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Keybot 65 Ergebnisse  www.hc-sc.gc.ca  Seite 5
  Appendix 3: Intake figu...  
Stats Can Per-capita food consumption, 2004
Consommation des aliments par personne selon Statistique Canada, 2004
  Page 8 - Report on the ...  
5.1.2 Transactions per capita (based on 100,000 inhabitants) for Atlantic Canada
5.1.2 Opérations par habitant (sur une échelle de 100 000 habitants) dans la région de l'Atlantique
  Appendix 3: Intake figu...  
Stats Can Per-capita food consumption, 1999
Consommation des aliments par personne selon Statistique Canada, 1999
  Report on the Review of...  
5.1.2. Transactions per capita (based on 100,000 inhabitants) for Atlantic Canada
5.1.2. Opérations par habitant (sur une échelle de 100 000 habitants) dans la région de l'Atlantique
  Table - Food and Nutrit...  
Apparent per capita intake calculated from Family Food Expenditure Survey data by Agriculture & Agri-Food Canada (AAFC)
Consommation apparente des aliments par personne au Canada, calculée d'après les données des Enquêtes sur les dépenses alimentaires des familles d'Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAAC)
  Guidance for providing ...  
Per capita water demand
Consommation d'eau par habitant
  Page 70 - Written plead...  
29. Not only are there fewer people smoking, but we also see that smokers are smoking less.13 This could explain why per capita use fell by approximately 40% while production and sales for Canada only fell by approximately 30% for the same period.
28. De 1985 à l'an 2000, la proportion de fumeurs qui fument 26 cigarettes ou plus par jour a diminué, alors que celle des fumeurs qui fument entre 1 et 10 cigarettes par jour a augmenté12.
  Page 4 - Uranium  
The average daily per capita intake of uranium in food has been reported to be 1.3 µg41 and 2-3 µg43 in the United States and 1.5 µg in Japan.38 In a review of naturally occurring sources of radioactive contamination in food, dietary intakes of 238U were found to range from 1.0 to 3.6 µg/d (12-45 mBq/d) in several European countries, from 0.9 to 4.8 µg/d (11-60 mBq/d) in Japan (the higher values were found in uranium mining areas) and from 1.2 to 1.4 µg/d (15-17 mBq/d) in the United States.
On a signalé que l'apport quotidien moyen d'uranium dans l'alimentation par habitant était de 1,3 µg41 et de 2 à 3 µg43 aux États-Unis, et de 1,5 µg au Japon38. Lors d'une étude sur les sources naturelles de contamination radioactive des aliments, on a signalé des apports alimentaires de 238U variant de 1,0 à 3,6 µg/j (12 à 45 mBq/j) dans plusieurs pays européens, de 0,9 à 4,8 µg/j (11 à 60 mBq/j) au Japon (les valeurs les plus élevées ayant été observées dans les zones d'exploitation minière de l'uranium) et de 1,2 à 1,4 µg/j (15 à 17 mBq/j) aux États-Unis. L'apport alimentaire quotidien moyen a été de l'ordre de 20 mBq, soit environ 1,6 µg. Il a souvent été difficile de déterminer si les apports mesurés comprenaient celui de l'eau potable et l'on a souligné que dans certains cas, l'apport par l'eau potable était égal à celui des aliments44.
  Page 80 - Written plead...  
However, the original labelling requirements were fairly weak, stating only "Warning - Smoking is a Health Hazard". The resulting impact on per capita tobacco use was significant in the statistical sense but not of appreciable magnitude.
« Finally, the recent experience in Australia also suggests the importance of the presentation and content of the warning messages. Australia has required warning labels on cigarette packages since 1972. However, the original labelling requirements were fairly weak, stating only ²Warning - Smoking is a health hazard². The resulting impact on per capita tobacco use was significant in the statistical sense but not of appreciable magnitude. (See further discussion below of Bardsley & Olekalns (1999)). Some changes were introduced in 1985 but were again muted in both strength of wording and size (15% of package). More recent initiatives with stronger labels appear to have been more effective (see Figure 3.1). In 1995, Australia implemented a strong tobacco control program, including stronger labelling. The new labels must take up 25% of the face of a package, with additionnal explanatory messages on 33% of the opposite side. Warning messages includes :
  Page 80 - Written plead...  
The resulting impact on 1995 per capita tobacco consumption appears to have been immediate, as illustrated in Figures 3.1 and 3.2. While tobacco use had been on a downward trend, the annual rate of decrease was tailing off until the introduction of the new labels.
« The resulting impact on 1995 per capita tobacco consumption appears to have been immediate, as illustrated in Figures 3.1 and 3.2. While tobacco use had been on a downward trend, the annual rate of decrease was tailing off until the introduction of the new labels. The annueal decrease in consumption fell from 6.2% in 1992 to 3.2% in 1994. In 1995 and 1996, the rate of decrease rose again to 4.6% and 4.9%. Although the impact is masked by the general downward trend, it appears clear that there was a change in 1995. Unfortunately for our purposes, it is not possible to determine how much of the changes in 1995 and 1996 were associated with warning label improvements, since other anti-smoking measures were implemented at about the same time. The difficulty in sorting out causative factors is on of the reasons why impact estimates drawn from a multivariate statistical model are preferred. These estimates are discussed next. » (page 3-5)
  Report of the Fifth Vet...  
Five percent of all Canadian farms have sheep, with 13,000 having an average of 74. Canadian raised sheep supply about 50% of domestic demand. There has been a 25% increase in per capita consumption since 1996. In 2002, per capita annual consumption was 1 kg.
À titre de nouveau membre du comité, M. Wort présente un survol de l'industrie canadienne du mouton. Cinq pour cent de toutes les fermes canadiennes élèvent des moutons et 13 000 d'entre elles en comptent en moyenne 74. Le mouton élevé au Canada satisfait à environ 50 p. 100 de la demande intérieure. Depuis 1996, la consommation de mouton par habitant a augmenté de 25 p. 100. En 2002, la consommation annuelle par personne s'établissait à 1 kg.
  Food and Nutrition Surv...  
Samples urban and rural households in 10 provinces, Whitehorse and Yellowknife. Data is used by Agriculture and Agri-Food Canada to calculate estimated per capita intake of nutrients. Includes all food purchased, including food not consumed for various reasons, so is only a gross estimate.
Santé Canada. Il s'agit d'études réalisées périodiquement pour estimer l'exposition des nourrissons, des enfants et des adultes canadiens à des produits chimiques toxiques et à certains éléments nutritifs. Les aliments choisis dans certains secteurs (jusqu'ici, les études ont porté sur les grandes villes) sont préparés comme s'ils allaient être consommés; ils ont ensuite fait l'objet d'analyses de détection de produits chimiques toxiques et d'une estimation de produits chimiques absorbés dans les aliments par différents groupes d'âge et chez les deux sexes. L'analyse porte aussi sur certains éléments nutritifs. Ces études servent aux évaluations scientifiques de risques et à l'adoption de mesures appropriées de gestion des risques.
  A Guide for the Prepara...  
Per capita disappearance data, which is available from Statistics Canada, is a measure of the apparent disappearance of food on a per person (per capita) basis. The values are averaged over the entire population, which includes individuals who may never eat some of the foods (so-called "non-eaters").
Si une évaluation de la consommation potentielle de l'additif alimentaire est incluse dans la demande d'autorisation, cette évaluation doit être basée sur les données canadiennes les plus récentes concernant l'apport alimentaire. Les deux principaux types de données à cet égard sont tirées des sources suivantes : 1) consommation par habitant d'un produit alimentaire donné au sein de la population en général et 2) données provenant d'enquêtes basées sur les quantités réelles de cet aliment consommées par les personnes ou les ménages.
  A Guide for the Prepara...  
Per capita disappearance data, which is available from Statistics Canada, is a measure of the apparent disappearance of food on a per person (per capita) basis. The values are averaged over the entire population, which includes individuals who may never eat some of the foods (so-called "non-eaters").
Si une évaluation de la consommation potentielle de l'additif alimentaire est incluse dans la demande d'autorisation, cette évaluation doit être basée sur les données canadiennes les plus récentes concernant l'apport alimentaire. Les deux principaux types de données à cet égard sont tirées des sources suivantes : 1) consommation par habitant d'un produit alimentaire donné au sein de la population en général et 2) données provenant d'enquêtes basées sur les quantités réelles de cet aliment consommées par les personnes ou les ménages.
  Page 5 - Guidelines for...  
Data from the United States and Canada were sufficient to serve as a basis for estimating the minimum, midpoint, and maximum concentrations of chloroform in 131 of the 181 foods for which per capita daily intake rates (i.e., g/day) are available.
Les données des États-Unis et du Canada ont suffi comme base de calcul pour estimer les concentrations minimale, intermédiaire et maximale de chloroforme dans 131 des 181 aliments pour lesquels on disposait d'un taux d'absorption journalière (c.-à-d. g/jour) par habitant. Les concentrations intermédiaires dépassaient 100 µg/kg dans le cas de 12 matières alimentaires (c.-à-d. beurre, margarine, matières grasses et huiles végétales, céréales pour bébé, pizza, poisson d'eau salée, poisson d'eau douce, craquelins, crêpes, veau, rôti de boeuf et fromage). Les concentrations les plus élevées de chloroforme sont souvent mesurées dans les produits laitiers (Environnement Canada et Santé Canada, 2001).
  A Guide for the Prepara...  
The two major types of food consumption data originate from (1) per capita disappearance of particular foodstuffs for the general population; and (2) survey data based on the actual amounts of foods consumed by individuals or households.
Si possible, vous devez fournir une évaluation globale de la consommation qui résultera de la nouvelle utilisation d'un additif alimentaire. Les informations concernant la quantité d'additif qui sera habituellement ingérée s'avèrent utiles pour évaluer l'innocuité de l'utilisation envisagée pour l'additif. À cet égard, il faut tenir compte de la limite de tolérance de l'additif et de l'apport alimentaire représenté par l'aliment auquel l'additif sera ajouté.
  A Guide for the Prepara...  
Per capita disappearance data, which is available from Statistics Canada, is a measure of the apparent disappearance of food on a per person (per capita) basis. The values are averaged over the entire population, which includes individuals who may never eat some of the foods (so-called "non-eaters").
Si une évaluation de la consommation potentielle de l'additif alimentaire est incluse dans la demande d'autorisation, cette évaluation doit être basée sur les données canadiennes les plus récentes concernant l'apport alimentaire. Les deux principaux types de données à cet égard sont tirées des sources suivantes : 1) consommation par habitant d'un produit alimentaire donné au sein de la population en général et 2) données provenant d'enquêtes basées sur les quantités réelles de cet aliment consommées par les personnes ou les ménages.
  Drug Treatment Funding ...  
Treatment systems funding is provided based on a per capita allocation, calculated at the outset of the DTFP. In recognition of the fact that putting in place system level changes to the quality and organization of strengthening treatment services is not necessarily proportional to the size of the populations served, smaller jurisdictions are eligible for supplementary funding within this portion of the DTFP budget.
Ce financement permettra d'amorcer les changements systémiques requis pour améliorer de façon durable la qualité et l'organisation des systèmes de traitement de la toxicomanie. Pour la majeure partie, les investissements stratégiques auprès des gouvernements des provinces et des territoires constituent la meilleure façon de concrétiser cet objectif. À ce titre, la plus grande partie du financement (85 %) sera consacrée aux gouvernements des provinces et des territoires. Jusqu'à 20% des fonds annuels alloués à une province ou un territoire peuvent être dirigés vers des projets de démonstration.
  The Medical Officer of ...  
Regional Transfer Officers can identify the level of resources available for transfer. This is usually a per capita proportion of the zone or regional resources devoted to the medical officer. Most communities will not have the funds available nor the need to employ a full-time MOH.
Les agents régionaux du transfert peuvent déterminer le niveau de ressources disponible pour le transfert. Il s'agit habituellement d'une proportion (établie selon la population desservie) des ressources de la zone ou de la région consacrées au médecin fonctionnaire. La plupart des collectivités ne disposeront pas des fonds nécessaires, et n'auront pas non plus besoin d'embaucher un MH à plein temps. Les collectivités doivent pouvoir démontrer, cependant, que les services qui sont assurés par les médecins hygiénistes sont offerts à la collectivité.
  Report of the Fifth Vet...  
Five percent of all Canadian farms have sheep, with 13,000 having an average of 74. Canadian raised sheep supply about 50% of domestic demand. There has been a 25% increase in per capita consumption since 1996. In 2002, per capita annual consumption was 1 kg.
À titre de nouveau membre du comité, M. Wort présente un survol de l'industrie canadienne du mouton. Cinq pour cent de toutes les fermes canadiennes élèvent des moutons et 13 000 d'entre elles en comptent en moyenne 74. Le mouton élevé au Canada satisfait à environ 50 p. 100 de la demande intérieure. Depuis 1996, la consommation de mouton par habitant a augmenté de 25 p. 100. En 2002, la consommation annuelle par personne s'établissait à 1 kg.
  Page 7 - Review of Exis...  
Differences in Canadian and US incomes could decrease the value of an IQ point. The recommended low estimate of $12,500 adjusts the central estimate by the ratio of real Canadian incomes to US incomes (the ratio of PPP-adjusted real GDP/capita in Canada and the US is 80.5%).
Malgré l'incertitude du résultat, il est possible d'appliquer les techniques utilisées aux États-Unis dans les évaluations économiques de la santé pour obtenir une estimation de la valeur de la perte d'un point de QI en dollars canadiens de 2005. À l'aide du facteur de correction de la PPA de 2005, on obtient la valeur, en dollars canadiens de 2005, de 15 606 $. Cette dernière fournit l'estimation moyenne recommandée, soit 15 000 $. Comme on l'a vu précédemment, la valeur d'un point de QI a été calculée à partir de la valeur actualisée du changement dans le niveau de revenu gagné pendant la vie entière. Les différences de revenu entre le Canada et les États-Unis pourraient minorer la valeur d'un point de QI. L'estimation plancher recommandée, soit 12 500 $, correspond à l'estimation moyenne corrigée en fonction du différentiel de revenu réel entre le Canada et les États-Unis (le ratio du PIB réel par habitant du Canada au PIB réel par habitant des États-Unis, corrigé en fonction de la PPA, est de 80,5 %). L'estimation plafond recommandée, soit 25 000 $, est obtenue en multipliant l'estimation plancher recommandée par le ratio CAP/CDM associé aux affections autres que le cancer, soit 2,0. Bien qu'elle ne soit pas une mesure fondée sur le CDM, la valeur estimative d'un point de QI est tirée de l'incidence sur les coûts du travail (p. ex. le revenu) et ne tient aucun compte des coûts liés aux personnes soignant le sujet ou aux répercussions sur la qualité de vie.
  Page 6 - Canadian Envir...  
The general population is also exposed periodically to phenol through the use of several consumer products, including, for example, mouthwashes, throat lozenges and sprays, and antiseptic lotions; complete quantitative estimation of exposure from such products is not possible due to the lack of adequate data on per capita use of such products.
L' exposition à l'air a mbiant peut être considérablement supérieure chez les populations vivant à proximité de certaines sources ponctuelles. D'après les concentrations maximales signalées à proximité des usines industrielles de l'Alberta et de l'Ontario (section 2.3.2.1) et posant les mêmes valeurs de référence pour les volumes inhalés et la masse corporelle que dans la population générale, on estime que l'absorption maximale de phénol de l'air ambiant à proximité des sources ponctuelles varie de 12 à 34 µg/(kg de m.c./j) dans les différentes classes d'âge (tableau 7). On a également calculé l'exposition du pire cas ou l'exposition maximale à l'air ambiant à proximité d'une source ponctuelle en utilisant la concentration maximale de phénol sur 24 h (145 µg/m3) prédite par les modèles de dispersion atmosphérique des émissions de phénol de la première source canadienne (Davis, 1997). D'après cette valeur, l'absorption estimative de phénol dans l'air ambiant près de cette source ponctuelle varie de 29 à 86 µg/(kg de m.c./j) dans les diverses classes d'âge (tableau 7).
  Evaluation Framework of...  
% FFV consumption per capita. Rates are maintained or increase from year to year
Loi sur l'emballage et l'étiquetage des produits de consommation