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Keybot 30 Results  www5.agr.gc.ca
  Agriculture and Agri-Fo...  
Evaluation of AAFC's Program Response to the BSE Crisis
Évaluation des programmes mis en oeuvre par AAC pour faire face à la crise de l'ESB
  Minister Ritz's Speech:...  
We’re making good headway on restoring access that was lost due to BSE by making clear that Canadian beef falls in line with the internationally-accepted scientific standards set by the OIE.
Je suis heureux de savoir que vous poursuivrez sur cette lancée lors de l'atelier de la Table ronde sur la chaîne de valeur de l'industrie du bœuf, ce mois-ci.
  AgriStability and AgriI...  
If you received a Bovine Spongiform Encephalopathy (BSE) Recovery Program payment, report the amount you received using code 468.
vous avez déclaré les opérations à terme comme revenus ou pertes agricoles dans votre déclaration de revenus;
  Molecular, biochemical ...  
The epidemiology and possibly the etiology of bovine spongiform encephalopathy (BSE) have recently been recognized to be heterogeneous. In particular, three types [classical (C) and two atypical (H, L)] have been identified, largely on the basis of characteristics of the proteinase K (PK)-resistant core of the misfolded prion protein associated with the disease (PrPres).
On sait depuis peu que l’épidémiologie et peut-être même l’étiologie de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ne sont pas homogènes. En effet, selon les caractéristiques associées à la conformation anormale de la protéine prion résistante à la protéinase K (PrPres), on distingue trois types de maladies : le type classique (C) et deux types atypiques (H et L). La présente étude visait à caractériser les 17 cas canadiens d’ESB survenus avant novembre 2009 d’après les propriétés moléculaires et biochimiques de leur PrPres, dont l’immunoréactivité, la masse moléculaire, le profil des glycoformes et la sensibilité relative à la protéinase K (PK). Dans deux cas, la masse moléculaire et le profil des glycoformes rappelaient ceux des cas atypiques signalés auparavant, l’un correspondant au type H de l’ESB (cas 6) et l’autre, au type L (cas 11). Tous les autres cas étaient du type C. La digestion à la PK, dans des conditions tant favorables que stringentes, a révélé une résistance réduite à la protéinase dans les deux cas atypiques, comparativement à celle associée aux cas de type C. Dans le transfert par Western, les anticorps spécifiques des séquences N-terminales se sont liés à la PrPres du cas 6, mais pas à celle du cas 11 ni à celles des cas de type C. Les anticorps spécifiques des séquences C-terminales ont révélé des changements dans le profil des glycoformes et mis en évidence un quatrième fragment protéique dans le cas 6, indiquant l’existence de deux sous-populations de PrPres dans l’ESB de type H. Aucune mutation indicatrice d’une étiologie génétique n’a été observée chez les 17 animaux chez lesquels on avait déterminé la séquence génique complète de la région de l’exon 3 du gène PRNP codant la PrP. Par conséquent, les trois types connus d’ESB ont été confirmés chez des bovins canadiens et leurs caractéristiques moléculaires sont très semblables à celles des cas d’ESB classiques et atypiques décrits en Europe, au Japon et aux États-Unis. La détection de cas d’ESB atypiques dans des pays comme le Canada, où la prévalence et les risques de transmission sont faibles, semble corroborer la présence de formes sporadiques de l’ESB partout dans le monde.
  Molecular, biochemical ...  
The epidemiology and possibly the etiology of bovine spongiform encephalopathy (BSE) have recently been recognized to be heterogeneous. In particular, three types [classical (C) and two atypical (H, L)] have been identified, largely on the basis of characteristics of the proteinase K (PK)-resistant core of the misfolded prion protein associated with the disease (PrPres).
On sait depuis peu que l’épidémiologie et peut-être même l’étiologie de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ne sont pas homogènes. En effet, selon les caractéristiques associées à la conformation anormale de la protéine prion résistante à la protéinase K (PrPres), on distingue trois types de maladies : le type classique (C) et deux types atypiques (H et L). La présente étude visait à caractériser les 17 cas canadiens d’ESB survenus avant novembre 2009 d’après les propriétés moléculaires et biochimiques de leur PrPres, dont l’immunoréactivité, la masse moléculaire, le profil des glycoformes et la sensibilité relative à la protéinase K (PK). Dans deux cas, la masse moléculaire et le profil des glycoformes rappelaient ceux des cas atypiques signalés auparavant, l’un correspondant au type H de l’ESB (cas 6) et l’autre, au type L (cas 11). Tous les autres cas étaient du type C. La digestion à la PK, dans des conditions tant favorables que stringentes, a révélé une résistance réduite à la protéinase dans les deux cas atypiques, comparativement à celle associée aux cas de type C. Dans le transfert par Western, les anticorps spécifiques des séquences N-terminales se sont liés à la PrPres du cas 6, mais pas à celle du cas 11 ni à celles des cas de type C. Les anticorps spécifiques des séquences C-terminales ont révélé des changements dans le profil des glycoformes et mis en évidence un quatrième fragment protéique dans le cas 6, indiquant l’existence de deux sous-populations de PrPres dans l’ESB de type H. Aucune mutation indicatrice d’une étiologie génétique n’a été observée chez les 17 animaux chez lesquels on avait déterminé la séquence génique complète de la région de l’exon 3 du gène PRNP codant la PrP. Par conséquent, les trois types connus d’ESB ont été confirmés chez des bovins canadiens et leurs caractéristiques moléculaires sont très semblables à celles des cas d’ESB classiques et atypiques décrits en Europe, au Japon et aux États-Unis. La détection de cas d’ESB atypiques dans des pays comme le Canada, où la prévalence et les risques de transmission sont faibles, semble corroborer la présence de formes sporadiques de l’ESB partout dans le monde.
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The epidemiology and possibly the etiology of bovine spongiform encephalopathy (BSE) have recently been recognized to be heterogeneous. In particular, three types [classical (C) and two atypical (H, L)] have been identified, largely on the basis of characteristics of the proteinase K (PK)-resistant core of the misfolded prion protein associated with the disease (PrPres).
On sait depuis peu que l’épidémiologie et peut-être même l’étiologie de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ne sont pas homogènes. En effet, selon les caractéristiques associées à la conformation anormale de la protéine prion résistante à la protéinase K (PrPres), on distingue trois types de maladies : le type classique (C) et deux types atypiques (H et L). La présente étude visait à caractériser les 17 cas canadiens d’ESB survenus avant novembre 2009 d’après les propriétés moléculaires et biochimiques de leur PrPres, dont l’immunoréactivité, la masse moléculaire, le profil des glycoformes et la sensibilité relative à la protéinase K (PK). Dans deux cas, la masse moléculaire et le profil des glycoformes rappelaient ceux des cas atypiques signalés auparavant, l’un correspondant au type H de l’ESB (cas 6) et l’autre, au type L (cas 11). Tous les autres cas étaient du type C. La digestion à la PK, dans des conditions tant favorables que stringentes, a révélé une résistance réduite à la protéinase dans les deux cas atypiques, comparativement à celle associée aux cas de type C. Dans le transfert par Western, les anticorps spécifiques des séquences N-terminales se sont liés à la PrPres du cas 6, mais pas à celle du cas 11 ni à celles des cas de type C. Les anticorps spécifiques des séquences C-terminales ont révélé des changements dans le profil des glycoformes et mis en évidence un quatrième fragment protéique dans le cas 6, indiquant l’existence de deux sous-populations de PrPres dans l’ESB de type H. Aucune mutation indicatrice d’une étiologie génétique n’a été observée chez les 17 animaux chez lesquels on avait déterminé la séquence génique complète de la région de l’exon 3 du gène PRNP codant la PrP. Par conséquent, les trois types connus d’ESB ont été confirmés chez des bovins canadiens et leurs caractéristiques moléculaires sont très semblables à celles des cas d’ESB classiques et atypiques décrits en Europe, au Japon et aux États-Unis. La détection de cas d’ESB atypiques dans des pays comme le Canada, où la prévalence et les risques de transmission sont faibles, semble corroborer la présence de formes sporadiques de l’ESB partout dans le monde.
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On sait depuis peu que l’épidémiologie et peut-être même l’étiologie de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ne sont pas homogènes. En effet, selon les caractéristiques associées à la conformation anormale de la protéine prion résistante à la protéinase K (PrPres), on distingue trois types de maladies : le type classique (C) et deux types atypiques (H et L). La présente étude visait à caractériser les 17 cas canadiens d’ESB survenus avant novembre 2009 d’après les propriétés moléculaires et biochimiques de leur PrPres, dont l’immunoréactivité, la masse moléculaire, le profil des glycoformes et la sensibilité relative à la protéinase K (PK). Dans deux cas, la masse moléculaire et le profil des glycoformes rappelaient ceux des cas atypiques signalés auparavant, l’un correspondant au type H de l’ESB (cas 6) et l’autre, au type L (cas 11). Tous les autres cas étaient du type C. La digestion à la PK, dans des conditions tant favorables que stringentes, a révélé une résistance réduite à la protéinase dans les deux cas atypiques, comparativement à celle associée aux cas de type C. Dans le transfert par Western, les anticorps spécifiques des séquences N-terminales se sont liés à la PrPres du cas 6, mais pas à celle du cas 11 ni à celles des cas de type C. Les anticorps spécifiques des séquences C-terminales ont révélé des changements dans le profil des glycoformes et mis en évidence un quatrième fragment protéique dans le cas 6, indiquant l’existence de deux sous-populations de PrPres dans l’ESB de type H. Aucune mutation indicatrice d’une étiologie génétique n’a été observée chez les 17 animaux chez lesquels on avait déterminé la séquence génique complète de la région de l’exon 3 du gène PRNP codant la PrP. Par conséquent, les trois types connus d’ESB ont été confirmés chez des bovins canadiens et leurs caractéristiques moléculaires sont très semblables à celles des cas d’ESB classiques et atypiques décrits en Europe, au Japon et aux États-Unis. La détection de cas d’ESB atypiques dans des pays comme le Canada, où la prévalence et les risques de transmission sont faibles, semble corroborer la présence de formes sporadiques de l’ESB partout dans le monde.
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The epidemiology and possibly the etiology of bovine spongiform encephalopathy (BSE) have recently been recognized to be heterogeneous. In particular, three types [classical (C) and two atypical (H, L)] have been identified, largely on the basis of characteristics of the proteinase K (PK)-resistant core of the misfolded prion protein associated with the disease (PrPres).
On sait depuis peu que l’épidémiologie et peut-être même l’étiologie de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ne sont pas homogènes. En effet, selon les caractéristiques associées à la conformation anormale de la protéine prion résistante à la protéinase K (PrPres), on distingue trois types de maladies : le type classique (C) et deux types atypiques (H et L). La présente étude visait à caractériser les 17 cas canadiens d’ESB survenus avant novembre 2009 d’après les propriétés moléculaires et biochimiques de leur PrPres, dont l’immunoréactivité, la masse moléculaire, le profil des glycoformes et la sensibilité relative à la protéinase K (PK). Dans deux cas, la masse moléculaire et le profil des glycoformes rappelaient ceux des cas atypiques signalés auparavant, l’un correspondant au type H de l’ESB (cas 6) et l’autre, au type L (cas 11). Tous les autres cas étaient du type C. La digestion à la PK, dans des conditions tant favorables que stringentes, a révélé une résistance réduite à la protéinase dans les deux cas atypiques, comparativement à celle associée aux cas de type C. Dans le transfert par Western, les anticorps spécifiques des séquences N-terminales se sont liés à la PrPres du cas 6, mais pas à celle du cas 11 ni à celles des cas de type C. Les anticorps spécifiques des séquences C-terminales ont révélé des changements dans le profil des glycoformes et mis en évidence un quatrième fragment protéique dans le cas 6, indiquant l’existence de deux sous-populations de PrPres dans l’ESB de type H. Aucune mutation indicatrice d’une étiologie génétique n’a été observée chez les 17 animaux chez lesquels on avait déterminé la séquence génique complète de la région de l’exon 3 du gène PRNP codant la PrP. Par conséquent, les trois types connus d’ESB ont été confirmés chez des bovins canadiens et leurs caractéristiques moléculaires sont très semblables à celles des cas d’ESB classiques et atypiques décrits en Europe, au Japon et aux États-Unis. La détection de cas d’ESB atypiques dans des pays comme le Canada, où la prévalence et les risques de transmission sont faibles, semble corroborer la présence de formes sporadiques de l’ESB partout dans le monde.
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The epidemiology and possibly the etiology of bovine spongiform encephalopathy (BSE) have recently been recognized to be heterogeneous. In particular, three types [classical (C) and two atypical (H, L)] have been identified, largely on the basis of characteristics of the proteinase K (PK)-resistant core of the misfolded prion protein associated with the disease (PrPres).
On sait depuis peu que l’épidémiologie et peut-être même l’étiologie de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ne sont pas homogènes. En effet, selon les caractéristiques associées à la conformation anormale de la protéine prion résistante à la protéinase K (PrPres), on distingue trois types de maladies : le type classique (C) et deux types atypiques (H et L). La présente étude visait à caractériser les 17 cas canadiens d’ESB survenus avant novembre 2009 d’après les propriétés moléculaires et biochimiques de leur PrPres, dont l’immunoréactivité, la masse moléculaire, le profil des glycoformes et la sensibilité relative à la protéinase K (PK). Dans deux cas, la masse moléculaire et le profil des glycoformes rappelaient ceux des cas atypiques signalés auparavant, l’un correspondant au type H de l’ESB (cas 6) et l’autre, au type L (cas 11). Tous les autres cas étaient du type C. La digestion à la PK, dans des conditions tant favorables que stringentes, a révélé une résistance réduite à la protéinase dans les deux cas atypiques, comparativement à celle associée aux cas de type C. Dans le transfert par Western, les anticorps spécifiques des séquences N-terminales se sont liés à la PrPres du cas 6, mais pas à celle du cas 11 ni à celles des cas de type C. Les anticorps spécifiques des séquences C-terminales ont révélé des changements dans le profil des glycoformes et mis en évidence un quatrième fragment protéique dans le cas 6, indiquant l’existence de deux sous-populations de PrPres dans l’ESB de type H. Aucune mutation indicatrice d’une étiologie génétique n’a été observée chez les 17 animaux chez lesquels on avait déterminé la séquence génique complète de la région de l’exon 3 du gène PRNP codant la PrP. Par conséquent, les trois types connus d’ESB ont été confirmés chez des bovins canadiens et leurs caractéristiques moléculaires sont très semblables à celles des cas d’ESB classiques et atypiques décrits en Europe, au Japon et aux États-Unis. La détection de cas d’ESB atypiques dans des pays comme le Canada, où la prévalence et les risques de transmission sont faibles, semble corroborer la présence de formes sporadiques de l’ESB partout dans le monde.
  Assessment of microbial...  
The occurrence of bovine spongiform encephalopathy (BSE) in Canada has resulted in the implementation of regulations to remove specified risk material (SRM) from the food chain. SRM includes the distal ileum of all cattle, and the skull, brain, trigeminal ganglia, eyes, palatine tonsils, and spinal cord and dorsal root ganglia of cattle >30 months of age.
Les cas d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) au Canada ont donné lieu à la mise en place de règlements visant l’enlèvement du matériel à risque spécifié (MRS) de la filière alimentaire. Le MRS comprend l’iléum distal de tous les bovins, et chez ceux de plus de trente mois : le crâne, le cerveau, les ganglions trigéminés, les yeux, les tonsilles palatines, la moelle épinière et les ganglions de la racine dorsale. Le compostage pourrait s’avérer une solution viable à l’équarrissage pour l’élimination du MRS. Dans la présente étude, nous avons utilisé deux agents gonflants, la paille d’orge et des copeaux de bois, dans le compostage de MRS avec du fumier de bovin dans des composteurs de laboratoire à aération passive. Les deux types de composts ont chauffé rapidement, atteignant 55° C après 3 jours, l’oxygène diminuant en début de compostage dans le système avec les copeaux de bois et revenant presque aux concentrations initiales après 5 jours. Pendant le compostage, les deux substrats ne différaient (P < 0,05) que sur le plan de la teneur en eau, du carbone total (CT) et de la densité apparente. Dans le compost fini, la teneur en eau, le CT et le rapport carbone/azote (C/N) étaient plus élevés (P < 0,05) et la conductivité électrique, plus faible (P < 0,05) dans le système à copeaux de bois que dans celui avec la paille. Au cours des cinq premiers jours, 30 % du MRS a été décomposé, et après 15 jours, la moitié, environ, avait été décomposée. Nous avons utilisé le profil des acides gras phospholipidiques (AGP) pour caractériser les communautés microbiennes et montrer la prédominance des bactéries Gram positif dans le compost de 5 jours, un point qui coïncidait avec une augmentation rapide de la température. Les populations de bactéries Gram négatif et d’anaérobies avaient diminué au jour 5, mais elles avaient retrouvé leur densité initiale au jour 15. Il semble que les champignons aient été inhibés aux températures dépassant 55° C, et que cette inhibition se soit maintenue durant le reste de la durée de compostage, sauf au jour 15, dans le système avec la paille d’orge. Quant aux actinomycètes, au jour 5, leur nombre avait augmenté dans le compost avec la paille, mais diminué dans celui avec les copeaux de bois, tandis qu’au jour 15, leur nombre avait augmenté dans les deux types de compost. Même si des changements temporels étaient évidents, les substrats ou leur profondeur dans le composteur n’ont pas eu d’effet manifeste sur les communautés microbi