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Unas 90 personas (implicados pero no eliminados en un primer momento y cómplices externos, entre ellos una veintena de mujeres, la mayoría pertenecientes a étnicas minoritarias) fueron llevadas ante un Tribunal militar que se reunió en el local del cine Okangon de Bata, entre el 22 y el 25 de junio de 1974, con un dispositivo de altavoces para informar al publico que permanecía en el exterior.
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D'après la version du gouvernement dictatorial, il s'agissait d'un complot organisé par un supposé mouvement dénommé " Cruzada de Liberación de Guinea Ecuatorial por Cristo" Il y a 90 personnes impliquées mais qui n'avaient pas été éliminé au début et d'autres complices qui n'étaient pas des détenus, parmi elles, une vingtaine de femmes, 'en majorité appartenant aux groupes ethniques minoritaires), furent traduites dans le tribunal militaire dont les séances ce passaient au cinéma Okangon de Bata entre le 22 et le 25 Juin 1974. Il y avait des hauts parleurs pour informer le public qui restait dans les alentours. Ce tribunal était composé de huit officiers de l'armée (qui avait demandé la peine capitale) avec un seul avocat M. Moisés Iyanga chargé de défendre tous les détenus. Parmi les accusés, il y avait un ministre, Cadres du ministère de l'Education populaire, artistes; artisans, ouvriers,agriculteurs,employés de la compagnie aérienne de la Guinée Equatoriale (LAGE)... etc. Parmi les détenus, il y avait des fangs, 9 ndowes et 9 bubis. 27 accusés furent condamnés à la peine capitale et le reste à des peines de prisons allant de 29, 26 et 17 ans d'emprisonnement ferme.
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