coon – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 15 Results  www.hc-sc.gc.ca
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Siegel, J., Jones, R.A., Coon, R.A. and Lyon, J.P. 1971. Effects on experimental animals of acute, repeated and continuous inhalation exposures to dichloroacetylene mixtures. Toxicol. Appl. Pharmacol.
Siegel, J., Jones, R.A., Coon, R.A., et Lyon, J.P. 1971. Effects on experimental animals of acute, repeated and continuous inhalation exposures to dichloroacetylene mixtures. Toxicol. Appl. Pharmacol. 18: 168-174 [cité dans PISC, 1990].
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Known adverse reaction(s): Some people may experience insomnia (Vuksan et al. 2008; Scaglione et al. 1996), anxiety (Sievenpiper et al. 2006; Ellis and Reddy 2002), or headaches (Lee et al. 2008b; de Andrade et al. 2007), in which case, discontinue use (Coon and Ernst 2002; Siegel 1979)
Réaction(s) indésirable(s) connue(s) : Certaines personnes pourraient souffrir d'insomnie (Vuksan et al. 2008; Scaglione et al. 1996), d'anxiété (Sievenpiper et al. 2006; Ellis et Reddy 2002), ou de maux de tête (Lee et al. 2008b; de Andrade et al. 2007). Si tel est le cas, cesser l'utilisation (Coon et Ernst 2002; Siegel 1979).
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Siegel, J., Jones, R.A., Coon, R.A. and Lyon, J.P. (1971) Effects on experimental animals of acute repeated and continuous inhalation exposures to dichloroacetylene mixtures. Toxicol. Appl. Pharmacol.
Santé Canada (2003a) Unit risks for TCE in drinking water. Section des statistiques biologiques, Direction générale de la santé environnementale et de la sécurité des consommateurs, Santé Canada, Ottawa (Ontario), mars.
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As with acute exposure, the animal studies that examined the toxicity of short-term intermittent or continuous exposure to ammonia suggest that the respiratory tract is the most sensitive target of toxicity. Symptoms of irritation, nasal lesions, dyspnoea and pulmonary inflammation have been observed in several animal species (Coon et al., 1970; Broderson et al., 1976; Gaafar et al., 1992).
Comme dans le cas de l'exposition aiguë, les études portant sur les effets toxiques d'une exposition intermittente ou continue à court terme à l'ammoniac chez les animaux semblent indiquer que les voies respiratoires constituent la cible la plus sensible aux effets toxiques. On a enregistré des symptômes d'irritation, de lésions nasales, de dyspnée et d'inflammation pulmonaire chez plusieurs espèces animales (Coon et coll., 1970; Broderson et coll., 1976; Gaafar et coll., 1992).
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Data available on tissue- or organ-specific toxicities associated with the inhalation of ethylene glycol following repeated exposure are limited to one short-term (intermittent) and one subchronic (continuous) study in which a limited range of endpoints was examined in rats, guinea pigs, rabbits, dogs and monkeys exposed (whole body) to ethylene glycol vapour (Coon
, 1995a,b). Toutefois, à la plus forte concentration (2 505 mg/m3), l'incidence d'effets sur le développement était supérieure à celle du groupe témoin exposé à de l'eau en aérosol dans une étude pour laquelle des souris CD-1 étaient exposées (nez seulement) pendant six heures par jour des jours 6 à 15 de la gestation (Tyl
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Moderate to severe irritation of the eyes was reported for the continuously exposed rabbits (i.e., erythema, edema, discharge) and rats (i.e., corneal opacity and apparent blindness in 2 of 15 animals); however, these effects were not observed in a separate study involving exposure of these species to 57 mg ethylene glycol/m3, 8 hours per day, 5 days per week, for 6 weeks (Coon
Dans des études subchroniques sur l'inhalation, on n'a observé aucun effet clairement lié au traitement sur l'histopathologie du petit nombre d'organes examinés (les poumons, le foie et les reins, notamment), sur l'hématologie ou sur les paramètres de la chimie clinique chez les rats (n = 15), les cobayes (n = 15), les lapins (n = 3), les chiens (n = 2) et les singes (n = 3) exposés de façon continue à 12 mg de vapeur d'éthylène glycol/m3 pendant 90 jours, par rapport à un groupe témoin (Coon
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However, continuous inhalation exposure of groups of rats to ammonia concentrations ranging from 40 to 470 mg/m³ showed no evidence of toxicity in 15 rats exposed to 40 mg/m³ for 114 days or 48 rats exposed to 127 mg/m³ for 90 days (Coon et al., 1970).
Par contre, après avoir fait subir à des groupes de rats une exposition continue par inhalation à des concentrations d'ammoniac de 40 à 470 mg/m³, on n'a relevé aucun signe de toxicité chez 15 rats exposés à raison de 40 mg/m³ pendant 114 jours ni chez 48 rats exposés à raison de 127 mg/m³ pendant 90 jours (Coon et coll., 1970). Dans la même étude, sur les 49 rats exposés en continu à une concentration d'ammoniac de 262 mg/m³ dans l'air pendant 90 jours, 25 % d'un léger écoulement nasal; 50 des 51 rats sont morts au jour 65 d'une exposition continue à une concentration d'ammoniac de 455 mg/m³, tandis que 13 des 15 rats exposés à une concentration d'ammoniac de 470 mg/m³ sont morts avant la fin de l'étude. On n'a noté aucune différence hématologique significative entre les rats exposés et les rats témoins examinés après une exposition en continu à une concentration d'ammoniac de 127 mg/m³ pendant 90 jours.
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Acute exposures (1 hour to 1 week) to low concentrations of ammonia in air (≤ 1000 ppm) irritate the upper respiratory tract, whereas exposures (3 hours to 2 weeks) to high concentrations (≥ 4000 ppm) result in severe damage to the upper and lower respiratory tract and alveolar capillaries (Coon et al., 1970; Richard et al., 1978; Kapeghian et al., 1982; Schaerdel et al., 1983).
Les études sur la toxicité aiguë chez les animaux corroborent le fait que les voies respiratoires constituent une cible sensible aux effets toxiques de l'ammoniac (Richard et coll., 1978; Kapeghian et coll., 1982; Schaerdel et coll., 1983). L'exposition aiguë (entre 1 heure et 1 semaine) à de faibles concentrations d'ammoniac dans l'air (≤ 1 000 ppm) irrite les voies respiratoires supérieures, tandis que l'exposition (entre 3 heures et 2 semaines) à de fortes concentrations (≥ 4 000 ppm) entraîne de graves dommages aux voies respiratoires supérieures et inférieures ainsi qu'aux capillaires alvéolaires (Coon et coll., 1970; Richard et coll., 1978; Kapeghian et coll., 1982; Schaerdel et coll., 1983). Les autres effets sur des organes distants de la source d'exposition (reins, système cardiovasculaire) observés après l'exposition par inhalation n'étaient pas constants et pourraient être des conséquences des dommages aux voies respiratoires.