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À l'heure actuelle, ni normes ni lignes directrices ne régissent la tenue des audiences jugées plus à risque. Par exemple, dans certains cas, après avoir été informé par d'autres organismes gouvernementaux de l'existence d'un risque accru pour la sécurité, l'ASR peut ne pas être d'accord sur l'évaluation et choisisse de ne pas prendre de mesures de sécurité supplémentaires. De la même façon, le commissaire devant présider l'audience peut demander des mesures de sécurité supplémentaires. L'une ou l'autre décision est prise lorsqu'il n'y a pas de pratiques exemplaires documentées couvrant ces types de situation.
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