pn – Traduction – Dictionnaire Keybot

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[Mill.] B.S.P.) seedlings of three different types (small, medium, and large), planted in raised sand beds maintained under wet, moderately dry or dry soil moisture conditions, three occasions during the growing season. Concurrent measurements of net photosynthesis (Pn) and of relative growth rates (RGR) had shown specific differences and similarities among the three seedling types.
Mill. étaient plantés sur des lits soulevés de sable dans des conditions, humides, modérément sèches ou sèches, durant la saison de croissance. les mesures concomitants la photosynnthèse nette (Pn) et le taux de croissance relatif (TCR) montrent des similarités et des différences spécifiques parmi les trois types de semis. Seul l'acide quinique montrait des modèles de variation comparables à ceux observés pour Pn et TCR. Les grandes concentrations de l'acide quinique étaient associées avec des types de semis montrant les valeurs les plus de de Pn et TCR. Aucune de telle similarité n'était observée avec les autres hydrates de carbone mesurés. Ces résultats indiquent que les concentrations de l'acide quinique refètent la croissance des semis, et sont indépendantes de l'interconversions et du procédés de stockage qui empêchent l'utilisation d'autres sucres comme indicateurs de qualité des semis.
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[Mill.] B.S.P.) seedlings of three different types (small, medium, and large), planted in raised sand beds maintained under wet, moderately dry or dry soil moisture conditions, three occasions during the growing season. Concurrent measurements of net photosynthesis (Pn) and of relative growth rates (RGR) had shown specific differences and similarities among the three seedling types.
Mill. étaient plantés sur des lits soulevés de sable dans des conditions, humides, modérément sèches ou sèches, durant la saison de croissance. les mesures concomitants la photosynnthèse nette (Pn) et le taux de croissance relatif (TCR) montrent des similarités et des différences spécifiques parmi les trois types de semis. Seul l'acide quinique montrait des modèles de variation comparables à ceux observés pour Pn et TCR. Les grandes concentrations de l'acide quinique étaient associées avec des types de semis montrant les valeurs les plus de de Pn et TCR. Aucune de telle similarité n'était observée avec les autres hydrates de carbone mesurés. Ces résultats indiquent que les concentrations de l'acide quinique refètent la croissance des semis, et sont indépendantes de l'interconversions et du procédés de stockage qui empêchent l'utilisation d'autres sucres comme indicateurs de qualité des semis.
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Seedlings and emblings had similar resistance to water movement through the plant-atmosphere continuum (Rpac) at 22 C root temperature, though emblings had greater Rpac at 7.5 C root temperature. Seedlings had greater net photosynthesis (Pn) than emblings over a 14-day period at both 7.5 and 22 C root temperature, though they had low and similar root development at 7.5 C root temperature.
Au printemps, à la sortie de l’entreposage au froid, nous avons fait subir à des semis et à des plants issus d’embryogénèse somatique d’épinette de l’intérieur (Picea glauca (Moench) Voss X Picea engelmannii Parry) des tests pré-plantation d’évaluation de qualité des stocks. Les semis avaient des masses aériennes et racinaires plus élevées que les plants d’origine somatique. Les deux types de plants avaient des valeurs similaires de diamètre au collet, de nombre de bourgeons par longueur totale de tige et de nombre de primorida d’aiguilles dans le bougeon terminal. Les semis et les plants d’origine somatique avaient une forme de tige (c.-à-d., quotient de branchaison) et un équilibre des sytèmes aérien et racinaire (rapport d’équilibre hydrique du plant) similaires. Le potentiel osmotique au point de perte de turgescence et la fraction symplastique étaient plus faibles chez les plants d’origine somatique, mais leur turgescence totale et leur fraction en masse sèche étaient supérieures à celles des semis. Leurs valeurs de potentiel osmotiques à saturation et de teneur en eau relative au point de perte de turgescence étaient similaires. La résistance au transfert de l’eau dans le continuum plante-atmosphère était similaire chez les deux types de plants à une température racinaire de 22 C, mais supérieure chez les plants d’origine somatique à une température racinaire de 7,5 C. Le développement racinaire en 14 jours était supérieur chez les semis à 22 C de température racinaire, mais également faible chez les deux types de plants à 7,5 C. La photosynthèse nette (Pn) des semis pendant la même période était supérieure à celle des plants d’origine somatique aux deux températures racinaires. Chez les deux types de plants, les valeurs de Pn et de conductance stomatique (gwv) ont baissé en même temps que celles du potentiel hydrique pré-aube. La fermeture quasi complète des stomates a été atteinte à un potentiel hydrique pré-aube de moins de -1,5 MPa, et des mesures aussi réduites de Pn (semis: -0.01 +/- 0,04 mmol.m-2.s-1; plants d’origine somatique: 0,02 +/- 0,04 mmol.m-2.s-1) ont été atteintes à des valeurs de potentiel hydrique pré-aube allant de -1,0 à -2,0 MPa. Les attributs physiques et de performance ont été combinés pour une caractérisation complète du potentiel de performance au champ en un indice de potentiel de performance. En conditions optimales, la valeur de cet indice était plus élevée pour les semis que pour les plants d’origine somatique. En condi
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In 1991, daytime xylem water potential, predawn xylem water potential, net photosynthesis (Pn) and needle conductance (gwv) were all lower in trees growing on the least productive site (2) than in trees growing on the most productive site (3), indicating that trees on site 2 were under greater water stress than those on site 3.
Nous avons mesuré les échanges gazeux et le potentiel hydrique du xylème sur des épinettes noires (Picea marian (Mill.) B.S.P.) âgées de 20 ans provenant de quatre fratries provenant d’un test 7 x 7 en diallèle. Ces fratries sont issues de croissements de 2 parents x 2 parents en structure factorielle. Un parent femelle (59) a produit des familles avec une productivité élevée sur trois sites de plantation. L’autre parent femelle (63) a produit des familles avec une productivité élevée sur deux des sites de plantation, mais pas sur le troisième site plus pauvre. Nous avons obtenu des mesures sur deux sites en 1991 (été chaud et sec), mais sur seulement un site en 1992 (été frais et humide). Les échanges gazeux ont été mesurés sur des branches détachées provenant du tiers supérieur de la cime, en dedans de 2 min de l’excision. En 1991, les valeurs de potentiels hydriques du xylème diurne et pré-aube, de photosynthèse nette (Pn) et de conductance stomatique (gwv) étaient plus faibles chez les arbres poussant sur le site moins productif (2) que chez ceux poussant sur le site plus productif (3), indiquant que les arbres sur le site 2 subissaient un stress hydrique plus élevé que ceux sur le site 3. Les valeurs de Pn étaient plus élevées chez la descendance de la femelle 59 que chez la descendance de la femelle 63 au cours des deux années de régimes pluviométriques contrastants, et sur les deux sites durant la première année de l’étude. Les valeurs de gwv n’ont cependant pas montréde différences significatives. La variabilité génétique de Pn/gwv, telle qu’observée sur les deux sites et pendant les 2 années, n’a pu être reliée positivement au taux de croissance que sur le site sec. L’interaction génétique x environnemnt observée dans le taux de croissance semble donc être due à des différences génétiques relativement stables de Pn. Nous proposonos comme hypothèse que le stress hydrique sur le site sect réduit Pn sous une valeur seuil au-dessous de laquelle la variation génétique de Pn a un impact sur la productivité et engendre une différence génétique du taux de croissance. Nous proposons aussi comme hypothèse que, sur le site humide, le gain en carbone par unité de surface foliaire ne limite pas autant la croissance; les différences génétiques observées pour Pn n’influencent donc pas le classement génétique des taux de croissance.
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Response surface models for net photosynthesis (Pn) of current-year needles showed Pn to increase as photosynthetically active radiation (PAR) increased to around 1000 mmol.m-2.s-1, and thereafter remained stable, but as VPD increased Pn decreased at all PAR levels.
Nous avons planté des semis et des plants issus d’embryogénèse somatique d’épinette de l’intérieur (Picea glauca (Moench) Voss X Picea engelmannii Parry) sur un site de reboisement dans le centre de la Colombie-Britannique. Les patrons d’échange gazeux et de relations hydriques ont été suivis au cours de la première saison de croissance et le développement morphologique a été suivi au cours des deux premières saisons de croissance. Au cours de la période d’élongation des tiges, les potentiels osmotiques à saturation et au point de perte de turgescnce des deux types de plants se sont accrus alors que le modulus d’élasticité volumétrique maximal et le potentiel de pression de turgescence total ont décru, résultant en une turgescence utilisée de plus de 100%. De la mise en place des bourgeons, en fin juillet, jusqu’au 8 octobre, les potentiels osmotiques à saturation et au point de perte de turgescence ont décliné alors que le modulus d’élasticité volumétrique maximal et le potentiel de pression de turgescence total se sont accrus de 55 et 70% chez les deux types de plants. Il n’y a eu que peu de différences de relations hydriques des tiges entre les semis et les plants d’origine somatique. La conductance (gwv) des aiguilles de l’année et des aiguilles âgées de un an a décru de façon similaire chez les deux types de plants en réponse à un accroissement du déficit de pression de vapeur (VPD). L’analyse des surfaces de réponse de la photosynthèse nette (Pn) des aiguilles de l’année montre un accroissement de Pn jusqu’à un rayonnement photosynthétiquement actif (PAR) de 1000 mmol.m-2.s-1 et un plafonnement par la suite, mais une baisse de Pn à tous les niveaux de PAR suite à un accroissement de VPD. Le Pn des plants d’origine somatique était de 15% supérieur à celui des semis en conditiosn de terrain optimale (VPD <3,0 kPa et PAR >1000 mmol.m-2.s-1). L’accroissement de Pn était relié linéairement à celui de gwv chez les deux types de plants; pour une valeur de gwv donnée, le Pn des aiguilles de un an était plus élevé que celui des aiguilles de l’année. Les croissances en hauteur et en diamètre des deux premières saisons de croissance étaient similaires chez les semis et chez les plants d’origine somatique. Les masses racinaires des deux types de plants étaient similaires après ces deux saisons. Après le premier hiver au champ, les taux de survie étaient respectivement de 87% et de 91% chez les semis et les plants d’origine somatique; le pourcentage de dommage f
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Seedlings and emblings had similar resistance to water movement through the plant-atmosphere continuum (Rpac) at 22 C root temperature, though emblings had greater Rpac at 7.5 C root temperature. Seedlings had greater net photosynthesis (Pn) than emblings over a 14-day period at both 7.5 and 22 C root temperature, though they had low and similar root development at 7.5 C root temperature.
Au printemps, à la sortie de l’entreposage au froid, nous avons fait subir à des semis et à des plants issus d’embryogénèse somatique d’épinette de l’intérieur (Picea glauca (Moench) Voss X Picea engelmannii Parry) des tests pré-plantation d’évaluation de qualité des stocks. Les semis avaient des masses aériennes et racinaires plus élevées que les plants d’origine somatique. Les deux types de plants avaient des valeurs similaires de diamètre au collet, de nombre de bourgeons par longueur totale de tige et de nombre de primorida d’aiguilles dans le bougeon terminal. Les semis et les plants d’origine somatique avaient une forme de tige (c.-à-d., quotient de branchaison) et un équilibre des sytèmes aérien et racinaire (rapport d’équilibre hydrique du plant) similaires. Le potentiel osmotique au point de perte de turgescence et la fraction symplastique étaient plus faibles chez les plants d’origine somatique, mais leur turgescence totale et leur fraction en masse sèche étaient supérieures à celles des semis. Leurs valeurs de potentiel osmotiques à saturation et de teneur en eau relative au point de perte de turgescence étaient similaires. La résistance au transfert de l’eau dans le continuum plante-atmosphère était similaire chez les deux types de plants à une température racinaire de 22 C, mais supérieure chez les plants d’origine somatique à une température racinaire de 7,5 C. Le développement racinaire en 14 jours était supérieur chez les semis à 22 C de température racinaire, mais également faible chez les deux types de plants à 7,5 C. La photosynthèse nette (Pn) des semis pendant la même période était supérieure à celle des plants d’origine somatique aux deux températures racinaires. Chez les deux types de plants, les valeurs de Pn et de conductance stomatique (gwv) ont baissé en même temps que celles du potentiel hydrique pré-aube. La fermeture quasi complète des stomates a été atteinte à un potentiel hydrique pré-aube de moins de -1,5 MPa, et des mesures aussi réduites de Pn (semis: -0.01 +/- 0,04 mmol.m-2.s-1; plants d’origine somatique: 0,02 +/- 0,04 mmol.m-2.s-1) ont été atteintes à des valeurs de potentiel hydrique pré-aube allant de -1,0 à -2,0 MPa. Les attributs physiques et de performance ont été combinés pour une caractérisation complète du potentiel de performance au champ en un indice de potentiel de performance. En conditions optimales, la valeur de cet indice était plus élevée pour les semis que pour les plants d’origine somatique. En condi
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Seedlings and emblings had similar resistance to water movement through the plant-atmosphere continuum (Rpac) at 22 C root temperature, though emblings had greater Rpac at 7.5 C root temperature. Seedlings had greater net photosynthesis (Pn) than emblings over a 14-day period at both 7.5 and 22 C root temperature, though they had low and similar root development at 7.5 C root temperature.
Au printemps, à la sortie de l’entreposage au froid, nous avons fait subir à des semis et à des plants issus d’embryogénèse somatique d’épinette de l’intérieur (Picea glauca (Moench) Voss X Picea engelmannii Parry) des tests pré-plantation d’évaluation de qualité des stocks. Les semis avaient des masses aériennes et racinaires plus élevées que les plants d’origine somatique. Les deux types de plants avaient des valeurs similaires de diamètre au collet, de nombre de bourgeons par longueur totale de tige et de nombre de primorida d’aiguilles dans le bougeon terminal. Les semis et les plants d’origine somatique avaient une forme de tige (c.-à-d., quotient de branchaison) et un équilibre des sytèmes aérien et racinaire (rapport d’équilibre hydrique du plant) similaires. Le potentiel osmotique au point de perte de turgescence et la fraction symplastique étaient plus faibles chez les plants d’origine somatique, mais leur turgescence totale et leur fraction en masse sèche étaient supérieures à celles des semis. Leurs valeurs de potentiel osmotiques à saturation et de teneur en eau relative au point de perte de turgescence étaient similaires. La résistance au transfert de l’eau dans le continuum plante-atmosphère était similaire chez les deux types de plants à une température racinaire de 22 C, mais supérieure chez les plants d’origine somatique à une température racinaire de 7,5 C. Le développement racinaire en 14 jours était supérieur chez les semis à 22 C de température racinaire, mais également faible chez les deux types de plants à 7,5 C. La photosynthèse nette (Pn) des semis pendant la même période était supérieure à celle des plants d’origine somatique aux deux températures racinaires. Chez les deux types de plants, les valeurs de Pn et de conductance stomatique (gwv) ont baissé en même temps que celles du potentiel hydrique pré-aube. La fermeture quasi complète des stomates a été atteinte à un potentiel hydrique pré-aube de moins de -1,5 MPa, et des mesures aussi réduites de Pn (semis: -0.01 +/- 0,04 mmol.m-2.s-1; plants d’origine somatique: 0,02 +/- 0,04 mmol.m-2.s-1) ont été atteintes à des valeurs de potentiel hydrique pré-aube allant de -1,0 à -2,0 MPa. Les attributs physiques et de performance ont été combinés pour une caractérisation complète du potentiel de performance au champ en un indice de potentiel de performance. En conditions optimales, la valeur de cet indice était plus élevée pour les semis que pour les plants d’origine somatique. En condi
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Response surface models for net photosynthesis (Pn) of current-year needles showed Pn to increase as photosynthetically active radiation (PAR) increased to around 1000 mmol.m-2.s-1, and thereafter remained stable, but as VPD increased Pn decreased at all PAR levels.
Nous avons planté des semis et des plants issus d’embryogénèse somatique d’épinette de l’intérieur (Picea glauca (Moench) Voss X Picea engelmannii Parry) sur un site de reboisement dans le centre de la Colombie-Britannique. Les patrons d’échange gazeux et de relations hydriques ont été suivis au cours de la première saison de croissance et le développement morphologique a été suivi au cours des deux premières saisons de croissance. Au cours de la période d’élongation des tiges, les potentiels osmotiques à saturation et au point de perte de turgescnce des deux types de plants se sont accrus alors que le modulus d’élasticité volumétrique maximal et le potentiel de pression de turgescence total ont décru, résultant en une turgescence utilisée de plus de 100%. De la mise en place des bourgeons, en fin juillet, jusqu’au 8 octobre, les potentiels osmotiques à saturation et au point de perte de turgescence ont décliné alors que le modulus d’élasticité volumétrique maximal et le potentiel de pression de turgescence total se sont accrus de 55 et 70% chez les deux types de plants. Il n’y a eu que peu de différences de relations hydriques des tiges entre les semis et les plants d’origine somatique. La conductance (gwv) des aiguilles de l’année et des aiguilles âgées de un an a décru de façon similaire chez les deux types de plants en réponse à un accroissement du déficit de pression de vapeur (VPD). L’analyse des surfaces de réponse de la photosynthèse nette (Pn) des aiguilles de l’année montre un accroissement de Pn jusqu’à un rayonnement photosynthétiquement actif (PAR) de 1000 mmol.m-2.s-1 et un plafonnement par la suite, mais une baisse de Pn à tous les niveaux de PAR suite à un accroissement de VPD. Le Pn des plants d’origine somatique était de 15% supérieur à celui des semis en conditiosn de terrain optimale (VPD <3,0 kPa et PAR >1000 mmol.m-2.s-1). L’accroissement de Pn était relié linéairement à celui de gwv chez les deux types de plants; pour une valeur de gwv donnée, le Pn des aiguilles de un an était plus élevé que celui des aiguilles de l’année. Les croissances en hauteur et en diamètre des deux premières saisons de croissance étaient similaires chez les semis et chez les plants d’origine somatique. Les masses racinaires des deux types de plants étaient similaires après ces deux saisons. Après le premier hiver au champ, les taux de survie étaient respectivement de 87% et de 91% chez les semis et les plants d’origine somatique; le pourcentage de dommage f
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Response surface models for net photosynthesis (Pn) of current-year needles showed Pn to increase as photosynthetically active radiation (PAR) increased to around 1000 mmol.m-2.s-1, and thereafter remained stable, but as VPD increased Pn decreased at all PAR levels.
Nous avons planté des semis et des plants issus d’embryogénèse somatique d’épinette de l’intérieur (Picea glauca (Moench) Voss X Picea engelmannii Parry) sur un site de reboisement dans le centre de la Colombie-Britannique. Les patrons d’échange gazeux et de relations hydriques ont été suivis au cours de la première saison de croissance et le développement morphologique a été suivi au cours des deux premières saisons de croissance. Au cours de la période d’élongation des tiges, les potentiels osmotiques à saturation et au point de perte de turgescnce des deux types de plants se sont accrus alors que le modulus d’élasticité volumétrique maximal et le potentiel de pression de turgescence total ont décru, résultant en une turgescence utilisée de plus de 100%. De la mise en place des bourgeons, en fin juillet, jusqu’au 8 octobre, les potentiels osmotiques à saturation et au point de perte de turgescence ont décliné alors que le modulus d’élasticité volumétrique maximal et le potentiel de pression de turgescence total se sont accrus de 55 et 70% chez les deux types de plants. Il n’y a eu que peu de différences de relations hydriques des tiges entre les semis et les plants d’origine somatique. La conductance (gwv) des aiguilles de l’année et des aiguilles âgées de un an a décru de façon similaire chez les deux types de plants en réponse à un accroissement du déficit de pression de vapeur (VPD). L’analyse des surfaces de réponse de la photosynthèse nette (Pn) des aiguilles de l’année montre un accroissement de Pn jusqu’à un rayonnement photosynthétiquement actif (PAR) de 1000 mmol.m-2.s-1 et un plafonnement par la suite, mais une baisse de Pn à tous les niveaux de PAR suite à un accroissement de VPD. Le Pn des plants d’origine somatique était de 15% supérieur à celui des semis en conditiosn de terrain optimale (VPD <3,0 kPa et PAR >1000 mmol.m-2.s-1). L’accroissement de Pn était relié linéairement à celui de gwv chez les deux types de plants; pour une valeur de gwv donnée, le Pn des aiguilles de un an était plus élevé que celui des aiguilles de l’année. Les croissances en hauteur et en diamètre des deux premières saisons de croissance étaient similaires chez les semis et chez les plants d’origine somatique. Les masses racinaires des deux types de plants étaient similaires après ces deux saisons. Après le premier hiver au champ, les taux de survie étaient respectivement de 87% et de 91% chez les semis et les plants d’origine somatique; le pourcentage de dommage f
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Response surface models for net photosynthesis (Pn) of current-year needles showed Pn to increase as photosynthetically active radiation (PAR) increased to around 1000 mmol.m-2.s-1, and thereafter remained stable, but as VPD increased Pn decreased at all PAR levels.
Nous avons planté des semis et des plants issus d’embryogénèse somatique d’épinette de l’intérieur (Picea glauca (Moench) Voss X Picea engelmannii Parry) sur un site de reboisement dans le centre de la Colombie-Britannique. Les patrons d’échange gazeux et de relations hydriques ont été suivis au cours de la première saison de croissance et le développement morphologique a été suivi au cours des deux premières saisons de croissance. Au cours de la période d’élongation des tiges, les potentiels osmotiques à saturation et au point de perte de turgescnce des deux types de plants se sont accrus alors que le modulus d’élasticité volumétrique maximal et le potentiel de pression de turgescence total ont décru, résultant en une turgescence utilisée de plus de 100%. De la mise en place des bourgeons, en fin juillet, jusqu’au 8 octobre, les potentiels osmotiques à saturation et au point de perte de turgescence ont décliné alors que le modulus d’élasticité volumétrique maximal et le potentiel de pression de turgescence total se sont accrus de 55 et 70% chez les deux types de plants. Il n’y a eu que peu de différences de relations hydriques des tiges entre les semis et les plants d’origine somatique. La conductance (gwv) des aiguilles de l’année et des aiguilles âgées de un an a décru de façon similaire chez les deux types de plants en réponse à un accroissement du déficit de pression de vapeur (VPD). L’analyse des surfaces de réponse de la photosynthèse nette (Pn) des aiguilles de l’année montre un accroissement de Pn jusqu’à un rayonnement photosynthétiquement actif (PAR) de 1000 mmol.m-2.s-1 et un plafonnement par la suite, mais une baisse de Pn à tous les niveaux de PAR suite à un accroissement de VPD. Le Pn des plants d’origine somatique était de 15% supérieur à celui des semis en conditiosn de terrain optimale (VPD <3,0 kPa et PAR >1000 mmol.m-2.s-1). L’accroissement de Pn était relié linéairement à celui de gwv chez les deux types de plants; pour une valeur de gwv donnée, le Pn des aiguilles de un an était plus élevé que celui des aiguilles de l’année. Les croissances en hauteur et en diamètre des deux premières saisons de croissance étaient similaires chez les semis et chez les plants d’origine somatique. Les masses racinaires des deux types de plants étaient similaires après ces deux saisons. Après le premier hiver au champ, les taux de survie étaient respectivement de 87% et de 91% chez les semis et les plants d’origine somatique; le pourcentage de dommage f
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In 1991, daytime xylem water potential, predawn xylem water potential, net photosynthesis (Pn) and needle conductance (gwv) were all lower in trees growing on the least productive site (2) than in trees growing on the most productive site (3), indicating that trees on site 2 were under greater water stress than those on site 3.
Nous avons mesuré les échanges gazeux et le potentiel hydrique du xylème sur des épinettes noires (Picea marian (Mill.) B.S.P.) âgées de 20 ans provenant de quatre fratries provenant d’un test 7 x 7 en diallèle. Ces fratries sont issues de croissements de 2 parents x 2 parents en structure factorielle. Un parent femelle (59) a produit des familles avec une productivité élevée sur trois sites de plantation. L’autre parent femelle (63) a produit des familles avec une productivité élevée sur deux des sites de plantation, mais pas sur le troisième site plus pauvre. Nous avons obtenu des mesures sur deux sites en 1991 (été chaud et sec), mais sur seulement un site en 1992 (été frais et humide). Les échanges gazeux ont été mesurés sur des branches détachées provenant du tiers supérieur de la cime, en dedans de 2 min de l’excision. En 1991, les valeurs de potentiels hydriques du xylème diurne et pré-aube, de photosynthèse nette (Pn) et de conductance stomatique (gwv) étaient plus faibles chez les arbres poussant sur le site moins productif (2) que chez ceux poussant sur le site plus productif (3), indiquant que les arbres sur le site 2 subissaient un stress hydrique plus élevé que ceux sur le site 3. Les valeurs de Pn étaient plus élevées chez la descendance de la femelle 59 que chez la descendance de la femelle 63 au cours des deux années de régimes pluviométriques contrastants, et sur les deux sites durant la première année de l’étude. Les valeurs de gwv n’ont cependant pas montréde différences significatives. La variabilité génétique de Pn/gwv, telle qu’observée sur les deux sites et pendant les 2 années, n’a pu être reliée positivement au taux de croissance que sur le site sec. L’interaction génétique x environnemnt observée dans le taux de croissance semble donc être due à des différences génétiques relativement stables de Pn. Nous proposonos comme hypothèse que le stress hydrique sur le site sect réduit Pn sous une valeur seuil au-dessous de laquelle la variation génétique de Pn a un impact sur la productivité et engendre une différence génétique du taux de croissance. Nous proposons aussi comme hypothèse que, sur le site humide, le gain en carbone par unité de surface foliaire ne limite pas autant la croissance; les différences génétiques observées pour Pn n’influencent donc pas le classement génétique des taux de croissance.
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Response surface models for net photosynthesis (Pn) of current-year needles showed Pn to increase as photosynthetically active radiation (PAR) increased to around 1000 mmol.m-2.s-1, and thereafter remained stable, but as VPD increased Pn decreased at all PAR levels.
Nous avons planté des semis et des plants issus d’embryogénèse somatique d’épinette de l’intérieur (Picea glauca (Moench) Voss X Picea engelmannii Parry) sur un site de reboisement dans le centre de la Colombie-Britannique. Les patrons d’échange gazeux et de relations hydriques ont été suivis au cours de la première saison de croissance et le développement morphologique a été suivi au cours des deux premières saisons de croissance. Au cours de la période d’élongation des tiges, les potentiels osmotiques à saturation et au point de perte de turgescnce des deux types de plants se sont accrus alors que le modulus d’élasticité volumétrique maximal et le potentiel de pression de turgescence total ont décru, résultant en une turgescence utilisée de plus de 100%. De la mise en place des bourgeons, en fin juillet, jusqu’au 8 octobre, les potentiels osmotiques à saturation et au point de perte de turgescence ont décliné alors que le modulus d’élasticité volumétrique maximal et le potentiel de pression de turgescence total se sont accrus de 55 et 70% chez les deux types de plants. Il n’y a eu que peu de différences de relations hydriques des tiges entre les semis et les plants d’origine somatique. La conductance (gwv) des aiguilles de l’année et des aiguilles âgées de un an a décru de façon similaire chez les deux types de plants en réponse à un accroissement du déficit de pression de vapeur (VPD). L’analyse des surfaces de réponse de la photosynthèse nette (Pn) des aiguilles de l’année montre un accroissement de Pn jusqu’à un rayonnement photosynthétiquement actif (PAR) de 1000 mmol.m-2.s-1 et un plafonnement par la suite, mais une baisse de Pn à tous les niveaux de PAR suite à un accroissement de VPD. Le Pn des plants d’origine somatique était de 15% supérieur à celui des semis en conditiosn de terrain optimale (VPD <3,0 kPa et PAR >1000 mmol.m-2.s-1). L’accroissement de Pn était relié linéairement à celui de gwv chez les deux types de plants; pour une valeur de gwv donnée, le Pn des aiguilles de un an était plus élevé que celui des aiguilles de l’année. Les croissances en hauteur et en diamètre des deux premières saisons de croissance étaient similaires chez les semis et chez les plants d’origine somatique. Les masses racinaires des deux types de plants étaient similaires après ces deux saisons. Après le premier hiver au champ, les taux de survie étaient respectivement de 87% et de 91% chez les semis et les plants d’origine somatique; le pourcentage de dommage f
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In 1991, daytime xylem water potential, predawn xylem water potential, net photosynthesis (Pn) and needle conductance (gwv) were all lower in trees growing on the least productive site (2) than in trees growing on the most productive site (3), indicating that trees on site 2 were under greater water stress than those on site 3.
Nous avons mesuré les échanges gazeux et le potentiel hydrique du xylème sur des épinettes noires (Picea marian (Mill.) B.S.P.) âgées de 20 ans provenant de quatre fratries provenant d’un test 7 x 7 en diallèle. Ces fratries sont issues de croissements de 2 parents x 2 parents en structure factorielle. Un parent femelle (59) a produit des familles avec une productivité élevée sur trois sites de plantation. L’autre parent femelle (63) a produit des familles avec une productivité élevée sur deux des sites de plantation, mais pas sur le troisième site plus pauvre. Nous avons obtenu des mesures sur deux sites en 1991 (été chaud et sec), mais sur seulement un site en 1992 (été frais et humide). Les échanges gazeux ont été mesurés sur des branches détachées provenant du tiers supérieur de la cime, en dedans de 2 min de l’excision. En 1991, les valeurs de potentiels hydriques du xylème diurne et pré-aube, de photosynthèse nette (Pn) et de conductance stomatique (gwv) étaient plus faibles chez les arbres poussant sur le site moins productif (2) que chez ceux poussant sur le site plus productif (3), indiquant que les arbres sur le site 2 subissaient un stress hydrique plus élevé que ceux sur le site 3. Les valeurs de Pn étaient plus élevées chez la descendance de la femelle 59 que chez la descendance de la femelle 63 au cours des deux années de régimes pluviométriques contrastants, et sur les deux sites durant la première année de l’étude. Les valeurs de gwv n’ont cependant pas montréde différences significatives. La variabilité génétique de Pn/gwv, telle qu’observée sur les deux sites et pendant les 2 années, n’a pu être reliée positivement au taux de croissance que sur le site sec. L’interaction génétique x environnemnt observée dans le taux de croissance semble donc être due à des différences génétiques relativement stables de Pn. Nous proposonos comme hypothèse que le stress hydrique sur le site sect réduit Pn sous une valeur seuil au-dessous de laquelle la variation génétique de Pn a un impact sur la productivité et engendre une différence génétique du taux de croissance. Nous proposons aussi comme hypothèse que, sur le site humide, le gain en carbone par unité de surface foliaire ne limite pas autant la croissance; les différences génétiques observées pour Pn n’influencent donc pas le classement génétique des taux de croissance.