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  Efficacy of CONTANS®WG ...  
will increase the efficacy of the biocontrol; iii) waterlogged soil conditions (-1 kPa) limit the activity of the
augmentent l'efficacité de la lutte biologique; iii) des conditions de sols engorgés (-1 kPa) limite l'activité de
  Efficacy of CONTANS®WG ...  
Results obtained in laboratory trials comparing the efficacy of Contans®WG in organic versus mineral soil, suggest that: i) under controlled conditions (20°C) and at water tensions between  -7 and -15 kPa, the activity of
Lors des essais en laboratoire, les résultats obtenus en ce qui a trait à l'efficacité relative du Contans®WG dans les sols organiques et dans les sols minéraux démontrent que : i) dans des conditions contrôlées (20 °C) et à des pressions d'eau variant entre -7 et -15 kPa, l'activité de
  ATP-regulation of antio...  
Litchi fruits were vacuum-infiltrated with distiled water (control), 1 mM adenosine triphosphate (ATP) and 0.5 mM 2,4-dinitrophenol (DNP) under 75 kPa for 3 min before being inoculated with Peronophythora litchi or not.
Nous avons étudié l’incidence du niveau d’énergie sur les propriétés antioxydantes en rapport avec le brunissement du péricarpe et la perte de résistance aux maladies chez le litchi. Nous avons traité des litchis par infiltration sous vide d’eau distillée (témoin), d’adénosine-triphosphate (ATP) 1 mM ou de 2,4 dinitrophénol (DNP) 0,5 mM sous une pression de 75 kPa pendant 3 min avant de les inoculer ou non avec Peronophythora litchi. Les enzymes antioxydantes, notamment la catalase (CAT), la superoxyde dismutase (SOD) et l’ascorbate peroxydase (APX), des fruits traités à l’ATP présentaient des activités plus élevées. Nous avons également observé des valeurs plus élevées du pouvoir chélateur du 1,1-diphényl-2-picrylhydrazyle (DPPH) et du pouvoir réducteur ainsi qu’une teneur plus élevée en composés phénoliques chez les fruits traités à l’ATP durant l’entreposage. Au contraire, le traitement au DNP réduisait les activités enzymatiques, le pouvoir chélateur et la teneur en composés phénoliques. Les systèmes antioxydants enzymatiques et non enzymatiques étaient plus actifs dans les fruits inoculés avec P. litchi. Les traitement à l’ATP et au DNP entraînaient des changements et effets similaires chez les fruits inoculés. Lorsqu’on les compare aux concentrations d’ATP déjà signalées, les résultats indiquent que les concentrations d’ATP pourraient réguler les systèmes antioxydants. Une réserve d’énergie suffisante est cruciale chez le litchi cultivé pour inhiber le brunissement et prévenir la perte de résistance aux maladies.
  The effect of temperatu...  
Temperature altered the LOL in fruit. Apples stored at 20, 10, 3.5 and 0 °C spiked at 0.72, 0.33, 0.22 and 0.08 kPa O2, respectively, under a rapid O2 decline (i.e., 20.9 to <1 kPa O2 in ≈5-6 h). Although the low-O2 Fα spike apex values did not change with temperature, the spike intensity increased with temperature due to a reduced fluorescence baseline.
Nous avons étudié les effets de la température, de l’intervalle de balayage et du taux de diminution de l’oxygène (O2) sur la fluorescence minimale (Fα) à modulation de fréquence des impulsions (PFM) et sur la limite inférieure de la concentration d’oxygène (LIO) basée sur la Fα avec des pommes ‘Honeycrisp’ (Malus x domestica Borkh). Nous avons également étudié les effets de la température et du stress hypoxique sur les paramètres de fluorescence par modulation d’amplitude des impulsions (PAM). L’intervalle de balayage en PFM n’avait pas d’effet sur la Fα de base, mais une augmentation de l’intervalle de balayage diminuait l’intensité du pic de fluorescence induite par une faible concentration d’O2 (ΔFα). La température était corrélée négativement avec la Fα de base, alors que le ΔFα °C-1 était plus élevé à plus faible température. Avec un fluorimètre PAM, la fluorescence minimale (Fo), et dans une moindre mesure, la fluorescence maximale (Fm) étaient aussi influencées par la température, comme la Fα en fluorimétrie PFM. La température modifiait la LIO dans les fruits. Les pommes entreposées à 20, 10, 3,5 et 0 °C étaient à l’origine de pics de fluorescence à 0,72, 0,33, 0,22 et 0,08 kPa de O2, respectivement, au cours d’une réduction rapide de O2. (c. à d. de 20,9 à < 1 kPa de O2 en ~5 6 h). Les valeurs correspondant au sommet des pics de la Fα en présence d’une faible concentration de O2 ne variaient pas avec la température, mais l’intensité des pics augmentait avec la température à cause de la réduction de la fluorescence de base. Un taux plus faible de diminution de O2 se traduisait par des valeurs légèrement plus élevées de LIO et par des pics de plus faible intensité. En conclusion, la température et le taux de diminution de O2 avaient un effet sur l’intensité des pics de fluorescence PFM induite par les faibles concentrations de O2 et sur la LIO, alors que l’intervalle de balayage PFM avait un effet sur l’intensité des pics.
  The effect of temperatu...  
Temperature altered the LOL in fruit. Apples stored at 20, 10, 3.5 and 0 °C spiked at 0.72, 0.33, 0.22 and 0.08 kPa O2, respectively, under a rapid O2 decline (i.e., 20.9 to <1 kPa O2 in ≈5-6 h). Although the low-O2 Fα spike apex values did not change with temperature, the spike intensity increased with temperature due to a reduced fluorescence baseline.
Nous avons étudié les effets de la température, de l’intervalle de balayage et du taux de diminution de l’oxygène (O2) sur la fluorescence minimale (Fα) à modulation de fréquence des impulsions (PFM) et sur la limite inférieure de la concentration d’oxygène (LIO) basée sur la Fα avec des pommes ‘Honeycrisp’ (Malus x domestica Borkh). Nous avons également étudié les effets de la température et du stress hypoxique sur les paramètres de fluorescence par modulation d’amplitude des impulsions (PAM). L’intervalle de balayage en PFM n’avait pas d’effet sur la Fα de base, mais une augmentation de l’intervalle de balayage diminuait l’intensité du pic de fluorescence induite par une faible concentration d’O2 (ΔFα). La température était corrélée négativement avec la Fα de base, alors que le ΔFα °C-1 était plus élevé à plus faible température. Avec un fluorimètre PAM, la fluorescence minimale (Fo), et dans une moindre mesure, la fluorescence maximale (Fm) étaient aussi influencées par la température, comme la Fα en fluorimétrie PFM. La température modifiait la LIO dans les fruits. Les pommes entreposées à 20, 10, 3,5 et 0 °C étaient à l’origine de pics de fluorescence à 0,72, 0,33, 0,22 et 0,08 kPa de O2, respectivement, au cours d’une réduction rapide de O2. (c. à d. de 20,9 à < 1 kPa de O2 en ~5 6 h). Les valeurs correspondant au sommet des pics de la Fα en présence d’une faible concentration de O2 ne variaient pas avec la température, mais l’intensité des pics augmentait avec la température à cause de la réduction de la fluorescence de base. Un taux plus faible de diminution de O2 se traduisait par des valeurs légèrement plus élevées de LIO et par des pics de plus faible intensité. En conclusion, la température et le taux de diminution de O2 avaient un effet sur l’intensité des pics de fluorescence PFM induite par les faibles concentrations de O2 et sur la LIO, alors que l’intervalle de balayage PFM avait un effet sur l’intensité des pics.
  A laboratory assessment...  
This study identified insecticides that would be recommended for tier II field evaluations for an integrated pest management program. Commercially formulated insecticides were applied with a thin-layer chromatography sprayer adjusted to 10.34 kPa (1.5 psi), at the recommended label concentrations in Canada.
Nous avons eu recours à une version modifiée de la méthode des disques foliaires excisés pour évaluer les effets de six insecticides sur les œufs, les larves, les adultes et la fécondité de l’acarien Galendromus occidentalis (Nesbitt) en présence de conditions d’exposition extrême en laboratoire. Cette étude a permis d’identifier les insecticides susceptibles de faire l’objet d’une évaluation de niveau 2 sur le terrain en vue d’une utilisation à des fins de lutte intégrée. Des formulations commerciales des insecticides ont été appliquées aux concentrations recommandées sur l’étiquette au Canada à l’aide d’un vaporisateur pour chromatographie sur couche mince réglé à 10,34 kPa (1.5 lb/po₋2). Les valeurs de CL50 ont été estimées à partir de valeurs aliquotes supérieures et inférieures à ces concentrations. Le spinetoram et le spirotetramat se sont révélés toxiques aux concentrations recommandées sur l’étiquette. La concentration recommandée sur l’étiquette était 34,3 fois supérieure à la CL50 estimée (0,006 g L-1) dans le cas du spinetoram et 7,7 fois supérieure à la CL50 estimée (0,03 g L-1) dans celui du spirotetramat. La clothianidine s’est révélée nettement moins toxique, la concentration recommandée sur l’étiquette s’établissant à 0,15 fois la CL50 estimée (2,29 g L-1). Les CL50 du novaluron et du chlorantraniliprole n’ont pu être déterminées. Ces deux produits se sont révélés légèrement toxiques pour au moins un stade de développement du prédateur. La compatibilité du novaluron, de la clothianidine et du chlorantraniliprole avec les programmes de lutte intégrée devrait être évaluée sur le terrain. Le flubendiamide s’est révélé non toxique pour tous les stades de développement du prédateur. Nous recommandons donc son utilisation dans le cadre des programmes de lutte intégrée, sans évaluation additionnelle de niveau 2 sur le terrain. Les évaluations sur le terrain du spinetoram et du spirotetramat devraient se poursuivre seulement si les produits de remplacement ne sont pas disponibles.
  The Interaction Effect ...  
Previous studies have shown that the fry color of stored potatoes (Solanum tuberosum L.) can be negatively affected by an interaction between elevated CO2 (2 kPa) and ethylene gas (0.5 µL·L-1) from various sources.
Des études antérieures ont révélé que la couleur des frites obtenues à partir de pommes de terre (Solanum tuberosum L.) entreposées peut être affectée par une interaction entre les concentrations élevées de CO2 (2 kPa) et d’éthylène (0,5 µL·L-1) provenant de sources diverses. Nous avons réalisé deux essais consécutifs, durant chacune des saisons d’entreposage 2006 et 2007, afin d’étudier les effets de diverses concentrations des deux gaz. Chaque année, nous avons exposé des tubercules de ‘Russet Burbank’ à 0, 0,5, 1,0 ou 2,0 kPa de CO2 ainsi qu’à 0, 0,25 ou 0,5 µL·L-1 d’éthylène, selon un plan factoriel, durant 9 semaines. Les essais ayant débuté en janvier 2006 et en janvier 2007 visaient des tubercules dormants, tandis que ceux ayant débuté en avril 2006 et en avril 2007 visaient des tubercules non dormants. Nous avons évalué la couleur des frites obtenues avec des tubercules prélevés au début de chaque essai puis à intervalles de 3 semaines. Dans le cadre de tous les essais, les tubercules exposés aux diverses concentrations de CO2 mais non exposées à l’éthylène ont donné des frites de la même couleur que dans le cas des tubercules témoins non traités. Inversement, lorsque les tubercules étaient exposés uniquement à l’éthylène, les frites étaient plus foncées que celles issues des tubercules témoins, l’écart étant de 7 à 22 unités Agtron de pourcentage de réflectance. Dans le cas des tubercules non dormants, la couleur plus foncée associée à l’exposition à l’éthylène dépendait de la dose, conformément aux recherches antérieures, et les tubercules exposés à la fois au CO2 et à l’éthylène ont réagi aux deux gaz, également en fonction de la dose : la couleur des frites était plus foncée si on augmentait la dose de l’un ou l’autre gaz. Dans le cas des tubercules dormants, la réaction à la dose d’éthylène ainsi que l’interaction entre éthylène et CO2 n’étaient pas significatives. Dans le cas des tubercules dormants et non dormants, la couleur la plus foncée a été obtenue après exposition aux concentrations maximales des deux gaz. C’est la première fois qu’on signale une réaction de la couleur des frites à la dose de CO2 en présence d’éthylène.
  Regulation of Energy Pa...  
In "autumn" pine acclimated to 15°C, the increased amount of "excess" electrons were directed equally to 21 kPa O2-dependent and 2 kPa O2-dependent alternative electron transport pathways and the fractions of excitation light energy utilized by PSII photochemistry (ΦPSII), thermally dissipated through ΦNPQ and dissipated by additional quenching mechanism(s) (Φf,D) were similar to that in "summer" pine.
Pendant 6 semaines, nous avons exposé des aiguilles de deuxième année de pin tordu latifolié (Pinus contorta L.) à différentes conditions simulant soit un été témoin (« été »; 25 °C/densité de flux photonique [DFP] de 250), soit un automne (« automne »; 15 °C/DFP de 250) soit un hiver (« hiver »; 5 °C/DFP de 250). Nous avons constaté que la proportion du transfert photosynthétique linéaire d’électrons (TTE [taux de transfert d’électrons]) servant à l’assimilation du carbone (TTECO2) chez les pins d’« automne » et d’« hiver » était de 40 % inférieure à celle des pins d’« été ». Par contre, la proportion du TTE total (TTEJf) ne servant pas à l’assimilation du carbone (TTEexcès) était accrue de 30 % chez les pins d’« automne » et d’« hiver ». Chez les pins d’« automne » acclimatés à une température de 15 °C, la proportion accrue d’électrons « en excès » était partagée également entre les voies alternatives de transfert d’électrons O2-dépendantes à 21 kPa et 2 kPa. En outre, les fractions d’énergie lumineuse d’excitation utilisées pour la photochimie du photosystème II (ΦPSII) dissipées thermiquement par extinction non photochimique (ΦENP) et dissipées par d’autres mécanismes d’extinction (Φf,D) étaient similaires à celles des pins d’« été ». En revanche, dans les aiguilles des pins d’« hiver » acclimatés à une température de 5° C, 60 % des électrons « en excès » issus de la photosynthèse étaient canalisés vers le puits d’électrons O2-épendant à 2 kPa, et seulement 15 % empruntaient la voie photorespiratoire (O2 à 21 kPa). Par rapport aux pins d’« été » et d’« automne », les aiguilles des pins exposés aux conditions d’« hiver » présentaient une ΦPSII de 3 fois inférieure, une ΦENP légèrement supérieure et une Φf,D de 2 fois supérieure, laquelle était O2-épendante. Nos résultats montrent que les voies alternatives utilisées pour la canalisation des électrons issus de la photosynthèse chez le pin tordu latifolié varient en fonction de la température d’acclimatation. De plus, la dissipation de l’énergie lumineuse en excès par des mécanismes d’extinction non photochimiques constitutifs est O2-épendante.
  Regulation of Energy Pa...  
In "autumn" pine acclimated to 15°C, the increased amount of "excess" electrons were directed equally to 21 kPa O2-dependent and 2 kPa O2-dependent alternative electron transport pathways and the fractions of excitation light energy utilized by PSII photochemistry (ΦPSII), thermally dissipated through ΦNPQ and dissipated by additional quenching mechanism(s) (Φf,D) were similar to that in "summer" pine.
Pendant 6 semaines, nous avons exposé des aiguilles de deuxième année de pin tordu latifolié (Pinus contorta L.) à différentes conditions simulant soit un été témoin (« été »; 25 °C/densité de flux photonique [DFP] de 250), soit un automne (« automne »; 15 °C/DFP de 250) soit un hiver (« hiver »; 5 °C/DFP de 250). Nous avons constaté que la proportion du transfert photosynthétique linéaire d’électrons (TTE [taux de transfert d’électrons]) servant à l’assimilation du carbone (TTECO2) chez les pins d’« automne » et d’« hiver » était de 40 % inférieure à celle des pins d’« été ». Par contre, la proportion du TTE total (TTEJf) ne servant pas à l’assimilation du carbone (TTEexcès) était accrue de 30 % chez les pins d’« automne » et d’« hiver ». Chez les pins d’« automne » acclimatés à une température de 15 °C, la proportion accrue d’électrons « en excès » était partagée également entre les voies alternatives de transfert d’électrons O2-dépendantes à 21 kPa et 2 kPa. En outre, les fractions d’énergie lumineuse d’excitation utilisées pour la photochimie du photosystème II (ΦPSII) dissipées thermiquement par extinction non photochimique (ΦENP) et dissipées par d’autres mécanismes d’extinction (Φf,D) étaient similaires à celles des pins d’« été ». En revanche, dans les aiguilles des pins d’« hiver » acclimatés à une température de 5° C, 60 % des électrons « en excès » issus de la photosynthèse étaient canalisés vers le puits d’électrons O2-épendant à 2 kPa, et seulement 15 % empruntaient la voie photorespiratoire (O2 à 21 kPa). Par rapport aux pins d’« été » et d’« automne », les aiguilles des pins exposés aux conditions d’« hiver » présentaient une ΦPSII de 3 fois inférieure, une ΦENP légèrement supérieure et une Φf,D de 2 fois supérieure, laquelle était O2-épendante. Nos résultats montrent que les voies alternatives utilisées pour la canalisation des électrons issus de la photosynthèse chez le pin tordu latifolié varient en fonction de la température d’acclimatation. De plus, la dissipation de l’énergie lumineuse en excès par des mécanismes d’extinction non photochimiques constitutifs est O2-épendante.
  The Interaction Effect ...  
Previous studies have shown that the fry color of stored potatoes (Solanum tuberosum L.) can be negatively affected by an interaction between elevated CO2 (2 kPa) and ethylene gas (0.5 µL·L-1) from various sources.
Des études antérieures ont révélé que la couleur des frites obtenues à partir de pommes de terre (Solanum tuberosum L.) entreposées peut être affectée par une interaction entre les concentrations élevées de CO2 (2 kPa) et d’éthylène (0,5 µL·L-1) provenant de sources diverses. Nous avons réalisé deux essais consécutifs, durant chacune des saisons d’entreposage 2006 et 2007, afin d’étudier les effets de diverses concentrations des deux gaz. Chaque année, nous avons exposé des tubercules de ‘Russet Burbank’ à 0, 0,5, 1,0 ou 2,0 kPa de CO2 ainsi qu’à 0, 0,25 ou 0,5 µL·L-1 d’éthylène, selon un plan factoriel, durant 9 semaines. Les essais ayant débuté en janvier 2006 et en janvier 2007 visaient des tubercules dormants, tandis que ceux ayant débuté en avril 2006 et en avril 2007 visaient des tubercules non dormants. Nous avons évalué la couleur des frites obtenues avec des tubercules prélevés au début de chaque essai puis à intervalles de 3 semaines. Dans le cadre de tous les essais, les tubercules exposés aux diverses concentrations de CO2 mais non exposées à l’éthylène ont donné des frites de la même couleur que dans le cas des tubercules témoins non traités. Inversement, lorsque les tubercules étaient exposés uniquement à l’éthylène, les frites étaient plus foncées que celles issues des tubercules témoins, l’écart étant de 7 à 22 unités Agtron de pourcentage de réflectance. Dans le cas des tubercules non dormants, la couleur plus foncée associée à l’exposition à l’éthylène dépendait de la dose, conformément aux recherches antérieures, et les tubercules exposés à la fois au CO2 et à l’éthylène ont réagi aux deux gaz, également en fonction de la dose : la couleur des frites était plus foncée si on augmentait la dose de l’un ou l’autre gaz. Dans le cas des tubercules dormants, la réaction à la dose d’éthylène ainsi que l’interaction entre éthylène et CO2 n’étaient pas significatives. Dans le cas des tubercules dormants et non dormants, la couleur la plus foncée a été obtenue après exposition aux concentrations maximales des deux gaz. C’est la première fois qu’on signale une réaction de la couleur des frites à la dose de CO2 en présence d’éthylène.
  Compaction effects on CO  
Prior to initiating the drying and wetting treatments, CO2 production (-10 kPa soil water content) from uncompacted soil was 2.3 times that of compacted soil and corresponded with higher concentrations of microbial biomass C (MBC) and dissolved organic C (DOC).
Les effets du compactage sur la porosité et les relations hydriques du sol influent probablement sur la disponibilité des substrats chimiques et l’activité microbienne en présence de fluctuations dans l’humidité du sol. Nous avons effectué une courte expérience d’incubation en laboratoire pour étudier les effets du compactage sur la disponibilité des substrats et sur la production biologique de CO2 et de N2O durant le séchage et la réhumectation d’un sol loameux fin. Avant le début des traitements de séchage et d’humectation, alors que la teneur en eau du sol correspondait à un potentiel de -10 kPa, la production de CO2 du sol non compacté était 2,3 plus élevée que celle du sol compacté et s’accompagnait de concentrations plus élevées de carbone de la biomasse microbienne (CBM) et de carbone organique dissous (COD). Inversement, la production de N2O du sol compacté était 67 fois plus élevée que celle du sol compacté à capacité au champ. À ce stade, la production de N2O semblait dépendre davantage du degré d’aération du sol que de la disponibilité de substrats tels que le NO3- ou le COD. Le séchage du sol compacté a provoqué une augmentation initiale de la production de CO2, et le taux moyen de minéralisation du C au moment de la dessiccation maximale était près du double de celui obtenu avec le sol non compacté (parce que celui-ci renfermait un moins grand espace poral rempli d’eau). Pendant le séchage, la production de N2O a diminué de façon marquée (de 93 à 96 %) dans les deux sols, mais la production totale de N2O du sol compacté est demeurée un peu plus élevée que celle du sol non compacté. L’augmentation de production de CO2 observée durant les 24 heures suivant la réhumectation du sol sec a été environ 2,5 fois plus élevée dans le cas du sol non compacté que dans celui du sol compacté, et cette différence était associée à une libération beaucoup plus forte de COD par le sol non compacté que par le sol compacté. Le CBM semblait être la source du COD libéré par le sol non compacté mais non du COD libéré par le sol compacté. Durant les 24 heures suivant la réhumectation du sol sec, la production de N2O du sol compacté a été près de 20 fois plus élevée que celle du sol non compacté. Nos résultats semblent indiquer que la production de N2O des sols compactés résulte principalement de la dénitrification, qui est limitée par la disponibilité des substrats (et particulièrement du NO3-) durant le séchage et la réhumectation et s’effectue rapidement une fois
  Regulation of Energy Pa...  
In "autumn" pine acclimated to 15°C, the increased amount of "excess" electrons were directed equally to 21 kPa O2-dependent and 2 kPa O2-dependent alternative electron transport pathways and the fractions of excitation light energy utilized by PSII photochemistry (ΦPSII), thermally dissipated through ΦNPQ and dissipated by additional quenching mechanism(s) (Φf,D) were similar to that in "summer" pine.
Pendant 6 semaines, nous avons exposé des aiguilles de deuxième année de pin tordu latifolié (Pinus contorta L.) à différentes conditions simulant soit un été témoin (« été »; 25 °C/densité de flux photonique [DFP] de 250), soit un automne (« automne »; 15 °C/DFP de 250) soit un hiver (« hiver »; 5 °C/DFP de 250). Nous avons constaté que la proportion du transfert photosynthétique linéaire d’électrons (TTE [taux de transfert d’électrons]) servant à l’assimilation du carbone (TTECO2) chez les pins d’« automne » et d’« hiver » était de 40 % inférieure à celle des pins d’« été ». Par contre, la proportion du TTE total (TTEJf) ne servant pas à l’assimilation du carbone (TTEexcès) était accrue de 30 % chez les pins d’« automne » et d’« hiver ». Chez les pins d’« automne » acclimatés à une température de 15 °C, la proportion accrue d’électrons « en excès » était partagée également entre les voies alternatives de transfert d’électrons O2-dépendantes à 21 kPa et 2 kPa. En outre, les fractions d’énergie lumineuse d’excitation utilisées pour la photochimie du photosystème II (ΦPSII) dissipées thermiquement par extinction non photochimique (ΦENP) et dissipées par d’autres mécanismes d’extinction (Φf,D) étaient similaires à celles des pins d’« été ». En revanche, dans les aiguilles des pins d’« hiver » acclimatés à une température de 5° C, 60 % des électrons « en excès » issus de la photosynthèse étaient canalisés vers le puits d’électrons O2-épendant à 2 kPa, et seulement 15 % empruntaient la voie photorespiratoire (O2 à 21 kPa). Par rapport aux pins d’« été » et d’« automne », les aiguilles des pins exposés aux conditions d’« hiver » présentaient une ΦPSII de 3 fois inférieure, une ΦENP légèrement supérieure et une Φf,D de 2 fois supérieure, laquelle était O2-épendante. Nos résultats montrent que les voies alternatives utilisées pour la canalisation des électrons issus de la photosynthèse chez le pin tordu latifolié varient en fonction de la température d’acclimatation. De plus, la dissipation de l’énergie lumineuse en excès par des mécanismes d’extinction non photochimiques constitutifs est O2-épendante.
  Regulation of Energy Pa...  
In "autumn" pine acclimated to 15°C, the increased amount of "excess" electrons were directed equally to 21 kPa O2-dependent and 2 kPa O2-dependent alternative electron transport pathways and the fractions of excitation light energy utilized by PSII photochemistry (ΦPSII), thermally dissipated through ΦNPQ and dissipated by additional quenching mechanism(s) (Φf,D) were similar to that in "summer" pine.
Pendant 6 semaines, nous avons exposé des aiguilles de deuxième année de pin tordu latifolié (Pinus contorta L.) à différentes conditions simulant soit un été témoin (« été »; 25 °C/densité de flux photonique [DFP] de 250), soit un automne (« automne »; 15 °C/DFP de 250) soit un hiver (« hiver »; 5 °C/DFP de 250). Nous avons constaté que la proportion du transfert photosynthétique linéaire d’électrons (TTE [taux de transfert d’électrons]) servant à l’assimilation du carbone (TTECO2) chez les pins d’« automne » et d’« hiver » était de 40 % inférieure à celle des pins d’« été ». Par contre, la proportion du TTE total (TTEJf) ne servant pas à l’assimilation du carbone (TTEexcès) était accrue de 30 % chez les pins d’« automne » et d’« hiver ». Chez les pins d’« automne » acclimatés à une température de 15 °C, la proportion accrue d’électrons « en excès » était partagée également entre les voies alternatives de transfert d’électrons O2-dépendantes à 21 kPa et 2 kPa. En outre, les fractions d’énergie lumineuse d’excitation utilisées pour la photochimie du photosystème II (ΦPSII) dissipées thermiquement par extinction non photochimique (ΦENP) et dissipées par d’autres mécanismes d’extinction (Φf,D) étaient similaires à celles des pins d’« été ». En revanche, dans les aiguilles des pins d’« hiver » acclimatés à une température de 5° C, 60 % des électrons « en excès » issus de la photosynthèse étaient canalisés vers le puits d’électrons O2-épendant à 2 kPa, et seulement 15 % empruntaient la voie photorespiratoire (O2 à 21 kPa). Par rapport aux pins d’« été » et d’« automne », les aiguilles des pins exposés aux conditions d’« hiver » présentaient une ΦPSII de 3 fois inférieure, une ΦENP légèrement supérieure et une Φf,D de 2 fois supérieure, laquelle était O2-épendante. Nos résultats montrent que les voies alternatives utilisées pour la canalisation des électrons issus de la photosynthèse chez le pin tordu latifolié varient en fonction de la température d’acclimatation. De plus, la dissipation de l’énergie lumineuse en excès par des mécanismes d’extinction non photochimiques constitutifs est O2-épendante.