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Keybot 44 Results  www.journal.forces.gc.ca  Page 5
  Search and Rescue Redux  
maritime patrol and intelligence, surveillance and reconnaissance (ISR) aircraft, combat support/SAR and utility tactical transport
modernisé pour le renseignement, la surveillance et la reconnaissance, des hélicoptères
  12-shadwick-eng  
Of particular study’s speculation that the CF-18 replacement will likely be note is its thought-provoking Projecting Power: Trends the “last manned fighter aircraft that Canada will ever pur- Shaping Canada’s Air Force in the Year 2019. Aimed at “key chase,” its observation that advanced simulation technologies stakeholders in Air Force capability development,” the April will dramatically reduce the number of training aircraft, and 2009 study focuses on the “…trends, drivers and potential its rather downbeat assessment of the prospects for manned strategic shocks that could potentially seriously influence ISR (intelligence, surveillance, and reconnaissance) aircraft Canada’s Air Force a decade from today” and the “…expected are cases in point.
roclamé en octobre 2005 comme étant le « moteur les futurs budgets de bureaucraties ou d’autres parties prenan- de la transformation de la Force aérienne », le Centre tes. Projecting Power est un texte de promotion dans la mesure de guerre aérospatiale des Forces canadiennes où ses auteurs ne vont certainement pas recommander la disso- (CGAFC) est le « centre d’excellence pour le dével- lution de la Force aérienne du Canada, mais cela ne veut pas Poppement de la puissance aérospatiale au Canada; dire pour autant que cette étude est moins utile qu’elle n’aurait son mandat est axé sur la prospective, la mise au point et pu l’être autrement ou que sa lecture sera « sans douleur » pour l’expérimentation de concepts, l’élaboration de la doctrine, la les gens de l’armée de l’air. L’hypothèse qui y est avancée à recherche sur les forces aériennes et les leçons retenues. » l’effet que l’avion destiné à remplacer le CF-18 sera sans doute Parallèlement, le Centre est devenu un lieu de publication de le « dernier chasseur piloté que le Canada achètera », la remar- plus en plus prolifique. On note tout particulièrement l’ouvrage que voulant que les technologies avancées de simulation rédui- stimulant intitulé : Projecting Power: Trends Shaping Canada’s ront considérablement le nombre d’aéronefs d’entraînement Air Force in the Year 2019. S’adressant aux « principaux intéres- requis, ainsi que l’évaluation plutôt pessimiste de l’avenir des sés et acteurs du développement des capacités de la Force aéri- appareils de RSR (renseignement, surveillance et reconnais- enne », cette étude publiée en avril 2009 porte sur les « ten- sance) pilotés témoignent éloquemment de ce réalisme. dances, moteurs et chocs stratégiques potentiels qui pourraient
  Air Force Futures  
The report advances solid rationales for an expanded air force capability in the Arctic, but is, arguably, insufficiently sensitive to the urgency of the task. The creation of an Arctic-based composite squadron with airlift, ISR, and SAR capabilities should be pursued now, and with vigour.
Bref, il s'agit là d'un document intrigant. Cela étant dit et tout en reconnaissant que le rapport de 45 pages ne se voulait nullement exhaustif, on aurait aimé plus d'analyses et de précisions à certains égards. Le successeur potentiel du CF-18, par exemple, est évoqué à plusieurs reprises, mais le document offre peu d'éclairage sur son futur rôle. De même, le soutien de la Force aérienne à l'Armée de terre y est étudié suffisamment en détail, mais son appui à la Marine est essentiellement inexploré. Le rapport soumet un raisonnement solide à l'appui de l'expansion des capacités de la Force aérienne dans l'Arctique, mais ses auteurs ne semblent pas assez sensibles à l'urgence de la tâche. La création d'un escadron mixte basé dans l'Arctique et disposant de capacités de transport aérien, de renseignement, surveillance et reconnaissance, et de recherche et sauvetage devrait s'amorcer dès maintenant, vigoureusement. Le rapport tombe pile lorsqu'il note qu'« il s'avèrera nécessaire d'influer sur la volonté populaire du pays si l'on veut s'assurer un financement approprié pour le futur développement de la Force aérienne, et cela comprend [les programmes] d'immobilisations en cours et à venir. On prévoit qu'avec le vieillissement de la population, le financement consacré à la Force aérienne sera menacé quand le gouvernement du Canada se verra obligé de trouver l'équilibre entre la sécurité nationale et le bien-être national. » Dans les premières décennies de la guerre froide, la Force aérienne a ostensiblement réussi à faire valoir sa cause, mais cette « magie » est disparue au lendemain de la guerre froide, en partie à cause de développements échappant au contrôle de la Force aérienne, mais aussi à cause d'une certaine propension à l'automutilation. Si on veut réussir à persuader les Canadiens et leurs élus de la nécessité d'une Force aérienne polyvalente et crédible, il faudra élaborer des stratégies novatrices pour leur en fournir des justifications claires, impérieuses et convaincantes.
  7-14-eng  
For overseas missions, however, it is A notable gap in the Canadian military’s RMA almost inconceivable that Canada would operate on technologies is in Intelligence Gathering, its own. In these situations, it will be far more impor- Surveillance and Reconnaissance (ISR) capabilities.
Des amalgames de matériaux simples ou composites avec décisions prises et les instructions connexes aux composants de des polymères renforcés de fibres (PRF). Au cours des 20 la structure. dernières années, les PRF ont servi à rendre plus solides le béton, l’acier ou d’autres matériaux de construction. On peut Dispositifs d’activation (muscles) : ce composant utiliser les PRF à la place d’autres matériaux, en particulier provoque une réaction en activant les dispositifs ou les unités de l’acier, parce qu’ils sont très avantageux du point de vue de contrôle. du coût, du poids, de la manutention et du transport. La souplesse dans la variation des designs est un autre avantage ACQUISITION DES DONNÉES important. En combinant les PRF avec des capteurs en fibre optique, on obtiendra un matériau composite intelligent fort es capteurs d’une structure intelligente sont conçus en L
  7-14-eng  
For overseas missions, however, it is A notable gap in the Canadian military’s RMA almost inconceivable that Canada would operate on technologies is in Intelligence Gathering, its own. In these situations, it will be far more impor- Surveillance and Reconnaissance (ISR) capabilities.
Des amalgames de matériaux simples ou composites avec décisions prises et les instructions connexes aux composants de des polymères renforcés de fibres (PRF). Au cours des 20 la structure. dernières années, les PRF ont servi à rendre plus solides le béton, l’acier ou d’autres matériaux de construction. On peut Dispositifs d’activation (muscles) : ce composant utiliser les PRF à la place d’autres matériaux, en particulier provoque une réaction en activant les dispositifs ou les unités de l’acier, parce qu’ils sont très avantageux du point de vue de contrôle. du coût, du poids, de la manutention et du transport. La souplesse dans la variation des designs est un autre avantage ACQUISITION DES DONNÉES important. En combinant les PRF avec des capteurs en fibre optique, on obtiendra un matériau composite intelligent fort es capteurs d’une structure intelligente sont conçus en L
  Canadian Military Journ...  
Decentralizing the planning and processing of the Arctic ISR mission will reduce the overall integration of the ISR platforms and capabilities, thus creating too much lag time between the sensing and the execution of the mission.
Les fonctions principales de commandement et de contrôle (C2) de toute mission de défense de l’Arctique par les FC reviendraient naturellement au Commandement Canada, auquel le projet Polar Epsilon a transféré ses capacités de surveillance de l’Arctique le 29 juin 2010. Le Capitaine de corvette Quinn a annoncé à cette occasion : « Nous avons livré à COM Canada la capacité d’accéder à RADARSAT-2 au moyen de logiciels d’exploitation, et fourni un analyste d’images qui l’aidera à exploiter RADARSAT-2 à partir de maintenant32. » Le Commandement Canada est situé au centre du pays, à Ottawa, et travaille à la défense du Canada en étroite collaboration avec d’autres organismes gouvernementaux. Il convient ici de préciser que la mission visant à assurer la souveraineté dans l’Arctique sera une mission pangouvernementale.
  Canadian Military Journ...  
Although Canada was originally on the forefront of UAS development, the CF does not currently maintain a robust aerial ISR capability.22 Endorsed by the military’s Senior Review Board in October 2000, JUSTAS was originally conceived to provide a UAS capability for the Canadian Forces.
est officier du renseignement de la Force aérienne et chef de l’analyse, de la corrélation et de la fusion au sein de la Division du renseignement, de la surveillance et de la reconnaissance (DRSR) du Centre multinational d’opérations aérospatiales (CMOA) de la 1re Division aérienne du Canada. En 2009, il est affecté au Qatar à titre d’officier d’échange canadien à la DRSR du commandement central des États-Unis, à l’appui de la Force internationale d’assistance à la sécurité et de l’opération
  Canadian Military Journ...  
Decentralizing the planning and processing of the Arctic ISR mission will reduce the overall integration of the ISR platforms and capabilities, thus creating too much lag time between the sensing and the execution of the mission.
Les fonctions principales de commandement et de contrôle (C2) de toute mission de défense de l’Arctique par les FC reviendraient naturellement au Commandement Canada, auquel le projet Polar Epsilon a transféré ses capacités de surveillance de l’Arctique le 29 juin 2010. Le Capitaine de corvette Quinn a annoncé à cette occasion : « Nous avons livré à COM Canada la capacité d’accéder à RADARSAT-2 au moyen de logiciels d’exploitation, et fourni un analyste d’images qui l’aidera à exploiter RADARSAT-2 à partir de maintenant32. » Le Commandement Canada est situé au centre du pays, à Ottawa, et travaille à la défense du Canada en étroite collaboration avec d’autres organismes gouvernementaux. Il convient ici de préciser que la mission visant à assurer la souveraineté dans l’Arctique sera une mission pangouvernementale.
  Canadian Military Journ...  
The timelines for the completion of these phases are uncertain, as it appears that the project has been delayed, due to both a lack of funding, and the current priority to maintain the tactical UAV (TUAV) capability in Afghanistan. Phase One appears to have been shifted to the Joint Airborne ISR Capability (JAIC) program, a temporary offshoot of the JUSTAS program.
Il a servi auparavant à Kandahar, en Afghanistan, au centre provincial des opérations des éléments de commandement national. Le Capitaine Bond est titulaire d’un baccalauréat ès arts spécialisé en philosophie de l’Université de Winnipeg et d’une maîtrise en études sur la conduite de la guerre du Collège militaire royal du Canada. De plus, il suit actuellement des cours de niveau supérieur dans le domaine de la guerre aérienne offerts par l’American Military University.
  Air Force Futures  
In 2019, the “method of delivering” the increased Arctic ISR capability “will be determined by factors such as: desired resolution, amount of persistent surveillance and cost. Ongoing programs such as Polar Epsilon II, Canadian Multi-mission Aircraft (CMA) and Joint UAV Surveillance and Target Acquisition System (JUSTAS) will provide options for this increasing requirement.”
Dans le Grand Nord, l'étude prévoit que « les activités économiques accrues dans l'Arctique (y compris la navigation commerciale et le transit des avions) se traduiront par une augmentation des besoins en matière de surveillance et contrôle, de patrouilles frontalières, de maintien de l'ordre, d'intervention en cas de catastrophe et de missions de recherche et sauvetage. [.] La Force aérienne se devra d'avoir une capacité de réaction à la fois plus souple et plus robuste (particulièrement en recherche et sauvetage) face à ces inévitables défis qui pourraient se poser à la suite des changements climatiques. Une capacité de recherche et sauvetage permanente pourrait même s'avérer incontournable à l'avenir. » En 2019, la « façon d'assurer » une capacité accrue de renseignement, surveillance et reconnaissance dans l'Arctique « sera déterminée par des facteurs tels que : le niveau de résolution et de permanence désiré en matière de surveillance, ainsi que les coûts. Les programmes actuels comme Polar Epsilon II, les avions canadiens à missions multiples (CAM) et les Systèmes interarmées d'acquisition d'objectifs au moyen de véhicules aériens télépilotés de surveillance (JUSTAS) offriront des options pour répondre à ces exigences croissantes. »
  Valour  
Lieutenant Nick Deshpande considers seven global dynamics, including declining American power, cyber warfare, environmental degradation, and rising energy consumption, all significant challenges in their own right, which, he believes, “… will have a significant upon Canada and its military’s role in the world.” Next, another young intelligence officer, Captain Levon Bond, takes a fresh look at Intelligence, Surveillance, and Reconnaissance (ISR) capabilities in Canada’s Arctic.
Venons-en maintenant au présent numéro de la Revue. L’évaluation et l’appréciation opportunes et adéquates du rendement et du potentiel des militaires sont des aspects extrêmement importants de la vie militaire. Dans notre article principal, l’avocat de la Marine Mike Madden étudie le mode alternatif de résolution des conflits (MARC) employé à l’heure actuelle pour la résolution des conflits concernant les rapports d’appréciation du personnel (RAP) dans les Forces canadiennes (FC). Il évalue son efficacité et propose des moyens par lesquels on pourrait l’améliorer.
  Air Force Futures  
Moreover, “…the cost of a persistent ISR capability provided solely by manned aircraft is likely to be prohibitive. By 2019, surveillance satellites, UAVs and other persistent, semi-autonomous sensors will be highly matured and will likely offer significant cost savings.”
arrive à la conclusion que le successeur du CF-18 sera sans doute le dernier chasseur piloté que le Canada achètera, ce qui n'est pas sans rappeler les déclarations péremptoires de Duncan Sandys, formulées plusieurs générations avant le temps dans le livre blanc de 1957 sur la Défense britannique, au sujet des perspectives de déclin des chasseurs pilotés. « À l'avenir », note l'étude du Centre de guerre aérospatiale des Forces canadiennes, « les drones de combat (UCAV) plus petits, moins chers et sacrifiables présenteront des avantages insurpassables par rapport aux aéronefs pilotés tant au chapitre de la performance que des coûts ». Dans un même ordre d'idées, l'étude poursuit : « d'ici 2019, on envisage que la constance des drones et des satellites aura éliminé la nécessité d'employer des aéronefs pilotés à l'étape recherche des missions de recherche et sauvetage ». En outre, « le coût d'une capacité permanente de renseignement, surveillance et reconnaissance assurée seulement par des appareils pilotés risque d'être prohibitif. En 2019, les satellites de surveillance, les véhicules aériens sans pilote et d'autres capteurs constants semi-autonomes seront hautement perfectionnés et permettront probablement des économies notables. »
  Canadian Military Journ...  
The Canadian Air Force has been anticipating the changing nature of ISR operations, and in its strategic planning document entitled
JUSTAS et le projet Polar Epsilon : Renseignement, surveillance et reconnaissance intégrés dans l'Arctique canadien
  Commentary  
The requirement for a credible ASW capability is not simply going to disappear. It should also be stressed that sub-surface detection capabilities on a maritime patrol/ISR aircraft are relevant to far more than ASW.
l'une optimisée pour le champ de bataille et l'autre pour la surveillance maritime, serait intéressante, mais ne répondrait toujours pas aux besoins du Canada, particulièrement en ce qui a trait à la surveillance sous-marine. La nécessité de se doter de capacités de guerre anti-sous-marine crédibles ne disparaîtra tout simplement pas. Il importe aussi d'insister sur le fait que l'équipement de détection sous-marine, à bord d'un aéronef de patrouille maritime, de renseignement, de surveillance et de reconnaissance, sert à bien plus qu'à faire la guerre anti-sous-marine. Une dernière pensée : le Canada devrait à tout prix investir dans l'acquisition de bons véhicules aériens sans pilote pour répondre à ses besoins au pays et à l'étranger, mais il ne s'agit pas là d'une panacée. Dans un contexte intérieur, il faut y voir un
  Air Force Futures  
The study’s speculation that the CF-18 replacement will likely be the “last manned fighter aircraft that Canada will ever purchase,” its observation that advanced simulation technologies will dramatically reduce the number of training aircraft, and its rather downbeat assessment of the prospects for manned ISR (intelligence, surveillance, and reconnaissance) aircraft are cases in point.
est un texte de promotion dans la mesure où ses auteurs ne vont certainement pas recommander la dissolution de la Force aérienne du Canada, mais cela ne veut pas dire pour autant que cette étude est moins utile qu'elle n'aurait pu l'être autrement ou que sa lecture sera « sans douleur » pour les gens de l'armée de l'air. L'hypothèse qui y est avancée à l'effet que l'avion destiné à remplacer le CF-18 sera sans doute le « dernier chasseur piloté que le Canada achètera », la remarque voulant que les technologies avancées de simulation réduiront considérablement le nombre d'aéronefs d'entraînement requis, ainsi que l'évaluation plutôt pessimiste de l'avenir des appareils de RSR (renseignement, surveillance et reconnaissance) pilotés témoignent éloquemment de ce réalisme.
  Commentary  
modernization program, which sought a fully supportable and modern maritime patrol and ISR platform, into a series of 23 individual projects grouped into four blocks. This decision has continued to exact a heavy aircraft availability, technical, industrial, maintenance, and training toll (CFB Greenwood’s
- visant à en faire une plateforme de patrouille maritime, de renseignement, de surveillance et de reconnaissance moderne et crédible - en une série de vingt-trois projets individuels répartis en quatre phases. Cette décision a coûté cher tant en ressources techniques et industrielles qu'au chapitre de la disponibilité et de l'entretien des appareils. (On rapporte, par exemple, qu'il existe trois versions différentes de l'
  Commentary  
or, if an appropriately sized and configured maritime patrol/ISR variant ultimately materializes, one of the smaller members of the
tout en évitant, on le souhaite sincèrement, les pires machinations et erreurs de calcul des années Trudeau, Mulroney et Chrétien. Quel appareil pourrait s'avérer un successeur crédible à l'
  Vol. 2, No. 4 Winter 2001  
AN INTELLIGENCE, SURVEILLANCE AND RECONNAISSANCE (ISR) VISION FOR THE CANADIAN FORCES
RENSEIGNEMENT, SURVEILLANCE ET RECONNAISSANCE (RSR) : UNE VISION POUR LES FORCES CANADIENNES
  12-shadwick-eng  
In 2019, the “method of have previously settled,” and a serious terrorist attack in delivering” the increased Arctic ISR capability “will be deter- Montreal produces large-scale civilian casualties. As a result, mined by factors such as: desired resolution, amount of persis- “French Canadians are united in calling for the government to tent surveillance and cost. Ongoing programs such as Polar immediately withdraw [Canadian] troops from western Epsilon II, Canadian Multi-mission Aircraft (CMA) and Joint Pakistan. The coalition Government is defeated.”
par rapport à l’Afghanistan et le désir de la population de retirer cas de catastrophe et de missions de recherche et sauvetage. [ ] les dividendes de la paix après l’engagement en Afghanistan La Force aérienne se devra d’avoir une capacité de réaction à la pourraient aider à éclairer un débat à plus court terme portant fois plus souple et plus robuste (particulièrement en recherche et sur le rôle du Canada en Afghanistan après 2011. Le rôle actuel sauvetage) face à ces inévitables défis qui pourraient se poser à du Canada ne peut se poursuivre comme tel après 2011, mais il la suite des changements climatiques. Une capacité de recherche y aurait peut-être lieu de considérer une contribution axée sur et sauvetage permanente pourrait même s’avérer incontournable l’aviation et articulée autour du transport par avions à voilure à l’avenir. » En 2019, la « façon d’assurer » une capacité accrue fixe, des opérations d’appareils à voilure tournante (bien que la de renseignement, surveillance et reconnaissance dans l’Arcti- lourde maintenance qu’exige le CH-147D pose des défis) et des que « sera déterminée par des facteurs tels que : le niveau de activités de renseignement, surveillance et reconnaissance (véhi- résolution et de permanence désiré en matière de surveillance, cules aériens sans pilote, CP-140 et possiblement de nouvelles ainsi que les coûts. Les programmes actuels comme Polar acquisitions – veut-on du Hawker Beechcraft MC-12W?). Epsilon II, les avions canadiens à missions multiples (CAM) et les Systèmes interarmées d’acquisition d’objectifs au moyen de
  Canadian Military Journ...  
As the Arctic becomes a growing defence priority, and as the CF prepares to scale down its operations in Afghanistan, the period between 2011 and 2015 will be the optimal time for the CF to invest in the platforms, personnel, and support requirements of a more robust ISR capability that combines satellite and UAS systems.
Le CMOA de Winnipeg serait l’emplacement tout indiqué pour un mécanisme de RSR interarmées dans l’Arctique tel que celui dont il est question ici. Le commandant de la composante aérienne de la force interarmées (CCAFI), au sein de la 1re Division aérienne du Canada à Winnipeg, est aussi commandant de la composante aérienne relevant du commandant du Commandement Canada et, à ce titre, il est responsable de fournir l’appui aérien pour toutes les opérations du Commandement Canada. La doctrine confère à la DRSR du CMOA le personnel et les ressources nécessaires pour planifier et assigner des missions RSR, coordonner l’exécution de ces missions, y compris la réassignation dynamique en fonction des besoins ponctuels des missions, traiter le renseignement brut, effectuer des analyses de divers niveaux, puis diffuser le renseignement aux organismes concernés, tout devant être fait rapidement et efficacement. La décentralisation de la planification et du traitement liés à la mission RSR dans l’Arctique aura pour effet de réduire l’intégration globale des plateformes et capacités RSR, et entraînera par conséquent un délai excessif entre la détection et l’exécution de la mission. Le C2 demeurera forcément au Commandement Canada, mais la planification, l’exécution et l’analyse relatives aux missions RSR devraient revenir à la DRSR, dans le CMOA, tandis que la réaction militaire aux produits de renseignement finis devrait être confiée au commandement concerné.
  Canadian Military Journ...  
As the Arctic becomes a growing defence priority, and as the CF prepares to scale down its operations in Afghanistan, the period between 2011 and 2015 will be the optimal time for the CF to invest in the platforms, personnel, and support requirements of a more robust ISR capability that combines satellite and UAS systems.
Le CMOA de Winnipeg serait l’emplacement tout indiqué pour un mécanisme de RSR interarmées dans l’Arctique tel que celui dont il est question ici. Le commandant de la composante aérienne de la force interarmées (CCAFI), au sein de la 1re Division aérienne du Canada à Winnipeg, est aussi commandant de la composante aérienne relevant du commandant du Commandement Canada et, à ce titre, il est responsable de fournir l’appui aérien pour toutes les opérations du Commandement Canada. La doctrine confère à la DRSR du CMOA le personnel et les ressources nécessaires pour planifier et assigner des missions RSR, coordonner l’exécution de ces missions, y compris la réassignation dynamique en fonction des besoins ponctuels des missions, traiter le renseignement brut, effectuer des analyses de divers niveaux, puis diffuser le renseignement aux organismes concernés, tout devant être fait rapidement et efficacement. La décentralisation de la planification et du traitement liés à la mission RSR dans l’Arctique aura pour effet de réduire l’intégration globale des plateformes et capacités RSR, et entraînera par conséquent un délai excessif entre la détection et l’exécution de la mission. Le C2 demeurera forcément au Commandement Canada, mais la planification, l’exécution et l’analyse relatives aux missions RSR devraient revenir à la DRSR, dans le CMOA, tandis que la réaction militaire aux produits de renseignement finis devrait être confiée au commandement concerné.