Genome 46:28–47, 2003) et de Terra × Marion (De Koeyer et al. in Theor Appl Genet 108:1285–1298, 2004). Cette stratégie nous a permis de déterminer l’emplacement du locus Dw6/dw6 dans une petite région chromosomique du groupe de liaison K×O, KO33, près du locus RFLP présumé aco245z ou à ce locus. Le marqueur Aco245z et d’autres marqueurs flanquants étroitement liés peuvent être utiles dans la sélection assistée par marqueurs, et plusieurs d’entre eux nous ont servi à préparer des marqueurs PCR. Le génotypage par RFLP des NIL Dw6 a révélé que 13 des 14 lignées présentaient une homologie maternelle ou paternelle pour une grande région du génome près du locus Dw6/dw6, un résultat inattendu dans des NIL. Le clone d’ADNc aco245 code la sous-unité H d’une ATPase à protons vacuolaire, un gène candidat pour le nanisme Dw6. Les ATPases à protons vacuolaires jouent un rôle crucial dans la croissance et le développement des plantes. Une mutation dans la sous-unité C (det3) de ces enzymes entraîne le nanisme chez Arabidopsis thaliana (Schumacher et al. in Genes Dev 13:3259–3270, 1999).Le locus Aco245 permet de concevoir des marqueurs de diagnostic précis pour la sélection assistée par marqueurs du gène Dw6. Les NIL Dw6 peuvent servir à étudier le rôle des ATPases à protons vacuolaires dans la croissance et le développement des plantes.
  Pyramided QTL underlyin...  
QPRR-1 (anchored in the interval of SSR markers Satt325 and Satt343 of LG F), QPRR-2 (anchored in the interval of Satt005 and Satt600 of LG D1b+w), and QPRR-3 (anchored in the interval of Satt579 and Sat_089 of LG D1b+w) derived their beneficial allele from ‘Conrad’.
En Amérique du Nord, la pourriture phytophthoréenne (PP) du soja (Glycine max (L.) Merr.) est la deuxième cause de perte de rendement attribuable à la maladie, le nématode à kystes étant la première (Wrather et al. in Can J Plant Pathol 23:115-121, 2001). La tolérance est un moyen de lutte contre la maladie qui peut être utile, sur le plan économique, le soja tolérant étant partiellement résistant à la PP. Dans les travaux présentés ici, nous avons cherché à identifier de nouveaux locus de caractères quantitatifs (QTL) associés à la tolérance à la PP et nous avons évalué les effets de locus empilés, ou en pyramide, sur le degré de tolérance. Pour ce faire, nous avons croisé un cultivar nord américain, ‘Conrad’, tolérant à la PP, avec un cultivar du nord est de la Chine, ‘Hefeng 25’, tolérant à la PP. Par filiation unipare, nous avons produit 140 lignées pures recombinantes F2:5 et 2:6. En tout, nous avons utilisé 164 microsatellites marqueurs pour élaborer une carte de liaisons génétiques. Pendant 2 ans (2007 et 2008), nous avons mesuré la mortalité des plantules au champ dans quatre lieux naturellement infectés, au Canada et en Chine, après une nouvelle infection du sol, et, en serre, après inoculation d’un isolat de Phytophthora sojae. En tout, nous avons trouvé huit QTL de tolérance à la PP, dans cinq groupes de liaison (F, D1b+w, A2, B1 et C2). La variation phénotypique attribuable aux locus allait de 4,24 à 27,98 %. ‘Conrad’ a fourni l’allèle bénéfique de QPRR 1 (situé dans l’intervalle borné par les microsatellites marqueurs Satt325 et Satt343 du groupe de liaison F), de QPRR 2 (situé dans l’intervalle borné par les marqueurs Satt005 et Satt600 du groupe de liaison D1b+w) et de QPRR 3 (situé dans l’intervalle borné par les marqueurs Satt579 et Sat_089 du groupe de liaison D1b+w). Ils se trouvaient à des emplacements chromosomiques associés à la tolérance à la PP dans du matériel génétique de différentes origines. Nous avons trouvé cinq QTL dont les allèles bénéfiques provenaient de ‘Hefeng 25’. Les QTL (QPRR 1 à QPRR 7) que nous avons trouvés dans au moins trois des milieux étudiés ont été retenus pour l’empilement de locus ainsi que pour l’analyse de la relation entre le nombre de locus de tolérance et les pertes causées par la maladie. L’accumulation de locus de tolérance s’est révélée être en corrélation positive avec la baisse des pertes dues à la maladie. La pyramide de locus associés à la tolérance à la PP a permis de fournir du matériel génét