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Acute exposures (1 hour to 1 week) to low concentrations of ammonia in air (≤ 1000 ppm) irritate the upper respiratory tract, whereas exposures (3 hours to 2 weeks) to high concentrations (≥ 4000 ppm) result in severe damage to the upper and lower respiratory tract and alveolar capillaries (Coon et al., 1970; Richard et al., 1978; Kapeghian et al., 1982; Schaerdel et al., 1983).
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Les études sur la toxicité aiguë chez les animaux corroborent le fait que les voies respiratoires constituent une cible sensible aux effets toxiques de l'ammoniac (Richard et coll., 1978; Kapeghian et coll., 1982; Schaerdel et coll., 1983). L'exposition aiguë (entre 1 heure et 1 semaine) à de faibles concentrations d'ammoniac dans l'air (≤ 1 000 ppm) irrite les voies respiratoires supérieures, tandis que l'exposition (entre 3 heures et 2 semaines) à de fortes concentrations (≥ 4 000 ppm) entraîne de graves dommages aux voies respiratoires supérieures et inférieures ainsi qu'aux capillaires alvéolaires (Coon et coll., 1970; Richard et coll., 1978; Kapeghian et coll., 1982; Schaerdel et coll., 1983). Les autres effets sur des organes distants de la source d'exposition (reins, système cardiovasculaire) observés après l'exposition par inhalation n'étaient pas constants et pourraient être des conséquences des dommages aux voies respiratoires.
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