parr – Traduction – Dictionnaire Keybot

Spacer TTN Translation Network TTN TTN Login Deutsch English Spacer Help
Langues sources Langues cibles
Keybot 251 Résultats  www.biographi.ca
  Biography – BYLES, MATH...  
ALMON, WILLIAM JAMES (Vol. 5)BREYNTON, JOHN (Vol. 4)DESBRISAY, THOMAS (Vol. 5)PARR, JOHN (Vol. 4)
Amérique du Nord – Canada – Nouvelle-Écosse – Partie continentale
  Biography – GREEN, GEOR...  
Joy Parr, “GREEN, GEORGE EVERITT,” in
Comment écrire la référence bibliographique de cette biographie
  Biography – STRICKLAND,...  
MOODIE, JOHN WEDDERBURN DUNBAR (Vol. 9)LOVELL, JOHN (Vol. 12)STRICKLAND, CATHARINE PARR (Vol. 12)HALIBURTON, THOMAS CHANDLER (Vol. 9)LESPERANCE, JOHN (Vol. 12)MULLINS, ROSANNA ELEANORA (Vol. 10)SHAW, EMILY ELIZABETH (Vol. 7)
MOODIE, JOHN WEDDERBURN DUNBAR (Vol. 9)LOVELL, JOHN (Vol. 12)STRICKLAND, CATHARINE PARR (Vol. 12)MULLINS, ROSANNA ELEANORA (Vol. 10)
  Biography – CARLETON, T...  
AGNEW, STAIR (Vol. 6)BLISS, JONATHAN (Vol. 6)GLENIE, JAMES (Vol. 5)HARDY, ELIAS (Vol. 4)ODELL, JONATHAN (Vol. 5)PAGAN, ROBERT (Vol. 6)PARR, JOHN (Vol. 4)RAYMOND, WILLIAM ODBER (Vol. 15)More
AGNEW, STAIR (Vol. 6)BLISS, JONATHAN (Vol. 6)CAMPBELL, DUGALD (Vol. 5)GLENIE, JAMES (Vol. 5)HARDY, ELIAS (Vol. 4)LUDLOW, GABRIEL GEORGE (Vol. 5)ODELL, JONATHAN (Vol. 5)PAGAN, ROBERT (Vol. 6)FR:More
  Biography – GIBBONS, RI...  
Because of his poor relations with Parr, Gibbons was probably glad to accept the offer of Joseph Frederick Wallet DesBarres*, the new lieutenant governor of Cape Breton and a personal friend, to appoint him chief justice of the infant colony.
À cause du pauvre état de ses relations avec Parr, Gibbons accepta probablement avec plaisir l’offre de Joseph Frederick Wallet DesBarres*, le nouveau lieutenant-gouverneur de l’île du Cap-Breton et un ami intime, de le nommer juge en chef de cette colonie naissante. Nommé à ce poste, comportant la présidence
  Biography – SCOTT, AGNE...  
SHEPPARD, EDMUND ERNEST (Vol. 15)BARTHE, ÉMILIE (Lavergne) (Vol. 15)DUNCAN, SARA JEANNETTE (Cotes) (Vol. 15)ELLIOT, GILBERT JOHN MURRAY-KYNYNMOUND, Viscount MELGUND and 4th Earl of MINTO (Vol. 14)GORDON, ARTHUR HAMILTON, 1st Baron STANMORE (Vol. 14)LAURIER, Sir WILFRID (Vol. 14)SCOTT, Sir RICHARD WILLIAM (Vol. 14)STRICKLAND, CATHARINE PARR (Vol. 12)
SHEPPARD, EDMUND ERNEST (Vol. 15)BARTHE, ÉMILIE (Lavergne) (Vol. 15)DUNCAN, SARA JEANNETTE, dite Garth Grafton (Cotes) (Vol. 15)GORDON, ARTHUR HAMILTON, 1er baron STANMORE (Vol. 14)LAURIER, sir WILFRID (Vol. 14)SCOTT, sir RICHARD WILLIAM (Vol. 14)
  Biography – BARBER, CHA...  
Barber also executed a number of designs for local Presbyterians. Although his plans for Knox Presbyterian Church (1878–79) were rejected in favour of those of Balston C. Kenway and Thomas Parr, he supplied the design for Manitoba College (1881–82).
Les plans conçus par Barber pour l’hôtel de ville de Winnipeg (1883–1886) étaient également inhabituels. Barber avait déjà exécuté des plans d’édifices municipaux, dont l’hôtel de ville d’Emerson en 1881 et le poste de police de Winnipeg en 1883. Alors que l’immeuble d’Emerson était d’un élégant style à l’italienne et que le poste de police présentait à la fois des éléments Second Empire et romans, l’hôtel de ville de Winnipeg défiait presque toute description architecturale. C’était une structure massive de forme carrée surmontée d’une grosse coupole ; à chacun des quatre coins, il y avait une petite tour. Avec ses murs de brique rouge et de pierre blanche et son toit en cuivre, l’hôtel de ville présentait un aspect extraordinaire. Son caractère insolite en faisait un symbole aisément identifiable de Winnipeg.
  Biography – BYLES, MATH...  
He was erudite and a competent satirist. In Halifax he gave vent to his frustrations by ridiculing in verse many of the city’s leading citizens in a way, Governor John Parr* complained, “unbefitting a man of God.”
Personnage revêche, Mather Byles se disputa à Halifax avec ses confrères John Breynton*, Henry Caner et Joshua Wingate Weeks ; il resta néanmoins en bons termes avec l’évêque Charles Inglis. Il n’aimait pas la Nouvelle-Écosse, quittant « sans le moindre regret [...] la [région] la plus méprisable que [son] regard eût jamais contemplée » : « Je souhaite ne jamais oublier que la population la plus irréligieuse que j’aie connue était en même temps la plus ignorante, la plus stupide et la plus malheureuse. » Par contraste, il fut heureux au Nouveau-Brunswick, en partie parce qu’il aimait son travail. Il mentionnait à ses sœurs, Katherine et Mary, loyalistes renommées qui demeuraient toujours à Boston : « il a plu à un Dieu bon d’accorder à votre frère une vieillesse dorée ». « Je suis, ajoutait-il, en rapport avec des gens braves comme je n’en ai jamais connus. »
  Biography – McLAUGHLIN,...  
16 Nov. 1836 in Cavan Township, Upper Canada, eldest son of John McLaughlin and Eliza Rusk; m. first 5 Feb. 1864 Mary Smith (d. 1877), and they had two daughters and three sons, including John James* and Robert Samuel*; m. secondly 17 Jan. 1878 Sarah Jane Parr (d. 1899) in Oshawa, Ont. ; m.
McLAUGHLIN, ROBERT, manufacturier, fonctionnaire et homme politique, né le 16 novembre 1836 dans le canton de Cavan, Haut-Canada, fils aîné de John McLaughlin et d'Eliza Rusk ; le 5 février 1864, il épousa Mary Smith (décédée en 1877), et ils eurent deux filles et trois fils, dont John James* et Robert Samuel*, puis le 17 janvier 1878 à Oshawa, Ontario, Sarah Jane Parr (décédée en 1899), et finalement le 17 décembre 1901 dans le canton d'East Whitby, Ontario, Eleanor McCulloch, née Smith (décédée en 1930) ; décédé le 23 novembre 1921 à Oshawa.
  Biography – DUNCAN, HEN...  
He enjoyed good relations with Parr and probably with Wentworth as well; moreover, he took the part of his men in the dockyard and was not cantankerous or hot-headed, as he demonstrated by maintaining his calm during the Douglas-Thomas quarrel of 1783–84.
À Halifax, Duncan fut membre de la North British Society, dont il fut élu président en 1796. Parr le nomma membre du Conseil de la Nouvelle-Écosse en 1788, mais il ne s’y présenta que rarement et démissionna en 1801. Duncan s’associa aussi, sur une base commerciale, avec un compatriote écossais, Alexander Brymer, sous-officier payeur des troupes. Brymer, à ce qu’on dit, aurait fait £250 000, grâce à son poste. Les preuves que Duncan ait eu la possibilité d’en faire autant sont minces ; au demeurant, il peut difficilement avoir amassé une aussi grande fortune. Cependant, il est plus que vraisemblable qu’il ait fait certains profits : il avait beaucoup de liberté quand il s’agissait d’accorder des contrats locaux ou, par exemple, de se débarrasser des navires qu’il ne valait plus la peine de réparer ; en outre, l’accès à l’argent sonnant du gouvernement dut représenter un avantage au sein d’une société qui manquait souvent de numéraire. En 1796, le lieutenant-gouverneur sir John Wentworth le disait « très riche » et décrivait son poste comme « le meilleur emploi du comté ou des provinces ». Le testament de Duncan démontre une belle aisance, sinon une grande richesse : ainsi, il possédait une maison et de la terre à Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, et une pêcherie à St John’s.
  Biography – GIBBONS, RI...  
Despite Legge’s recall in 1776, Gibbons did achieve higher office; in January 1777 he was appointed solicitor general, and four years later he became attorney general. He was, however, unpopular with Governor John Parr and other members of Parr’s administration.
Malgré le rappel de Legge en 1776, Gibbons parvint à de hautes fonctions ; nommé solliciteur général en janvier 1777, il devenait procureur général quatre ans plus tard. Il était, cependant, impopulaire auprès du gouverneur John Parr et d’autres membres de son gouvernement. En 1784, une querelle s’éleva entre Gibbons et Parr au sujet de l’octroi des concessions de terres aux Loyalistes. La signature de Gibbons devant obligatoirement apparaître sur chaque titre de concession, il réclama qu’on lui reconnût le droit à une rémunération pour chaque nom porté sur le titre, même quand il y en avait des centaines. À la suite de plaintes des Loyalistes, Parr permit l’émission de concessions sans la signature de Gibbons.
  Biography – HARDY, ELIA...  
At the request of a loyalist militia company, Hardy drafted a petition of grievances which accused the agents of favouritism in the distribution of land and supplies and threatened to take the case to London if a fairer system were not introduced. This petition thoroughly alarmed both the agents and Governor John Parr of Nova Scotia.
En 1783, Hardy décida d’accompagner les exilés loyalistes allant s’établir dans la région du port de Saint-Jean, qui faisait alors partie de la Nouvelle-Écosse. Il y découvrit beaucoup de mécontentement au sujet des procédés préjudiciables des agents loyalistes en charge des établissements le long de la rivière Saint-Jean, qui se partageaient avec leurs amis les meilleurs emplacements commerciaux. À la demande d’une compagnie de miliciens loyalistes, Hardy rédigea une requête dans laquelle il énumérait leurs griefs, accusant les agents de favoritisme dans l’attribution des terres et des approvisionnements, et menaçant de porter cette affaire à Londres si on ne mettait pas en vigueur un système plus équitable. Cette requête inquiéta profondément le gouverneur John Parr, de la Nouvelle-Écosse, aussi bien que les agents loyalistes. Non seulement elle attaquait la gestion des agents responsables de la colonisation, mais elle pouvait constituer une menace à leurs efforts pour obtenir du gouvernement britannique la division du territoire de la Nouvelle-Écosse et la création d’une province loyaliste séparée, au nord de la baie de Fundy. Le gouverneur, quant à lui, vit dans cette requête une remise en question de sa façon de gouverner.
  Biography – BRIGGS, WIL...  
MACPHERSON, ISABEL ECCLESTONE (Mackay) (Vol. 15)McLACHLAN, ALEXANDER (Vol. 12)RIDOUT, MATILDA (Vol. 13)RYAN, ANNE GREGG (Vol. 13)STRICKLAND, CATHARINE PARR (Vol. 12)VINING, PAMELIA SARAH (Vol. 12)WELLS, EMMA LUCY (Dickson) (Vol. 15)
McLACHLAN, ALEXANDER (Vol. 12)RIDOUT, MATILDA (Vol. 13)RYAN, ANNE GREGG (Vol. 13)STRICKLAND, CATHARINE PARR (Vol. 12)VINING, PAMELIA SARAH (Vol. 12)WELLS, EMMA LUCY (Dickson) (Vol. 15)
  Biography – JULIEN, JOH...  
After the province of New Brunswick came into existence in 1784 Parr’s licence was called into question since part of these Indian lands were included in a grant made to John Cort and William Davidson*.
On peut lire, dans un document en langue micmaque mis au jour en 1931, la version de ces événements telle qu’on se les rappelait : un traité aurait été signé le 17 juin 1794 entre le « roi John Julian » et son frère Francis, et le roi George III, représenté par le gouverneur William Milan, à bord d’un navire de guerre non nommé, sur la Miramichi. Le roi anglais aurait dit au roi indien : « Désormais, vous apprendrez à vos enfants à maintenir la paix, et je vous donne ce papier sur lequel sont écrites beaucoup de promesses qui jamais ne s’effaceront. » Alors Julien aurait demandé une terre et se serait vu accorder six milles sur la Miramichi-du-Nord-Ouest. « Désormais, aurait dit le roi George, je pourvoirai à vos besoins et à ceux de votre postérité, aussi longtemps que se lèvera le soleil et que coulera la rivière. »
  Biography – GIBBONS, RI...  
Despite Legge’s recall in 1776, Gibbons did achieve higher office; in January 1777 he was appointed solicitor general, and four years later he became attorney general. He was, however, unpopular with Governor John Parr and other members of Parr’s administration.
Malgré le rappel de Legge en 1776, Gibbons parvint à de hautes fonctions ; nommé solliciteur général en janvier 1777, il devenait procureur général quatre ans plus tard. Il était, cependant, impopulaire auprès du gouverneur John Parr et d’autres membres de son gouvernement. En 1784, une querelle s’éleva entre Gibbons et Parr au sujet de l’octroi des concessions de terres aux Loyalistes. La signature de Gibbons devant obligatoirement apparaître sur chaque titre de concession, il réclama qu’on lui reconnût le droit à une rémunération pour chaque nom porté sur le titre, même quand il y en avait des centaines. À la suite de plaintes des Loyalistes, Parr permit l’émission de concessions sans la signature de Gibbons.
  Biography – OGILVIE, JA...  
COSSIT, RANNA (Vol. 5)MATHEWS, DAVID (Vol. 4)EDWARD AUGUSTUS, Duke of KENT and STRATHEARN (Vol. 5)PARR, JOHN (Vol. 4)DODD, ARCHIBALD CHARLES (Vol. 6)GAUTIER, NICOLAS (Vol. 5)HENRY, EDME (Vol. 7)McKINNON, WILLIAM (Vol. 5)MURRAY, JOHN (Vol. 6)SMITH, WILLIAM (fl. 1784-1803) (Vol. 5)
BALL, INGRAM (Vol. 5)COSSIT, RANNA (Vol. 5)MATHEWS, DAVID (Vol. 4)EDWARD AUGUSTUS, duc de KENT et STRATHEARN (Vol. 5)MACARMICK, WILLIAM (Vol. 5)PARR, JOHN (Vol. 4)DODD, ARCHIBALD CHARLES (Vol. 6)HENRY, EDME (Vol. 7)FR:More
  Biography – MOORE, WILL...  
BROWN, WILLIAM (Vol. 4)CARLETON, GUY, 1st Baron DORCHESTER (Vol. 5)MESPLET, FLEURY (Vol. 4)PARR, JOHN (Vol. 4)
CARLETON, GUY, 1er baron DORCHESTER (Vol. 5)MESPLET, FLEURY (Vol. 4)
  Biography – GERRISH, MO...  
CALEFF, JOHN (Vol. 5)GALLOP, WILLIAM (Vol. 5)McLEAN, FRANCIS (Vol. 4)PARR, JOHN (Vol. 4)JONES, JOHN (d. 1823) (Vol. 6)OWEN, DAVID (Vol. 6)
CALEFF, JOHN (Vol. 5)GALLOP, WILLIAM (Vol. 5)McLEAN, FRANCIS (Vol. 4)PARR, JOHN (Vol. 4)JONES, JOHN (mort en 1823) (Vol. 6)OWEN, DAVID (Vol. 6)
  Biography – BLOWERS, SA...  
Notwithstanding Governor John Parr*’s polite reception, Blowers was doubtful about his prospects, and commented to fellow lawyer Ward Chipman* that “there is very little business in our way to be done here, and that but indifferently paid for, and there is no want of lawyers.”
, qui abrogeait la charte de la colonie, entraîna la fermeture des tribunaux de Boston en juin 1774. Blowers, déjà fort critiqué en raison de ses sentiments loyalistes, résolut alors de quitter le Massachusetts. Cinq mois plus tard, il s’embarqua pour l’Angleterre avec sa femme, Sarah Kent. Blowers avait quelques économies et sa femme avait touché un héritage de quelques milliers de livres « placées principalement dans des hypothèques » mais, avec le temps, percevoir des loyers et des intérêts sur des immeubles situés au Massachusetts devint de plus en plus difficile. « Dépourvu des moyens de gagner un seul shilling », Blowers fit donc appel à la Trésorerie, qui lui accorda une allocation annuelle de £100.
  Biography – STRANGE, Si...  
From the beginning many people in the colony liked Strange. Governor John Parr* expressed regret that Strange had not arrived earlier, and declared that the chief justice could have saved him much trouble and anxiety.
Strange se fit aimer d’emblée par bien des habitants de la colonie. Le gouverneur John Parr* déclara regretter qu’il ne soit arrivé plus tôt, ce qui lui aurait probablement épargné beaucoup de problèmes et d’anxiété. Le successeur de Parr, John Wentworth*, exprima aussi sa satisfaction à maintes reprises. Ainsi, en rapportant en 1793 qu’il y avait plusieurs comtés où la Cour suprême n’avait pas tenu d’audiences cette année-là, il précisa : « [ce] malgré l’extrême diligence de notre bon juge en chef, qui est infatigable au travail ». Lorsque, l’année suivante, il comprit que Strange pourrait choisir d’aller occuper un poste dans une autre colonie, il déclara que « la province et [lui]-même » ne pourraient pas connaître « pire malheur ».
  Biography – McLAUGHLIN,...  
In March 1877 his wife had died of consumption, leaving him with five children, whose life worsened when their busy father married the tyrannical Sarah Jane Parr, apparently an employee in their household.
Attentif à ses comptes et soucieux de la qualité de ses matériaux, McLaughlin devint relativement prospère, même si, selon l'Industrial Canada (Toronto), il était « ardu », dans les années 1870, de concurrencer les importations américaines, faites à la machine et bon marché. Au milieu de l'année 1877, McLaughlin en était venu à la conclusion qu'il lui fallait s'installer dans une grande ville, tant pour que son entreprise prenne de l'expansion que pour assurer un nouveau départ à sa famille. En mars de cette année-là, sa femme était morte de consomption. Ses cinq enfants connaîtraient toutefois un sort bien plus pénible après son remariage avec la tyrannique Sarah Jane Parr, qui était apparemment une employée de la maison. On ne sait pas combien de temps McLaughlin, accaparé par ses affaires, mettrait avant d'admettre tout le tort causé par cette femme.
  Biography – GIBBONS, RI...  
Despite Legge’s recall in 1776, Gibbons did achieve higher office; in January 1777 he was appointed solicitor general, and four years later he became attorney general. He was, however, unpopular with Governor John Parr and other members of Parr’s administration.
Malgré le rappel de Legge en 1776, Gibbons parvint à de hautes fonctions ; nommé solliciteur général en janvier 1777, il devenait procureur général quatre ans plus tard. Il était, cependant, impopulaire auprès du gouverneur John Parr et d’autres membres de son gouvernement. En 1784, une querelle s’éleva entre Gibbons et Parr au sujet de l’octroi des concessions de terres aux Loyalistes. La signature de Gibbons devant obligatoirement apparaître sur chaque titre de concession, il réclama qu’on lui reconnût le droit à une rémunération pour chaque nom porté sur le titre, même quand il y en avait des centaines. À la suite de plaintes des Loyalistes, Parr permit l’émission de concessions sans la signature de Gibbons.
  Biography – GIBBONS, RI...  
Despite Legge’s recall in 1776, Gibbons did achieve higher office; in January 1777 he was appointed solicitor general, and four years later he became attorney general. He was, however, unpopular with Governor John Parr and other members of Parr’s administration.
Malgré le rappel de Legge en 1776, Gibbons parvint à de hautes fonctions ; nommé solliciteur général en janvier 1777, il devenait procureur général quatre ans plus tard. Il était, cependant, impopulaire auprès du gouverneur John Parr et d’autres membres de son gouvernement. En 1784, une querelle s’éleva entre Gibbons et Parr au sujet de l’octroi des concessions de terres aux Loyalistes. La signature de Gibbons devant obligatoirement apparaître sur chaque titre de concession, il réclama qu’on lui reconnût le droit à une rémunération pour chaque nom porté sur le titre, même quand il y en avait des centaines. À la suite de plaintes des Loyalistes, Parr permit l’émission de concessions sans la signature de Gibbons.
  Biography – STRANGE, Si...  
From the beginning many people in the colony liked Strange. Governor John Parr* expressed regret that Strange had not arrived earlier, and declared that the chief justice could have saved him much trouble and anxiety.
Strange se fit aimer d’emblée par bien des habitants de la colonie. Le gouverneur John Parr* déclara regretter qu’il ne soit arrivé plus tôt, ce qui lui aurait probablement épargné beaucoup de problèmes et d’anxiété. Le successeur de Parr, John Wentworth*, exprima aussi sa satisfaction à maintes reprises. Ainsi, en rapportant en 1793 qu’il y avait plusieurs comtés où la Cour suprême n’avait pas tenu d’audiences cette année-là, il précisa : « [ce] malgré l’extrême diligence de notre bon juge en chef, qui est infatigable au travail ». Lorsque, l’année suivante, il comprit que Strange pourrait choisir d’aller occuper un poste dans une autre colonie, il déclara que « la province et [lui]-même » ne pourraient pas connaître « pire malheur ».
  Biography – HOWE, ALEXA...  
HOW, EDWARD (Vol. 3)PARR, JOHN (Vol. 4)BARCLAY, THOMAS HENRY (Vol. 6)
Amérique du Nord – Canada – Nouvelle-Écosse – Partie continentale
  Biography – HARDY, ELIA...  
At first, Parr was inclined to blame Hardy for the troubles along the Saint John. Hardy, however, went to Halifax during the winter of 1783–84 and convinced the governor that his real enemies were the loyalist agents, both because of their partiality in allocating lands and, more important, because of their desire to use the discontent within the settlements to discredit the Parr administration so as to achieve the partition of Nova Scotia.
Parr fut tout d’abord enclin à jeter sur Hardy le blâme des difficultés survenues le long de la Saint-Jean. Mais Hardy se rendit à Halifax au cours de l’hiver de 1783–1784 et convainquit le gouverneur que les agents loyalistes étaient ses véritables ennemis, tant à cause de leur partialité dans l’attribution des terres que, fait plus important, de leur désir de profiter du mécontentement au sein des établissements pour discréditer le gouvernement de Parr et réussir ainsi à démembrer le territoire de la Nouvelle-Écosse. À partir de là, Parr et Hardy s’allièrent pour réduire le pouvoir des agents et combattre le projet de division du territoire. Au printemps de 1784, Hardy retourna sur la Saint-Jean avec le juge en chef nommé par le gouverneur, Bryan Finucane, qui redistribua rapidement les lots commerciaux controversés et commença d’organiser un mouvement d’opposition à la séparation. En outre, le Conseil de la Nouvelle-Écosse mit sur pied un comité d’enquête chargé d’examiner la conduite des agents, et choisit Hardy comme enquêteur en chef. Les agents réagirent, comme on pouvait le prévoir, à l’action de Hardy. Pour le lieutenant-colonel Edward Winslow*, Hardy n’était pas seulement « un notaire public de bas étage », mais « une vipère » ; le major John Coffin* condamna sa conduite disant qu’il était un « vagabond », et George Leonard*, qu’il était le chef des « mécontents » et « des gens sans mérite ». Hardy n’en fut pas ébranlé, mais ses efforts venaient trop tard. Le gouvernement britannique avait déjà décidé de diviser le territoire de la Nouvelle-Écosse et, en juin 1784, le Nouveau-Brunswick était créé ; les agents loyalistes et leurs collègues s’y retrouvaient solidement retranchés dans des positions d’autorité des plus importantes.
  Biography – HOWISON, JO...  
GALT, JOHN (Vol. 7)GOURLAY, ROBERT FLEMING (Vol. 9)MACTAGGART, JOHN (Vol. 6)NORTON, JOHN (Vol. 6)STRACHAN, JOHN (Vol. 9)TALBOT, EDWARD ALLEN (Vol. 7)STRICKLAND, CATHARINE PARR (Vol. 12)
GALT, JOHN (Vol. 7)GOURLAY, ROBERT FLEMMING (Vol. 9)MACTAGGART, JOHN (Vol. 6)NORTON, JOHN (Vol. 6)STRACHAN, JOHN (Vol. 9)TALBOT, EDWARD ALLEN (Vol. 7)STRICKLAND, CATHARINE PARR (Vol. 12)
  Biography – HARDY, ELIA...  
At first, Parr was inclined to blame Hardy for the troubles along the Saint John. Hardy, however, went to Halifax during the winter of 1783–84 and convinced the governor that his real enemies were the loyalist agents, both because of their partiality in allocating lands and, more important, because of their desire to use the discontent within the settlements to discredit the Parr administration so as to achieve the partition of Nova Scotia.
Parr fut tout d’abord enclin à jeter sur Hardy le blâme des difficultés survenues le long de la Saint-Jean. Mais Hardy se rendit à Halifax au cours de l’hiver de 1783–1784 et convainquit le gouverneur que les agents loyalistes étaient ses véritables ennemis, tant à cause de leur partialité dans l’attribution des terres que, fait plus important, de leur désir de profiter du mécontentement au sein des établissements pour discréditer le gouvernement de Parr et réussir ainsi à démembrer le territoire de la Nouvelle-Écosse. À partir de là, Parr et Hardy s’allièrent pour réduire le pouvoir des agents et combattre le projet de division du territoire. Au printemps de 1784, Hardy retourna sur la Saint-Jean avec le juge en chef nommé par le gouverneur, Bryan Finucane, qui redistribua rapidement les lots commerciaux controversés et commença d’organiser un mouvement d’opposition à la séparation. En outre, le Conseil de la Nouvelle-Écosse mit sur pied un comité d’enquête chargé d’examiner la conduite des agents, et choisit Hardy comme enquêteur en chef. Les agents réagirent, comme on pouvait le prévoir, à l’action de Hardy. Pour le lieutenant-colonel Edward Winslow*, Hardy n’était pas seulement « un notaire public de bas étage », mais « une vipère » ; le major John Coffin* condamna sa conduite disant qu’il était un « vagabond », et George Leonard*, qu’il était le chef des « mécontents » et « des gens sans mérite ». Hardy n’en fut pas ébranlé, mais ses efforts venaient trop tard. Le gouvernement britannique avait déjà décidé de diviser le territoire de la Nouvelle-Écosse et, en juin 1784, le Nouveau-Brunswick était créé ; les agents loyalistes et leurs collègues s’y retrouvaient solidement retranchés dans des positions d’autorité des plus importantes.
  Biography – DesBARRES, ...  
In April Lord Sydney had reprimanded him for attempting to promote one of his favourite schemes, the establishment of a whale fishery, by encouraging whalers from Nantucket Island and Martha’s Vineyard, Mass., to settle in Cape Breton. Sydney had reproved Parr for the same activity.
et hypothéquer certaines de ses terres. Durant plusieurs années, ses états financiers furent passés au crible tandis qu’il réclamait le moindre penny que, selon lui, on lui devait ; les nombreuses et longues requêtes qu’il déposa à cette fin sont une preuve de l’entêtement qui le caractérisa toute sa vie. Le gouvernement accepta de payer une part des £43 000 qui constituaient le total de sa réclamation, mais la plus grande partie de la somme demeurait impayée lorsque son ami William Windham devint secrétaire à la Guerre en 1794. À ce moment, toutes les réclamations concernant
  Biography – PARR, JOHN ...  
9. J. S. Macdonald, “Memoir of Governor John Parr,” N.S. Hist. Soc.,
, 1934, 105–109.— J. S. Macdonald, Memoir of Governor John Parr, N. S. Hist. Soc.,
  Biography – HAMOND, Sir...  
DAVIDSON, WILLIAM (Vol. 4)HUGHES, Sir RICHARD (Vol. 5)LEGGE, FRANCIS (Vol. 4)PARR, JOHN (Vol. 4)
Amérique du Nord – Canada – Nouvelle-Écosse – Partie continentale
  Biography – PARR, JOHN ...  
Permalink: http://www.biographi.ca/en/bio/parr_john_4E.html
Permalien: http://www.biographi.ca/fr/bio/parr_john_4F.html
  Biography – DesBARRES, ...  
In April Lord Sydney had reprimanded him for attempting to promote one of his favourite schemes, the establishment of a whale fishery, by encouraging whalers from Nantucket Island and Martha’s Vineyard, Mass., to settle in Cape Breton. Sydney had reproved Parr for the same activity.
et hypothéquer certaines de ses terres. Durant plusieurs années, ses états financiers furent passés au crible tandis qu’il réclamait le moindre penny que, selon lui, on lui devait ; les nombreuses et longues requêtes qu’il déposa à cette fin sont une preuve de l’entêtement qui le caractérisa toute sa vie. Le gouvernement accepta de payer une part des £43 000 qui constituaient le total de sa réclamation, mais la plus grande partie de la somme demeurait impayée lorsque son ami William Windham devint secrétaire à la Guerre en 1794. À ce moment, toutes les réclamations concernant
  Biography – INGLIS, CHA...  
Parr and his Council”
Charles Inglis est l’auteur de :
  Biography – RASTELL, JO...  
., XVII (1938), 251–62, and J. Parr, “John Rastell’s geographical knowledge of America,”
., XVII (1938) : 251–262 et dans J. Parr, John Rastell’s geographical knowledge of America,
  Biography – HARDY, ELIA...  
At first, Parr was inclined to blame Hardy for the troubles along the Saint John. Hardy, however, went to Halifax during the winter of 1783–84 and convinced the governor that his real enemies were the loyalist agents, both because of their partiality in allocating lands and, more important, because of their desire to use the discontent within the settlements to discredit the Parr administration so as to achieve the partition of Nova Scotia.
Parr fut tout d’abord enclin à jeter sur Hardy le blâme des difficultés survenues le long de la Saint-Jean. Mais Hardy se rendit à Halifax au cours de l’hiver de 1783–1784 et convainquit le gouverneur que les agents loyalistes étaient ses véritables ennemis, tant à cause de leur partialité dans l’attribution des terres que, fait plus important, de leur désir de profiter du mécontentement au sein des établissements pour discréditer le gouvernement de Parr et réussir ainsi à démembrer le territoire de la Nouvelle-Écosse. À partir de là, Parr et Hardy s’allièrent pour réduire le pouvoir des agents et combattre le projet de division du territoire. Au printemps de 1784, Hardy retourna sur la Saint-Jean avec le juge en chef nommé par le gouverneur, Bryan Finucane, qui redistribua rapidement les lots commerciaux controversés et commença d’organiser un mouvement d’opposition à la séparation. En outre, le Conseil de la Nouvelle-Écosse mit sur pied un comité d’enquête chargé d’examiner la conduite des agents, et choisit Hardy comme enquêteur en chef. Les agents réagirent, comme on pouvait le prévoir, à l’action de Hardy. Pour le lieutenant-colonel Edward Winslow*, Hardy n’était pas seulement « un notaire public de bas étage », mais « une vipère » ; le major John Coffin* condamna sa conduite disant qu’il était un « vagabond », et George Leonard*, qu’il était le chef des « mécontents » et « des gens sans mérite ». Hardy n’en fut pas ébranlé, mais ses efforts venaient trop tard. Le gouvernement britannique avait déjà décidé de diviser le territoire de la Nouvelle-Écosse et, en juin 1784, le Nouveau-Brunswick était créé ; les agents loyalistes et leurs collègues s’y retrouvaient solidement retranchés dans des positions d’autorité des plus importantes.
  Biography – BARCLAY, TH...  
Complaints about their actions prompted investigation by the assembly during the 1787 session. The house concluded that the evidence warranted a thorough review of the charges by Lieutenant Governor John Parr*.
Comme il convenait à un homme de son éducation et de son rang, Barclay eut tôt fait de se lancer dans la politique. Avec son compatriote loyaliste David Seabury, il fut élu député de la circonscription d’Annapolis aux élections législatives de 1785. Orateur talentueux, Barclay devint une figure dominante de la sixième législature, la première où les loyalistes étaient représentés. Il ne tarda pas à devenir le centre d’une controverse qui opposa les loyalistes aux préloyalistes, lorsque Alexander Howe*, issu d’une vieille famille de Nouvelle-Écosse, protesta contre l’élection de Seabury. Howe affirma que le shérif du comté d’Annapolis avait fait preuve de partialité en permettant à des partisans de Seabury de voter, alors qu’il avait interdit à certains des siens de le faire. Le comité parlementaire des élections, dont quatre membres sur cinq étaient des préloyalistes, donna raison à Howe et ordonna qu’on convoque de nouveau les électeurs. Seabury fut élu au cours de l’élection partielle qui suivit, mais son élection fut encore contestée. L’Assemblée mit fin au débat en invalidant le député Seabury et en déclarant Howe dûment élu. Tout au long de la controverse, Barclay avait appuyé son cocandidat et, en fait, avait aggravé la scission entre les anciens et les nouveaux colons en exhortant les loyalistes du comté d’Annapolis à s’unir derrière Seabury qui, affirmait-il, avait été injustement privé de son siège à cause de la partialité de l’Assemblée. La lettre incendiaire qu’il avait écrite en décembre 1785 sema le désaccord à la session de 1786. En dépit de l’opposition des députés loyalistes, une motion forçant Barclay à s’excuser de ses allégations de favoritisme fut en effet adoptée par les députés préloyalistes, qui formaient la majorité.
  Biography – SIMS, LOUIS...  
, ed. Joy Parr and Mark Rosenfeld (Toronto, 1996), 88-100. Dan Schiller,
, Joy Parr et Mark Rosenfeld, édit. (Toronto, 1996), 88–100.— Dan Schiller,
  Biography – RYE, MARIA ...  
Joy Parr, “RYE, MARIA SUSAN,” in
DIXON, WILLIAM (Vol. 10)
  Biography – WINSLOW, ED...  
He cultivated the friendship of Governor John Parr* and other Halifax officials; but, while these gentlemen proved willing to share their table with Winslow, they clung tight to their power over land grants.
Pour atteindre son but de créer une province loyaliste distincte, Winslow fit part de ses propositions et de ses espoirs à de nombreux collègues, en Nouvelle-Écosse et en Grande-Bretagne. Le projet reçut un rapide assentiment parmi les réfugiés frustrés par le manque d’emplois et la difficulté d’obtenir des concessions de terre, et une bataille politique longue – elle dura un an – et compliquée s’ensuivit entre les défenseurs d’une nouvelle province et les partisans de l’intégrité politique de la Nouvelle-Écosse. L’histoire canadienne connaît cette campagne sous le nom de
  Biography – MATHEWS, DA...  
DESPARD, JOHN (Vol. 6)EDWARD AUGUSTUS, Duke of KENT and STRATHEARN (Vol. 5)PARR, JOHN (Vol. 4)CAMPBELL, Sir WILLIAM (Vol. 6)DODD, ARCHIBALD CHARLES (Vol. 6)GREEN, FRANCIS (Vol. 5)McKINNON, WILLIAM (Vol. 5)MURRAY, JOHN (Vol. 6)SMITH, WILLIAM (fl. 1784-1803) (Vol. 5)
DESPARD, JOHN (Vol. 6)EDWARD AUGUSTUS, duc de KENT et STRATHEARN (Vol. 5)PARR, JOHN (Vol. 4)CAMPBELL, sir WILLIAM (Vol. 6)DODD, ARCHIBALD CHARLES (Vol. 6)GREEN, FRANCIS (Vol. 5)McKINNON, WILLIAM (Vol. 5)MURRAY, JOHN (Vol. 6)SMITH, WILLIAM (circa 1784-1803) (Vol. 5)
  Biography – HARDY, ELIA...  
At first, Parr was inclined to blame Hardy for the troubles along the Saint John. Hardy, however, went to Halifax during the winter of 1783–84 and convinced the governor that his real enemies were the loyalist agents, both because of their partiality in allocating lands and, more important, because of their desire to use the discontent within the settlements to discredit the Parr administration so as to achieve the partition of Nova Scotia.
Parr fut tout d’abord enclin à jeter sur Hardy le blâme des difficultés survenues le long de la Saint-Jean. Mais Hardy se rendit à Halifax au cours de l’hiver de 1783–1784 et convainquit le gouverneur que les agents loyalistes étaient ses véritables ennemis, tant à cause de leur partialité dans l’attribution des terres que, fait plus important, de leur désir de profiter du mécontentement au sein des établissements pour discréditer le gouvernement de Parr et réussir ainsi à démembrer le territoire de la Nouvelle-Écosse. À partir de là, Parr et Hardy s’allièrent pour réduire le pouvoir des agents et combattre le projet de division du territoire. Au printemps de 1784, Hardy retourna sur la Saint-Jean avec le juge en chef nommé par le gouverneur, Bryan Finucane, qui redistribua rapidement les lots commerciaux controversés et commença d’organiser un mouvement d’opposition à la séparation. En outre, le Conseil de la Nouvelle-Écosse mit sur pied un comité d’enquête chargé d’examiner la conduite des agents, et choisit Hardy comme enquêteur en chef. Les agents réagirent, comme on pouvait le prévoir, à l’action de Hardy. Pour le lieutenant-colonel Edward Winslow*, Hardy n’était pas seulement « un notaire public de bas étage », mais « une vipère » ; le major John Coffin* condamna sa conduite disant qu’il était un « vagabond », et George Leonard*, qu’il était le chef des « mécontents » et « des gens sans mérite ». Hardy n’en fut pas ébranlé, mais ses efforts venaient trop tard. Le gouvernement britannique avait déjà décidé de diviser le territoire de la Nouvelle-Écosse et, en juin 1784, le Nouveau-Brunswick était créé ; les agents loyalistes et leurs collègues s’y retrouvaient solidement retranchés dans des positions d’autorité des plus importantes.
  Biography – BARCLAY, TH...  
Complaints about their actions prompted investigation by the assembly during the 1787 session. The house concluded that the evidence warranted a thorough review of the charges by Lieutenant Governor John Parr*.
Comme il convenait à un homme de son éducation et de son rang, Barclay eut tôt fait de se lancer dans la politique. Avec son compatriote loyaliste David Seabury, il fut élu député de la circonscription d’Annapolis aux élections législatives de 1785. Orateur talentueux, Barclay devint une figure dominante de la sixième législature, la première où les loyalistes étaient représentés. Il ne tarda pas à devenir le centre d’une controverse qui opposa les loyalistes aux préloyalistes, lorsque Alexander Howe*, issu d’une vieille famille de Nouvelle-Écosse, protesta contre l’élection de Seabury. Howe affirma que le shérif du comté d’Annapolis avait fait preuve de partialité en permettant à des partisans de Seabury de voter, alors qu’il avait interdit à certains des siens de le faire. Le comité parlementaire des élections, dont quatre membres sur cinq étaient des préloyalistes, donna raison à Howe et ordonna qu’on convoque de nouveau les électeurs. Seabury fut élu au cours de l’élection partielle qui suivit, mais son élection fut encore contestée. L’Assemblée mit fin au débat en invalidant le député Seabury et en déclarant Howe dûment élu. Tout au long de la controverse, Barclay avait appuyé son cocandidat et, en fait, avait aggravé la scission entre les anciens et les nouveaux colons en exhortant les loyalistes du comté d’Annapolis à s’unir derrière Seabury qui, affirmait-il, avait été injustement privé de son siège à cause de la partialité de l’Assemblée. La lettre incendiaire qu’il avait écrite en décembre 1785 sema le désaccord à la session de 1786. En dépit de l’opposition des députés loyalistes, une motion forçant Barclay à s’excuser de ses allégations de favoritisme fut en effet adoptée par les députés préloyalistes, qui formaient la majorité.
  Biography – JULIEN, JOH...  
After the province of New Brunswick came into existence in 1784 Parr’s licence was called into question since part of these Indian lands were included in a grant made to John Cort and William Davidson*.
On peut lire, dans un document en langue micmaque mis au jour en 1931, la version de ces événements telle qu’on se les rappelait : un traité aurait été signé le 17 juin 1794 entre le « roi John Julian » et son frère Francis, et le roi George III, représenté par le gouverneur William Milan, à bord d’un navire de guerre non nommé, sur la Miramichi. Le roi anglais aurait dit au roi indien : « Désormais, vous apprendrez à vos enfants à maintenir la paix, et je vous donne ce papier sur lequel sont écrites beaucoup de promesses qui jamais ne s’effaceront. » Alors Julien aurait demandé une terre et se serait vu accorder six milles sur la Miramichi-du-Nord-Ouest. « Désormais, aurait dit le roi George, je pourvoirai à vos besoins et à ceux de votre postérité, aussi longtemps que se lèvera le soleil et que coulera la rivière. »
  Biography – JULIEN, JOH...  
After the province of New Brunswick came into existence in 1784 Parr’s licence was called into question since part of these Indian lands were included in a grant made to John Cort and William Davidson*.
On peut lire, dans un document en langue micmaque mis au jour en 1931, la version de ces événements telle qu’on se les rappelait : un traité aurait été signé le 17 juin 1794 entre le « roi John Julian » et son frère Francis, et le roi George III, représenté par le gouverneur William Milan, à bord d’un navire de guerre non nommé, sur la Miramichi. Le roi anglais aurait dit au roi indien : « Désormais, vous apprendrez à vos enfants à maintenir la paix, et je vous donne ce papier sur lequel sont écrites beaucoup de promesses qui jamais ne s’effaceront. » Alors Julien aurait demandé une terre et se serait vu accorder six milles sur la Miramichi-du-Nord-Ouest. « Désormais, aurait dit le roi George, je pourvoirai à vos besoins et à ceux de votre postérité, aussi longtemps que se lèvera le soleil et que coulera la rivière. »
  Biography – BLOWERS, SA...  
The early years of the sixth assembly were peaceful, but in 1787 dissatisfaction with the administration of justice led the house to ask Parr for an investigation into the conduct of judge James Brenton* and acting chief justice Isaac Deschamps*.
En septembre 1783, Blowers s’embarqua pour Halifax. Malgré une lettre de recommandation de sir Guy Carleton* et l’accueil poli du gouverneur John Parr*, ses chances de réussir lui semblaient minces : « il y a ici, confia-t-il à son confrère Ward Chipman*, très peu de travail pour les gens de notre profession ; le peu qu’on y trouve n’est que médiocrement payé, et il n’y a aucune pénurie d’avocats ». Pourtant, on ne tarda pas à recourir à ses services. En 1785, il plaida 100 causes devant la Cour suprême, soit seulement deux fois moins environ que le solliciteur général Richard John Uniacke*. Il eut par ailleurs un succès mitigé dans le recouvrement de ses pertes de guerre. La commission chargée d’examiner les réclamations des loyalistes refusa de lui verser les quelque £4 800 qu’il revendiquait pour des biens meubles et immeubles, mais elle lui consentit une pension annuelle de £100. Une fois la paix conclue, il avait touché £1 000 de créances, mais en 1788 il tentait encore de percevoir des sommes qui lui étaient dues sur des immeubles, obligations et hypothèques aux États-Unis.
  Biography – PARR, JOHN ...  
Parr was particularly sensitive about his superiors’ views since he had been censured in 1786 for attempting to establish a whaling industry at Dartmouth. The lieutenant governor had welcomed as settlers Nantucket Quakers, whose fortunes were threatened by the exclusion of American whale oil from the British market following the war, and prospects for a thriving fishery had seemed bright.
En juillet 1782, grâce à l’influence de son protecteur, le comte de Shelburne, ministre de l’Intérieur (responsable aussi des colonies), Parr fut nommé gouverneur de la Nouvelle-Écosse, succédant à Francis Legge. Cependant, loin de trouver en ce poste une tranquille retraite, il dut immédiatement affronter la tâche immense et urgente de secourir et d’établir quelque 35 000 Loyalistes qui affluèrent en Nouvelle-Ecosse à la fin de la Révolution américaine. La population ayant plus que doublé du jour au lendemain, d’intolérables tensions se créèrent dans la machine administrative rudimentaire de la Nouvelle-Écosse, de même que dans l’approvisionnement en marchandises et en vivres. Au cours de l’hiver de 1782–1783, 10 000 réfugiés arrivèrent à Halifax, impuissants et dépourvus de tout. On dut réquisitionner des entrepôts, des hangars et des églises, retenir les navires dans le port et construire des baraquements improvisés sur les emplacements vacants.
  Biography – VAN BUSKIRK...  
When the New Jersey Volunteers were disbanded in the fall of 1783 at Parrtown (Saint John, N.B.), Van Buskirk went to the Shelburne region, where his father and other family members also settled. He received half pay and was granted 200 acres on the west side of Shelburne Harbour at Gunning Cove, and an additional 300 acres at Tusket River in what is now Yarmouth County.
Jacob Van Buskirk suivit l’option loyaliste de son père durant la guerre d’Indépendance américaine et, en 1777, il fut nommé lieutenant dans le 4 e bataillon des New Jersey Volunteers. Le 27 novembre de la même année, il fut capture par les rebelles avec trois autres officiers durant un raid à l’île Staten, dans l’état de New York, et accusé de haute trahison. Pour le général George Washington, cette façon d’agir pouvait « se révéler un dangereux expédient ». Il expliquait ainsi son point de vue : « il se [pourrait] que la même règle qui veut que nous jugions [ces gens]. serve à nos ennemis pour juger tout sujet Britannique de naissance pris en armes au service [de la nation américaine] ». Le procès n’eut jamais lieu. Après sa libération, Van Buskirk rejoignit son régiment, fut promu capitaine dans le 4e bataillon le 24 février 1780 et muté au 3e bataillon le 13 mai. Pendant qu’il était en service dans la Provincial Light Infantry, il fut blessé à la bataille d’Eutaw Springs, le 8 septembre 1781.
  Biography – STRICKLAND,...  
Permalink: http://www.biographi.ca/en/bio/strickland_catharine_parr_12E.html
Permalien: http://www.biographi.ca/fr/bio/strickland_catharine_parr_12F.html
  Biography – BLOWERS, SA...  
His promotion touched off a quarrel with Uniacke which lasted until the latter’s death. Uniacke had expected to succeed Gibbons, and in compensation he was named advocate general of the Vice-Admiralty Court by Parr.
Lorsqu’il apprit, en 1776, que les Britanniques occupaient New York ainsi que Newport, dans le Rhode Island, Blowers songea qu’il pourrait se tailler là un bel avenir et, convaincu qu’il servirait « aussi bien les intérêts du gouvernement que les [siens] propres en résidant en Amérique », il quitta l’Angleterre en 1777 avec sa femme et s’installa à Newport. En avril 1778, il se rendit à Boston rejoindre sa femme qui y était tombée malade au cours d’une visite. En dépit du sauf-conduit que lui avaient délivré les autorités américaines, il fut arrêté dès son arrivée et « mis dans une cave lugubre et infecte ». Il refusa de demander réparation et déclara que son seul désir était de « quitter le pays aussi vite que possible ». Transféré à Halifax à l’occasion d’un échange de prisonniers, il retourna en Angleterre et fut renvoyé à Newport nanti d’une commission de juge de la Cour de vice-amirauté. Cependant, quelques jours après son arrivée, la garnison de Newport se replia jusqu’à New York. Le 13 mars 1781, grâce à l’influence de lord George Germain, secrétaire d’État aux Colonies américaines, Blowers devint solliciteur général de New York. Il ne pouvait pas exercer le droit, parce que New York était sous régime militaire, mais son travail à la Cour de vice-amirauté était « suffisant et de bon rapport ». En effet, il suppléa le juge pendant que celui-ci était en Angleterre, ce qui lui permit de toucher de gros honoraires sur la confiscation des navires capturés.
  Biography – JADIS, CHAR...  
Jadis’ whereabouts until 1784 are unknown, but in October of that year he reappeared in Halifax and was granted lands by Governor John Parr to replace those he had been forced to leave. Parr refused, however, to restore his property on the Saint John or to grant Jadis the financial compensation he demanded.
La plupart des renseignements concernant Charles Newland Godfrey Jadis ont été puisés dans les quelques pétitions et requêtes qu’il formula au cours de la dernière partie de sa vie. Fils d’un officier de la marine royale, Jadis fut affecté au
  Biography – OGILVIE, JA...  
The 4th was posted to Halifax, N.S., in 1787, and upon arrival Ogilvie was made brigadier commanding the Nova Scotia district. Little is known about his relations with Lieutenant Governor John Parr*, but those with Lieutenant Governor John Wentworth were strained, largely because their jurisdictions overlapped.
Le 4e d’infanterie fut cantonné à Halifax en 1787 ; à son arrivée, Ogilvie fut fait général de brigade, chargé du commandement dans le district militaire de la Nouvelle-Écosse (qui comprenait aussi le Nouveau-Brunswick). On sait peu de chose de ses relations avec le lieutenant-gouverneur John Parr*. Quant à celles qu’il entretenait avec le lieutenant-gouverneur John Wentworth, elles furent tendues, surtout à cause de l’empiètement de leurs juridictions. Après l’éclatement des hostilités entre la Grande-Bretagne et la France en 1793, Ogilvie, conformément aux instructions de Londres, organisa une expédition contre les îles Saint-Pierre et Miquelon ; formée d’hommes du 4e et du 65e d’infanterie ainsi que du Royal Regiment of Artillery, cette expédition était accompagnée d’une frégate et de plusieurs navires armés. De concert avec un détachement de Terre-Neuve, on attaqua, le 14 mai, la colonie française mal défendue, qui se rendit sans tirer un seul coup de feu. Ogilvie retourna à Halifax le 20 juin avec 570 prisonniers comprenant des fonctionnaires, des soldats et des pêcheurs ; les insulaires qui étaient demeurés sur, place furent déportés l’année suivante en Nouvelle-Ecosse et dans les îles Anglo-Normandes. Le 12 octobre 1793, du seul fait de l’ancienneté, Ogilvie fut promu major général.
  Biography – BRYMER, ALE...  
He became one of the inner circle of Governor John Parr*, whose widowed daughter he married, and his relations with Parr’s successor, the quixotic Wentworth, were those of mutual respect and loyalty if not friendship.
dans le comté de Hants. En 1791 et 1792, il fit partie d’un comité du conseil chargé de superviser l’embarquement de Noirs affranchis à destination de la Sierra Leone [V. David George* ; Thomas Peters*]. Vers la fin de 1791, il devint trésorier-payeur général adjoint de l’armée, puis, en 1793, il fut nommé commissaire du revenu et vérificateur des comptes publics ; enfin, il fut commissaire responsable d’un fonds destiné à la construction de routes et de ponts en 1797.
  Biography – BRYMER, ALE...  
He became one of the inner circle of Governor John Parr*, whose widowed daughter he married, and his relations with Parr’s successor, the quixotic Wentworth, were those of mutual respect and loyalty if not friendship.
dans le comté de Hants. En 1791 et 1792, il fit partie d’un comité du conseil chargé de superviser l’embarquement de Noirs affranchis à destination de la Sierra Leone [V. David George* ; Thomas Peters*]. Vers la fin de 1791, il devint trésorier-payeur général adjoint de l’armée, puis, en 1793, il fut nommé commissaire du revenu et vérificateur des comptes publics ; enfin, il fut commissaire responsable d’un fonds destiné à la construction de routes et de ponts en 1797.
  Biography – BRENTON, JA...  
The death of Chief Justice Bryan Finucane in August 1785 had left Brenton and Deschamps as the only two members of the Supreme Court, and dissatisfaction with their performance caused a secret session of the assembly in 1787 to request of Lieutenant Governor John Parr* and the Council an investigation into the judges’ behaviour.
À la suite du décès du juge en chef Bryan Finucane, en août 1785, il ne restait plus que deux juges à la Cour suprême : Brenton et Deschamps. Insatisfaite de leur rendement, l’Assemblée, lors d’une session secrète tenue en 1787, formula une demande au lieutenant-gouverneur John Parr* et au conseil en vue d’enquêter sur la conduite des deux juges. La réponse de Parr indiquait que ni le conseil ni lui n’étaient favorables à une telle enquête. Cette question domina l’élection partielle au siège de Halifax, à l’Assemblée, en 1788 ; après la victoire du candidat appuyé par le conseil, Charles Morris* (1759–1831), la tension monta à tel point qu’on dut faire appel à la garnison de Halifax pour réprimer des émeutes qui durèrent trois jours. Peu après cette élection, le conseil publia, sur un ton acerbe, une défense de Brenton et de Deschamps. Ce document suscita la publication de lettres, tout aussi peu modérées, condamnant les juges et le conseil, de la part de deux avocats loyalistes, Jonathan Stems et William Taylor, que Deschamps radia du barreau pour outrage au tribunal. En mars 1789, l’Assemblée reçut la réponse de Parr à la demande d’enquête. Quoique rédigée en termes diplomatiques, cette réponse appuyait encore les deux juges, ce qui n’empêcha pas l’Assemblée, l’année suivante, de mettre Brenton et Deschamps en accusation devant la chambre. Parr en référa à la métropole, mais il fallut deux ans au Conseil privé pour se prononcer en faveur des juges. Si les premières accusations portées contre Brenton lui furent préjudiciables, la défense qu’élabora le Conseil privé le fut peut-être davantage, puisque celui-ci reconnaissait que les juges avaient pu se tromper, attribuant leur faute à la « fragilité de la nature humaine ». En dernière analyse, Brenton fut victime des Loyalistes résolus à ne pas se laisser exclure des postes qui, dans la hiérarchie de la Nouvelle-Écosse, assuraient le pouvoir et l’influence. Brenton avait vu venir le choc entre les Loyalistes et les habitants d’origine américaine établis en Nouvelle-Écosse avant la guerre d’Indépendance, et il avait essayé de le prévenir ; il abandonna toute idée de chercher à se faire réélire en 1785, car il comprit que la lutte serait menée avec « la violence et la chaleur des rivalités partisanes ». Mais il n’échappa pas pour autant aux séquelles de la controverse. L’impopularité des décisions qu’il rendit à la Cour de vice-amirauté et le désir de voir s’instaurer des relations harmonieuses entre la Gran
  Biography – STUDHOLME, ...  
In September 1783 Governor John Parr of Nova Scotia appointed him to “The care and superintending” of the loyalist settlers on the Saint John, and under his direction they were given “a hearty welcome,” assigned their land, and issued materials for the construction of their homes.
À cause de la situation en contrebas du fort Frederick et des dommages qu’y avaient causés les rebelles l’année précédente, Studholme décida d’élever de nouvelles fortifications. Les 50 hommes qui l’accompagnaient, aidés des habitants du lieu, entreprirent la construction du fort Howe qui devait jouer – tout autant que son commandant Studholme – un rôle important à l’appui de la cause britannique dans les années qui suivirent l’achèvement du fort. La « sécurité relative » que le fort assurait aux habitants de la région de Saint-Jean était due, selon William Odber Raymond*, à « la compétence et au zèle » de Studholme. Le fort Howe se révéla utile, également, à la mise en œuvre de la diplomatie indienne complexe de Michæl Francklin, surintendant des Affaires indiennes en Nouvelle-cosse. Studholme apporta son aide personnelle à l’exécution des programmes d’action de Francklin et joua un rôle de premier plan à la conférence indienne de juin 1780, au cours de laquelle les Micmacs et les Malécites furent neutralisés. Peu après, et non sans satisfaction, Studholme signalait à Haldimand, gouverneur de Québec, « l’amitié et la bonne conduite des Indiens dans ce district ». Studholme entretint avec le gouverneur une correspondance rendue nécessaire par une autre mission échue au fort Howe : le maintien des communications entre Halifax et Québec. Studholme portait une attention particulière à cette question et s’attira les éloges répétés de Haldimand pour son zèle et sa diligence.
  Biography – STUDHOLME, ...  
In September 1783 Governor John Parr of Nova Scotia appointed him to “The care and superintending” of the loyalist settlers on the Saint John, and under his direction they were given “a hearty welcome,” assigned their land, and issued materials for the construction of their homes.
À cause de la situation en contrebas du fort Frederick et des dommages qu’y avaient causés les rebelles l’année précédente, Studholme décida d’élever de nouvelles fortifications. Les 50 hommes qui l’accompagnaient, aidés des habitants du lieu, entreprirent la construction du fort Howe qui devait jouer – tout autant que son commandant Studholme – un rôle important à l’appui de la cause britannique dans les années qui suivirent l’achèvement du fort. La « sécurité relative » que le fort assurait aux habitants de la région de Saint-Jean était due, selon William Odber Raymond*, à « la compétence et au zèle » de Studholme. Le fort Howe se révéla utile, également, à la mise en œuvre de la diplomatie indienne complexe de Michæl Francklin, surintendant des Affaires indiennes en Nouvelle-cosse. Studholme apporta son aide personnelle à l’exécution des programmes d’action de Francklin et joua un rôle de premier plan à la conférence indienne de juin 1780, au cours de laquelle les Micmacs et les Malécites furent neutralisés. Peu après, et non sans satisfaction, Studholme signalait à Haldimand, gouverneur de Québec, « l’amitié et la bonne conduite des Indiens dans ce district ». Studholme entretint avec le gouverneur une correspondance rendue nécessaire par une autre mission échue au fort Howe : le maintien des communications entre Halifax et Québec. Studholme portait une attention particulière à cette question et s’attira les éloges répétés de Haldimand pour son zèle et sa diligence.
  Biography – JADIS, CHAR...  
Jadis’ whereabouts until 1784 are unknown, but in October of that year he reappeared in Halifax and was granted lands by Governor John Parr to replace those he had been forced to leave. Parr refused, however, to restore his property on the Saint John or to grant Jadis the financial compensation he demanded.
La plupart des renseignements concernant Charles Newland Godfrey Jadis ont été puisés dans les quelques pétitions et requêtes qu’il formula au cours de la dernière partie de sa vie. Fils d’un officier de la marine royale, Jadis fut affecté au
  Biography – STUDHOLME, ...  
In September 1783 Governor John Parr of Nova Scotia appointed him to “The care and superintending” of the loyalist settlers on the Saint John, and under his direction they were given “a hearty welcome,” assigned their land, and issued materials for the construction of their homes.
À cause de la situation en contrebas du fort Frederick et des dommages qu’y avaient causés les rebelles l’année précédente, Studholme décida d’élever de nouvelles fortifications. Les 50 hommes qui l’accompagnaient, aidés des habitants du lieu, entreprirent la construction du fort Howe qui devait jouer – tout autant que son commandant Studholme – un rôle important à l’appui de la cause britannique dans les années qui suivirent l’achèvement du fort. La « sécurité relative » que le fort assurait aux habitants de la région de Saint-Jean était due, selon William Odber Raymond*, à « la compétence et au zèle » de Studholme. Le fort Howe se révéla utile, également, à la mise en œuvre de la diplomatie indienne complexe de Michæl Francklin, surintendant des Affaires indiennes en Nouvelle-cosse. Studholme apporta son aide personnelle à l’exécution des programmes d’action de Francklin et joua un rôle de premier plan à la conférence indienne de juin 1780, au cours de laquelle les Micmacs et les Malécites furent neutralisés. Peu après, et non sans satisfaction, Studholme signalait à Haldimand, gouverneur de Québec, « l’amitié et la bonne conduite des Indiens dans ce district ». Studholme entretint avec le gouverneur une correspondance rendue nécessaire par une autre mission échue au fort Howe : le maintien des communications entre Halifax et Québec. Studholme portait une attention particulière à cette question et s’attira les éloges répétés de Haldimand pour son zèle et sa diligence.
  Biography – FANNING, ED...  
One result of the proceedings, however, was that Fanning was put under a cloud at the very moment a successor was being sought for Lieutenant Governor Parr of Nova Scotia, and John Wentworth got the appointment instead.
Le bruit courut, vers la fin des années 1790, que Fanning et les Stewart avaient prévu pour 1791 une offensive majeure contre les absentéistes, mais que la nécessité d’obtenir l’appui des propriétaires, au cours des poursuites devant le Conseil privé, les avait conduits dans une impasse. Cependant, dès 1795, Fanning se sentit suffisamment en sécurité pour passer à l’action, mais il le fit en toute prudence. Cette année-là, il approuva une loi votée par l’Assemblée visant à remettre les terres entre les mains des résidents. La loi stipulait que tous ceux qui avaient été ou qui seraient par la suite en possession d’une terre pendant une période de sept ans devaient recevoir la confirmation de leur franche-tenure ou de leur tenure à bail. Du reste, en donnant son approbation, Fanning n’insista pas sur la clause de suspension, courante dans la législation de l’île, et selon laquelle la loi n’entrait en vigueur que lorsqu’elle avait reçu l’approbation de la couronne. Les opposants, dont le procureur général Aplin, soutinrent que la loi cherchait à escroquer les propriétaires, car n’importe qui pouvait construire une hutte sur une terre sous un titre frauduleux et, par la suite, revendiquer la propriété de cette terre. Quels que fussent les autres effets de la loi, elle servirait à rendre légitimes les droits de Fanning sur les terres de Patterson.
  Biography – BRENTON, JA...  
The death of Chief Justice Bryan Finucane in August 1785 had left Brenton and Deschamps as the only two members of the Supreme Court, and dissatisfaction with their performance caused a secret session of the assembly in 1787 to request of Lieutenant Governor John Parr* and the Council an investigation into the judges’ behaviour.
À la suite du décès du juge en chef Bryan Finucane, en août 1785, il ne restait plus que deux juges à la Cour suprême : Brenton et Deschamps. Insatisfaite de leur rendement, l’Assemblée, lors d’une session secrète tenue en 1787, formula une demande au lieutenant-gouverneur John Parr* et au conseil en vue d’enquêter sur la conduite des deux juges. La réponse de Parr indiquait que ni le conseil ni lui n’étaient favorables à une telle enquête. Cette question domina l’élection partielle au siège de Halifax, à l’Assemblée, en 1788 ; après la victoire du candidat appuyé par le conseil, Charles Morris* (1759–1831), la tension monta à tel point qu’on dut faire appel à la garnison de Halifax pour réprimer des émeutes qui durèrent trois jours. Peu après cette élection, le conseil publia, sur un ton acerbe, une défense de Brenton et de Deschamps. Ce document suscita la publication de lettres, tout aussi peu modérées, condamnant les juges et le conseil, de la part de deux avocats loyalistes, Jonathan Stems et William Taylor, que Deschamps radia du barreau pour outrage au tribunal. En mars 1789, l’Assemblée reçut la réponse de Parr à la demande d’enquête. Quoique rédigée en termes diplomatiques, cette réponse appuyait encore les deux juges, ce qui n’empêcha pas l’Assemblée, l’année suivante, de mettre Brenton et Deschamps en accusation devant la chambre. Parr en référa à la métropole, mais il fallut deux ans au Conseil privé pour se prononcer en faveur des juges. Si les premières accusations portées contre Brenton lui furent préjudiciables, la défense qu’élabora le Conseil privé le fut peut-être davantage, puisque celui-ci reconnaissait que les juges avaient pu se tromper, attribuant leur faute à la « fragilité de la nature humaine ». En dernière analyse, Brenton fut victime des Loyalistes résolus à ne pas se laisser exclure des postes qui, dans la hiérarchie de la Nouvelle-Écosse, assuraient le pouvoir et l’influence. Brenton avait vu venir le choc entre les Loyalistes et les habitants d’origine américaine établis en Nouvelle-Écosse avant la guerre d’Indépendance, et il avait essayé de le prévenir ; il abandonna toute idée de chercher à se faire réélire en 1785, car il comprit que la lutte serait menée avec « la violence et la chaleur des rivalités partisanes ». Mais il n’échappa pas pour autant aux séquelles de la controverse. L’impopularité des décisions qu’il rendit à la Cour de vice-amirauté et le désir de voir s’instaurer des relations harmonieuses entre la Gran
  Biography – PARR, JOHN ...  
Parr was particularly sensitive about his superiors’ views since he had been censured in 1786 for attempting to establish a whaling industry at Dartmouth. The lieutenant governor had welcomed as settlers Nantucket Quakers, whose fortunes were threatened by the exclusion of American whale oil from the British market following the war, and prospects for a thriving fishery had seemed bright.
En juillet 1782, grâce à l’influence de son protecteur, le comte de Shelburne, ministre de l’Intérieur (responsable aussi des colonies), Parr fut nommé gouverneur de la Nouvelle-Écosse, succédant à Francis Legge. Cependant, loin de trouver en ce poste une tranquille retraite, il dut immédiatement affronter la tâche immense et urgente de secourir et d’établir quelque 35 000 Loyalistes qui affluèrent en Nouvelle-Ecosse à la fin de la Révolution américaine. La population ayant plus que doublé du jour au lendemain, d’intolérables tensions se créèrent dans la machine administrative rudimentaire de la Nouvelle-Écosse, de même que dans l’approvisionnement en marchandises et en vivres. Au cours de l’hiver de 1782–1783, 10 000 réfugiés arrivèrent à Halifax, impuissants et dépourvus de tout. On dut réquisitionner des entrepôts, des hangars et des églises, retenir les navires dans le port et construire des baraquements improvisés sur les emplacements vacants.
  Biography – GERRISH, MO...  
On 30 Dec. 1783 Governor John Parr* of Nova Scotia issued a licence to John Jones, Thomas Oxnard, Thomas Ross, Peter Jones, and Moses Gerrish “to occupy during pleasure the Island of Grand Manan and the small Islands adjacent in the fishery, with liberty of cutting frame Stuff and timber for building.”
La loyauté de Moses Gerrish à la cause britannique ne se démentit jamais. Contraint d’abandonner sa maison au Massachusetts lors de la Révolution américaine, il trouva refuge chez les Britanniques, dans le district du Maine. Toutefois, quand ce territoire fut cédé aux États-Unis à la fin des hostilités, il dut partir de nouveau. Il s’établit alors à l’île Grand Manan, dans la baie de Fundy. Durant trois décennies, on ne put savoir avec certitude lequel des combattants de jadis, les États-Unis ou la Grande-Bretagne, était le véritable propriétaire des îles de la baie de Fundy. Dans une lettre du 20 février 1817 adressée à Ward Chipman, représentant du gouvernement britannique auprès des commissaires chargés de délimiter les frontières, Gerrish écrivait : « Je suis presque arrivé au terme de ma vie, et ce serait une grande humiliation que de perdre Grand Manan et d’être contraint par mes concitoyens de déménager de nouveau ou de vivre sous leur gouvernement. » Une autre fois, il déclara que s’il avait eu le moindre soupçon en 1783 que Grand Manan pouvait appartenir aux États-Unis, il aurait retiré la demande qu’il avait faite en vue d’obtenir la concession de l’île. Il ne voulait avoir aucun lien avec la république et, à son grand soulagement, l’île fut cédée à la couronne britannique plus tard en 1817.
  Biography – WHITE, GIDE...  
White’s letter of introduction to John Wentworth*, surveyor general of the king’s woods, reaped results with his appointment by Governor John Parr* as justice of the peace for Halifax County in May 1784.
En juin 1775, dix jours après la bataille de Bunker Hill, Gideon White faisait à Simeon Perlons*, de Liverpool, en Nouvelle-Écosse, le récit de cet engagement auquel il avait assisté. Négociant de Plymouth, il venait d’arriver de Boston, effectuant un voyage d’affaires dans les ports de la Nouvelle-Écosse, dont Port Roseway (Shelburne). On ne sait pas où il alla au cours des mois qui suivirent ; il n’est donc pas certain qu’il soit le Gideon White qui prit part à l’évacuation de Boston en mars 1776. Toutefois, l’été suivant, White se trouvait de nouveau en Nouvelle-Écosse. En septembre, un corsaire américain le captura au large de Barrington et l’emmena au Massachusetts. White fut emprisonné puis mis en résidence surveillée à Plymouth ; en octobre 1777, il revint en Nouvelle-Écosse et passa l’hiver de 1777–1778 à Liverpool. En septembre 1779, il était à New York, puis il fit du commerce dans les Caraïbes pendant un an en tant que capitaine du schooner
  Biography – BRENTON, JA...  
The death of Chief Justice Bryan Finucane in August 1785 had left Brenton and Deschamps as the only two members of the Supreme Court, and dissatisfaction with their performance caused a secret session of the assembly in 1787 to request of Lieutenant Governor John Parr* and the Council an investigation into the judges’ behaviour.
À la suite du décès du juge en chef Bryan Finucane, en août 1785, il ne restait plus que deux juges à la Cour suprême : Brenton et Deschamps. Insatisfaite de leur rendement, l’Assemblée, lors d’une session secrète tenue en 1787, formula une demande au lieutenant-gouverneur John Parr* et au conseil en vue d’enquêter sur la conduite des deux juges. La réponse de Parr indiquait que ni le conseil ni lui n’étaient favorables à une telle enquête. Cette question domina l’élection partielle au siège de Halifax, à l’Assemblée, en 1788 ; après la victoire du candidat appuyé par le conseil, Charles Morris* (1759–1831), la tension monta à tel point qu’on dut faire appel à la garnison de Halifax pour réprimer des émeutes qui durèrent trois jours. Peu après cette élection, le conseil publia, sur un ton acerbe, une défense de Brenton et de Deschamps. Ce document suscita la publication de lettres, tout aussi peu modérées, condamnant les juges et le conseil, de la part de deux avocats loyalistes, Jonathan Stems et William Taylor, que Deschamps radia du barreau pour outrage au tribunal. En mars 1789, l’Assemblée reçut la réponse de Parr à la demande d’enquête. Quoique rédigée en termes diplomatiques, cette réponse appuyait encore les deux juges, ce qui n’empêcha pas l’Assemblée, l’année suivante, de mettre Brenton et Deschamps en accusation devant la chambre. Parr en référa à la métropole, mais il fallut deux ans au Conseil privé pour se prononcer en faveur des juges. Si les premières accusations portées contre Brenton lui furent préjudiciables, la défense qu’élabora le Conseil privé le fut peut-être davantage, puisque celui-ci reconnaissait que les juges avaient pu se tromper, attribuant leur faute à la « fragilité de la nature humaine ». En dernière analyse, Brenton fut victime des Loyalistes résolus à ne pas se laisser exclure des postes qui, dans la hiérarchie de la Nouvelle-Écosse, assuraient le pouvoir et l’influence. Brenton avait vu venir le choc entre les Loyalistes et les habitants d’origine américaine établis en Nouvelle-Écosse avant la guerre d’Indépendance, et il avait essayé de le prévenir ; il abandonna toute idée de chercher à se faire réélire en 1785, car il comprit que la lutte serait menée avec « la violence et la chaleur des rivalités partisanes ». Mais il n’échappa pas pour autant aux séquelles de la controverse. L’impopularité des décisions qu’il rendit à la Cour de vice-amirauté et le désir de voir s’instaurer des relations harmonieuses entre la Gran
  Biography – FANNING, ED...  
He regarded the appointment as an interim one until he would replace John Parr* at the head of the Nova Scotia administration; however, the first months after his arrival on 4 November were hardly designed to confirm his wisdom in accepting the position.
D’abord, Cambridge et ses amis eurent à Londres l’appui d’un grand nombre de propriétaires absentéistes de l’île. Cependant, les marchands s’obstinèrent à dénoncer la partialité politique de leurs adversaires alors que leurs griefs au sujet de la corruption dans les fonctions officielles et du favoritisme sur le plan judiciaire étaient beaucoup plus sérieux et légitimes. Ils ébranlèrent ainsi leur cause. De plus, Fanning avait réussi à gagner l’approbation de plusieurs des principaux propriétaires (en particulier du juge en chef de la Cour de l’Échiquier d’Écosse, James William Montgomery, et du marquis George Townshend), en devenant leur mandataire dans l’île. Grâce à son émissaire personnel, Robert Gray, il parvint à faire pencher l’opinion de la plupart des propriétaires en sa faveur. En 1792, le Conseil privé rejeta les griefs comme dénués de tout fondement. Or, les poursuites eurent entre autres pour résultat d’assombrir l’horizon politique de Fanning au moment même où l’on cherchait un successeur au lieutenant-gouverneur Parr en Nouvelle-Écosse. Ce fut Wentworth qui obtint le poste. Mais, à long terme, la justification de Fanning et de ses fonctionnaires en 1792 eut pour effet de désagréger la faction Patterson dans l’île.
1 2 3 4 Arrow