what on – -Translation – Keybot Dictionary

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  “Advantage Canada: Reca...  
When Ronald Reagan was asked to describe an optimist, he often told the story of a young boy confronting a room full of horse manure. As the boy started to dig enthusiastically into the pile, onlookers asked what on earth he was doing.
Lorsqu’on a demandé à Ronald Reagan de décrire un optimiste, il a raconté l’histoire d’un jeune garçon confronté à une pièce pleine de fumier de cheval. Comme le garçon commençait à creuser dans le tas avec enthousiasme, des gens qui passaient par là lui ont demandé ce qu’il pouvait bien être en train de faire, ce à quoi il a répondu « Je sais juste qu’il doit y avoir un poney quelque part par ici ».
  The Menace of General I...  
I draw it only to make the point that if we cannot do the job in Cape Breton (whether we prime the pump or leave it to the invisible hand) – if the challenge defeats us even in our own polity, with all the advantages and resources that we enjoy – what on earth makes us think we can do it in Haiti?
Problème 3 – Le modèle exige que nous fassions des choses que nous ne savons pas faire. Mais même si nous étions prêts à consentir cet effort, un troisième problème se poserait. Il découle du fait que nous ne saurions pas comment faire le travail, même si nous étions assez fermement résolus à essayer. Au milieu des années 1980, les élites canadiennes (je l’ai souvent fait valoir) ont renoncé en grande partie à tenter de faire décoller l’économie du Cap-Breton par des politiques publiques (de même que les économies d’autres régions classées en difficulté). Rien ne semblait prévaloir contre les forces du marché. Le gouvernement ne pouvait jamais trouver des gagnants. Au contraire, il se retrouvait constamment avec des perdants. Peut-être devrait-il abandonner les efforts et laisser aller les choses. La main-d’œuvre, faisait-on valoir alors, irait là où sont les emplois – de même que les travailleurs affluent aujourd’hui en Alberta – et l’économie du pays dans son ensemble serait alors en meilleur état, même si l’économie du Cap-Breton continuait de languir (comme c’est effectivement le cas). Un scénario controversé, me direz-vous, et je conviens évidemment que le tableau est plus complexe. Je cite cet exemple seulement pour faire valoir que si nous ne pouvons faire ce travail au Cap-Breton (que nous renflouions l’économie ou que nous laissions agir les forces du marché) – si nous ne sommes pas en mesure de relever ce défi dans notre propre pays, avec tous les avantages et les ressources dont nous disposons – pourquoi croirions-nous que nous pouvons le faire en Haïti? Ou encore au Soudan? Ou en Somalie? Et qu’est-ce qui nous fait penser que nous pouvons trouver une culture plus lucrative que celle du pavot pour les agriculteurs de l’Afghanistan, même si nous avions trouvé moyen de les libérer des extorsions des chefs de guerre et des criminels organisés? Dans les circonstances, il n’est pas surprenant que certains esprits parmi les mieux intentionnés aient abandonné la partie et suggèrent de trouver des façons plus constructives d’utiliser les stupéfiants tirés du pavot. Non pas que cela ait des chances de fonctionner non plus.