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Keybot 18 Results  www.biographi.ca  Page 7
  Biography – GOMES, ESTE...  
It is most likely that the stop-over at Santiago de Cuba took place on the way to America and not on the return trip, and that Gomes made his voyage south-north, as Verrazzano had done a few months before.
Pour avoir quelque chose à montrer au retour de son voyage, Gomes captura sur la côte du Maine ou de la Nouvelle-Écosse un grand nombre d’Indiens avec l’intention de les vendre comme esclaves. Nous savons que 58 au moins survécurent au voyage et arrivèrent en Espagne. Ces Indiens furent plus tard libérés par ordre de Charles Quint.
  Biography – STRANGE, TH...  
Promotion to the honorary rank of major-general did little to remove the bitterness of his forced retirement from work that he loved. He had done a great deal to instil a spirit of professionalism among his amateur gunners and certainly deserves his appellation of “father of the Canadian artillery.”
Pendant qu'il se trouvait à Kingston, Strange passa au grade de colonel dans l'armée en juin 1881 et fut avisé que, comme ses 30 ans de service étaient écoulés, il devrait prendre sa retraite en décembre. Il conserva son poste au Canada une autre année, jusqu’au moment où on l’informa que, s’il ne le quittait pas, sa pension serait annulée. À 51 ans, Strange avait plus d’énergie que la plupart des hommes deux fois moins âgés que lui. Sa promotion au grade honorifique de major-général n’atténua guère l’amertume qu’il éprouvait à devoir quitter son travail. Il avait beaucoup fait pour insuffler du professionnalisme à ses artilleurs amateurs. Ce n’est pas à tort qu’on l’a baptisé « père de l’artillerie canadienne ».
  Biography – MASON, JOHN...  
Named to the Ontario fees commission in 1894, he was made head of an inquiry into the province’s toll-roads the following year. (He had done a similar study for Wentworth County in 1886.) Unfortunately, no one knows what Mason found or recommended in his report on the province’s roads for it was not printed and the original has been lost.
publiée à Hamilton. En 1873–1874, il fut élu grand maître adjoint du district de Hamilton, l’un des 15 districts qui constituaient la Grand Lodge of Canada. Nommé grand secrétaire suppléant (chef de l’administration) de la Grand Lodge en août 1874, il était chargé de tenir les registres des membres et de la comptabilité, de s’occuper des fonds en caisse et des investissements, de préparer des rapports et de faire appliquer les directives. Renommé à ce poste l’année suivante, il le conserva jusqu’à sa mort. Après sa nomination, en 1874, il avait vendu sa part dans son entreprise de comptabilité à son associé, Ralph Leeming Gunn, mais il conserva le travail de vérification ; il accepta aussi la charge de secrétaire trésorier du nouveau diocèse anglican de Niagara, érigé en 1875.
  Biography – RALE, SÉBAS...  
The English offered to rebuild the church at Norridgewock if the Abenakis consented to receive a Protestant minister and send Father Rale back to Quebec. The church was rebuilt in time by the English, but the men who were hired to do it seem to have done a poor job.
Vaudreuil et Bégon, dans une lettre datée du 8 octobre 1721, expliquent que, le printemps précédent, Rale, craignant qu’un nombre croissant d’Indiens ne tombent sous l’influence des Anglais, avait voulu s’assurer que « le parti des Sauvages bien intentionné fut le plus nombreux » aux pourparlers que les Anglais projetaient de tenir dans un avenir rapproché avec les Abénaquis. Dans ce but, il envoya à Québec six Indiens qui avaient pour mission d’inviter les Abénaquis du Canada et les Hurons de Lorette à se rendre à la conférence. Les émissaires réussirent à recruter assez d’Indiens aux missions de Saint-François, Bécancour et Jeune-Lorette (Loretteville) pour remplir plusieurs canots. Le père de La Chasse, qui fut délégué pour accompagner les Indiens à Narantsouak, en recruta encore une centaine dans d’autres missions d’Acadie. Plus de 250 Indiens accompagnés par les pères de La Chasse et Rale, qui tous deux appuyaient leur cause, arrivèrent aux pourparlers qui eurent lieu entre Anglais et Indiens à Georgetown à l’île Arrowsic le 28 juillet 1721. Ils présentèrent une lettre adressée à Shute dans laquelle ils demandaient que les Anglais se retirent de leurs terres. On fit porter la lettre au gouverneur.
  Biography – GORDON, ART...  
In Ceylon (Sri Lanka), which Gordon governed from 1883 until 1890, he achieved great popularity among both Sinhalese and Tamils. The Colonial Office considered that he had “done a great deal” for the colony.
Gordon gouverna Trinidad, colonie de la couronne, jusqu’en 1870. L’année suivante, il fut créé chevalier et promu à l’île Maurice. Il démissionna en 1874 et devint le premier gouverneur des îles Fidji, que la Grande-Bretagne avait annexées pour protéger les Fidjiens contre l’exploitation des colons et avoir une base d’où réprimer les abus du trafic de main-d’œuvre dans le Pacifique. Même s’il s’était déjà promis de ne plus jamais accepter de nomination dans une colonie autonome, il accepta en 1880 le poste de gouverneur de la Nouvelle-Zélande, tout en conservant ceux de haut commissaire et de consul général du Pacifique occidental. Il démissionna deux ans plus tard, dégoûté de ne pas avoir pu modifier la politique du gouvernement à l’endroit des Maoris. Ses successeurs sir George William Des Vœux* et sir John Bates Thurston poursuivirent son œuvre dans le Pacifique. De 1883 à 1890, Gordon fut gouverneur de Ceylan (Sri Lanka), où il se rendit très populaire tant auprès des Cinghalais que des Tamils. Le ministère des Colonies lui reconnaîtrait le mérite d’avoir « beaucoup fait » pour cette colonie.
  Biography – STAUNTON, R...  
As previously, Staunton’s chief task at Albany was to entice the Indians from the south away from the French by variations in his standard of trade. His contract ran out in 1726 and he retired claiming he had done a good job.
, en 1722, il le décrivit comme « un homme accommodant et débonnaire » ; néanmoins, à Churchill, le traiteur avait su inspirer confiance. Il fut de nouveau engagé cette même année et on lui confia la direction d’Albany où les problèmes de discipline étaient si aigus qu’il qualifia les hommes du poste « d’ivrognes à un homme près ». Mais il accorda son appui à son prédécesseur, Joseph Myatt*, qui avait été réduit au rang d’adjoint, apparemment parce qu’il avait fait entrer un jeune Indien dans le poste de traite et lui avait enseigné à lire et aussi parce qu’il avait gardé ses distances et n’avait pas pris part à la débauche générale. Comme par le passé, la tâche principale de Staunton à Albany consistait à attirer les Indiens du sud et à les éloigner des Français en modifiant les normes habituelles du commerce. Son contrat vint à expiration en 1726 et il prit sa retraite en se louant d’avoir bien travaillé. Néanmoins, Myatt, malgré l’appui que lui avait accordé Staunton, prétendit que Staunton avait exagéré ses gains sur les Français et qu’il n’avait pas réussi à se faire obéir des hommes sous ses ordres.
  Biography – DUNDAS, GEO...  
The judgement rendered in 1863 by Arthur Hamilton Gordon*, then lieutenant governor of New Brunswick, that “Dundas though no Solomon has some quiet sense” seems valid; by the time he left the Island, he had few enemies. Placed in a difficult position, with many pitfalls, Dundas had done a competent job and had won the respect of both Liberals and Conservatives.
La décennie pendant laquelle Dundas assuma la fonction de lieutenant-gouverneur de l’Île-du-Prince-Édouard fut fertile en événements de toutes sortes. Il fut l’objet de nombreuses critiques et même d’injures au début des années 60. C’était probablement inévitable si l’on songe à la violence verbale qui a marqué le climat politique de cette époque et au rôle que ses prédécesseurs avaient joué dans la politique locale. Il échoua dans ses efforts pour faire avancer la cause de la Confédération mais l’opinion publique était alors presque entièrement opposée à cette mesure. Malgré sa réaction hystérique devant le défi à l’autorité lancé par la ligue des locataires, il semble que la situation pénible faite aux locataires l’ait vraiment touché. L’opinion avancée en 1863 par Arthur Hamilton Gordon*, alors lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick, semble assez valable : « Dundas, sans être un Salomon, était doué d’un solide bon sens. » Lorsqu’il quitta l’île, Dundas n’avait que peu d’ennemis. Malgré une situation difficile, semée d’embûches, Dundas avait rempli les devoirs de sa charge avec compétence et avait gagné le respect des libéraux aussi bien que des conservateurs.