toyed – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 15 Results  www.biographi.ca
  Biography – NORTON, JOH...  
Occasionally he gave parish assistance to Robert Addison, and he translated the Gospel of St Matthew into Mohawk – an effort which caused him to leave the work on other gospels to an assistant, Henry Aaron Hill [Kenwendeshon]. Debts kept on worrying him. The old traveller and warrior became restive; he toyed with plans to visit his Cherokee relatives in the south.
Norton quitta la Grande-Bretagne pour le Haut-Canada avec sa femme en 1816. L’armée britannique lui avait décerné un grade honoraire de major, mais on l’appelait officieusement le colonel Norton. Il devint propriétaire d’une grande ferme surplombant la rivière Grand, à Sims Locks, au sud de l’emplacement actuel de Brantford et, en mettant ses terres en valeur, s’employa à montrer les bienfaits de l’agriculture à la communauté de la rivière Grand. À l’occasion, il assistait Robert Addison dans ses fonctions paroissiales ; en outre, il traduisit en agnier l’Évangile selon saint Matthieu, ce qui l’obligea à abandonner la traduction des autres Évangiles à un assistant, Henry Aaron Hill [Kenwendeshon]. Ses dettes ne laissaient pas de le préoccuper. Cet ancien voyageur et guerrier ne tenait plus en place ; il rêvait de retourner voir ses parents cherokees dans le sud.
  Biography – HEPBURN, MI...  
Rumours of a movement for a non-partisan union government were once again swirling about, while privately the premier toyed with the idea of resigning from office in order to pursue active service with the Canadian forces overseas.
Après le déclenchement des hostilités en Europe, en septembre, le gouvernement de Hepburn mit rapidement la province sur un pied de guerre. Un comité formé du premier ministre, du lieutenant-gouverneur et du chef de l’opposition se rendit même à Ottawa au début du mois suivant pour offrir son appui et ses conseils à King et à son cabinet. Dans un geste conciliatoire, Hepburn retira ses objections concernant le projet de voie maritime du Saint-Laurent. Les ministres fédéraux écoutèrent patiemment, mais Hepburn et Drew furent irrités par le manque d’actions concrètes. Des rumeurs au sujet d’un mouvement pour un gouvernement d’union non partisan recommencèrent à circuler, pendant qu’en privé, le premier ministre caressait l’idée de démissionner de son poste pour devenir un membre actif des forces canadiennes outre-mer.
  Biography – ABBADIE DE ...  
He reflected then that the time had finally come to go to France to straighten out his affairs. He had already been giving thought to this matter, and from 1707 on he had toyed with the idea of setting out.
Cependant, Port-Royal était condamné, car la Nouvelle-Angleterre s’était juré de venger l’humiliante défaite de 1707. Tandis que le pauvre Subercase demandait en vain des secours à Versailles, la reine Anne aidait substantiellement les colonies du Massachusetts, du Connecticut, du New Hampshire et du Rhode Island à mettre sur pied une formidable expédition. Le 5 octobre 1710, le gouverneur de la Virginie, sir Francis Nicholson, à la tête de 2 000 soldats sur 36 vaisseaux, investissait Port-Royal. Subercase n’avait à lui opposer que 158 hommes de troupe et 127 miliciens ; il lui résista huit jours et finit par capituler le 13. Une semaine plus tard, Saint-Castin, qui ne savait rien, parut devant Port-Royal, déjà rebaptisé Annapolis Royal. Son bateau fut pris, mais il parvint à s’échapper et à gagner les bois.
  Biography – HALDIMAND, ...  
The latter’s death the same year destroyed this plan, and for the remainder of his life Haldimand never seems to have been quite sure about what to do with the seigneury. Although he invested a certain amount of money and from time to time took an interest in it, he also constantly toyed with the idea of selling it.
Tant qu’une victoire britannique avait semblé possible, Haldimand avait peu réfléchi à l’établissement des réfugiés ; cependant, dès 1783, il devint urgent de faire quelque chose. Le gouverneur était favorable à la création d’une colonie militaire dans la région de Detroit ; ce projet fut abandonné quand on sut que ce territoire avait été cédé aux Américains. Haldimand avait pensé aussi à la région située autour de la baie des Chaleurs, mais il ne soutint jamais activement cette idée. Le gouvernement britannique, pour sa part, avait conseillé qu’on permette aux Loyalistes d’occuper des terres dans l’actuelle région des Cantons de l’Est, mais le gouverneur le persuada de changer d’avis. Les réfugiés y seraient trop près de leurs anciens ennemis pour se sentir à l’aise, et Haldimand souhaitait réserver cette région à la population canadienne qui se multipliait.
  Biography – McMASTER, W...  
The leaders in this campaign for a separate institution included Castle, president of Toronto Baptist College, and two of his academic colleagues, Malcolm MacVicar*, a confidant of the senator’s, and Theodore Harding Rand*, a prominent Maritime educator. It is possible that the senator’s wife may have urged him to endorse this campaign; there is an even better possibility that McMaster had toyed with the idea independently.
Un congrès spécial sur l’éducation, tenu par les baptistes en 1879, autorisa le transfert du département de théologie à Toronto, et, en moins d’un an, McMaster avait non seulement fourni un emplacement, dans la rue Bloor, mais avait assuré également une mise de fonds initiale de $100 000 et s’était engagé à fournir une contribution annuelle d’environ $14 000. Bien qu’il se montrât apparemment réticent à ce que son nom fût associé à l’édifice, on passa outre à ce souhait en donnant son nom au McMaster Hall. Il insista néanmoins pour que l’institution portât le nom de collège plutôt que l’appellation américaine de séminaire. C’est peut-être son passé britannique et l’espoir de voir certains cours de lettres s’ajouter un jour au programme de théologie qui l’amenèrent à insister autant sur ce point et qui expliquent pourquoi l’établissement prit le nom de Toronto Baptist College avant d’ouvrir ses portes aux étudiants, à l’automne de 1881.