kapta – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 20 Results  www.agr.ca  Page 3
  Mapping quantitative tr...  
Hard white wheat (Triticum aestivum L.) is a value-added product because of its processing advantages over red wheat; however, white wheat tends to be more susceptible to pre-harvest sprouting (PHS). To identify quantitative trait loci (QTLs) associated with PHS tolerance, we developed a doubled haploid (DH) mapping population from the cross AC Domain (red seeded) 9 White-RL4137 (white seeded).
Le blé de force blanc (Triticum aestivum L.) est un produit à valeur ajoutée en raison de ses avantages par rapport au blé roux dans les processus de transformation. Toutefois, le blé blanc a tendance à être plus sujet à la germination sur pied. Pour identifier les locus quantitatifs (QTL) associés à la résistance à la germination sur pied, nous avons établi une population de cartographie dihaploïde (DH) issue du croisement « AC Domain » (à grain roux) x White RL4137 (à grain blanc). Nous avons construit une carte génétique à l’aide de marqueurs microsatellites situés sur les groupes de chromosomes 3, 4, 5 et 6. Nous avons caractérisé la germination sur pied d’une population de 174 lignées DH à l’aide des éléments suivants : indice de germination sur pied, indice de germination des graines, l’indice de chute (Hagberg) et la couleur du tégument. Au total, 11 QTL ont été identifiés sur les chromosomes du groupe 3 ainsi que sur le chromosome 5D. On a constaté que sept QTL associés aux caractères de la résistance à la germination sur pied étaient en étroite concordance avec la couleur du tégument sur les chromosomes 3A, 3B et 3D. Le QTL de résistance à la germination sur pied du chromosome 5D était particulier parce qu’il était indépendant de la couleur du tégument.
  Mapping quantitative tr...  
Hard white wheat (Triticum aestivum L.) is a value-added product because of its processing advantages over red wheat; however, white wheat tends to be more susceptible to pre-harvest sprouting (PHS). To identify quantitative trait loci (QTLs) associated with PHS tolerance, we developed a doubled haploid (DH) mapping population from the cross AC Domain (red seeded) 9 White-RL4137 (white seeded).
Le blé de force blanc (Triticum aestivum L.) est un produit à valeur ajoutée en raison de ses avantages par rapport au blé roux dans les processus de transformation. Toutefois, le blé blanc a tendance à être plus sujet à la germination sur pied. Pour identifier les locus quantitatifs (QTL) associés à la résistance à la germination sur pied, nous avons établi une population de cartographie dihaploïde (DH) issue du croisement « AC Domain » (à grain roux) x White RL4137 (à grain blanc). Nous avons construit une carte génétique à l’aide de marqueurs microsatellites situés sur les groupes de chromosomes 3, 4, 5 et 6. Nous avons caractérisé la germination sur pied d’une population de 174 lignées DH à l’aide des éléments suivants : indice de germination sur pied, indice de germination des graines, l’indice de chute (Hagberg) et la couleur du tégument. Au total, 11 QTL ont été identifiés sur les chromosomes du groupe 3 ainsi que sur le chromosome 5D. On a constaté que sept QTL associés aux caractères de la résistance à la germination sur pied étaient en étroite concordance avec la couleur du tégument sur les chromosomes 3A, 3B et 3D. Le QTL de résistance à la germination sur pied du chromosome 5D était particulier parce qu’il était indépendant de la couleur du tégument.
  Future-Oriented Financi...  
Consolidation – These Future-oriented consolidated Financial Statements include the accounts of the sub-entities that the deputy head (DH) is accountable for. The accounts of these sub-entities have been consolidated with those of the Department and all inter-organizational balances and transactions have been eliminated.
Autorisations parlementaires - Agriculture et Agroalimentaire Canada est financé par le gouvernement du Canada au moyen d'autorisations parlementaires. La présentation des autorisations consenties au ministère ne correspond pas à la présentation des rapports financiers selon les principes comptables généralement reconnus étant donné que les autorisations sont fondées, dans une large mesure, sur les besoins de trésorerie. Par conséquent, les postes comptabilisés dans l'état des résultats et de la situation financière nette ministérielle prospectif et dans l'état de la situation financière prospectif ne sont pas nécessairement les mêmes que ceux correspondant aux autorisations parlementaires. La note 5 présente un rapprochement entre les deux méthodes de comptabilisation.
  Map-based cloning and c...  
A glabrous, yellow-seeded doubled haploid (DH) line and a hairy, black-seeded DH line in Chinese cabbage (B. rapa) were used as parents to develop a DH line population that segregated for both hairiness and seed coat color traits.
Nous avons utilisé une lignée dihaploïde glabre à graines jaunes et une lignée dihaploïde pubescente à graines noires de chou chinois (Brassica rapa) comme lignées parentales pour obtenir une population dihaploïde présentant une ségrégation des caractères à l’égard à la fois de la pubescence de la plante et de la couleur du tégument séminal. Selon les données ainsi obtenues, les deux caractères présentaient une co-ségrégation complète et étaient donc sans doute régis, dans cette population, par un seul et même locus mendélien. Nous avons établi une carte génétique plus fine, et un marqueur SNP situé à l’intérieur d’un orthologue du gène TTG1 (TRANSPARENT TESTA GLABRA 1) de Brassica présent chez l’Arabidopsis nous a permis de constater une liaison complète de ces deux gènes régissant la pubescence et la couleur du tégument séminal. Il semble donc que le gène TTG1 du Brassica a la même fonction génique que son orthologue présent chez l’Arabidopsis. Une analyse plus poussée des séquences alléliques des deux lignées dihaploïdes du B. rapa (glabre à graines jaunes et pubescente à graines noires) nous a permis d’observer une délétion de 94 bases chez la lignée glabre à graines jaunes. La séquence de codage du gène orthologue de TTG1 semble indiquer la présence d’une protéine tronquée non fonctionnelle chez cette lignée. Nous avons utilisé les gènes TTG1 homologues des lignées de B. rapa à graines jaunes et à graines noires pour obtenir par transformation un gène mutant ttg1 chez l’Arabidopsis, et nos résultats montrent que le gène TTG1 homologue provenant du B. rapa à graines noires recouvrait le gène mutant ttg1 de l’Arabidopsis, contrairement au gène homologue de la lignée à graines jaunes; il semble donc que c’est la délétion observée chez le gène homologue TTG1 du Brassica à graines jaunes qui a donné naissance à ce mutant naturel. C’est la première fois qu’on identifie chez une espèce de Brassica un gène régissant à la fois la pubescence et la couleur du tégument séminal.
  Map-based cloning and c...  
A glabrous, yellow-seeded doubled haploid (DH) line and a hairy, black-seeded DH line in Chinese cabbage (B. rapa) were used as parents to develop a DH line population that segregated for both hairiness and seed coat color traits.
Nous avons utilisé une lignée dihaploïde glabre à graines jaunes et une lignée dihaploïde pubescente à graines noires de chou chinois (Brassica rapa) comme lignées parentales pour obtenir une population dihaploïde présentant une ségrégation des caractères à l’égard à la fois de la pubescence de la plante et de la couleur du tégument séminal. Selon les données ainsi obtenues, les deux caractères présentaient une co-ségrégation complète et étaient donc sans doute régis, dans cette population, par un seul et même locus mendélien. Nous avons établi une carte génétique plus fine, et un marqueur SNP situé à l’intérieur d’un orthologue du gène TTG1 (TRANSPARENT TESTA GLABRA 1) de Brassica présent chez l’Arabidopsis nous a permis de constater une liaison complète de ces deux gènes régissant la pubescence et la couleur du tégument séminal. Il semble donc que le gène TTG1 du Brassica a la même fonction génique que son orthologue présent chez l’Arabidopsis. Une analyse plus poussée des séquences alléliques des deux lignées dihaploïdes du B. rapa (glabre à graines jaunes et pubescente à graines noires) nous a permis d’observer une délétion de 94 bases chez la lignée glabre à graines jaunes. La séquence de codage du gène orthologue de TTG1 semble indiquer la présence d’une protéine tronquée non fonctionnelle chez cette lignée. Nous avons utilisé les gènes TTG1 homologues des lignées de B. rapa à graines jaunes et à graines noires pour obtenir par transformation un gène mutant ttg1 chez l’Arabidopsis, et nos résultats montrent que le gène TTG1 homologue provenant du B. rapa à graines noires recouvrait le gène mutant ttg1 de l’Arabidopsis, contrairement au gène homologue de la lignée à graines jaunes; il semble donc que c’est la délétion observée chez le gène homologue TTG1 du Brassica à graines jaunes qui a donné naissance à ce mutant naturel. C’est la première fois qu’on identifie chez une espèce de Brassica un gène régissant à la fois la pubescence et la couleur du tégument séminal.
  Map-based cloning and c...  
A glabrous, yellow-seeded doubled haploid (DH) line and a hairy, black-seeded DH line in Chinese cabbage (B. rapa) were used as parents to develop a DH line population that segregated for both hairiness and seed coat color traits.
Nous avons utilisé une lignée dihaploïde glabre à graines jaunes et une lignée dihaploïde pubescente à graines noires de chou chinois (Brassica rapa) comme lignées parentales pour obtenir une population dihaploïde présentant une ségrégation des caractères à l’égard à la fois de la pubescence de la plante et de la couleur du tégument séminal. Selon les données ainsi obtenues, les deux caractères présentaient une co-ségrégation complète et étaient donc sans doute régis, dans cette population, par un seul et même locus mendélien. Nous avons établi une carte génétique plus fine, et un marqueur SNP situé à l’intérieur d’un orthologue du gène TTG1 (TRANSPARENT TESTA GLABRA 1) de Brassica présent chez l’Arabidopsis nous a permis de constater une liaison complète de ces deux gènes régissant la pubescence et la couleur du tégument séminal. Il semble donc que le gène TTG1 du Brassica a la même fonction génique que son orthologue présent chez l’Arabidopsis. Une analyse plus poussée des séquences alléliques des deux lignées dihaploïdes du B. rapa (glabre à graines jaunes et pubescente à graines noires) nous a permis d’observer une délétion de 94 bases chez la lignée glabre à graines jaunes. La séquence de codage du gène orthologue de TTG1 semble indiquer la présence d’une protéine tronquée non fonctionnelle chez cette lignée. Nous avons utilisé les gènes TTG1 homologues des lignées de B. rapa à graines jaunes et à graines noires pour obtenir par transformation un gène mutant ttg1 chez l’Arabidopsis, et nos résultats montrent que le gène TTG1 homologue provenant du B. rapa à graines noires recouvrait le gène mutant ttg1 de l’Arabidopsis, contrairement au gène homologue de la lignée à graines jaunes; il semble donc que c’est la délétion observée chez le gène homologue TTG1 du Brassica à graines jaunes qui a donné naissance à ce mutant naturel. C’est la première fois qu’on identifie chez une espèce de Brassica un gène régissant à la fois la pubescence et la couleur du tégument séminal.
  Map-based cloning and c...  
A glabrous, yellow-seeded doubled haploid (DH) line and a hairy, black-seeded DH line in Chinese cabbage (B. rapa) were used as parents to develop a DH line population that segregated for both hairiness and seed coat color traits.
Nous avons utilisé une lignée dihaploïde glabre à graines jaunes et une lignée dihaploïde pubescente à graines noires de chou chinois (Brassica rapa) comme lignées parentales pour obtenir une population dihaploïde présentant une ségrégation des caractères à l’égard à la fois de la pubescence de la plante et de la couleur du tégument séminal. Selon les données ainsi obtenues, les deux caractères présentaient une co-ségrégation complète et étaient donc sans doute régis, dans cette population, par un seul et même locus mendélien. Nous avons établi une carte génétique plus fine, et un marqueur SNP situé à l’intérieur d’un orthologue du gène TTG1 (TRANSPARENT TESTA GLABRA 1) de Brassica présent chez l’Arabidopsis nous a permis de constater une liaison complète de ces deux gènes régissant la pubescence et la couleur du tégument séminal. Il semble donc que le gène TTG1 du Brassica a la même fonction génique que son orthologue présent chez l’Arabidopsis. Une analyse plus poussée des séquences alléliques des deux lignées dihaploïdes du B. rapa (glabre à graines jaunes et pubescente à graines noires) nous a permis d’observer une délétion de 94 bases chez la lignée glabre à graines jaunes. La séquence de codage du gène orthologue de TTG1 semble indiquer la présence d’une protéine tronquée non fonctionnelle chez cette lignée. Nous avons utilisé les gènes TTG1 homologues des lignées de B. rapa à graines jaunes et à graines noires pour obtenir par transformation un gène mutant ttg1 chez l’Arabidopsis, et nos résultats montrent que le gène TTG1 homologue provenant du B. rapa à graines noires recouvrait le gène mutant ttg1 de l’Arabidopsis, contrairement au gène homologue de la lignée à graines jaunes; il semble donc que c’est la délétion observée chez le gène homologue TTG1 du Brassica à graines jaunes qui a donné naissance à ce mutant naturel. C’est la première fois qu’on identifie chez une espèce de Brassica un gène régissant à la fois la pubescence et la couleur du tégument séminal.
  Map-based cloning and c...  
A glabrous, yellow-seeded doubled haploid (DH) line and a hairy, black-seeded DH line in Chinese cabbage (B. rapa) were used as parents to develop a DH line population that segregated for both hairiness and seed coat color traits.
Nous avons utilisé une lignée dihaploïde glabre à graines jaunes et une lignée dihaploïde pubescente à graines noires de chou chinois (Brassica rapa) comme lignées parentales pour obtenir une population dihaploïde présentant une ségrégation des caractères à l’égard à la fois de la pubescence de la plante et de la couleur du tégument séminal. Selon les données ainsi obtenues, les deux caractères présentaient une co-ségrégation complète et étaient donc sans doute régis, dans cette population, par un seul et même locus mendélien. Nous avons établi une carte génétique plus fine, et un marqueur SNP situé à l’intérieur d’un orthologue du gène TTG1 (TRANSPARENT TESTA GLABRA 1) de Brassica présent chez l’Arabidopsis nous a permis de constater une liaison complète de ces deux gènes régissant la pubescence et la couleur du tégument séminal. Il semble donc que le gène TTG1 du Brassica a la même fonction génique que son orthologue présent chez l’Arabidopsis. Une analyse plus poussée des séquences alléliques des deux lignées dihaploïdes du B. rapa (glabre à graines jaunes et pubescente à graines noires) nous a permis d’observer une délétion de 94 bases chez la lignée glabre à graines jaunes. La séquence de codage du gène orthologue de TTG1 semble indiquer la présence d’une protéine tronquée non fonctionnelle chez cette lignée. Nous avons utilisé les gènes TTG1 homologues des lignées de B. rapa à graines jaunes et à graines noires pour obtenir par transformation un gène mutant ttg1 chez l’Arabidopsis, et nos résultats montrent que le gène TTG1 homologue provenant du B. rapa à graines noires recouvrait le gène mutant ttg1 de l’Arabidopsis, contrairement au gène homologue de la lignée à graines jaunes; il semble donc que c’est la délétion observée chez le gène homologue TTG1 du Brassica à graines jaunes qui a donné naissance à ce mutant naturel. C’est la première fois qu’on identifie chez une espèce de Brassica un gène régissant à la fois la pubescence et la couleur du tégument séminal.
  Map-based cloning and c...  
A glabrous, yellow-seeded doubled haploid (DH) line and a hairy, black-seeded DH line in Chinese cabbage (B. rapa) were used as parents to develop a DH line population that segregated for both hairiness and seed coat color traits.
Nous avons utilisé une lignée dihaploïde glabre à graines jaunes et une lignée dihaploïde pubescente à graines noires de chou chinois (Brassica rapa) comme lignées parentales pour obtenir une population dihaploïde présentant une ségrégation des caractères à l’égard à la fois de la pubescence de la plante et de la couleur du tégument séminal. Selon les données ainsi obtenues, les deux caractères présentaient une co-ségrégation complète et étaient donc sans doute régis, dans cette population, par un seul et même locus mendélien. Nous avons établi une carte génétique plus fine, et un marqueur SNP situé à l’intérieur d’un orthologue du gène TTG1 (TRANSPARENT TESTA GLABRA 1) de Brassica présent chez l’Arabidopsis nous a permis de constater une liaison complète de ces deux gènes régissant la pubescence et la couleur du tégument séminal. Il semble donc que le gène TTG1 du Brassica a la même fonction génique que son orthologue présent chez l’Arabidopsis. Une analyse plus poussée des séquences alléliques des deux lignées dihaploïdes du B. rapa (glabre à graines jaunes et pubescente à graines noires) nous a permis d’observer une délétion de 94 bases chez la lignée glabre à graines jaunes. La séquence de codage du gène orthologue de TTG1 semble indiquer la présence d’une protéine tronquée non fonctionnelle chez cette lignée. Nous avons utilisé les gènes TTG1 homologues des lignées de B. rapa à graines jaunes et à graines noires pour obtenir par transformation un gène mutant ttg1 chez l’Arabidopsis, et nos résultats montrent que le gène TTG1 homologue provenant du B. rapa à graines noires recouvrait le gène mutant ttg1 de l’Arabidopsis, contrairement au gène homologue de la lignée à graines jaunes; il semble donc que c’est la délétion observée chez le gène homologue TTG1 du Brassica à graines jaunes qui a donné naissance à ce mutant naturel. C’est la première fois qu’on identifie chez une espèce de Brassica un gène régissant à la fois la pubescence et la couleur du tégument séminal.
  Nitrogen remobilization...  
Eighteen durum genotypes varying in grain protein concentration were grown at three pre-selected Saskatchewan locations that differ for soil nitrogen (N). These included check cultivars and six low- and six high-protein doubled haploid (DH) selections from the cross DT695_Strongfield (low- by high-protein).
La concentration de protéines dans le grain joue un rôle important dans l’utilité du blé dur (Triticum turgidum L. ssp. durum (Desf.) Husn.), ce facteur affectant la qualité à la cuisson. Les programmes d’hybridation canadiens exploitent la variation génétique de la concentration de protéines dans le grain, mais on ignore l’origine physiologique des écarts observés. Les auteurs ont cultivé dix-huit génotypes de blé dur à concentration de protéines variable dans le grain. Les essais se sont déroulés à trois endroits de la Saskatchewan, présélectionnés en raison d’une teneur en azote (N) variable dans le sol. Les génotypes incluaient des cultivars témoins et six doubles haploïdes à faible ou à forte teneur en protéines issus du croisement DT695_Strongfield (variété à faible teneur en protéines avec variété à forte teneur en protéines). Les plants ont été échantillonnés à l’anthèse, au stade du grain laiteux, au stade pâteux et à la maturité physiologique, et les auteurs ont déterminé la quantité de matière sèche et la concentration de N dans les organes de la plante. Les sélections à forte teneur en protéines expriment 0,6 à 1,1 point de pourcentage plus de concentration de protéines dans le grain que celles à faible teneur dans les trois environnements (P<0,05), mais les premières ont donné moins de grain que les secondes à deux endroits. La remobilisation du N des organes végétatifs vers le grain varie avec l’environnement et explique 73 à 98% du N du grain, le reste venant du N absorbé après l’anthèse. Les sélections à forte teneur en protéines ont absorbé plus de N après l’anthèse que les sélections à faible teneur à deux endroits sur trois (P<0,01), mais elles avaient moins mobilisé de N des organes végétatifs que les variétés à faible teneur pour le même environnement (P<0,05). De subtiles variations dans la répartition du N et de la matière sèche expliquent les différences notées dans la concentration de protéines du grain.
  Effects of local anesth...  
This study examined the effects of a nonsteroidal antiinflammatory agent (NSAID) on physiological responses of calves immediately after hot-iron dehorning (DH) and during the time that local anesthetic (LA) wears off (2 to 3 h) after this procedure.
Dans l’étude présentée ici, nous avons examiné les effets d’un agent antiinflammatoire non stéroïdien (AINS) sur les réactions physiologiques survenant chez le veau immédiatement après l’écornage au fer et durant la période où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe (2 ou 3 heures) après l’écornage. Nous avons réparti au hasard 46 veaux (âge : 33 ± 0,3 jours) entre les 6 groupes de traitement suivants : écornage au fer ou écornage feint sans atténuation de la douleur, avec anesthésie locale seulement ou avec anesthésie locale et AINS (Meloxicam par intraveineuse). Nous avons mesuré la température oculaire (par thermographie infrarouge) toutes les 5 minutes pendant les 3 heures suivant le traitement. La fréquence cardiaque et la variabilité de la fréquence cardiaque ont été enregistrées en continu; pour l’analyse de la variabilité de la fréquence cardiaque, nous avons étudié de courts segments de 512 intervalles de battements. Après l’écornage au fer sans anesthésie locale ni AINS, la fréquence cardiaque des veaux a augmenté de 35 ± 3,0 battements/min au cours des 5 premières minutes, et elle est restée au-dessus de la valeur de base pendant 3 heures. La variabilité de la fréquence cardiaque autour du moment de l’écornage au fer n’a pas différé d’un traitement à l’autre, mais la valeur efficace des différences successives a baissé, passant de 68 à 41 ± 12,6 ms immédiatement après l’écornage au fer sans atténuation de la douleur, ce qui laisse supposer une baisse du tonus vagal à ce moment. Entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale, nous avons observé une baisse de la température oculaire (-0,6 ± 0,1 ºC), une augmentation de la fréquence cardiaque (8 ± 3,0 battements par min) et des changements de variabilité de la fréquence cardiaque. Ces changements comprenaient notamment la baisse de la puissance à haute fréquence, l’augmentation de la puissance à basse fréquence et l’augmentation du rapport basse fréquence/haute fréquence, ce qui dénote un changement de l’équilibre sympathico-vagal. Les changements de température oculaire, de fréquence cardiaque et de variabilité de la fréquence cardiaque entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale indiquent que la douleur commence au moment où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe. Nos résultats ont en outre démontré que l’anesthésie locale combinée à un AINS atténue la réaction à l’apparition de la douleur lorsque l’effet de l’anesthésie locale se dissipe.
  Association mapping of ...  
Unlike conventional QTL discovery strategies, in which bi-parental populations (F2, RIL, or DH) need to be developed, association mapping-based strategies can use plant breeding populations to synchronize QTL discovery and cultivar development.
Contexte : La brûlure bactérienne commune (BBC), causée par Xanthomonas axonopodis pv. phaseoli (Xap) , est un facteur important de perte de rendement dans la production du haricot commun (Phaseolus vulgaris L.), et ce partout dans le monde. La recherche d’hôtes résistants est essentiellement la méthode la plus efficace et la plus écologique de lutte contre la BBC. Contrairement aux stratégies classiques de découverte de QTL (locus quantitatifs), dans lesquelles il faut obtenir des populations bi-parentales (F2, lignées consanguines recombinantes ou dihaploïdes), les stratégies fondées sur la cartographie d’association peuvent utiliser des populations destinées à l’amélioration des végétaux pour synchroniser la découverte de QTL et la mise au point de cultivars. Résultats : Nous avons utilisé une population de 469 lignées de haricot sec appartenant à différentes catégories commerciales représentant du matériel végétal issu d’un programme courant de sélection du haricot. Nous avons déterminé la résistance à la BBC de 395 de ces lignées après 14 et 21 JAI (jours après l’inoculation), au cours de l’été de 2009, dans une pépinière du sud‑ouest de l’Ontario où nous avons pratiqué l’inoculation artificielle de la BBC. Nous avons génotypé toutes les lignées à l’aide de 132 SNP (polymorphismes mononucléotidiques) répartis uniformément dans le génome. Comme 26 de ces 132 SNP présentaient plus de 20 % de données manquantes, que 12 étaient monomorphes et que 17 présentaient une fréquence de l’allèle mineur inférieure à 0,20, nous n’en avons utilisé que 75 pour l’étude d’association, basée sur un SNP par locus. Nous avons obtenu la meilleure structure de population possible en attribuant 36 % des lignées au sous‑groupe andéen et 64 % au sous‑groupe mésoaméricain. Une analyse de parenté a également révélé des relations familiales complexes entre toutes ces lignées, ce qui correspond aux données généalogiques connues. Nous avons effectué une analyse par modèle linéaire mixte, incluant la structure de la population et la parenté, pour découvrir les associations marqueur-caractère. Nous avons associé significativement 18 marqueurs à la BBC à 14 JAI et 22 à 21 JAI. Quatorze marqueurs étaient significatifs pour les deux dates, et les marqueurs UBC420, SU91, g321, g471 et g796 étaient hautement significatifs (p ≤ 0,001). De plus, 12 marqueurs SNP significatifs ont été co‑localisés exactement ou approximativement avec les BBC-QTL déterminés auparavant dans les études de cart
  Effects of local anesth...  
This study examined the effects of a nonsteroidal antiinflammatory agent (NSAID) on physiological responses of calves immediately after hot-iron dehorning (DH) and during the time that local anesthetic (LA) wears off (2 to 3 h) after this procedure.
Dans l’étude présentée ici, nous avons examiné les effets d’un agent antiinflammatoire non stéroïdien (AINS) sur les réactions physiologiques survenant chez le veau immédiatement après l’écornage au fer et durant la période où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe (2 ou 3 heures) après l’écornage. Nous avons réparti au hasard 46 veaux (âge : 33 ± 0,3 jours) entre les 6 groupes de traitement suivants : écornage au fer ou écornage feint sans atténuation de la douleur, avec anesthésie locale seulement ou avec anesthésie locale et AINS (Meloxicam par intraveineuse). Nous avons mesuré la température oculaire (par thermographie infrarouge) toutes les 5 minutes pendant les 3 heures suivant le traitement. La fréquence cardiaque et la variabilité de la fréquence cardiaque ont été enregistrées en continu; pour l’analyse de la variabilité de la fréquence cardiaque, nous avons étudié de courts segments de 512 intervalles de battements. Après l’écornage au fer sans anesthésie locale ni AINS, la fréquence cardiaque des veaux a augmenté de 35 ± 3,0 battements/min au cours des 5 premières minutes, et elle est restée au-dessus de la valeur de base pendant 3 heures. La variabilité de la fréquence cardiaque autour du moment de l’écornage au fer n’a pas différé d’un traitement à l’autre, mais la valeur efficace des différences successives a baissé, passant de 68 à 41 ± 12,6 ms immédiatement après l’écornage au fer sans atténuation de la douleur, ce qui laisse supposer une baisse du tonus vagal à ce moment. Entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale, nous avons observé une baisse de la température oculaire (-0,6 ± 0,1 ºC), une augmentation de la fréquence cardiaque (8 ± 3,0 battements par min) et des changements de variabilité de la fréquence cardiaque. Ces changements comprenaient notamment la baisse de la puissance à haute fréquence, l’augmentation de la puissance à basse fréquence et l’augmentation du rapport basse fréquence/haute fréquence, ce qui dénote un changement de l’équilibre sympathico-vagal. Les changements de température oculaire, de fréquence cardiaque et de variabilité de la fréquence cardiaque entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale indiquent que la douleur commence au moment où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe. Nos résultats ont en outre démontré que l’anesthésie locale combinée à un AINS atténue la réaction à l’apparition de la douleur lorsque l’effet de l’anesthésie locale se dissipe.
  Effects of local anesth...  
This study examined the effects of a nonsteroidal antiinflammatory agent (NSAID) on physiological responses of calves immediately after hot-iron dehorning (DH) and during the time that local anesthetic (LA) wears off (2 to 3 h) after this procedure.
Dans l’étude présentée ici, nous avons examiné les effets d’un agent antiinflammatoire non stéroïdien (AINS) sur les réactions physiologiques survenant chez le veau immédiatement après l’écornage au fer et durant la période où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe (2 ou 3 heures) après l’écornage. Nous avons réparti au hasard 46 veaux (âge : 33 ± 0,3 jours) entre les 6 groupes de traitement suivants : écornage au fer ou écornage feint sans atténuation de la douleur, avec anesthésie locale seulement ou avec anesthésie locale et AINS (Meloxicam par intraveineuse). Nous avons mesuré la température oculaire (par thermographie infrarouge) toutes les 5 minutes pendant les 3 heures suivant le traitement. La fréquence cardiaque et la variabilité de la fréquence cardiaque ont été enregistrées en continu; pour l’analyse de la variabilité de la fréquence cardiaque, nous avons étudié de courts segments de 512 intervalles de battements. Après l’écornage au fer sans anesthésie locale ni AINS, la fréquence cardiaque des veaux a augmenté de 35 ± 3,0 battements/min au cours des 5 premières minutes, et elle est restée au-dessus de la valeur de base pendant 3 heures. La variabilité de la fréquence cardiaque autour du moment de l’écornage au fer n’a pas différé d’un traitement à l’autre, mais la valeur efficace des différences successives a baissé, passant de 68 à 41 ± 12,6 ms immédiatement après l’écornage au fer sans atténuation de la douleur, ce qui laisse supposer une baisse du tonus vagal à ce moment. Entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale, nous avons observé une baisse de la température oculaire (-0,6 ± 0,1 ºC), une augmentation de la fréquence cardiaque (8 ± 3,0 battements par min) et des changements de variabilité de la fréquence cardiaque. Ces changements comprenaient notamment la baisse de la puissance à haute fréquence, l’augmentation de la puissance à basse fréquence et l’augmentation du rapport basse fréquence/haute fréquence, ce qui dénote un changement de l’équilibre sympathico-vagal. Les changements de température oculaire, de fréquence cardiaque et de variabilité de la fréquence cardiaque entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale indiquent que la douleur commence au moment où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe. Nos résultats ont en outre démontré que l’anesthésie locale combinée à un AINS atténue la réaction à l’apparition de la douleur lorsque l’effet de l’anesthésie locale se dissipe.
  Effects of local anesth...  
This study examined the effects of a nonsteroidal antiinflammatory agent (NSAID) on physiological responses of calves immediately after hot-iron dehorning (DH) and during the time that local anesthetic (LA) wears off (2 to 3 h) after this procedure.
Dans l’étude présentée ici, nous avons examiné les effets d’un agent antiinflammatoire non stéroïdien (AINS) sur les réactions physiologiques survenant chez le veau immédiatement après l’écornage au fer et durant la période où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe (2 ou 3 heures) après l’écornage. Nous avons réparti au hasard 46 veaux (âge : 33 ± 0,3 jours) entre les 6 groupes de traitement suivants : écornage au fer ou écornage feint sans atténuation de la douleur, avec anesthésie locale seulement ou avec anesthésie locale et AINS (Meloxicam par intraveineuse). Nous avons mesuré la température oculaire (par thermographie infrarouge) toutes les 5 minutes pendant les 3 heures suivant le traitement. La fréquence cardiaque et la variabilité de la fréquence cardiaque ont été enregistrées en continu; pour l’analyse de la variabilité de la fréquence cardiaque, nous avons étudié de courts segments de 512 intervalles de battements. Après l’écornage au fer sans anesthésie locale ni AINS, la fréquence cardiaque des veaux a augmenté de 35 ± 3,0 battements/min au cours des 5 premières minutes, et elle est restée au-dessus de la valeur de base pendant 3 heures. La variabilité de la fréquence cardiaque autour du moment de l’écornage au fer n’a pas différé d’un traitement à l’autre, mais la valeur efficace des différences successives a baissé, passant de 68 à 41 ± 12,6 ms immédiatement après l’écornage au fer sans atténuation de la douleur, ce qui laisse supposer une baisse du tonus vagal à ce moment. Entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale, nous avons observé une baisse de la température oculaire (-0,6 ± 0,1 ºC), une augmentation de la fréquence cardiaque (8 ± 3,0 battements par min) et des changements de variabilité de la fréquence cardiaque. Ces changements comprenaient notamment la baisse de la puissance à haute fréquence, l’augmentation de la puissance à basse fréquence et l’augmentation du rapport basse fréquence/haute fréquence, ce qui dénote un changement de l’équilibre sympathico-vagal. Les changements de température oculaire, de fréquence cardiaque et de variabilité de la fréquence cardiaque entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale indiquent que la douleur commence au moment où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe. Nos résultats ont en outre démontré que l’anesthésie locale combinée à un AINS atténue la réaction à l’apparition de la douleur lorsque l’effet de l’anesthésie locale se dissipe.
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This study examined the effects of a nonsteroidal antiinflammatory agent (NSAID) on physiological responses of calves immediately after hot-iron dehorning (DH) and during the time that local anesthetic (LA) wears off (2 to 3 h) after this procedure.
Dans l’étude présentée ici, nous avons examiné les effets d’un agent antiinflammatoire non stéroïdien (AINS) sur les réactions physiologiques survenant chez le veau immédiatement après l’écornage au fer et durant la période où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe (2 ou 3 heures) après l’écornage. Nous avons réparti au hasard 46 veaux (âge : 33 ± 0,3 jours) entre les 6 groupes de traitement suivants : écornage au fer ou écornage feint sans atténuation de la douleur, avec anesthésie locale seulement ou avec anesthésie locale et AINS (Meloxicam par intraveineuse). Nous avons mesuré la température oculaire (par thermographie infrarouge) toutes les 5 minutes pendant les 3 heures suivant le traitement. La fréquence cardiaque et la variabilité de la fréquence cardiaque ont été enregistrées en continu; pour l’analyse de la variabilité de la fréquence cardiaque, nous avons étudié de courts segments de 512 intervalles de battements. Après l’écornage au fer sans anesthésie locale ni AINS, la fréquence cardiaque des veaux a augmenté de 35 ± 3,0 battements/min au cours des 5 premières minutes, et elle est restée au-dessus de la valeur de base pendant 3 heures. La variabilité de la fréquence cardiaque autour du moment de l’écornage au fer n’a pas différé d’un traitement à l’autre, mais la valeur efficace des différences successives a baissé, passant de 68 à 41 ± 12,6 ms immédiatement après l’écornage au fer sans atténuation de la douleur, ce qui laisse supposer une baisse du tonus vagal à ce moment. Entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale, nous avons observé une baisse de la température oculaire (-0,6 ± 0,1 ºC), une augmentation de la fréquence cardiaque (8 ± 3,0 battements par min) et des changements de variabilité de la fréquence cardiaque. Ces changements comprenaient notamment la baisse de la puissance à haute fréquence, l’augmentation de la puissance à basse fréquence et l’augmentation du rapport basse fréquence/haute fréquence, ce qui dénote un changement de l’équilibre sympathico-vagal. Les changements de température oculaire, de fréquence cardiaque et de variabilité de la fréquence cardiaque entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale indiquent que la douleur commence au moment où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe. Nos résultats ont en outre démontré que l’anesthésie locale combinée à un AINS atténue la réaction à l’apparition de la douleur lorsque l’effet de l’anesthésie locale se dissipe.
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This study examined the effects of a nonsteroidal antiinflammatory agent (NSAID) on physiological responses of calves immediately after hot-iron dehorning (DH) and during the time that local anesthetic (LA) wears off (2 to 3 h) after this procedure.
Dans l’étude présentée ici, nous avons examiné les effets d’un agent antiinflammatoire non stéroïdien (AINS) sur les réactions physiologiques survenant chez le veau immédiatement après l’écornage au fer et durant la période où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe (2 ou 3 heures) après l’écornage. Nous avons réparti au hasard 46 veaux (âge : 33 ± 0,3 jours) entre les 6 groupes de traitement suivants : écornage au fer ou écornage feint sans atténuation de la douleur, avec anesthésie locale seulement ou avec anesthésie locale et AINS (Meloxicam par intraveineuse). Nous avons mesuré la température oculaire (par thermographie infrarouge) toutes les 5 minutes pendant les 3 heures suivant le traitement. La fréquence cardiaque et la variabilité de la fréquence cardiaque ont été enregistrées en continu; pour l’analyse de la variabilité de la fréquence cardiaque, nous avons étudié de courts segments de 512 intervalles de battements. Après l’écornage au fer sans anesthésie locale ni AINS, la fréquence cardiaque des veaux a augmenté de 35 ± 3,0 battements/min au cours des 5 premières minutes, et elle est restée au-dessus de la valeur de base pendant 3 heures. La variabilité de la fréquence cardiaque autour du moment de l’écornage au fer n’a pas différé d’un traitement à l’autre, mais la valeur efficace des différences successives a baissé, passant de 68 à 41 ± 12,6 ms immédiatement après l’écornage au fer sans atténuation de la douleur, ce qui laisse supposer une baisse du tonus vagal à ce moment. Entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale, nous avons observé une baisse de la température oculaire (-0,6 ± 0,1 ºC), une augmentation de la fréquence cardiaque (8 ± 3,0 battements par min) et des changements de variabilité de la fréquence cardiaque. Ces changements comprenaient notamment la baisse de la puissance à haute fréquence, l’augmentation de la puissance à basse fréquence et l’augmentation du rapport basse fréquence/haute fréquence, ce qui dénote un changement de l’équilibre sympathico-vagal. Les changements de température oculaire, de fréquence cardiaque et de variabilité de la fréquence cardiaque entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale indiquent que la douleur commence au moment où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe. Nos résultats ont en outre démontré que l’anesthésie locale combinée à un AINS atténue la réaction à l’apparition de la douleur lorsque l’effet de l’anesthésie locale se dissipe.
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This study examined the effects of a nonsteroidal antiinflammatory agent (NSAID) on physiological responses of calves immediately after hot-iron dehorning (DH) and during the time that local anesthetic (LA) wears off (2 to 3 h) after this procedure.
Dans l’étude présentée ici, nous avons examiné les effets d’un agent antiinflammatoire non stéroïdien (AINS) sur les réactions physiologiques survenant chez le veau immédiatement après l’écornage au fer et durant la période où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe (2 ou 3 heures) après l’écornage. Nous avons réparti au hasard 46 veaux (âge : 33 ± 0,3 jours) entre les 6 groupes de traitement suivants : écornage au fer ou écornage feint sans atténuation de la douleur, avec anesthésie locale seulement ou avec anesthésie locale et AINS (Meloxicam par intraveineuse). Nous avons mesuré la température oculaire (par thermographie infrarouge) toutes les 5 minutes pendant les 3 heures suivant le traitement. La fréquence cardiaque et la variabilité de la fréquence cardiaque ont été enregistrées en continu; pour l’analyse de la variabilité de la fréquence cardiaque, nous avons étudié de courts segments de 512 intervalles de battements. Après l’écornage au fer sans anesthésie locale ni AINS, la fréquence cardiaque des veaux a augmenté de 35 ± 3,0 battements/min au cours des 5 premières minutes, et elle est restée au-dessus de la valeur de base pendant 3 heures. La variabilité de la fréquence cardiaque autour du moment de l’écornage au fer n’a pas différé d’un traitement à l’autre, mais la valeur efficace des différences successives a baissé, passant de 68 à 41 ± 12,6 ms immédiatement après l’écornage au fer sans atténuation de la douleur, ce qui laisse supposer une baisse du tonus vagal à ce moment. Entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale, nous avons observé une baisse de la température oculaire (-0,6 ± 0,1 ºC), une augmentation de la fréquence cardiaque (8 ± 3,0 battements par min) et des changements de variabilité de la fréquence cardiaque. Ces changements comprenaient notamment la baisse de la puissance à haute fréquence, l’augmentation de la puissance à basse fréquence et l’augmentation du rapport basse fréquence/haute fréquence, ce qui dénote un changement de l’équilibre sympathico-vagal. Les changements de température oculaire, de fréquence cardiaque et de variabilité de la fréquence cardiaque entre 2 et 3 heures après l’écornage au fer avec anesthésie locale indiquent que la douleur commence au moment où l’effet de l’anesthésie locale se dissipe. Nos résultats ont en outre démontré que l’anesthésie locale combinée à un AINS atténue la réaction à l’apparition de la douleur lorsque l’effet de l’anesthésie locale se dissipe.