|
L'un des auteurs du présent article, Thomas G. Stone, a visité le site en compagnie d'Ian Sumpter, un archéologue du Service canadien des parcs, en vue d'élaborer un plan d'action pour le traitement des dommages plus récents. La roche avait été endommagée de deux façons, par un rayage de la mince couche d'algues recouvrant la roche, qui avait atteint superficiellement la pierre, et par une gravure plus profonde, exécutée à l'aide d'un outil tranchant. La plupart des graffiti relevaient, heureusement, du premier genre. Il a fallu improviser un certain nombre de méthodes pour remplir les rayures et les gravures, et ainsi camoufler les graffiti.
|