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La CFP se trouve devant une tâche particulièrement exigeante en ce qui concerne le cycle des salaires. L'équipe de la SRAS est petite et doit donc relever le défi de maintenir ses niveaux de conseillers à la paye et d'expertise. De plus, les interventions manuelles effectuées par les conseillers à la paye augmentent forcément les risques. En outre, les opérations du cycle des salaires ont un effet considérable sur les états financiers annuels de la CFP. De plus, le chef de la SRAS joue un rôle clé puisque de nombreuses procédures internes de la section ne sont pas consignées. Enfin, la CFP, comme les autres organismes fédéraux, dépend entièrement de TPSGC pour le calcul de la paye nette de ses employés et sa distribution, mais ignore tout des contrôles de TPSGC. Bien que des contrôles compensatoires soient possibles, ils ne fourniraient qu'une assurance limitée, et ce, à un coût considérable pour la CFP.
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