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Airborne polarimetric C-band SAR images (5.6 cm) at 4 m spatial resolution were obtained over a test site in Ottawa, Canada, on 13 June, 26 June, and 19 July 2001. Linear (HH, VV, HV) and circular (RR, LL, RL) polarization images were synthesized from these data.
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Dans le contexte de l’acquisition des données radar polarimétriques à partir de satellites comme RADARSAT-2 et ALOS PALSAR, le présent projet de recherche a exploré le potentiel de l’utilisation des données radar à synthèse d’ouverture (RSO) en bande C en multipolarisation pour la cartographie des zones homogènes du sol et des cultures à l’intérieur des champs agricoles. Des zones homogènes à l’intérieur des champs en culture ont été définies à l’aide des données simultanées de conductivité électrique (CE) apparente du sol mesurée à l’aide d’un système de cartographie de la conductivité du sol, de l’indice de surface foliaire (LAI) dérivé des données hyperspectrales aéroportées de CASI et des données de productivité converties en phytomasse au moment de la récolte (Ph) dérivées d’un capteur de rendement. Des images RSO polarimétriques aéroportées en bande C (5,6 cm) à la résolution spatiale de 4 m ont été acquises au-dessus d’un site test à Ottawa, Canada, les 13 juin, 26 juin et 19 juillet 2001. Des images en polarisation linéaire (HH, VV, HV) et circulaire (RR, LL, RL) ont été synthétisées à partir de ces données. Une fois les zones homogènes déterminées à l’aide de CE, LAI et Ph, les données RSO en multipolarisation ont été classifiées en fonction des zones de CE, LAI et Ph en utilisant les polarisations simples de même que des combinaisons de polarisations linéaire et circulaire. Les précisions de classification à l’intérieur des champs des données RSO étaient plus élevées lorsque celle-ci étaient fondées sur les zones homogènes de CE et LAI plutôt que sur les délimitations de Ph. Les précisions de classification plus faibles des données RSO fondées sur les zones de Ph étaient vraisemblablement attribuables aux zones de biomasse définies par rapport à la récolte plutôt qu’en fonction des données RSO acquises simultanément. Les zones délimitées à l’aide de LAI étaient mieux classifiées en utilisant des données RSO acquises en début de saison alors que la variabilité entre les zones était plus grande. Les zones homogènes déterminées par la CE étaient mieux classifiées à l’aide des données RSO acquises plus tard en saison alors que la variabilité du sol était manifeste dans la réponse de la végétation. La performance de classification à l’intérieur des champs durant la saison dépendait du type de culture et de l’angle d’incidence. Pour des angles d’incidence supérieurs (55°), les résultats dépendaient davantage du type de culture que pour des angles d’in
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