cue – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 11 Results  www.agr.ca
  Growth modeling of dair...  
Cue, R.I., Pietersma, D., Lefebvre, D.M., Lacroix, R., Wade, K.M., Pellerin, D., de Passillé, A.M.B., and Rushen, J.P. (2012). "Growth modeling of dairy heifers in Québec based on random regression.", Canadian Journal of Animal Science, 92(1), pp. 33-47.
Cue, R.I., Pietersma, D., Lefebvre, D.M., Lacroix, R., Wade, K.M., Pellerin, D., de Passillé, A.M.B., et Rushen, J.P. (2012). « Modélisation de la croissance des génisses laitières au Québec par régression aléatoire. », Canadian Journal of Animal Science, 92(1), p. 33-47. doi : 10.4141/cjas2011-083 Accès au texte intégral (en anglais seulement)
  De Passillé, Anne Marie...  
Cue, R.I., Pietersma, D., Lefebvre, D.M., Lacroix, R., Wade, K.M., Pellerin, D., de Passillé, A.M.B., and Rushen, J.P. (2012). "Growth modeling of dairy heifers in Québec based on random regression.", Canadian Journal of Animal Science, 92(1), pp. 33-47.
Cue, R.I., Pietersma, D., Lefebvre, D.M., Lacroix, R., Wade, K.M., Pellerin, D., de Passillé, A.M.B., et Rushen, J.P. (2012). « Modélisation de la croissance des génisses laitières au Québec par régression aléatoire. », Canadian Journal of Animal Science, 92(1), p. 33-47. doi : 10.4141/cjas2011-083
  Incidence of metabolic ...  
Santschi, D.E., Lefebvre, D.M., Cue, R.I., Girard, C.L., and Pellerin, D. (2011). "Incidence of metabolic disorders and reproductive performance following a short (35-d) or conventional (60-d) dry period management in commercial Holstein herds.", Journal of Dairy Science (JDS), 94(7), pp. 3322-3330.
Santschi, D.E., Lefebvre, D.M., Cue, R.I., Girard, C.L., et Pellerin, D. (2011). « Incidence of metabolic disorders and reproductive performance following a short (35-d) or conventional (60-d) dry period management in commercial Holstein herds. », Journal of Dairy Science (JDS), 94(7), p. 3322-3330. doi : 10.3168/jds.2010-3595 Accès au texte intégral (en anglais seulement)
  Complete-lactation milk...  
Santschi, D.E., Lefebvre, D.M., Cue, R.I., Girard, C.L., and Pellerin, D. (2011). "Complete-lactation milk and component yields following a short (35-d) or a conventional (60-d) dry period management strategy in commercial Holstein herds.", Journal of Dairy Science (JDS), 94(5), pp. 2302-2311.
Santschi, D.E., Lefebvre, D.M., Cue, R.I., Girard, C.L., et Pellerin, D. (2011). « Complete-lactation milk and component yields following a short (35-d) or a conventional (60-d) dry period management strategy in commercial Holstein herds. », Journal of Dairy Science (JDS), 94(5), p. 2302-2311. doi : 10.3168/jds.2010-3594 Accès au texte intégral (en anglais seulement)
  Economic effect of shor...  
Santschi, D.E., Lefebvre, D.M., Cue, R.I., Girard, C.L., and Pellerin, D. (2011). "Economic effect of short (35-d) compared with conventional (60-d) dry period management in commercial Canadian Holstein herds.", Journal of Dairy Science (JDS), 94(9), pp. 4734-4743.
Santschi, D.E., Lefebvre, D.M., Cue, R.I., Girard, C.L., et Pellerin, D. (2011). « Economic effect of short (35-d) compared with conventional (60-d) dry period management in commercial Canadian Holstein herds. », Journal of Dairy Science (JDS), 94(9), p. 4734-4743. doi : 10.3168/jds.2010-3596 Accès au texte intégral (en anglais seulement)
  Agriculture Quiz - Answ...  
A mother pig, or sow, grunts a variety of different sounds while feeding her piglets. Because her milk supply only lasts 15 to 20 seconds per feeding, she must cue her babies to pay attention and suckle because supper is on the way.
La truie émet toutes sorte de grognements lorsqu'elle allaite ses cochonnets. Comme sa réserve de lait ne dure que de 15 à 20 secondes par allaitement, elle doit attirer l'attention de ses petits pour qu'ils tètent parce que le repas est prêt!
  De Passillé, Anne Marie...  
Vasseur, E., Borderas, T.F., Cue, R.I., Lefebvre, D.M., Pellerin, D., Rushen, J.P., Wade, K.M., de Passillé, A.M.B. (2010). "A survey of dairy calf management practices in Canada that affect animal welfare.", Journal of Dairy Science (JDS), 93(3), pp. 1307-1315.
Vasseur, E., Borderas, T.F., Cue, R.I., Lefebvre, D.M., Pellerin, D., Rushen, J.P., Wade, K.M., de Passillé, A.M.B. (2010). « A survey of dairy calf management practices in Canada that affect animal welfare. », Journal of Dairy Science (JDS), 93(3), p. 1307-1315. doi : 10.3168/jds.2009-2429
  A survey of dairy calf ...  
Vasseur, E., Borderas, T.F., Cue, R.I., Lefebvre, D.M., Pellerin, D., Rushen, J.P., Wade, K.M., de Passillé, A.M.B. (2010). "A survey of dairy calf management practices in Canada that affect animal welfare.", Journal of Dairy Science (JDS), 93(3), pp. 1307-1315.
Vasseur, E., Borderas, T.F., Cue, R.I., Lefebvre, D.M., Pellerin, D., Rushen, J.P., Wade, K.M., de Passillé, A.M.B. (2010). « A survey of dairy calf management practices in Canada that affect animal welfare. », Journal of Dairy Science (JDS), 93(3), p. 1307-1315. doi : 10.3168/jds.2009-2429 Accès au texte intégral (en anglais seulement)
  Effects of low versus p...  
Ten days after the second PGF treatment, cattle were given estradiol benzoate im (1.5 and 1.0 mg for cows and heifers, respectively) and a progesterone-releasing intravaginal device (Cue-Mate) with a single pod containing 0.78 g progesterone (Day 0).
La présente étude visait à comparer les effets de faibles concentrations plasmatiques de progestérone à ceux de concentrations physiologiques sur la fertilité des bovins durant la vague ovulatoire. Nous avons donné à des vaches de race bouchère suitées (Bos taurus; n = 129) et à des génisses pubères (Bos taurus; n = 150) à différents stades du cycle œstral une dose lutéolytique de prostaglandine F2α (500 µg de cloprosténol; PGF) à deux reprises, à 11 jours d’intervalle. Dix jours après la deuxième dose de PGF, nous avons donné une injection intramusculaire de benzoate d’œstradiol aux sujets (vaches : 1,5 mg; génisses : 1,0 mg) et mis en place un dispositif intravaginal libérant de la progestérone (Cue-Mate) muni d’un seul élément distributeur contenant 0,78 g de progestérone (jour 0). Les animaux du groupe à faible concentration de progestérone (n = 48) ont reçu une dose lutéolytique de PGF au jour 0, tandis que ceux du groupe à concentration élevée (c. à d. des concentrations plasmatiques physiologiques) (n = 131) ont pu garder leur corps jaune. Au jour 8, nous avons retiré le dispositif Cue Mate et donné de la PGF aux deux groupes. Cinquante-quatre à cinquante-six heures plus tard, les sujets ont reçu 12,5 mg de LH porcine (LHp) par injection intramusculaire et ont été inséminés artificiellement au même moment. Le jour de l’insémination, le follicule dominant était plus gros chez les animaux du groupe à faible concentration de progestérone (P < 0,001) que chez ceux du groupe à concentration élevée (14,9 ± 0,3 mm par comparaison à 12,7 ± 0,3 mm; moyenne ± erreur-type). Sept jours après l’ovulation, les animaux du groupe à faible concentration de progestérone présentaient un corps jaune plus gros (24,5 ± 0,54 mm par comparaison à 21,9 ± 0,64 mm; P < 0,01) et une concentration plasmatique de progestérone plus élevée (4,0 ± 0,3 par comparaison à 3,1 ± 0,2; P < 0,01) que les animaux du groupe à concentration élevée de progestérone. Cependant, les taux de gestation n’ont pas différé entre le groupe à faible concentration (79 sur 148; 53,4 %) et celui à concentration élevée (70 sur 131; 53,4 %). En résumé, de faibles concentrations de progestérone circulante durant la phase de croissance folliculaire ont permis d’obtenir un follicule dominant plus gros et un corps jaune plus gros, lequel a produit davantage de progestérone, mais aucun effet significatif n’a été observé sur le taux de gestation.
  Effects of low versus p...  
Ten days after the second PGF treatment, cattle were given estradiol benzoate im (1.5 and 1.0 mg for cows and heifers, respectively) and a progesterone-releasing intravaginal device (Cue-Mate) with a single pod containing 0.78 g progesterone (Day 0).
La présente étude visait à comparer les effets de faibles concentrations plasmatiques de progestérone à ceux de concentrations physiologiques sur la fertilité des bovins durant la vague ovulatoire. Nous avons donné à des vaches de race bouchère suitées (Bos taurus; n = 129) et à des génisses pubères (Bos taurus; n = 150) à différents stades du cycle œstral une dose lutéolytique de prostaglandine F2α (500 µg de cloprosténol; PGF) à deux reprises, à 11 jours d’intervalle. Dix jours après la deuxième dose de PGF, nous avons donné une injection intramusculaire de benzoate d’œstradiol aux sujets (vaches : 1,5 mg; génisses : 1,0 mg) et mis en place un dispositif intravaginal libérant de la progestérone (Cue-Mate) muni d’un seul élément distributeur contenant 0,78 g de progestérone (jour 0). Les animaux du groupe à faible concentration de progestérone (n = 48) ont reçu une dose lutéolytique de PGF au jour 0, tandis que ceux du groupe à concentration élevée (c. à d. des concentrations plasmatiques physiologiques) (n = 131) ont pu garder leur corps jaune. Au jour 8, nous avons retiré le dispositif Cue Mate et donné de la PGF aux deux groupes. Cinquante-quatre à cinquante-six heures plus tard, les sujets ont reçu 12,5 mg de LH porcine (LHp) par injection intramusculaire et ont été inséminés artificiellement au même moment. Le jour de l’insémination, le follicule dominant était plus gros chez les animaux du groupe à faible concentration de progestérone (P < 0,001) que chez ceux du groupe à concentration élevée (14,9 ± 0,3 mm par comparaison à 12,7 ± 0,3 mm; moyenne ± erreur-type). Sept jours après l’ovulation, les animaux du groupe à faible concentration de progestérone présentaient un corps jaune plus gros (24,5 ± 0,54 mm par comparaison à 21,9 ± 0,64 mm; P < 0,01) et une concentration plasmatique de progestérone plus élevée (4,0 ± 0,3 par comparaison à 3,1 ± 0,2; P < 0,01) que les animaux du groupe à concentration élevée de progestérone. Cependant, les taux de gestation n’ont pas différé entre le groupe à faible concentration (79 sur 148; 53,4 %) et celui à concentration élevée (70 sur 131; 53,4 %). En résumé, de faibles concentrations de progestérone circulante durant la phase de croissance folliculaire ont permis d’obtenir un follicule dominant plus gros et un corps jaune plus gros, lequel a produit davantage de progestérone, mais aucun effet significatif n’a été observé sur le taux de gestation.
  Possible aversion learn...  
Wireworms preconditioned by exposure to peppermint odour during the induction of morbidity are not subsequently repelled by peppermint odour in soil bioassays, suggesting that wireworms are either not capable of aversion learning or that the presence of a CO2 source and/or a suitable host plant may override a negative cue (i.e. peppermint odour).
Les auteurs ont évalué l’incidence des effets du dioxyde de carbone et de l’induction de la morbidité sur l’apprentissage des aversions chez des larves du taupin du Pacifique (Limonius canus LeConte) (Coleoptera: Elateridae). Lors de bioessais dans le sol, les larves préconditionnées par une à quatre expositions à l’odeur des insecticides Tefluthrin 20SC et Dividend XLRTA [Syngenta Crop Protection (Canada), Inc., Canada] durant l’induction d’une morbidité temporaire sont subséquemment demeurées en contact avec des grains de blés traités à la tefluthrine aussi longtemps que les larves témoins non préconditionnées, mais elles ont eu une réaction de répulsion quatre à cinq fois plus souvent que ces dernières après avoir été mises en contact avec des grains de blés traités à l’insecticide Dividend. Ces résultats donnent à croire que les larves de taupin sont capables d’associer une nouvelle odeur (dans le cas présent, celle de l’insecticide Dividend) à la morbidité mais doivent demeurer subséquemment en contact avec les grains traités pendant une période minimale de 10 à 15 minutes avant d’afficher une réaction de répulsion. Les larves de taupin préconditionnées par exposition à l’odeur de la menthe poivrée durant l’induction de la morbidité ne sont pas repoussées subséquemment par l’odeur de la menthe poivrée lors d’essais en présence de sol, soit parce qu’elles sont incapables d’apprentissage des aversions, soit parce que la présence d’une source de CO2 et/ou d’une plante hôte appropriée a préséance sur le signal négatif, en l’occurrence l’odeur de la menthe poivrée. Dans le cadre d’essais effectués sans sol, ni plante hôte ni production de CO2, les larves de taupin ont affiché une légère réaction de répulsion à l’égard des gouttelettes d’huile de menthe poivrée à 1 %, mais aucune réaction négative à l’égard de gouttelettes à 0,1 %. L’exposition préalable à l’odeur de la menthe poivrée ou le contact avec un morceau de papier filtre traité à l’huile de menthe poivrée durant une induction de morbidité n’a pas amplifié la réaction de répulsion des larves à l’égard des gouttelettes d’huile de menthe poivrée à 1,0 %. La réaction de répulsion à l’égard des gouttelettes d’huile de menthe poivrée à 1,0 % est presque éliminée après cinq inductions de la morbidité en l’absence d’odeur de la menthe poivrée, mais elle est restaurée lorsque les larves sont préconditionnées en présence de l’odeur de la menthe poivrée. Ces résultats semblent indiquer que la sensibilité de