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« C’est gagnant pour le Canada et aussi pour les peuples des nations en développement, » dit James Haga, le directeur du programme de plaidoyer d’ISF. « En adhérant à cette norme mondiale, le Canada va réduire les frais reliés à la bureaucratie et s’assurer que chaque dollar donné va plus loin. Cela signifie que plus d’argent dépensé va aller au vrai travail de l’aide : aider les gens à se sortir de la pauvreté. Nous applaudissons la ministre Oda et l’ACDI pour avoir pris cet audacieux pas vers une aide canadienne plus transparente, plus efficace, s’assurant ainsi que le Canada est un chef de file mondial en aide sensée et en développement. »
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