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Leider sind diese Lizenzmodelle nicht völlig unproblematisch. Sollte der «Lizenzgeber» nämlich in Wirklichkeit gar nicht befugt sein, die Werkverwendung freizugeben, ist die Lizenz wertlos. In einem solchen Fall kann es sogar sein, dass man sich plötzlich berechtigten Schadenersatzforderungen der tatsächlich Berechtigten gegenübersieht, trotz vermeintlicher Lizenz.
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Various licences that can frequently be found on the internet under the generic term "copyleft" (e.g. Creative Commons, GNU etc.) allow for a simple and considerably unrestricted cost-free use of the licensed content. Unfortunately, these licensing models are not completely unproblematic. Should the “licensor“, in actual fact, not be authorised to approve the use of the work, then the license is worthless. In such a case, it is even possible to suddenly be confronted with claims for compensation from the actual legitimate claimant despite the supposed licence. It is therefore, even here, advisable to exercise the usual caution with regards to legal aspects and get a clear idea of exactly what you are getting and from whom - not least because it can generally be difficult to search on the internet for the person responsible, who could be located abroad or even be without means, therefore holding little promise for recourse. Additionally, a non-liability clause in the license can make recourse more difficult. Consequently, it is best, as so often advised, to proceed according to the principle of “Watch who you trust.”
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Diverses licences que l’on trouve souvent sur Internet, regroupées sous le terme de « copyleft » (creative commons, GNU, etc.), permettent d’utiliser de manière simple et la plupart du temps libre et gratuite des contenus protégés. Malheureusement, ces modèles de licence ne sont pas sans poser certains problèmes. En effet, si le donneur de licence n’est pas autorisé à permettre l’utilisation de l’œuvre, la licence n’a aucune valeur. Dans un tel cas de figure, il peut même arriver de devoir soudainement répondre d’actions en dommages-intérêts malgré une supposée licence. Il est dès lors recommandé de faire preuve de la vigilance habituellement requise dans les rapports juridiques et de s’enquérir, avant toute opération, sur les contenus et sur la source. Cette prudence est d’autant plus de mise que sur Internet il est généralement peu aisé de retracer le responsable, ce dernier pouvant résider à l’étranger ou bien même être dénué de tous biens, ce qui diminue les chances de pouvoir recourir. De plus, les clauses de non-responsabilité contenues dans les licences peuvent rendre d’autant plus difficile l’introduction d’un recours. Dans ce cas comme dans beaucoup d’autres, il est donc opportun de faire sien le proverbe « méfiance est mère de sûreté ».
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