parr – Übersetzung – Keybot-Wörterbuch

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  Biography – BYLES, MATH...  
ALMON, WILLIAM JAMES (Vol. 5)BREYNTON, JOHN (Vol. 4)DESBRISAY, THOMAS (Vol. 5)PARR, JOHN (Vol. 4)
Amérique du Nord – Canada – Nouvelle-Écosse – Partie continentale
  Biography – GREEN, GEOR...  
Joy Parr, “GREEN, GEORGE EVERITT,” in
Comment écrire la référence bibliographique de cette biographie
  Biography – STRICKLAND,...  
MOODIE, JOHN WEDDERBURN DUNBAR (Vol. 9)LOVELL, JOHN (Vol. 12)STRICKLAND, CATHARINE PARR (Vol. 12)HALIBURTON, THOMAS CHANDLER (Vol. 9)LESPERANCE, JOHN (Vol. 12)MULLINS, ROSANNA ELEANORA (Vol. 10)SHAW, EMILY ELIZABETH (Vol. 7)
MOODIE, JOHN WEDDERBURN DUNBAR (Vol. 9)LOVELL, JOHN (Vol. 12)STRICKLAND, CATHARINE PARR (Vol. 12)MULLINS, ROSANNA ELEANORA (Vol. 10)
  Biography – CARLETON, T...  
AGNEW, STAIR (Vol. 6)BLISS, JONATHAN (Vol. 6)GLENIE, JAMES (Vol. 5)HARDY, ELIAS (Vol. 4)ODELL, JONATHAN (Vol. 5)PAGAN, ROBERT (Vol. 6)PARR, JOHN (Vol. 4)RAYMOND, WILLIAM ODBER (Vol. 15)More
AGNEW, STAIR (Vol. 6)BLISS, JONATHAN (Vol. 6)CAMPBELL, DUGALD (Vol. 5)GLENIE, JAMES (Vol. 5)HARDY, ELIAS (Vol. 4)LUDLOW, GABRIEL GEORGE (Vol. 5)ODELL, JONATHAN (Vol. 5)PAGAN, ROBERT (Vol. 6)FR:More
  Biography – BARBER, CHA...  
Barber also executed a number of designs for local Presbyterians. Although his plans for Knox Presbyterian Church (1878–79) were rejected in favour of those of Balston C. Kenway and Thomas Parr, he supplied the design for Manitoba College (1881–82).
Les plans conçus par Barber pour l’hôtel de ville de Winnipeg (1883–1886) étaient également inhabituels. Barber avait déjà exécuté des plans d’édifices municipaux, dont l’hôtel de ville d’Emerson en 1881 et le poste de police de Winnipeg en 1883. Alors que l’immeuble d’Emerson était d’un élégant style à l’italienne et que le poste de police présentait à la fois des éléments Second Empire et romans, l’hôtel de ville de Winnipeg défiait presque toute description architecturale. C’était une structure massive de forme carrée surmontée d’une grosse coupole ; à chacun des quatre coins, il y avait une petite tour. Avec ses murs de brique rouge et de pierre blanche et son toit en cuivre, l’hôtel de ville présentait un aspect extraordinaire. Son caractère insolite en faisait un symbole aisément identifiable de Winnipeg.
  Biography – SCOTT, AGNE...  
SHEPPARD, EDMUND ERNEST (Vol. 15)BARTHE, ÉMILIE (Lavergne) (Vol. 15)DUNCAN, SARA JEANNETTE (Cotes) (Vol. 15)ELLIOT, GILBERT JOHN MURRAY-KYNYNMOUND, Viscount MELGUND and 4th Earl of MINTO (Vol. 14)GORDON, ARTHUR HAMILTON, 1st Baron STANMORE (Vol. 14)LAURIER, Sir WILFRID (Vol. 14)SCOTT, Sir RICHARD WILLIAM (Vol. 14)STRICKLAND, CATHARINE PARR (Vol. 12)
SHEPPARD, EDMUND ERNEST (Vol. 15)BARTHE, ÉMILIE (Lavergne) (Vol. 15)DUNCAN, SARA JEANNETTE, dite Garth Grafton (Cotes) (Vol. 15)GORDON, ARTHUR HAMILTON, 1er baron STANMORE (Vol. 14)LAURIER, sir WILFRID (Vol. 14)SCOTT, sir RICHARD WILLIAM (Vol. 14)
  Biography – BYLES, MATH...  
He was erudite and a competent satirist. In Halifax he gave vent to his frustrations by ridiculing in verse many of the city’s leading citizens in a way, Governor John Parr* complained, “unbefitting a man of God.”
Personnage revêche, Mather Byles se disputa à Halifax avec ses confrères John Breynton*, Henry Caner et Joshua Wingate Weeks ; il resta néanmoins en bons termes avec l’évêque Charles Inglis. Il n’aimait pas la Nouvelle-Écosse, quittant « sans le moindre regret [...] la [région] la plus méprisable que [son] regard eût jamais contemplée » : « Je souhaite ne jamais oublier que la population la plus irréligieuse que j’aie connue était en même temps la plus ignorante, la plus stupide et la plus malheureuse. » Par contraste, il fut heureux au Nouveau-Brunswick, en partie parce qu’il aimait son travail. Il mentionnait à ses sœurs, Katherine et Mary, loyalistes renommées qui demeuraient toujours à Boston : « il a plu à un Dieu bon d’accorder à votre frère une vieillesse dorée ». « Je suis, ajoutait-il, en rapport avec des gens braves comme je n’en ai jamais connus. »
  Biography – McLAUGHLIN,...  
16 Nov. 1836 in Cavan Township, Upper Canada, eldest son of John McLaughlin and Eliza Rusk; m. first 5 Feb. 1864 Mary Smith (d. 1877), and they had two daughters and three sons, including John James* and Robert Samuel*; m. secondly 17 Jan. 1878 Sarah Jane Parr (d. 1899) in Oshawa, Ont. ; m.
McLAUGHLIN, ROBERT, manufacturier, fonctionnaire et homme politique, né le 16 novembre 1836 dans le canton de Cavan, Haut-Canada, fils aîné de John McLaughlin et d'Eliza Rusk ; le 5 février 1864, il épousa Mary Smith (décédée en 1877), et ils eurent deux filles et trois fils, dont John James* et Robert Samuel*, puis le 17 janvier 1878 à Oshawa, Ontario, Sarah Jane Parr (décédée en 1899), et finalement le 17 décembre 1901 dans le canton d'East Whitby, Ontario, Eleanor McCulloch, née Smith (décédée en 1930) ; décédé le 23 novembre 1921 à Oshawa.
  Biography – GIBBONS, RI...  
Because of his poor relations with Parr, Gibbons was probably glad to accept the offer of Joseph Frederick Wallet DesBarres*, the new lieutenant governor of Cape Breton and a personal friend, to appoint him chief justice of the infant colony.
À cause du pauvre état de ses relations avec Parr, Gibbons accepta probablement avec plaisir l’offre de Joseph Frederick Wallet DesBarres*, le nouveau lieutenant-gouverneur de l’île du Cap-Breton et un ami intime, de le nommer juge en chef de cette colonie naissante. Nommé à ce poste, comportant la présidence
  Biography – DUNCAN, HEN...  
He enjoyed good relations with Parr and probably with Wentworth as well; moreover, he took the part of his men in the dockyard and was not cantankerous or hot-headed, as he demonstrated by maintaining his calm during the Douglas-Thomas quarrel of 1783–84.
À Halifax, Duncan fut membre de la North British Society, dont il fut élu président en 1796. Parr le nomma membre du Conseil de la Nouvelle-Écosse en 1788, mais il ne s’y présenta que rarement et démissionna en 1801. Duncan s’associa aussi, sur une base commerciale, avec un compatriote écossais, Alexander Brymer, sous-officier payeur des troupes. Brymer, à ce qu’on dit, aurait fait £250 000, grâce à son poste. Les preuves que Duncan ait eu la possibilité d’en faire autant sont minces ; au demeurant, il peut difficilement avoir amassé une aussi grande fortune. Cependant, il est plus que vraisemblable qu’il ait fait certains profits : il avait beaucoup de liberté quand il s’agissait d’accorder des contrats locaux ou, par exemple, de se débarrasser des navires qu’il ne valait plus la peine de réparer ; en outre, l’accès à l’argent sonnant du gouvernement dut représenter un avantage au sein d’une société qui manquait souvent de numéraire. En 1796, le lieutenant-gouverneur sir John Wentworth le disait « très riche » et décrivait son poste comme « le meilleur emploi du comté ou des provinces ». Le testament de Duncan démontre une belle aisance, sinon une grande richesse : ainsi, il possédait une maison et de la terre à Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, et une pêcherie à St John’s.
  Biography – GIBBONS, RI...  
Despite Legge’s recall in 1776, Gibbons did achieve higher office; in January 1777 he was appointed solicitor general, and four years later he became attorney general. He was, however, unpopular with Governor John Parr and other members of Parr’s administration.
Malgré le rappel de Legge en 1776, Gibbons parvint à de hautes fonctions ; nommé solliciteur général en janvier 1777, il devenait procureur général quatre ans plus tard. Il était, cependant, impopulaire auprès du gouverneur John Parr et d’autres membres de son gouvernement. En 1784, une querelle s’éleva entre Gibbons et Parr au sujet de l’octroi des concessions de terres aux Loyalistes. La signature de Gibbons devant obligatoirement apparaître sur chaque titre de concession, il réclama qu’on lui reconnût le droit à une rémunération pour chaque nom porté sur le titre, même quand il y en avait des centaines. À la suite de plaintes des Loyalistes, Parr permit l’émission de concessions sans la signature de Gibbons.
  Biography – HARDY, ELIA...  
At the request of a loyalist militia company, Hardy drafted a petition of grievances which accused the agents of favouritism in the distribution of land and supplies and threatened to take the case to London if a fairer system were not introduced. This petition thoroughly alarmed both the agents and Governor John Parr of Nova Scotia.
En 1783, Hardy décida d’accompagner les exilés loyalistes allant s’établir dans la région du port de Saint-Jean, qui faisait alors partie de la Nouvelle-Écosse. Il y découvrit beaucoup de mécontentement au sujet des procédés préjudiciables des agents loyalistes en charge des établissements le long de la rivière Saint-Jean, qui se partageaient avec leurs amis les meilleurs emplacements commerciaux. À la demande d’une compagnie de miliciens loyalistes, Hardy rédigea une requête dans laquelle il énumérait leurs griefs, accusant les agents de favoritisme dans l’attribution des terres et des approvisionnements, et menaçant de porter cette affaire à Londres si on ne mettait pas en vigueur un système plus équitable. Cette requête inquiéta profondément le gouverneur John Parr, de la Nouvelle-Écosse, aussi bien que les agents loyalistes. Non seulement elle attaquait la gestion des agents responsables de la colonisation, mais elle pouvait constituer une menace à leurs efforts pour obtenir du gouvernement britannique la division du territoire de la Nouvelle-Écosse et la création d’une province loyaliste séparée, au nord de la baie de Fundy. Le gouverneur, quant à lui, vit dans cette requête une remise en question de sa façon de gouverner.
  Biography – GIBBONS, RI...  
Despite Legge’s recall in 1776, Gibbons did achieve higher office; in January 1777 he was appointed solicitor general, and four years later he became attorney general. He was, however, unpopular with Governor John Parr and other members of Parr’s administration.
Malgré le rappel de Legge en 1776, Gibbons parvint à de hautes fonctions ; nommé solliciteur général en janvier 1777, il devenait procureur général quatre ans plus tard. Il était, cependant, impopulaire auprès du gouverneur John Parr et d’autres membres de son gouvernement. En 1784, une querelle s’éleva entre Gibbons et Parr au sujet de l’octroi des concessions de terres aux Loyalistes. La signature de Gibbons devant obligatoirement apparaître sur chaque titre de concession, il réclama qu’on lui reconnût le droit à une rémunération pour chaque nom porté sur le titre, même quand il y en avait des centaines. À la suite de plaintes des Loyalistes, Parr permit l’émission de concessions sans la signature de Gibbons.
  Biography – BARCLAY, TH...  
Complaints about their actions prompted investigation by the assembly during the 1787 session. The house concluded that the evidence warranted a thorough review of the charges by Lieutenant Governor John Parr*.
Comme il convenait à un homme de son éducation et de son rang, Barclay eut tôt fait de se lancer dans la politique. Avec son compatriote loyaliste David Seabury, il fut élu député de la circonscription d’Annapolis aux élections législatives de 1785. Orateur talentueux, Barclay devint une figure dominante de la sixième législature, la première où les loyalistes étaient représentés. Il ne tarda pas à devenir le centre d’une controverse qui opposa les loyalistes aux préloyalistes, lorsque Alexander Howe*, issu d’une vieille famille de Nouvelle-Écosse, protesta contre l’élection de Seabury. Howe affirma que le shérif du comté d’Annapolis avait fait preuve de partialité en permettant à des partisans de Seabury de voter, alors qu’il avait interdit à certains des siens de le faire. Le comité parlementaire des élections, dont quatre membres sur cinq étaient des préloyalistes, donna raison à Howe et ordonna qu’on convoque de nouveau les électeurs. Seabury fut élu au cours de l’élection partielle qui suivit, mais son élection fut encore contestée. L’Assemblée mit fin au débat en invalidant le député Seabury et en déclarant Howe dûment élu. Tout au long de la controverse, Barclay avait appuyé son cocandidat et, en fait, avait aggravé la scission entre les anciens et les nouveaux colons en exhortant les loyalistes du comté d’Annapolis à s’unir derrière Seabury qui, affirmait-il, avait été injustement privé de son siège à cause de la partialité de l’Assemblée. La lettre incendiaire qu’il avait écrite en décembre 1785 sema le désaccord à la session de 1786. En dépit de l’opposition des députés loyalistes, une motion forçant Barclay à s’excuser de ses allégations de favoritisme fut en effet adoptée par les députés préloyalistes, qui formaient la majorité.
  Biography – DesBARRES, ...  
In April Lord Sydney had reprimanded him for attempting to promote one of his favourite schemes, the establishment of a whale fishery, by encouraging whalers from Nantucket Island and Martha’s Vineyard, Mass., to settle in Cape Breton. Sydney had reproved Parr for the same activity.
et hypothéquer certaines de ses terres. Durant plusieurs années, ses états financiers furent passés au crible tandis qu’il réclamait le moindre penny que, selon lui, on lui devait ; les nombreuses et longues requêtes qu’il déposa à cette fin sont une preuve de l’entêtement qui le caractérisa toute sa vie. Le gouvernement accepta de payer une part des £43 000 qui constituaient le total de sa réclamation, mais la plus grande partie de la somme demeurait impayée lorsque son ami William Windham devint secrétaire à la Guerre en 1794. À ce moment, toutes les réclamations concernant
  Biography – JULIEN, JOH...  
After the province of New Brunswick came into existence in 1784 Parr’s licence was called into question since part of these Indian lands were included in a grant made to John Cort and William Davidson*.
On peut lire, dans un document en langue micmaque mis au jour en 1931, la version de ces événements telle qu’on se les rappelait : un traité aurait été signé le 17 juin 1794 entre le « roi John Julian » et son frère Francis, et le roi George III, représenté par le gouverneur William Milan, à bord d’un navire de guerre non nommé, sur la Miramichi. Le roi anglais aurait dit au roi indien : « Désormais, vous apprendrez à vos enfants à maintenir la paix, et je vous donne ce papier sur lequel sont écrites beaucoup de promesses qui jamais ne s’effaceront. » Alors Julien aurait demandé une terre et se serait vu accorder six milles sur la Miramichi-du-Nord-Ouest. « Désormais, aurait dit le roi George, je pourvoirai à vos besoins et à ceux de votre postérité, aussi longtemps que se lèvera le soleil et que coulera la rivière. »
  Biography – MOORE, WILL...  
BROWN, WILLIAM (Vol. 4)CARLETON, GUY, 1st Baron DORCHESTER (Vol. 5)MESPLET, FLEURY (Vol. 4)PARR, JOHN (Vol. 4)
CARLETON, GUY, 1er baron DORCHESTER (Vol. 5)MESPLET, FLEURY (Vol. 4)
  Biography – GERRISH, MO...  
CALEFF, JOHN (Vol. 5)GALLOP, WILLIAM (Vol. 5)McLEAN, FRANCIS (Vol. 4)PARR, JOHN (Vol. 4)JONES, JOHN (d. 1823) (Vol. 6)OWEN, DAVID (Vol. 6)
CALEFF, JOHN (Vol. 5)GALLOP, WILLIAM (Vol. 5)McLEAN, FRANCIS (Vol. 4)PARR, JOHN (Vol. 4)JONES, JOHN (mort en 1823) (Vol. 6)OWEN, DAVID (Vol. 6)
  Biography – BLOWERS, SA...  
Notwithstanding Governor John Parr*’s polite reception, Blowers was doubtful about his prospects, and commented to fellow lawyer Ward Chipman* that “there is very little business in our way to be done here, and that but indifferently paid for, and there is no want of lawyers.”
, qui abrogeait la charte de la colonie, entraîna la fermeture des tribunaux de Boston en juin 1774. Blowers, déjà fort critiqué en raison de ses sentiments loyalistes, résolut alors de quitter le Massachusetts. Cinq mois plus tard, il s’embarqua pour l’Angleterre avec sa femme, Sarah Kent. Blowers avait quelques économies et sa femme avait touché un héritage de quelques milliers de livres « placées principalement dans des hypothèques » mais, avec le temps, percevoir des loyers et des intérêts sur des immeubles situés au Massachusetts devint de plus en plus difficile. « Dépourvu des moyens de gagner un seul shilling », Blowers fit donc appel à la Trésorerie, qui lui accorda une allocation annuelle de £100.
  Biography – OGILVIE, JA...  
COSSIT, RANNA (Vol. 5)MATHEWS, DAVID (Vol. 4)EDWARD AUGUSTUS, Duke of KENT and STRATHEARN (Vol. 5)PARR, JOHN (Vol. 4)DODD, ARCHIBALD CHARLES (Vol. 6)GAUTIER, NICOLAS (Vol. 5)HENRY, EDME (Vol. 7)McKINNON, WILLIAM (Vol. 5)MURRAY, JOHN (Vol. 6)SMITH, WILLIAM (fl. 1784-1803) (Vol. 5)
BALL, INGRAM (Vol. 5)COSSIT, RANNA (Vol. 5)MATHEWS, DAVID (Vol. 4)EDWARD AUGUSTUS, duc de KENT et STRATHEARN (Vol. 5)MACARMICK, WILLIAM (Vol. 5)PARR, JOHN (Vol. 4)DODD, ARCHIBALD CHARLES (Vol. 6)HENRY, EDME (Vol. 7)FR:More
  Biography – HARDY, ELIA...  
At first, Parr was inclined to blame Hardy for the troubles along the Saint John. Hardy, however, went to Halifax during the winter of 1783–84 and convinced the governor that his real enemies were the loyalist agents, both because of their partiality in allocating lands and, more important, because of their desire to use the discontent within the settlements to discredit the Parr administration so as to achieve the partition of Nova Scotia.
Parr fut tout d’abord enclin à jeter sur Hardy le blâme des difficultés survenues le long de la Saint-Jean. Mais Hardy se rendit à Halifax au cours de l’hiver de 1783–1784 et convainquit le gouverneur que les agents loyalistes étaient ses véritables ennemis, tant à cause de leur partialité dans l’attribution des terres que, fait plus important, de leur désir de profiter du mécontentement au sein des établissements pour discréditer le gouvernement de Parr et réussir ainsi à démembrer le territoire de la Nouvelle-Écosse. À partir de là, Parr et Hardy s’allièrent pour réduire le pouvoir des agents et combattre le projet de division du territoire. Au printemps de 1784, Hardy retourna sur la Saint-Jean avec le juge en chef nommé par le gouverneur, Bryan Finucane, qui redistribua rapidement les lots commerciaux controversés et commença d’organiser un mouvement d’opposition à la séparation. En outre, le Conseil de la Nouvelle-Écosse mit sur pied un comité d’enquête chargé d’examiner la conduite des agents, et choisit Hardy comme enquêteur en chef. Les agents réagirent, comme on pouvait le prévoir, à l’action de Hardy. Pour le lieutenant-colonel Edward Winslow*, Hardy n’était pas seulement « un notaire public de bas étage », mais « une vipère » ; le major John Coffin* condamna sa conduite disant qu’il était un « vagabond », et George Leonard*, qu’il était le chef des « mécontents » et « des gens sans mérite ». Hardy n’en fut pas ébranlé, mais ses efforts venaient trop tard. Le gouvernement britannique avait déjà décidé de diviser le territoire de la Nouvelle-Écosse et, en juin 1784, le Nouveau-Brunswick était créé ; les agents loyalistes et leurs collègues s’y retrouvaient solidement retranchés dans des positions d’autorité des plus importantes.
  Biography – HARDY, ELIA...  
At first, Parr was inclined to blame Hardy for the troubles along the Saint John. Hardy, however, went to Halifax during the winter of 1783–84 and convinced the governor that his real enemies were the loyalist agents, both because of their partiality in allocating lands and, more important, because of their desire to use the discontent within the settlements to discredit the Parr administration so as to achieve the partition of Nova Scotia.
Parr fut tout d’abord enclin à jeter sur Hardy le blâme des difficultés survenues le long de la Saint-Jean. Mais Hardy se rendit à Halifax au cours de l’hiver de 1783–1784 et convainquit le gouverneur que les agents loyalistes étaient ses véritables ennemis, tant à cause de leur partialité dans l’attribution des terres que, fait plus important, de leur désir de profiter du mécontentement au sein des établissements pour discréditer le gouvernement de Parr et réussir ainsi à démembrer le territoire de la Nouvelle-Écosse. À partir de là, Parr et Hardy s’allièrent pour réduire le pouvoir des agents et combattre le projet de division du territoire. Au printemps de 1784, Hardy retourna sur la Saint-Jean avec le juge en chef nommé par le gouverneur, Bryan Finucane, qui redistribua rapidement les lots commerciaux controversés et commença d’organiser un mouvement d’opposition à la séparation. En outre, le Conseil de la Nouvelle-Écosse mit sur pied un comité d’enquête chargé d’examiner la conduite des agents, et choisit Hardy comme enquêteur en chef. Les agents réagirent, comme on pouvait le prévoir, à l’action de Hardy. Pour le lieutenant-colonel Edward Winslow*, Hardy n’était pas seulement « un notaire public de bas étage », mais « une vipère » ; le major John Coffin* condamna sa conduite disant qu’il était un « vagabond », et George Leonard*, qu’il était le chef des « mécontents » et « des gens sans mérite ». Hardy n’en fut pas ébranlé, mais ses efforts venaient trop tard. Le gouvernement britannique avait déjà décidé de diviser le territoire de la Nouvelle-Écosse et, en juin 1784, le Nouveau-Brunswick était créé ; les agents loyalistes et leurs collègues s’y retrouvaient solidement retranchés dans des positions d’autorité des plus importantes.
  Biography – HARDY, ELIA...  
At first, Parr was inclined to blame Hardy for the troubles along the Saint John. Hardy, however, went to Halifax during the winter of 1783–84 and convinced the governor that his real enemies were the loyalist agents, both because of their partiality in allocating lands and, more important, because of their desire to use the discontent within the settlements to discredit the Parr administration so as to achieve the partition of Nova Scotia.
Parr fut tout d’abord enclin à jeter sur Hardy le blâme des difficultés survenues le long de la Saint-Jean. Mais Hardy se rendit à Halifax au cours de l’hiver de 1783–1784 et convainquit le gouverneur que les agents loyalistes étaient ses véritables ennemis, tant à cause de leur partialité dans l’attribution des terres que, fait plus important, de leur désir de profiter du mécontentement au sein des établissements pour discréditer le gouvernement de Parr et réussir ainsi à démembrer le territoire de la Nouvelle-Écosse. À partir de là, Parr et Hardy s’allièrent pour réduire le pouvoir des agents et combattre le projet de division du territoire. Au printemps de 1784, Hardy retourna sur la Saint-Jean avec le juge en chef nommé par le gouverneur, Bryan Finucane, qui redistribua rapidement les lots commerciaux controversés et commença d’organiser un mouvement d’opposition à la séparation. En outre, le Conseil de la Nouvelle-Écosse mit sur pied un comité d’enquête chargé d’examiner la conduite des agents, et choisit Hardy comme enquêteur en chef. Les agents réagirent, comme on pouvait le prévoir, à l’action de Hardy. Pour le lieutenant-colonel Edward Winslow*, Hardy n’était pas seulement « un notaire public de bas étage », mais « une vipère » ; le major John Coffin* condamna sa conduite disant qu’il était un « vagabond », et George Leonard*, qu’il était le chef des « mécontents » et « des gens sans mérite ». Hardy n’en fut pas ébranlé, mais ses efforts venaient trop tard. Le gouvernement britannique avait déjà décidé de diviser le territoire de la Nouvelle-Écosse et, en juin 1784, le Nouveau-Brunswick était créé ; les agents loyalistes et leurs collègues s’y retrouvaient solidement retranchés dans des positions d’autorité des plus importantes.
  Biography – HARDY, ELIA...  
At first, Parr was inclined to blame Hardy for the troubles along the Saint John. Hardy, however, went to Halifax during the winter of 1783–84 and convinced the governor that his real enemies were the loyalist agents, both because of their partiality in allocating lands and, more important, because of their desire to use the discontent within the settlements to discredit the Parr administration so as to achieve the partition of Nova Scotia.
Parr fut tout d’abord enclin à jeter sur Hardy le blâme des difficultés survenues le long de la Saint-Jean. Mais Hardy se rendit à Halifax au cours de l’hiver de 1783–1784 et convainquit le gouverneur que les agents loyalistes étaient ses véritables ennemis, tant à cause de leur partialité dans l’attribution des terres que, fait plus important, de leur désir de profiter du mécontentement au sein des établissements pour discréditer le gouvernement de Parr et réussir ainsi à démembrer le territoire de la Nouvelle-Écosse. À partir de là, Parr et Hardy s’allièrent pour réduire le pouvoir des agents et combattre le projet de division du territoire. Au printemps de 1784, Hardy retourna sur la Saint-Jean avec le juge en chef nommé par le gouverneur, Bryan Finucane, qui redistribua rapidement les lots commerciaux controversés et commença d’organiser un mouvement d’opposition à la séparation. En outre, le Conseil de la Nouvelle-Écosse mit sur pied un comité d’enquête chargé d’examiner la conduite des agents, et choisit Hardy comme enquêteur en chef. Les agents réagirent, comme on pouvait le prévoir, à l’action de Hardy. Pour le lieutenant-colonel Edward Winslow*, Hardy n’était pas seulement « un notaire public de bas étage », mais « une vipère » ; le major John Coffin* condamna sa conduite disant qu’il était un « vagabond », et George Leonard*, qu’il était le chef des « mécontents » et « des gens sans mérite ». Hardy n’en fut pas ébranlé, mais ses efforts venaient trop tard. Le gouvernement britannique avait déjà décidé de diviser le territoire de la Nouvelle-Écosse et, en juin 1784, le Nouveau-Brunswick était créé ; les agents loyalistes et leurs collègues s’y retrouvaient solidement retranchés dans des positions d’autorité des plus importantes.
  Biography – HOWE, ALEXA...  
HOW, EDWARD (Vol. 3)PARR, JOHN (Vol. 4)BARCLAY, THOMAS HENRY (Vol. 6)
Amérique du Nord – Canada – Nouvelle-Écosse – Partie continentale
  Biography – STRANGE, Si...  
From the beginning many people in the colony liked Strange. Governor John Parr* expressed regret that Strange had not arrived earlier, and declared that the chief justice could have saved him much trouble and anxiety.
Strange se fit aimer d’emblée par bien des habitants de la colonie. Le gouverneur John Parr* déclara regretter qu’il ne soit arrivé plus tôt, ce qui lui aurait probablement épargné beaucoup de problèmes et d’anxiété. Le successeur de Parr, John Wentworth*, exprima aussi sa satisfaction à maintes reprises. Ainsi, en rapportant en 1793 qu’il y avait plusieurs comtés où la Cour suprême n’avait pas tenu d’audiences cette année-là, il précisa : « [ce] malgré l’extrême diligence de notre bon juge en chef, qui est infatigable au travail ». Lorsque, l’année suivante, il comprit que Strange pourrait choisir d’aller occuper un poste dans une autre colonie, il déclara que « la province et [lui]-même » ne pourraient pas connaître « pire malheur ».
  Biography – STRANGE, Si...  
From the beginning many people in the colony liked Strange. Governor John Parr* expressed regret that Strange had not arrived earlier, and declared that the chief justice could have saved him much trouble and anxiety.
Strange se fit aimer d’emblée par bien des habitants de la colonie. Le gouverneur John Parr* déclara regretter qu’il ne soit arrivé plus tôt, ce qui lui aurait probablement épargné beaucoup de problèmes et d’anxiété. Le successeur de Parr, John Wentworth*, exprima aussi sa satisfaction à maintes reprises. Ainsi, en rapportant en 1793 qu’il y avait plusieurs comtés où la Cour suprême n’avait pas tenu d’audiences cette année-là, il précisa : « [ce] malgré l’extrême diligence de notre bon juge en chef, qui est infatigable au travail ». Lorsque, l’année suivante, il comprit que Strange pourrait choisir d’aller occuper un poste dans une autre colonie, il déclara que « la province et [lui]-même » ne pourraient pas connaître « pire malheur ».
  Biography – McLAUGHLIN,...  
In March 1877 his wife had died of consumption, leaving him with five children, whose life worsened when their busy father married the tyrannical Sarah Jane Parr, apparently an employee in their household.
Attentif à ses comptes et soucieux de la qualité de ses matériaux, McLaughlin devint relativement prospère, même si, selon l'Industrial Canada (Toronto), il était « ardu », dans les années 1870, de concurrencer les importations américaines, faites à la machine et bon marché. Au milieu de l'année 1877, McLaughlin en était venu à la conclusion qu'il lui fallait s'installer dans une grande ville, tant pour que son entreprise prenne de l'expansion que pour assurer un nouveau départ à sa famille. En mars de cette année-là, sa femme était morte de consomption. Ses cinq enfants connaîtraient toutefois un sort bien plus pénible après son remariage avec la tyrannique Sarah Jane Parr, qui était apparemment une employée de la maison. On ne sait pas combien de temps McLaughlin, accaparé par ses affaires, mettrait avant d'admettre tout le tort causé par cette femme.
  Biography – JULIEN, JOH...  
After the province of New Brunswick came into existence in 1784 Parr’s licence was called into question since part of these Indian lands were included in a grant made to John Cort and William Davidson*.
On peut lire, dans un document en langue micmaque mis au jour en 1931, la version de ces événements telle qu’on se les rappelait : un traité aurait été signé le 17 juin 1794 entre le « roi John Julian » et son frère Francis, et le roi George III, représenté par le gouverneur William Milan, à bord d’un navire de guerre non nommé, sur la Miramichi. Le roi anglais aurait dit au roi indien : « Désormais, vous apprendrez à vos enfants à maintenir la paix, et je vous donne ce papier sur lequel sont écrites beaucoup de promesses qui jamais ne s’effaceront. » Alors Julien aurait demandé une terre et se serait vu accorder six milles sur la Miramichi-du-Nord-Ouest. « Désormais, aurait dit le roi George, je pourvoirai à vos besoins et à ceux de votre postérité, aussi longtemps que se lèvera le soleil et que coulera la rivière. »
  Biography – GIBBONS, RI...  
Despite Legge’s recall in 1776, Gibbons did achieve higher office; in January 1777 he was appointed solicitor general, and four years later he became attorney general. He was, however, unpopular with Governor John Parr and other members of Parr’s administration.
Malgré le rappel de Legge en 1776, Gibbons parvint à de hautes fonctions ; nommé solliciteur général en janvier 1777, il devenait procureur général quatre ans plus tard. Il était, cependant, impopulaire auprès du gouverneur John Parr et d’autres membres de son gouvernement. En 1784, une querelle s’éleva entre Gibbons et Parr au sujet de l’octroi des concessions de terres aux Loyalistes. La signature de Gibbons devant obligatoirement apparaître sur chaque titre de concession, il réclama qu’on lui reconnût le droit à une rémunération pour chaque nom porté sur le titre, même quand il y en avait des centaines. À la suite de plaintes des Loyalistes, Parr permit l’émission de concessions sans la signature de Gibbons.
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