rees – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 5 Results  www.tasnee.com
  ARTSask - Inglis Sheldo...  
In London, Sheldon-Williams was exposed to the paintings of J. M. W. Turner and from them he learned how to suggest rather than define form and how, through the use of impressionistic techniques, to emphasize sky and light. Author Ronald Rees says, “Sheldon-Williams was one of the first painters to convey a sense of the stillness of the prairie, its emptiness and the luminous quality of its light.” (Rees, 1984)
À Londres, Sheldon-Williams est exposé aux tableaux de J. M. W. Turner et il apprend à suggérer la forme plutôt qu’à la définir, ainsi qu’à mettre l’accent sur le ciel et la lumière en se servant de techniques impressionistes. L’auteur Ronald Rees déclare : « Sheldon-Williams fut l’un des premiers peintres à transmettre l’impression de calme de la prairie, son vide et la qualité de sa lumière. » (Rees, 1984)
  ARTSask - Inglis Sheldo...  
Summing up Sheldon-Williams’ career, author Ronald Rees says, “Had he stayed in Canada Sheldon-Williams, with his feeling for prairie light and space, might have broken new trails instead of merely hinting at new directions. But, like the rest of the immigrant painters, he saw himself primarily as a bearer of culture to the new land, not as an interpreter of it.” (Rees, 1984)
Pour résumer la carrière de Sheldon-Williams, l’auteur Ronald Rees dit : « S’il était resté au Canada, Sheldon-Williams, avec son instinct pour la lumière et l’espace de la prairie, aurait pu ouvrir de nouvelles voies plutôt que de faire simplement allusion à de nouvelles directions. Mais, comme le reste des peintres immigrants, il se voyait surtout comme porteur de la culture dans un nouveau pays et non comme l’interprète de ce dernier.» Rees, p. 37, 1984)
  ARTSask - Inglis Sheldo...  
In London, Sheldon-Williams was exposed to the paintings of J. M. W. Turner and from them he learned how to suggest rather than define form and how, through the use of impressionistic techniques, to emphasize sky and light. Author Ronald Rees says, “Sheldon-Williams was one of the first painters to convey a sense of the stillness of the prairie, its emptiness and the luminous quality of its light.” (Rees, 1984)
À Londres, Sheldon-Williams est exposé aux tableaux de J. M. W. Turner et il apprend à suggérer la forme plutôt qu’à la définir, ainsi qu’à mettre l’accent sur le ciel et la lumière en se servant de techniques impressionistes. L’auteur Ronald Rees déclare : « Sheldon-Williams fut l’un des premiers peintres à transmettre l’impression de calme de la prairie, son vide et la qualité de sa lumière. » (Rees, 1984)
  ARTSask - George Jenkins  
“A plough in a field can be a landscape,” Jenkins said, “but the abandoned field in the backgroundPart of the picture plane that seems to be farthest from the viewer. gives the painting social significance and the work takes on an entirely different meaning.” (Rees, 1984)
Jenkins croit aussi qu’un ou une artiste devrait voir son point de vue social et politique reflété dans son oeuvre. «Une charrue dans un champ peut être un paysage, a dit Jenkins, mais le champ abandonné en arrière-plan donne à la peinture une signification sociale qui donne à l’oeuvre un sens entièrement différent» (Rees, 1984).
  ARTSask - Inglis Sheldo...  
Summing up Sheldon-Williams’ career, author Ronald Rees says, “Had he stayed in Canada Sheldon-Williams, with his feeling for prairie light and space, might have broken new trails instead of merely hinting at new directions. But, like the rest of the immigrant painters, he saw himself primarily as a bearer of culture to the new land, not as an interpreter of it.” (Rees, 1984)
Pour résumer la carrière de Sheldon-Williams, l’auteur Ronald Rees dit : « S’il était resté au Canada, Sheldon-Williams, avec son instinct pour la lumière et l’espace de la prairie, aurait pu ouvrir de nouvelles voies plutôt que de faire simplement allusion à de nouvelles directions. Mais, comme le reste des peintres immigrants, il se voyait surtout comme porteur de la culture dans un nouveau pays et non comme l’interprète de ce dernier.» Rees, p. 37, 1984)