dir – -Translation – Keybot Dictionary

Spacer TTN Translation Network TTN TTN Login Deutsch Français Spacer Help
Source Languages Target Languages
Keybot 3 Results  www.kmu.admin.ch
  Portale PMI - "L’essenz...  
A quel tempo era ancora possibile lanciarsi con un piccolo laboratorio come ho fatto io, con relativamente pochi mezzi, mentre gli investimenti richiesti oggi sono considerevoli. Il settore ha in effetti vissuto una grande evoluzione tecnica durante questi ultimi decenni e le macchine, divenute indispensabili, costano a dir poco mezzo milione l'una per le più semplici.
Les barrières à l'entrée dans le secteur de la montre de luxe sont cependant devenues beaucoup plus élevées par rapport à il y a une vingtaine d'années. Alors qu'il était encore possible de se lancer avec un petit atelier comme je l'ai fait avec relativement peu de moyens, les investissements requis aujourd'hui sont considérables. Le secteur a en effet connu une grande évolution technologique ces dernières décennies, et les machines, devenues indispensables, coûtent au bas mot un demi-million pièce pour les plus simples d'entre elles.
Der Einstieg in die Branche ist heute mit viel grösseren Hürden verbunden als noch vor zwanzig Jahren. Damals konnte man, so wie ich, mit einem kleinen Atelier und relativ bescheidenen Mitteln einsteigen; heute geht es nicht mehr ohne erhebliche Investitionen. In den letzten Jahrzehnten hat sich der Sektor technologisch stark entwickelt und die einfachsten Maschinen, die heute unentbehrlich sind, kosten mindestens eine halbe Million pro Stück.
  Portale PMI - Quando la...  
Il leader mondiale dei siti che propongono soluzioni di crowdsourcing alle imprese, l'americano InnoCentive, ha sviluppato una rete di circa 250'000 innovatori dal momento del suo lancio dieci anni fa. In confronto, il mercato svizzero è a dir poco immaturo con un solo attore che domina la scena: Atizo, una start-up di 12 persone creata tre anni fa a Berna.
Le leader mondial des sites proposant des solutions de crowdsourcing aux entreprises, l'américain InnoCentive, a développé un réseau de quelque 250'000 innovateurs depuis son lancement il y a dix ans. En comparaison, le marché suisse fait figure d'un Petit Poucet encore peu mature avec un seul acteur qui domine le marché: Atizo, une start-up de 12 personnes créée il y a trois ans à Berne. "Le crowdsourcing implique un modèle d'affaires particulier, souligne Antoine Perruchoud dans le magazine Reflex. Il exige un gros volume d'entreprises clientes et la publication très régulière de concours pour survivre. Atizo a été favorisé par son rôle de pionnier en Suisse." L'entreprise a lancé quelque 150 concours en ligne et compte parmi ses clients des poids lourds tels que BMW, Migros ou encore les CFF. Pour solliciter les idées des 13′000 innovateurs inscrits sur le site bernois, une entreprise doit débourser entre 10'000 et 20'000 francs.
Das amerikanische Unternehmen InnoCentive, Weltmarktführer im Bereich Websites, die Crowdsourcing-Lösungen für Unternehmen anbieten, hat seit seiner Gründung vor zehn Jahren ein Netzwerk von rund 250'000 innovativen Köpfen aufgebaut. Im Vergleich dazu steckt die Schweiz mit einem einzigen marktbeherrschenden Akteur noch in den Kinderschuhen. Die Rede ist von Atizo, einem Start-up mit 12 Mitarbeitenden, das vor drei Jahren in Bern gegründet wurde. "Crowdsourcing ist mit einem speziellen Geschäftsmodell verbunden", macht Antoine Perruchoud in der Zeitschrift Reflex deutlich. "Damit es überleben kann, sind eine Vielzahl von Firmenkunden und eine sehr regelmässige Veröffentlichung von Ausschreibungen erforderlich. Atizo konnte von seiner Stellung als Schweizer Pionier profitieren." Das Unternehmen hat 150 Online-Wettbewerbe lanciert und zählt auch Schwergewichte wie BMW, Migros oder die SBB zu seinen Kunden. Um die Ideen der 13'000 auf der Berner Website registrierten Innovatorinnen und Innovatoren in Anspruch nehmen zu können, muss ein Unternehmen zwischen 10'000 und 20'000 Franken investieren.
  Portale PMI - "I fattor...  
Una volta tornata in Svizzera, il mio orientatore professionale mi ha consigliato di fare leva sulle mie esperienze e di applicarle al settore della ristorazione. In modo a dir poco sfacciato, ho chiamato Max Kehl, uno dei migliori cuochi svizzeri, dicendogli che volevo lavorare per lui.
Johnson: J’ai vécu à divers endroits dans le monde et travaillé dans une multitude de restaurants et d’hôtels. Les cuisines indienne, malaysienne, chinoise et thaïlandaise m’ont particulièrement fascinée. Lorsque je suis rentrée en Suisse, mon conseiller d’orientation m’a conseillé de rester dans le secteur gastronomique. Effrontée que je suis, j’ai alors appelée Max Kehl, un des meilleurs cuisiniers en Suisse, et je lui ai dit que je voulais travailler pour lui. J’ai beaucoup appris avec lui. Quand «Chez Max» a fermé ses portes, j’ai décidé de devenir indépendante. J’avais déjà organisé de nombreuses fêtes pour mes amis et tout le monde avait adoré mes petites bouchées asiatiques. Cela m’a donné le courage nécessaire pour créer mon propre service de traiteur. En outre, j’ai sans problème pu concilier travail et vie de famille.
Johnson: Ich habe an vielen verschiedenen Orten auf der Welt gelebt und dort jeweils in Restaurants und Hotels gearbeitet. Vor allem die indische, malaysische, chinesische und thailändische Küche hat mich fasziniert. Als ich zurück in die Schweiz kam, riet mir mein Berufsberater, an meine Erfahrungen im Gastgewerbe anzuknüpfen. Ich rief darauf stinkfrech Max Kehl, einem der besten Köche der Schweiz an und sagte ihm, ich wolle für ihn arbeiten. Bei ihm habe ich viel gelernt. Als "Chez Max" zumachte, entschloss ich mich zur Selbstständigkeit. Ich hatte schon vorher oft Partys für meine Freunde veranstaltet und alle fanden meine asiatischen Häppchen sensationell. Das gab mir Mut, den Catering-Service zu eröffnen. Zudem konnte ich Beruf und Betreuung meiner Kinder optimal unter einen Hut bringen.