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  Case Law of the Boards ...  
In its introduction to the EO, the EPO expressly stated that the EO was based on Slovenian national law only (OJ 1994, 75) and that the extension procedure and its effects were governed solely by Slovenian law (OJ 1994, 80).
Le requérant ne pouvait pas non plus invoquer le principe de la bonne foi afin d'obtenir gain de cause auprès des chambres de recours de l'OEB. La Chambre a fait observer que ce principe est un des principes fondamentaux du droit des brevets européens. Toutefois, s'agissant de la procédure d'extension, l'OEB n'agit pas dans le cadre de la CBE 1973. Dans son introduction au décret d'extension, l'OEB indique expressément que le décret d'extension repose sur le droit national slovène uniquement (JO 1994, 75) et que la procédure d'extension et ses effets sont régis uniquement par le droit national (JO 1994, 80).
Der Beschwerdeführer könne auch nicht unter Berufung auf den Grundsatz des Vertrauensschutzes Rechtsmittel bei den Beschwerdekammern des EPA einlegen. Zwar gehöre der Grundsatz des Vertrauensschutzes zu den Grundprinzipien des europäischen Patentrechts. Soweit es um das Erstreckungsverfahren gehe, werde das EPA jedoch nicht im Rahmen des EPÜ 1973 tätig. In den einleitenden Bestimmungen zur Erstreckungsverordnung weise das EPA ausdrücklich darauf hin, dass das Erstreckungsverfahren ausschließlich auf nationalem slowenischen Recht beruhe (ABl. 1994, 75) und dass sich das Erstreckungsverfahren und seine Wirkungen allein nach slowenischem Recht bestimmen (ABl. 1994, 80).
  Case Law of the Boards ...  
In its introduction to the EO, the EPO expressly stated that the EO was based on Slovenian national law only (OJ 1994, 75) and that the extension procedure and its effects were governed solely by Slovenian law (OJ 1994, 80).
Le requérant ne pouvait pas non plus invoquer le principe de la bonne foi afin d'obtenir gain de cause auprès des chambres de recours de l'OEB. La Chambre a fait observer que ce principe est un des principes fondamentaux du droit des brevets européens. Toutefois, s'agissant de la procédure d'extension, l'OEB n'agit pas dans le cadre de la CBE 1973. Dans son introduction au décret d'extension, l'OEB indique expressément que le décret d'extension repose sur le droit national slovène uniquement (JO 1994, 75) et que la procédure d'extension et ses effets sont régis uniquement par le droit national (JO 1994, 80).
Der Beschwerdeführer könne auch nicht unter Berufung auf den Grundsatz des Vertrauensschutzes Rechtsmittel bei den Beschwerdekammern des EPA einlegen. Zwar gehöre der Grundsatz des Vertrauensschutzes zu den Grundprinzipien des europäischen Patentrechts. Soweit es um das Erstreckungsverfahren gehe, werde das EPA jedoch nicht im Rahmen des EPÜ 1973 tätig. In den einleitenden Bestimmungen zur Erstreckungsverordnung weise das EPA ausdrücklich darauf hin, dass das Erstreckungsverfahren ausschließlich auf nationalem slowenischen Recht beruhe (ABl. 1994, 75) und dass sich das Erstreckungsverfahren und seine Wirkungen allein nach slowenischem Recht bestimmen (ABl. 1994, 80).
  Case Law of the Boards ...  
The board held that, in the case at issue, admissibility was rather precluded by the fact that, according to the exhaustive provision in Art. 106(1) EPC 1973, only those decisions of the EPO may be contested which are taken, within the framework of their duties under the EPC 1973, by the departments listed therein. This was not, however, the case for decisions taken by the EPO when carrying out its obligations under the Extension Agreement, including the EO (OJ 1994, 75).
La chambre de recours juridique a statué sur la recevabilité d'un recours contre une lettre envoyée par un agent des formalités qui avait appliqué l'accord d'extension. La chambre a jugé en l'espèce qu'y faisaient obstacle les dispositions de l'art. 106(1) CBE 1973 qui prévoient limitativement que seules peuvent être attaquées les décisions de l'OEB prises par les instances qui y sont mentionnées, dans le cadre de leurs fonctions au titre de la CBE 1973. Ce n'était toutefois pas le cas de décisions rendues par l'OEB remplissant ses obligations au titre de l'accord d'extension, y compris le décret d'extension qui y est associé (JO 1994, 75).
Die Juristische Beschwerdekammer entschied über die Zulässigkeit einer Beschwerde gegen ein Schreiben eines Formalprüfers, der die Erstreckungsverordnung angewandt hatte. Die Zulässigkeit sei vorliegend aufgrund der abschließenden Regelung des Art. 106 (1) EPÜ 1973, wonach nur Entscheidungen beschwerdefähig sind, die von den darin genannten Organen des EPA im Rahmen ihrer Aufgaben nach dem EPÜ 1973 erlassen wurden, grundsätzlich ausgeschlossen. Dies gelte jedoch nicht für Entscheidungen, die das EPA in Erfüllung seiner Verpflichtungen aus der Erstreckungsvereinbarung und der entsprechenden Erstreckungsverordnung (ABl. 1994, 75) erlässt.
  Case Law of the Boards ...  
The Legal Board found that there was nothing in the structure or legal nature of the EO to support the appealability of the letter issued by an EPO formalities officer. The board held that the extension procedure under the EO generates legal effects exclusively on the basis of Slovenian national law.
La chambre de recours juridique a estimé que rien dans la structure ou la nature juridique du décret d'extension ne légitimait le recours contre une lettre émanant d'un agent des formalités de l'OEB. Selon la chambre, la procédure d'extension au titre du décret d'extension produit des effets juridiques uniquement sur la base du droit national slovène. Le décret d'extension n'implique pas le transfert de droits souverains à l'OEB. Les dispositions de la CBE 1973 et de son règlement d'exécution ne s'appliquent que si le décret d'extension le prévoit. Ce dernier ne laisse donc aucun doute sur le fait que ses références aux dispositions de la CBE 1973 sont exhaustives et que, par conséquent, d'autres dispositions, comme celles des art. 106 et s. CBE 1973, ne peuvent être appliquées à la procédure de recours.
Die Juristische Beschwerdekammer stellte fest, dass nichts in der Konzeption oder der Rechtsnatur der Erstreckungsverordnung auf die Beschwerdefähigkeit eines von einem Formalsachbearbeiter des EPA verfassten Schreibens hindeute. Das nach Maßgabe der Erstreckungsverordnung durchgeführte Erstreckungsverfahren entfalte Rechtswirkungen ausschließlich aufgrund des nationalen slowenischen Rechts. Die Erstreckungsverordnung sehe keinerlei Übertragung von Souveränitätsrechten an das EPA vor. Mangels anders lautender Bestimmungen in der Erstreckungsverordnung seien die Vorschriften des EPÜ 1973 und seiner Ausführungsordnung nicht anwendbar. Die Erstreckungsverordnung stelle unmissverständlich klar, dass die darin enthaltenen Verweise auf Bestimmungen des Übereinkommens abschließend seien und eine analoge Anwendung anderer Bestimmungen (einschließlich derjenigen der Art. 106 ff. EPÜ 1973 über das Beschwerdeverfahren) nicht möglich sei.
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The Legal Board found that there was nothing in the structure or legal nature of the EO to support the appealability of the letter issued by an EPO formalities officer. The board held that the extension procedure under the EO generates legal effects exclusively on the basis of Slovenian national law.
La chambre de recours juridique a estimé que rien dans la structure ou la nature juridique du décret d'extension ne légitimait le recours contre une lettre émanant d'un agent des formalités de l'OEB. Selon la chambre, la procédure d'extension au titre du décret d'extension produit des effets juridiques uniquement sur la base du droit national slovène. Le décret d'extension n'implique pas le transfert de droits souverains à l'OEB. Les dispositions de la CBE 1973 et de son règlement d'exécution ne s'appliquent que si le décret d'extension le prévoit. Ce dernier ne laisse donc aucun doute sur le fait que ses références aux dispositions de la CBE 1973 sont exhaustives et que, par conséquent, d'autres dispositions, comme celles des art. 106 et s. CBE 1973, ne peuvent être appliquées à la procédure de recours.
Die Juristische Beschwerdekammer stellte fest, dass nichts in der Konzeption oder der Rechtsnatur der Erstreckungsverordnung auf die Beschwerdefähigkeit eines von einem Formalsachbearbeiter des EPA verfassten Schreibens hindeute. Das nach Maßgabe der Erstreckungsverordnung durchgeführte Erstreckungsverfahren entfalte Rechtswirkungen ausschließlich aufgrund des nationalen slowenischen Rechts. Die Erstreckungsverordnung sehe keinerlei Übertragung von Souveränitätsrechten an das EPA vor. Mangels anders lautender Bestimmungen in der Erstreckungsverordnung seien die Vorschriften des EPÜ 1973 und seiner Ausführungsordnung nicht anwendbar. Die Erstreckungsverordnung stelle unmissverständlich klar, dass die darin enthaltenen Verweise auf Bestimmungen des Übereinkommens abschließend seien und eine analoge Anwendung anderer Bestimmungen (einschließlich derjenigen der Art. 106 ff. EPÜ 1973 über das Beschwerdeverfahren) nicht möglich sei.
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The Legal Board found that there was nothing in the structure or legal nature of the EO to support the appealability of the letter issued by an EPO formalities officer. The board held that the extension procedure under the EO generates legal effects exclusively on the basis of Slovenian national law.
La chambre de recours juridique a estimé que rien dans la structure ou la nature juridique du décret d'extension ne légitimait le recours contre une lettre émanant d'un agent des formalités de l'OEB. Selon la chambre, la procédure d'extension au titre du décret d'extension produit des effets juridiques uniquement sur la base du droit national slovène. Le décret d'extension n'implique pas le transfert de droits souverains à l'OEB. Les dispositions de la CBE 1973 et de son règlement d'exécution ne s'appliquent que si le décret d'extension le prévoit. Ce dernier ne laisse donc aucun doute sur le fait que ses références aux dispositions de la CBE 1973 sont exhaustives et que, par conséquent, d'autres dispositions, comme celles des art. 106 et s. CBE 1973, ne peuvent être appliquées à la procédure de recours.
Die Juristische Beschwerdekammer stellte fest, dass nichts in der Konzeption oder der Rechtsnatur der Erstreckungsverordnung auf die Beschwerdefähigkeit eines von einem Formalsachbearbeiter des EPA verfassten Schreibens hindeute. Das nach Maßgabe der Erstreckungsverordnung durchgeführte Erstreckungsverfahren entfalte Rechtswirkungen ausschließlich aufgrund des nationalen slowenischen Rechts. Die Erstreckungsverordnung sehe keinerlei Übertragung von Souveränitätsrechten an das EPA vor. Mangels anders lautender Bestimmungen in der Erstreckungsverordnung seien die Vorschriften des EPÜ 1973 und seiner Ausführungsordnung nicht anwendbar. Die Erstreckungsverordnung stelle unmissverständlich klar, dass die darin enthaltenen Verweise auf Bestimmungen des Übereinkommens abschließend seien und eine analoge Anwendung anderer Bestimmungen (einschließlich derjenigen der Art. 106 ff. EPÜ 1973 über das Beschwerdeverfahren) nicht möglich sei.
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The board observed that the EO did not afford any of the rights and obligations associated with accession to the Convention. Contrary to the appellant's assertion, it thus did not set up a jus tertii for services rendered by the EPO in fulfilment of its obligations under the EO either.
La chambre a relevé que le décret d'extension ne fonde aucun droit ou obligation semblable à ceux que comporte l'adhésion à la Convention. Contrairement à ce qu'affirme le requérant, il ne crée donc pas non plus de jus tertii pour des services rendus par l'OEB en vue d'honorer ses engagements au titre de l'accord d'extension. Par conséquent, il ne peut en résulter un droit de saisine des chambres de recours pour des questions concernant l'extension de demandes de brevet et de brevets aux Etats autorisant l'extension. Dans des cas tels que la présente affaire, c'est la juridiction nationale correspondante qui est compétente. L'art. 6(2) de la Loi slovène sur les brevets, par exemple, prévoit une procédure de recours contre des décisions de l'Office slovène des brevets (cf. également J 2/05).
Die Kammer stellte fest, dass die EV keine Rechte und Pflichten begründet, wie sie mit dem Beitritt zum Übereinkommen verbunden sind. Entgegen der Behauptung des Beschwerdeführers schafft sie demnach auch kein Recht Dritter in Bezug auf Dienstleistungen, die das EPA in Erfüllung seiner Verpflichtungen aus der Verordnung erbringt. Folglich besteht kein Anspruch darauf, die Beschwerdekammern mit Fragen zu befassen, die sich bei der Erstreckung von Patentanmeldungen und Patenten auf die Erstreckungsstaaten stellen. Vielmehr ist in Fällen wie dem vorliegenden die jeweilige nationale Justiz zuständig. So sieht beispielsweise Art. 6 (2) des slowenischen Patentgesetzes ein Beschwerdeverfahren vor, in dem Entscheidungen des slowenischen Patentamts angefochten werden können (s. auch J 2/05).
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The board observed that the EO did not afford any of the rights and obligations associated with accession to the Convention. Contrary to the appellant's assertion, it thus did not set up a jus tertii for services rendered by the EPO in fulfilment of its obligations under the EO either.
La chambre a relevé que le décret d'extension ne fonde aucun droit ou obligation semblable à ceux que comporte l'adhésion à la Convention. Contrairement à ce qu'affirme le requérant, il ne crée donc pas non plus de jus tertii pour des services rendus par l'OEB en vue d'honorer ses engagements au titre de l'accord d'extension. Par conséquent, il ne peut en résulter un droit de saisine des chambres de recours pour des questions concernant l'extension de demandes de brevet et de brevets aux Etats autorisant l'extension. Dans des cas tels que la présente affaire, c'est la juridiction nationale correspondante qui est compétente. L'art. 6(2) de la Loi slovène sur les brevets, par exemple, prévoit une procédure de recours contre des décisions de l'Office slovène des brevets (cf. également J 2/05).
Die Kammer stellte fest, dass die EV keine Rechte und Pflichten begründet, wie sie mit dem Beitritt zum Übereinkommen verbunden sind. Entgegen der Behauptung des Beschwerdeführers schafft sie demnach auch kein Recht Dritter in Bezug auf Dienstleistungen, die das EPA in Erfüllung seiner Verpflichtungen aus der Verordnung erbringt. Folglich besteht kein Anspruch darauf, die Beschwerdekammern mit Fragen zu befassen, die sich bei der Erstreckung von Patentanmeldungen und Patenten auf die Erstreckungsstaaten stellen. Vielmehr ist in Fällen wie dem vorliegenden die jeweilige nationale Justiz zuständig. So sieht beispielsweise Art. 6 (2) des slowenischen Patentgesetzes ein Beschwerdeverfahren vor, in dem Entscheidungen des slowenischen Patentamts angefochten werden können (s. auch J 2/05).
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The Legal Board found that there was nothing in the structure or legal nature of the EO to support the appealability of the letter issued by an EPO formalities officer. The board held that the extension procedure under the EO generates legal effects exclusively on the basis of Slovenian national law.
La chambre de recours juridique a estimé que rien dans la structure ou la nature juridique du décret d'extension ne légitimait le recours contre une lettre émanant d'un agent des formalités de l'OEB. Selon la chambre, la procédure d'extension au titre du décret d'extension produit des effets juridiques uniquement sur la base du droit national slovène. Le décret d'extension n'implique pas le transfert de droits souverains à l'OEB. Les dispositions de la CBE 1973 et de son règlement d'exécution ne s'appliquent que si le décret d'extension le prévoit. Ce dernier ne laisse donc aucun doute sur le fait que ses références aux dispositions de la CBE 1973 sont exhaustives et que, par conséquent, d'autres dispositions, comme celles des art. 106 et s. CBE 1973, ne peuvent être appliquées à la procédure de recours.
Die Juristische Beschwerdekammer stellte fest, dass nichts in der Konzeption oder der Rechtsnatur der Erstreckungsverordnung auf die Beschwerdefähigkeit eines von einem Formalsachbearbeiter des EPA verfassten Schreibens hindeute. Das nach Maßgabe der Erstreckungsverordnung durchgeführte Erstreckungsverfahren entfalte Rechtswirkungen ausschließlich aufgrund des nationalen slowenischen Rechts. Die Erstreckungsverordnung sehe keinerlei Übertragung von Souveränitätsrechten an das EPA vor. Mangels anders lautender Bestimmungen in der Erstreckungsverordnung seien die Vorschriften des EPÜ 1973 und seiner Ausführungsordnung nicht anwendbar. Die Erstreckungsverordnung stelle unmissverständlich klar, dass die darin enthaltenen Verweise auf Bestimmungen des Übereinkommens abschließend seien und eine analoge Anwendung anderer Bestimmungen (einschließlich derjenigen der Art. 106 ff. EPÜ 1973 über das Beschwerdeverfahren) nicht möglich sei.
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The Legal Board found that there was nothing in the structure or legal nature of the EO to support the appealability of the letter issued by an EPO formalities officer. The board held that the extension procedure under the EO generates legal effects exclusively on the basis of Slovenian national law.
La chambre de recours juridique a estimé que rien dans la structure ou la nature juridique du décret d'extension ne légitimait le recours contre une lettre émanant d'un agent des formalités de l'OEB. Selon la chambre, la procédure d'extension au titre du décret d'extension produit des effets juridiques uniquement sur la base du droit national slovène. Le décret d'extension n'implique pas le transfert de droits souverains à l'OEB. Les dispositions de la CBE 1973 et de son règlement d'exécution ne s'appliquent que si le décret d'extension le prévoit. Ce dernier ne laisse donc aucun doute sur le fait que ses références aux dispositions de la CBE 1973 sont exhaustives et que, par conséquent, d'autres dispositions, comme celles des art. 106 et s. CBE 1973, ne peuvent être appliquées à la procédure de recours.
Die Juristische Beschwerdekammer stellte fest, dass nichts in der Konzeption oder der Rechtsnatur der Erstreckungsverordnung auf die Beschwerdefähigkeit eines von einem Formalsachbearbeiter des EPA verfassten Schreibens hindeute. Das nach Maßgabe der Erstreckungsverordnung durchgeführte Erstreckungsverfahren entfalte Rechtswirkungen ausschließlich aufgrund des nationalen slowenischen Rechts. Die Erstreckungsverordnung sehe keinerlei Übertragung von Souveränitätsrechten an das EPA vor. Mangels anders lautender Bestimmungen in der Erstreckungsverordnung seien die Vorschriften des EPÜ 1973 und seiner Ausführungsordnung nicht anwendbar. Die Erstreckungsverordnung stelle unmissverständlich klar, dass die darin enthaltenen Verweise auf Bestimmungen des Übereinkommens abschließend seien und eine analoge Anwendung anderer Bestimmungen (einschließlich derjenigen der Art. 106 ff. EPÜ 1973 über das Beschwerdeverfahren) nicht möglich sei.
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In J 14/00 (OJ 2002, 432) the board observed that the Agreement with the Republic of Slovenia extending the protection conferred by European patents (Extension Agreement), including the associated Extension Ordinance (EO) (OJ 1994, 75) which came into force on 1.3.1994, was based on the Patent Cooperation Agreement between the European Patent Organisation and the Republic of Slovenia, which came into force on 1.9.1993.
Dans J 14/00 (JO 2002, 432) la chambre a observé que l'accord avec la Slovénie, y compris le décret du gouvernement slovène relatif à l'application du système d'extension (décret d'extension / DE) (JO 1994, 75) qui est entré en vigueur le 1.3.1994, était fondé sur l'accord de coopération en matière de brevets conclu entre l'Organisation européenne des brevets et la Slovénie entré en vigueur le 1.9.1993. Cet accord est un traité international du type de ceux que le Président de l'OEB est autorisé à conclure avec l'approbation du Conseil (art. 33(4) CBE 1973) afin de remplir les fonctions qui lui sont dévolues par la CBE 1973. Cet accord sert les intérêts non seulement des demandeurs, en leur fournissant un moyen de protection simple en Slovénie, mais également ceux de la République de Slovénie, en permettant à cette dernière d'offrir une protection brevets sur son territoire simplement en y étendant les effets des demandes et brevets européens et euro-PCT.
In J 14/00 (ABl. 2002, 432) stellte die Kammer fest, dass die am 1.3.1994 in Kraft getretene Vereinbarung mit der Republik Slowenien über die Schutzerstreckung europäischer Patente (Erstreckungsvereinbarung / EV) samt der entsprechenden Erstreckungsverordnung (ABl. 1994, 75) auf dem zwischen der Europäischen Patentorganisation und der Republik Slowenien geschlossenen Abkommen über die Zusammenarbeit auf dem Gebiet des Patentwesens beruht, das am 1.9.1993 in Kraft getreten ist. Hierbei handelt es sich um ein internationales Abkommen, wie sie der Präsident des EPA in Wahrnehmung der ihm durch das EPÜ 1973 übertragenen Aufgaben laut Ermächtigung des Verwaltungsrats mit dessen Genehmigung schließen darf (Art. 33 (4) EPÜ 1973). Dieses Abkommen kommt nicht nur den Anmeldern entgegen, denen es einen einfachen Weg zum Patentschutz in der Republik Slowenien eröffnet, sondern auch der Republik Slowenien, die damit einfach durch Erstreckung der Wirkungen von europäischen Patenten und Euro-PCT-Patenten Patentschutz für ihr Hoheitsgebiet bieten kann.
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In J 9/04 the board also commented on the structure or legal nature of the EO. It noted that, as a bilateral ordinance, the EOs essentially deal - exhaustively and strictly separately from the Convention - with matters pertaining to the integration of extended European applications and protective rights into the respective national law and their relationship to national applications and rights based on the law on industrial property of the extension states (see, for Slovenia, BlfPMZ 1993, 303 - German periodical).
Dans l'affaire J 9/04, la chambre a formulé des observations relatives à la structure ou au caractère juridique du décret d'extension (DE) . Elle a noté qu'en tant que décrets bilatéraux, les décrets d'extension traitent essentiellement - de façon exhaustive et bien distincte de la Convention - de questions liées à l'intégration dans le droit national de demandes et de droits de protection européens étendus et de leur rapport avec les demandes et droits nationaux sur la base du droit de la propriété industrielle des Etats autorisant l'extension (cf. pour la Slovénie ; BlfPMZ 1993, 303 - revue allemande). Il convient de citer en particulier la règle selon laquelle les demandes et les brevets aux effets étendus produisent les mêmes effets que les demandes et brevets nationaux, l'obligation de fournir aux offices nationaux de brevets une traduction des revendications dans la langue concernée, les dispositions concernant le texte des demandes de brevet et des brevets aux effets étendus faisant foi au plan national, les effets qu'ils produisent en tant que droit antérieur par rapport aux demandes nationales et aux brevets nationaux, et, enfin, la protection simultanée. Selon la chambre, aucune de ces dispositions n'entraîne d'obligations pour l'OEB. En application des décrets d'extension, l'OEB s'engage simplement, vis-à-vis des services nationaux de la propriété industrielle, à apporter son appui pour l'exécution des tâches administratives liées à l'extension des brevets européens, à savoir réceptionner les requêtes en extension, percevoir les taxes d'extension et, après déduction d'un certain montant pour couvrir ses dépenses, transmettre le solde aux offices nationaux de brevets.
In J 9/04 befasste sich die Kammer mit der Konzeption und der Rechtsnatur der Erstreckungsverordnung (EV). Wie sie betonte, regeln Erstreckungsverordnungen als bilaterale Verordnungen im Wesentlichen - erschöpfend und streng getrennt vom Übereinkommen - Fragen im Zusammenhang mit der Überführung erstreckter europäischer Anmeldungen und Schutzrechte in das jeweilige nationale Recht und deren Verhältnis zu nationalen Anmeldungen und Schutzrechten auf der Grundlage des in den Erstreckungsstaaten geltenden Gesetzes über das gewerbliche Eigentum (zu Slowenien siehe BlfPMZ 1993, 303). Dazu gehört insbesondere die Vorschrift, dass erstreckte Anmeldungen und Patente dieselben Wirkungen wie nationale Anmeldungen und Patente haben, die Verpflichtung, bei den nationalen Patentämtern eine Übersetzung der Ansprüche in die betreffende Sprache einzureichen, die im nationalen Bereich verbindliche Fassung erstreckter Anmeldungen und Patente, ihre Wirkung als älteres Recht gegenüber nationalen Anmeldungen und Patenten und schließlich der Doppelschutz. Nach Auffassung der Kammer ergeben sich aus keiner dieser Bestimmungen Verpflichtungen für das EPA. Im Rahmen der Erstreckungsverordnungen verpflichtet sich das EPA gegenüber den nationalen Patentbehörden lediglich, bei den Verwaltungsaufgaben im Zusammenhang mit der Erstreckung europäischer Patente behilflich zu sein, d. h., Erstreckungsanträge entgegenzunehmen, die Erstreckungsgebühren zu erheben und, nach Abzug eines Betrags zur Deckung seiner Kosten, den restlichen Betrag an die nationalen Patentämter zu überweisen.