|
|
Après une table ronde, le secrétaire d’État Michael Ambühl a abordé, entre autres, la question de l’application déficiente des normes existantes, en particulier dans la prévention des génocides, dans la protection des populations civiles et dans la lutte contre l’impunité. Il a par ailleurs souligné l’importance de la résolution que la Suisse a fait adopter récemment au Conseil des droits de l’homme de l’ONU, par laquelle le secrétaire général de l’ONU s’engage à n’accepter aucun accord de paix prévoyant l’amnistie pour les crimes de génocide, les crimes contre l’humanité, les crimes de guerre et les violations graves des droits de l’homme.
|