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  Essays - Bob Boyer: His...  
By Lee-Ann Martin
par Lee-Ann Martin
  Dane-zaa Stories & Song...  
Wayne Clark and Katherine Lee
Wayne Clark et Katherine Lee
  Buckaroos in BC | Media  
Mrs. Norman Lee talks about her husband, Norman’s, cattle drive to the Klondike.
Madame Norman Lee parle de la conduite de bétail de son mari Norman vers le Klondike.
  Credits - Bob Boyer: Hi...  
Lee-Ann Martin (Curator of Contemporary Canadian Aboriginal Art, Canadian Museum of Civilization)
Commissaire de l'exposition: Lee-Ann Martin (conservatrice de l'art autochtone canadien contemporain au Musée canadien des civilisations)
  Getty Lee – The Canadia...  
Home > Sheet Music Collection > Getty Lee – The Canadian National Anthem, Camden Yards, 1993 MLB All-Star Game
Accueil > Musique en feuille « O Canada » > Getty Lee – The Canadian National Anthem, Camden Yards, 1993 MLB All-Star Game
  Credits - Bob Boyer: Hi...  
Lee-Ann Martin - Curator of Contemporary Canadian Aboriginal Art, Canadian Museum of Civilization; former Head Curator, MacKenzie Art Gallery (1998 - 2000)
Lee-Ann Martin est conservatrice de l'art autochtone canadien contemporain au Musée canadien des civilisations à Gatineau, au Québec et est l'ancienne conservatrice en chef de la MacKenzie Art Gallery (1998 - 2000).
  Learn more about canadi...  
This astrolabe was discovered by Edward Lee, a farmer’s son living near Cobden, Ontario, in 1867. He was clearing trees with a team of oxen when something metallic glinted in the sun, revealing the astrolabe.
Cet astrolabe a été découvert en 1867 par Edward Lee, un jeune fils de fermier habitant près de Cobden, en Ontario. Il enlevait des arbres avec un attelage de bœufs lorsque quelque chose de métallique scintilla au soleil, révélant l’astrolabe. Certains croient que c’est l’explorateur Samuel de Champlain, fondateur de la Nouvelle-France, qui a perdu cet astrolabe. Nous savons que Champlain a portagé dans la région en mai 1613, en remontant la rivière des Outaouais. Nous savons également que l’astrolabe est authentique et qu’il a été fabriqué en France en 1603. Ce que nous ne savons pas, c’est si Champlain l’a bel et bien perdu. À aucun endroit dans son journal il ne fait mention qu’il a perdu un tel instrument et il n’existe aucun moyen de l’attribuer avec certitude à un propriétaire en particulier.
  Dubious Views - Subvers...  
Nikki S. Lee operates as a cultural chameleon, modifying her appearance to blend into subcultures, and then photographing herself integrating into these subcultures. She has perfected this integrating gesture: it is one of self-effacement through integration.
Nikki S. Lee se veut un caméléon culturel, modifiant son apparence pour fondre dans les subcultures, puis se photographiant elle-même alors qu'elle s'intègre à ces subcultures. Elle a perfectionné ce geste d'intégration : c'est un geste d'effacement personnel par l'intégration. Dans un sens, elle fonctionne comme les "cowboys du Wild West" que Louise Noguchi photographie, car elle imite et projette sur elle-même le personnage que les gens s'attendent à voir.
  VOICES THROUGH WALLS: A...  
Other changes include the formation of the Aboriginal Secretariat with Lee-Ann Martin as the appointed coordinator; the employment of Aboriginal curators in National museums, including the CMC and the NGC; Canada Council appointed six more Aboriginal officers; the NGC opened a contemporary Indigenous art department; and more than 120 Friendship Centres were formed across Canada.
Soulliere, 16. D’autres changements incluent la formation d’un Secrétariat des affaires autochtones avec Lee-Ann Martin comme coordonnatrice ; l’emploi de conservateurs autochtones dans des musées nationaux, y compris le Musée canadien des civilisations et le Musée des beaux-arts du Canada ; le Conseil des Arts a également nommé six autres hauts-fonctionnaires ; le Musée des beaux-arts du Canada a ouvert un service d’art contemporain autochtone et plus de 120 Centres d’amitié ont été établis au Canada. Les changements se poursuivent alors que le Musée des beaux-arts inaugure sa première exposition solo d’un artiste autochtone, Norval Morrisseau ; le musée a également nommé deux autres conservateurs autochtones en résidence et des conférences internationales sont tenues pour discuter de l’art autochtone. Voir Logan, 73 et 81 ; Soulliere, 70 ; “Contemporary Aboriginal Arts in Canada,”
  The Legacy of Bob Boyer...  
This project was informed by, and includes, many quotes from curator Lee-Ann Martin. Insight was also gained from Ted Godwin, Carmen Robertson and Alfred Young Man: guest contributors to the exhibition catalogue, Bob Boyer: His Life's Work.
Ce projet s'inspire et comporte de nombreuses citations de la commissaire de l'exposition, Lee-Ann Martin. Il bénéficie aussi des points de vue de Ted Godwin, Carmen Robertson et Alfred Young Man, auteurs invités pour le catalogue de l'exposition, Bob Boyer : le travail d'une vie. L'artiste et éducatrice Susan Bear a effectué la recherche initiale; Holly Martin, aide-éducatrice a approfondi la recherche sur la signification culturelle, et Nicole Brabant, adjointe à la recherche - conservation a aidé à la production. On a également consulté les ressources complémentaires du Ministère de l'éducation de la Saskatchewan et la ressource Four Directions Teacher Resource Kit: Introduction and Overview, disponible en ligne, pour mieux comprendre la vision du monde et les pratiques pédagogiques autochtones.
  CHAMPLAIN AND THE ASTRO...  
Accompanying the astrolabe “were two silver cups featuring some kind of ‘device, perhaps a crest,’ and several copper vessels that sound like small pans or trays, nested inside one another.”6 In October 1918 when Edward Lee was interviewed by Charles MacNamara for The Canadian Field-Naturalist magazine, Lee mentioned that there was a chain disintegrating on the ground next to the astrolabe that seemed unremarkable to him at the time of the discovery.
Pour déterminer s’il s’agit de l’astrolabe en question utilisé par Champlain durant son voyage de 1613 en amont de la rivière Outaouais, Hunter s’appuie sur les écrits de Randall Brooks et Conrad Heidenreich5. Il le fait de façon à établir des comparaisons entre les défauts structurels de l’astrolabe lui­même et le degré d’erreurs dans les calculs de Champlain. Les calculs de Champlain étaient remarquablement précis, et ce, jusqu’à l’étape de son voyage où l’on prétend qu’il a perdu son astrolabe. Il s’agit du moment où il effectuait du portage avec les canots dans la région de la rivière bouchée par des arbres abattus (figure 5). Certaines sources de renseignements présentent cette information comme s’il s’agissait d’un fait, mais en réalité on n’en possède aucune preuve tangible. Hunter tente d’expliquer ce fait en faisant valoir que les erreurs de calcul de Champlain auraient bien pu être intentionnelles. Champlain a été mandaté de cartographier un itinéraire par lequel les chasseurs et les négociants en fourrures pourraient accéder à la baie d’Hudson dans une zone limitée par les marques de latitude de 40° et 46°, la Couronne française s’étant vu accorder le monopole du commerce des fourrures dans cette région en 1603 (figure 6).
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This astrolabe was discovered by Edward Lee, a farmer’s son living near Cobden, Ontario, in 1867. It is believed by some to have been lost by the explorer Samuel de Champlain, founder of New France. We know Champlain portaged through the area in May of 1613, on a journey up the Ottawa River.
Cet astrolabe a été découvert en 1867 par Edward Lee, un jeune fils de fermier habitant près de Cobden, en Ontario. Certains croient que c’est l’explorateur Samuel de Champlain, fondateur de la Nouvelle-France, qui a perdu cet astrolabe. Nous savons que Champlain a portagé dans la région en mai 1613, en remontant la rivière des Outaouais. Nous savons également que l’astrolabe est authentique et qu’il a été fabriqué en France en 1603. Ce que nous ne savons pas, c’est si c’est bien Champlain qui l’a perdu. À aucun endroit dans son journal il ne fait mention qu’il a perdu un tel instrument et il n’existe aucun moyen de l’attribuer avec certitude à un propriétaire en particulier. Les astrolabes servaient aux cartographes, aux marins et aux explorateurs de l’époque à déterminer la latitude. Champlain en avait sûrement un avec lui. Cependant, on a souligné que Champlain était un excellent cartographe et que ses mesures très précises – consignées dans son journal – ne pouvaient avoir été prises avec un instrument aussi petit et aussi peu précis que l’astrolabe de Cobden. Le gouvernement canadien a acheté l’astrolabe de la New York Historical Society en 1989 et il fait maintenant partie de la collection du Musée canadien des civilisations. Qu’il ait appartenu à Champlain ou à un autre pionnier de l’exploration, cet astrolabe est un témoin unique des débuts de l’histoire canadienne.
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Accompanying the astrolabe “were two silver cups featuring some kind of ‘device, perhaps a crest,’ and several copper vessels that sound like small pans or trays, nested inside one another.”6 In October 1918 when Edward Lee was interviewed by Charles MacNamara for The Canadian Field-Naturalist magazine, Lee mentioned that there was a chain disintegrating on the ground next to the astrolabe that seemed unremarkable to him at the time of the discovery.
Pour déterminer s’il s’agit de l’astrolabe en question utilisé par Champlain durant son voyage de 1613 en amont de la rivière Outaouais, Hunter s’appuie sur les écrits de Randall Brooks et Conrad Heidenreich5. Il le fait de façon à établir des comparaisons entre les défauts structurels de l’astrolabe lui­même et le degré d’erreurs dans les calculs de Champlain. Les calculs de Champlain étaient remarquablement précis, et ce, jusqu’à l’étape de son voyage où l’on prétend qu’il a perdu son astrolabe. Il s’agit du moment où il effectuait du portage avec les canots dans la région de la rivière bouchée par des arbres abattus (figure 5). Certaines sources de renseignements présentent cette information comme s’il s’agissait d’un fait, mais en réalité on n’en possède aucune preuve tangible. Hunter tente d’expliquer ce fait en faisant valoir que les erreurs de calcul de Champlain auraient bien pu être intentionnelles. Champlain a été mandaté de cartographier un itinéraire par lequel les chasseurs et les négociants en fourrures pourraient accéder à la baie d’Hudson dans une zone limitée par les marques de latitude de 40° et 46°, la Couronne française s’étant vu accorder le monopole du commerce des fourrures dans cette région en 1603 (figure 6).