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) are capable of biodegrading 1,2-DCA as the sole carbon source in culture (Janssen et al., 1985; Oldenhuis et al., 1989; Van den Wijngaard et al., 1992). Studies on the anaerobic biodegradation of 1,2-DCA in aquatic environments are conflicting, likely because of the variability of microbial communities and oxidative and reductive conditions present in the substrates (Van der Zaan et al., 2009).
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Il n'y a pas de source naturelle connue de 1,2-DCA dans l'environnement. La présence de 1,2-DCA dans l'atmosphère résulte des rejets directs de l'activité industrielle, en particulier durant sa production et durant la production de monomère de chlorure de vinyle (Environnement Canada et Santé Canada, 1994). Les sources secondaires incluent les émissions industrielles de diverses industries utilisant du 1,2-DCA importé (p. ex. l'industrie pharmaceutique, les raffineries, les usines de production de glycol et des laboratoires). Le transport à grande distance de 1,2-DCA dans l'air à partir des États-Unis et les lixiviats des sites d'élimination sont des sources additionnelles de rejet dans l'atmosphère (Environnement Canada, 2006). Les sociétés membres de l'Association canadienne des fabricants de produits chimiques (ACFPC) ont indiqué que les émissions de 1,2-DCA ont été réduites considérablement depuis 1992, passant de 27,52 tonnes à 8,90, 4,83, 5,57 et 0,550 tonnes en 2004, 2005, 2006 et 2007, respectivement (ACFPC, 2005, 2007). Avec la fermeture de l'usine de fabrication de Dow Chemical Canada inc. en 2006, on prévoit que les émissions causées par la fabrication continueront de diminuer jusqu'à 0,061 tonne en 2012 (ACFPC, 2007).
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