servit – -Translation – Keybot Dictionary

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  Biography – HALY, Sir W...  
The governor general, Lord Dufferin [Blackwood*], wanted the Halifax garrison to come under the command of the goc Canadian militia, a new appointment in 1874, but the War Office feared it would thereby lose control.
William O’Grady Haly entra dans l’armée en juin 1823 à l’âge de 13 ans ; il fut promu enseigne dans le 4e régiment d’infanterie le 17 juin 1828, et capitaine en avril 1834. Entre 1828 et 1854, son régiment servit en Écosse, en Irlande, en Australie et en Inde de même qu’en Angleterre. Haly prit part à guerre de Crimée en 1854–1855, reçut une médaille, fut fait compagnon de l’ordre du Bain le 5 juillet 1855 et reçut aussi le troisième degré de l’ordre de Medjidie et la médaille de Turquie. Nommé le 4 février 1859 lieutenant-colonel du 38e régiment d’infanterie, qui était en garnison aux Indes, il servit aux Indes orientales de 1861 à 1870 ; il fut promu major général en janvier 1865 et lieutenant général en mai 1873.
  Biography – HALY, Sir W...  
The governor general, Lord Dufferin [Blackwood*], wanted the Halifax garrison to come under the command of the goc Canadian militia, a new appointment in 1874, but the War Office feared it would thereby lose control.
William O’Grady Haly entra dans l’armée en juin 1823 à l’âge de 13 ans ; il fut promu enseigne dans le 4e régiment d’infanterie le 17 juin 1828, et capitaine en avril 1834. Entre 1828 et 1854, son régiment servit en Écosse, en Irlande, en Australie et en Inde de même qu’en Angleterre. Haly prit part à guerre de Crimée en 1854–1855, reçut une médaille, fut fait compagnon de l’ordre du Bain le 5 juillet 1855 et reçut aussi le troisième degré de l’ordre de Medjidie et la médaille de Turquie. Nommé le 4 février 1859 lieutenant-colonel du 38e régiment d’infanterie, qui était en garnison aux Indes, il servit aux Indes orientales de 1861 à 1870 ; il fut promu major général en janvier 1865 et lieutenant général en mai 1873.
  Biography – HUTTON, Sir...  
His vanity, passion for public speaking, scorn for civilians, disregard for democratic institutions, and lack of tact proved fatal liabilities, and made him appear to be, in the estimate of one former GOC, a "dangerous martinet."
Sir Edward Thomas Henry Hutton était un homme dynamique et ambitieux, un grand organisateur qui avait à cœur la défense du domaine impérial. Il considérait les colonies comme un laboratoire d'expériences en matière de relations entre civils et militaires et comme un moyen d'avancement. Sa vanité, sa manie des déclarations publiques, son mépris pour les civils, son irrespect pour les institutions démocratiques et son manque de tact se révélèrent des faiblesses fatales et lui donnaient, selon l'expression d'un ex-officier général commandant, l'air d'un « dangereux pète-sec ». Sa tumultueuse carrière mina l'influence impériale sur la défense du Canada et constitua un argument pour la nomination d'un Canadien au commandement de la milice.
  Biography – HUGHES, Sir...  
Two years later, on the eve of the South African War, Hughes, as the 45th’s commander, impetuously wrote to the colonial secretary, Joseph Chamberlain, and to the Canadian minister of militia and defence, Frederick William Borden*, offering to lead a regiment or brigade. With almost certain deliberation, he bypassed his superior officers and angered the goc, Major-General Edward Thomas Henry Hutton.
Deux ans plus tard, à la veille de la guerre des Boers, Hughes, en tant que chef du 45th Battalion, écrivit d’une plume fougueuse au secrétaire d’État aux Colonies, Joseph Chamberlain, et au ministre canadien de la Milice et de la Défense, Frederick William Borden*, pour leur offrir de commander un régiment ou une brigade. Presque certainement, ce fut de propos délibéré qu’il passa par-dessus la tête de ses officiers supérieurs et contraria l’officier général commandant, le major-général Edward Thomas Henry Hutton. En temps utile, le gouvernement dépêcha en Afrique du Sud un contingent de volontaires sous l’autorité du lieutenant-colonel William Dillon Otter. Ce brillant officier de l’armée permanente ne voulait pas du tout de Hughes : il le trouvait indiscipliné et sans « qualification professionnelle » suffisante. Hughes se joignit quand même au contingent, en qualité de civil.
  Biography – HALY, Sir W...  
As goc British North America Haly was appointed administrator to act as head of government during the absences of the governor general. He served in this capacity from 12 Oct. to 2 Nov. 1874, from 15 May to 21 Oct. 1875, and from 21 Jan. to 3 Feb. 1878.
En 1877, l’indépendance de Haly vis-à-vis d’Ottawa ajoutée à l’incurie qui régnait dans les bureaux du gouverneur général et du premier ministre Alexander Mackenzie* menèrent à un affrontement lorsque Haly ordonna arbitrairement la suspension des activités de l’Intercolonial parce que cette société ferroviaire n’avait pas percé de tunnel sous le terrain du ministère de la Guerre à Halifax, à proximité d’une poudrière, tel que Mackenzie l’avait promis. À la place, on avait creusé une tranchée que l’on se proposait de couvrir d’une voûte de métal mais le ministère de la Guerre avait déjà refusé d’approuver ce projet. Dufferin protesta énergiquement contre l’initiative de Haly qui était, disait-il, « un procédé beaucoup trop draconien, même pour un lieutenant général ». Il fit parvenir à Haly un télégramme, « rédigé en termes assez violents » pour qu’il fût possible à Haly de retraiter et de remettre à plus tard l’exécution des ordres du ministère de la Guerre. Peu après cet incident Haly demanda d’être recommandé au poste vacant de gouverneur de Gibraltar.
  Biography – HALY, Sir W...  
As goc British North America Haly was appointed administrator to act as head of government during the absences of the governor general. He served in this capacity from 12 Oct. to 2 Nov. 1874, from 15 May to 21 Oct. 1875, and from 21 Jan. to 3 Feb. 1878.
En 1877, l’indépendance de Haly vis-à-vis d’Ottawa ajoutée à l’incurie qui régnait dans les bureaux du gouverneur général et du premier ministre Alexander Mackenzie* menèrent à un affrontement lorsque Haly ordonna arbitrairement la suspension des activités de l’Intercolonial parce que cette société ferroviaire n’avait pas percé de tunnel sous le terrain du ministère de la Guerre à Halifax, à proximité d’une poudrière, tel que Mackenzie l’avait promis. À la place, on avait creusé une tranchée que l’on se proposait de couvrir d’une voûte de métal mais le ministère de la Guerre avait déjà refusé d’approuver ce projet. Dufferin protesta énergiquement contre l’initiative de Haly qui était, disait-il, « un procédé beaucoup trop draconien, même pour un lieutenant général ». Il fit parvenir à Haly un télégramme, « rédigé en termes assez violents » pour qu’il fût possible à Haly de retraiter et de remettre à plus tard l’exécution des ordres du ministère de la Guerre. Peu après cet incident Haly demanda d’être recommandé au poste vacant de gouverneur de Gibraltar.
  Biography – HALY, Sir W...  
As goc British North America Haly was appointed administrator to act as head of government during the absences of the governor general. He served in this capacity from 12 Oct. to 2 Nov. 1874, from 15 May to 21 Oct. 1875, and from 21 Jan. to 3 Feb. 1878.
En 1877, l’indépendance de Haly vis-à-vis d’Ottawa ajoutée à l’incurie qui régnait dans les bureaux du gouverneur général et du premier ministre Alexander Mackenzie* menèrent à un affrontement lorsque Haly ordonna arbitrairement la suspension des activités de l’Intercolonial parce que cette société ferroviaire n’avait pas percé de tunnel sous le terrain du ministère de la Guerre à Halifax, à proximité d’une poudrière, tel que Mackenzie l’avait promis. À la place, on avait creusé une tranchée que l’on se proposait de couvrir d’une voûte de métal mais le ministère de la Guerre avait déjà refusé d’approuver ce projet. Dufferin protesta énergiquement contre l’initiative de Haly qui était, disait-il, « un procédé beaucoup trop draconien, même pour un lieutenant général ». Il fit parvenir à Haly un télégramme, « rédigé en termes assez violents » pour qu’il fût possible à Haly de retraiter et de remettre à plus tard l’exécution des ordres du ministère de la Guerre. Peu après cet incident Haly demanda d’être recommandé au poste vacant de gouverneur de Gibraltar.
  Biography – ALDERSON, S...  
Two battalions of Canadian Mounted Rifles served under Alderson, and the commander of the 2nd CMR, Thomas Dixon Byron Evans, found him far preferable to the tactless Hutton. In 1901 Governor General Lord Minto [Elliot*] tried without success to bring Alderson to Canada as GOC.
La guerre des Boers opposa une nation de fusiliers à cheval à toute l'armée de Grande-Bretagne. Alderson arriva en Afrique du Sud au début de 1900 pour commander une brigade sous l'autorité de son ami, lui aussi fervent adepte de la Mounted Infantry, Edward Thomas Henry Hutton, ex-officier général commandant la milice canadienne. Deux bataillons du Canadian Mounted Rifles servirent sous les ordres d'Alderson, et le commandant du 2nd Canadian Mounted Rifles, Thomas Dixon Byron Evans, le trouva beaucoup mieux que Hutton, qui n'avait aucun tact. En 1901, le gouverneur général lord Minto [Elliot*] tenta sans succès de faire venir Alderson au Canada pour lui confier le poste d'officier général commandant de la milice. Dès la fin de 1901, Alderson détenait le grade-titre de colonel et le grade effectif de général de brigade ; il était inspecteur général de l'infanterie à cheval, compagnon de l'ordre du Bain et aide de camp de la reine Victoria. Promu au grade effectif de colonel en 1903, il commanda durant quatre ans la 2nd Infantry Brigade à Aldershot. En 1906, il devint major-général et, de 1908 à 1912, il dirigea la 6th (Poona) Division de l'armée de l'Inde. Mis ensuite à la demi-solde, il put se réjouir à la perspective de se consacrer à la chasse et à sa nouvelle passion, le yachting. Il était sur le point de devenir grand veneur du South Shropshire Hunt lorsque, en août 1914, la guerre éclata en Europe.
  Biography – HUTTON, Sir...  
Created a kcmg in 1900, the following year Hutton became the first GOC land forces of the new Commonwealth of Australia. His mission and his methods were familiar as he strove to create, often in the face of political opposition, an integrated, well-equipped garrison and field force prepared for service at home and abroad.
Créé en 1900 chevalier commandeur de l'ordre de Saint-Michel et Saint-Georges, Hutton devint, l'année suivante, le premier officier général commandant des forces terrestres du nouveau commonwealth d'Australie. Ni sa mission ni ses méthodes ne comportaient de surprises : il s'employa à créer, souvent malgré l'opposition des milieux politiques, une force intégrée et bien équipée qui réunirait des troupes sédentaires et des effectifs de combat et qui pourrait servir sur place et à l'étranger. Il renforça les milices des États et prépara une politique de défense nationale. Le remplacement du général officier commandant par un conseil supérieur de l'armée, décidé au cours d'une révision de cette politique en 1904, le poussa à démissionner ; un différend sur le paiement d'un câble secret avait déclenché la crise. Lorsque le ministère de la Guerre apprit l'incident, le secrétaire d'État exprima ainsi sa répugnance à rappeler Hutton : « comme [il] ne peut pas tenir sa langue, [il] nous mettrait dans le pétrin une fois par semaine ». Cependant, il fallait bien faire quelque chose de Hutton, alors le ministère de la Guerre le nomma commandant de la 3e division britannique. Avant de prendre sa retraite en 1907, Hutton fut promu lieutenant-général et, en 1912, il reçut le titre de chevalier commandeur de l'ordre du Bain. Il reprit du service pendant la Grande Guerre – il organisa et commanda la 21e division – mais en 1915, un accident de cheval le força à se remettre à la retraite. Il mourut huit ans plus tard à sa maison de Chertsey, Fox Hills, et fut inhumé non loin de là, à Lyne.
  Biography – ROBERTSON-R...  
Since, he said, an adjutant-general was only a staff officer required to carry out details of drill, discipline, and command under a general officer commanding an army, and the militia was now Canada’s army, he recommended that his appointment be upgraded to a major-general and a goc.
L’expérience que Robertson-Ross avait acquise dans l’entraînement des troupes de milice dans les dépôts en Angleterre et les relations qu’il s’était faites au Canada peuvent expliquer sa nomination comme adjudant général de la milice canadienne, à demi-solde, le 9 mai 1869. Pour parer à la menace des Féniens et au retrait prochain de la garnison impériale, sir George-Étienne Cartier*, premier titulaire du ministère de la Milice et de la Défense, avait présenté la loi de la milice en 1868. Cette loi autorisait une levée en masse afin de constituer une milice de réserve, nécessitant donc l’enregistrement de tous les hommes valides âgés de 18 à 60 ans ; elle prévoyait également une milice active de 40 000 volontaires qui auraient une période annuelle d’entraînement de 8 à 16 jours. Si les volontaires se présentaient en nombre insuffisant pour servir dans cette milice active, les autorités pouvaient procéder à un tirage au sort dans le but d’obtenir les effectifs voulus. Au moment de l’arrivée de Robertson-Ross, un adjudant général adjoint canadien, le lieutenant-colonel Walker Powell*, avait mis sur pied la milice active et organisé la sélection des officiers dans chaque district régimentaire (qui correspondait à chaque circonscription électorale), ainsi que la poursuite de leur entraînement dans des écoles militaires associées à la garnison britannique, comme cela s’était fait dans l’ancienne province du Canada.
  Biography – HUTTON, Sir...  
Created a kcmg in 1900, the following year Hutton became the first GOC land forces of the new Commonwealth of Australia. His mission and his methods were familiar as he strove to create, often in the face of political opposition, an integrated, well-equipped garrison and field force prepared for service at home and abroad.
Créé en 1900 chevalier commandeur de l'ordre de Saint-Michel et Saint-Georges, Hutton devint, l'année suivante, le premier officier général commandant des forces terrestres du nouveau commonwealth d'Australie. Ni sa mission ni ses méthodes ne comportaient de surprises : il s'employa à créer, souvent malgré l'opposition des milieux politiques, une force intégrée et bien équipée qui réunirait des troupes sédentaires et des effectifs de combat et qui pourrait servir sur place et à l'étranger. Il renforça les milices des États et prépara une politique de défense nationale. Le remplacement du général officier commandant par un conseil supérieur de l'armée, décidé au cours d'une révision de cette politique en 1904, le poussa à démissionner ; un différend sur le paiement d'un câble secret avait déclenché la crise. Lorsque le ministère de la Guerre apprit l'incident, le secrétaire d'État exprima ainsi sa répugnance à rappeler Hutton : « comme [il] ne peut pas tenir sa langue, [il] nous mettrait dans le pétrin une fois par semaine ». Cependant, il fallait bien faire quelque chose de Hutton, alors le ministère de la Guerre le nomma commandant de la 3e division britannique. Avant de prendre sa retraite en 1907, Hutton fut promu lieutenant-général et, en 1912, il reçut le titre de chevalier commandeur de l'ordre du Bain. Il reprit du service pendant la Grande Guerre – il organisa et commanda la 21e division – mais en 1915, un accident de cheval le força à se remettre à la retraite. Il mourut huit ans plus tard à sa maison de Chertsey, Fox Hills, et fut inhumé non loin de là, à Lyne.