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This was followed-up by a study by Greenfield and Smith (1999) for the Department of Justice (DOJ), which analyzed the rate of victimizations on tribal land per 1,000 persons age 12 or older for the years 1992 to 1996. They discovered that the violent crime rate for American Indians (124 violent crimes per 1,000 AIANs) was more than twice the rate for the United States as a whole (50 per 1,000 persons).
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En 1997, l'Executive Committee for Indian Country Law Enforcement Improvements (Comité exécutif sur l'amélioration de l'application de la loi dans les contrées indiennes) a signalé l'existence d'une crise en ce qui a trait à la sécurité publique dans les contrées indiennes. Le Comité a ajouté que sous sa forme actuelle, l'application de la loi dans les contrées indiennes ne répond pas toujours aux besoins essentiels en matière de sécurité publique (É.-U., 1997, p. 4). Par la suite, de 1992 à 1996, Greenfield et Smith (1999) ont réalisé une étude pour le département de la Justice des États-Unis afin d'analyser le taux de victimisation pour 1 000 personnes de 12 ans et plus sur les terres tribales. Ils ont découvert que le taux de crimes avec violence pour les Indiens d'Amérique (124 crimes avec violence pour 1 000 Indiens d'Amérique et Autochtones d'Alaska) était plus de deux fois plus élevé que celui des É.-U. (50 pour 1 000 personnes). Autrement dit, les Indiens d'Amérique enregistrent des taux de violence par habitant plus de deux fois supérieurs à ceux de l'ensemble de la population américaine. De plus, le taux de crimes avec violence subis par les Indiennes d'Amérique et les femmes autochtones d'Alaska est près de 50 % plus élevé que celui déclaré par les hommes noirs (département de la Justice, 2000; Greenfield et Smith, 1999; Minton, 2002; et É.-U., 2001a).
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