garang – -Translation – Keybot Dictionary

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For instance, following the 1991 crisis, the South Sudan Council of Churches launched a peace process that pacified Dinka and Nuer traditional leaders and communities, paving the way for the eventual reconciliation between Machar and Garang and the reunification of the SPLM/A in 2002.
En réponse à ce dysfonctionnement structurel, des initiatives de consolidation de la paix communautaires ont émergé. À titre d’exemple, suite à la crise de 1991, le Conseil des églises du Soudan du Sud a lancé un processus de paix qui pacifié les leaders ainsi que les communautés traditionnelles Dinka et Nuer, ouvrant la voie à l’éventuelle réconciliation entre Machar et Garang et la réunification MPLS/APLS en 2002. Ce processus a été reproduit dans d’autres régions par des groupes qui travaillent directement avec les communautés et des régiments à l’âge fixé pour démobiliser leurs combattants.
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The 2005 Comprehensive Peace Agreement between Khartoum and the SPLM outlawed militias allied to either side. The vast majority of these armed groups were not included in the process until 2006, when about 60,000 were absorbed into the SPLM/A, an initiative of Garang’s successor, Salva Kiir.
L’Accord de paix global signé en 2005 entre le MPLS et le gouvernement de Khartoum interdit les milices alliées des deux côtés. La grande majorité de ces groupes armés n’a été pas incluse au processus avant 2006, lorsqu’environ 60 000 miliciens furent absorbés dans le MPLS/APLS, une initiative de Salva Kiir , le successeur de Garang. Toutefois, l’intégration s’est révélée impossible à réaliser, essentiellement parce que les chefs de faction maintenaient un contrôle strict de leurs forces, qui faisaient maintenant officiellement partie de l’armée nationale. En outre, la grande majorité des milices sont restées intactes et ont été déployées à proximité de leurs régions d’origine à titre de compromis en échange de la paix.
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The most serious factional fighting among Southerners occurred in 1991, when a dispute between Riek Machar, then a senior SPLA commander, and the movement’s founder, the late John Garang de Mabior, turned violent.
La transition problématique du Soudan du Sud a été exacerbée par une classe dominante d’élites militaires concurrentes qui ont utilisé leur contrôle sur les forces régulières et irrégulières pour exploiter le processus politique comme un moyen de s’enrichir personnellement, d’influencer et de s’accaparer du pouvoir. Ces élites militaires exploitent également des tensions sociales de longue date, ce qui entraîne souvent des griefs politiques qui explosent en violence mortelle avec des connotations ethniques prononcées. La pratique remonte à la guerre civile entre le Soudan et l’Armée populaire de libération du Soudan (APLS), au cours de laquelle un réseau complexe de milices organisées au niveau tribal, beaucoup d’entre elles soutenues par le gouvernement de Khartoum, a régné sur de vastes étendues de territoire. Le plus grave des combats entre factions sudistes a eu lieu en 1991, lors d’un différend entre Riek Machar, à l’époque un haut commandant de l’APLS, et le fondateur du mouvement, le feu John Garang de Mabior, a tourné à la violence. À Bor, la ville natale de Garang, plus de 2 000 civils Dinka furent tués par des combattants Nuer fidèles à Machar. Dans la foulée, les disciples de Machar rompirent avec le Mouvement populaire de libération du Soudan (MPLS), creusant ainsi un profond fossé entre les élites Dinka et Nuer, fossé qui persiste à ce jour.
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The most serious factional fighting among Southerners occurred in 1991, when a dispute between Riek Machar, then a senior SPLA commander, and the movement’s founder, the late John Garang de Mabior, turned violent.
La transition problématique du Soudan du Sud a été exacerbée par une classe dominante d’élites militaires concurrentes qui ont utilisé leur contrôle sur les forces régulières et irrégulières pour exploiter le processus politique comme un moyen de s’enrichir personnellement, d’influencer et de s’accaparer du pouvoir. Ces élites militaires exploitent également des tensions sociales de longue date, ce qui entraîne souvent des griefs politiques qui explosent en violence mortelle avec des connotations ethniques prononcées. La pratique remonte à la guerre civile entre le Soudan et l’Armée populaire de libération du Soudan (APLS), au cours de laquelle un réseau complexe de milices organisées au niveau tribal, beaucoup d’entre elles soutenues par le gouvernement de Khartoum, a régné sur de vastes étendues de territoire. Le plus grave des combats entre factions sudistes a eu lieu en 1991, lors d’un différend entre Riek Machar, à l’époque un haut commandant de l’APLS, et le fondateur du mouvement, le feu John Garang de Mabior, a tourné à la violence. À Bor, la ville natale de Garang, plus de 2 000 civils Dinka furent tués par des combattants Nuer fidèles à Machar. Dans la foulée, les disciples de Machar rompirent avec le Mouvement populaire de libération du Soudan (MPLS), creusant ainsi un profond fossé entre les élites Dinka et Nuer, fossé qui persiste à ce jour.