ae – Traduction – Dictionnaire Keybot

Spacer TTN Translation Network TTN TTN Login Deutsch English Spacer Help
Langues sources Langues cibles
Keybot 39 Résultats  www.agr.ca
  Errampalli, Deena, Ph.D...  
VanDriel, L., Hammill, J.A., McCardle, A.G., Pogoda, M.K., Wismer, R.J., and Errampalli, D. (2009). "Assessment of AE-C656948 500 SC and AE-C656948 125 SC + AE-B100309 375 SC for control of pear scab on ‘Bartlett’ pears, 2008.", Pest Management Research Report, 47(Report #47), pp. 160-163.
VanDriel, L., Hammill, J.A., McCardle, A.G., Pogoda, M.K., Wismer, R.J., et Errampalli, D. (2009). « Assessment of AE-C656948 500 SC and AE-C656948 125 SC + AE-B100309 375 SC for control of pear scab on ‘Bartlett’ pears, 2008. », Pest Management Research Report, 47(Report #47), p. 160-163.
  Errampalli, Deena, Ph.D...  
VanDriel, L., Hammill, J.A., McCardle, A.G., Pogoda, M.K., Wismer, R.J., and Errampalli, D. (2009). "Assessment of AE-C656948 500 SC and AE-C656948 125 SC + AE-B100309 375 SC for control of pear scab on ‘Bartlett’ pears, 2008.", Pest Management Research Report, 47(Report #47), pp. 160-163.
VanDriel, L., Hammill, J.A., McCardle, A.G., Pogoda, M.K., Wismer, R.J., et Errampalli, D. (2009). « Assessment of AE-C656948 500 SC and AE-C656948 125 SC + AE-B100309 375 SC for control of pear scab on ‘Bartlett’ pears, 2008. », Pest Management Research Report, 47(Report #47), p. 160-163.
  Errampalli, Deena, Ph.D...  
VanDriel, L., Hammill, J.A., McCardle, A.G., Pogoda, M.K., Wismer, R.J., and Errampalli, D. (2009). "Assessment of AE-C656948 500 SC and AE-C656948 125 SC + AE-B100309 375 SC for control of pear scab on ‘Bartlett’ pears, 2008.", Pest Management Research Report, 47(Report #47), pp. 160-163.
VanDriel, L., Hammill, J.A., McCardle, A.G., Pogoda, M.K., Wismer, R.J., et Errampalli, D. (2009). « Assessment of AE-C656948 500 SC and AE-C656948 125 SC + AE-B100309 375 SC for control of pear scab on ‘Bartlett’ pears, 2008. », Pest Management Research Report, 47(Report #47), p. 160-163.
  Phylogenetic analysis o...  
Six hundred and thirty gene sequences from 21 different genomes in Triticeae tribe were obtained and subjected to phylogenetic analysis. The sequences showed high homology in both nucleotide sequences and length variation, and had a common conserved cysteine skeleton C-Xn-C-Xn-C-Xn-CC-Xn-C-X-C-Xn-C-Xn-C-Xn-C.
Nous avons procédé à l’analyse phylogénétique de 630 séquences géniques provenant de 21 génomes de la tribu des Triticées. Nous avons constaté beaucoup d’homologie sur le plan des séquences nucléotidiques et de la variation de la longueur des fragments, de même qu’un squelette protéique conservé à base de cystéine : C-Xn-C-Xn-C-Xn-CC-Xn-C-X-C-Xn-C-Xn-C-Xn-C. Les séquences du blé tendre formaient trois grappes, dont deux s’apparentaient aux séquences d’Aegilops tauschii et d’Aegilops speltoides, respectivement, et les séquences de la troisième grappe, un groupe complexe, présentaient des similarités avec les séquences d’ Ae. speltoides, d’Aegilops searsii et d’Aegilops bicornis. Les loci des inhibiteurs de l’α-amylase chez le blé polyploïde provenaient de différents génomes S d’Aegilops et résultaient d’introgressions lors d’hybridations interspécifiques. Aucune séquence du blé tendre n’était similaire à celles du blé einkorn (petit épeautre). Il semble donc que les nombreuses translocations ou inversions chromosomiques survenues dans les différents génomes des Triticées n’aient pas entraîné de changements radicaux dans la structure primaire des inhibiteurs de l’α-amylase constitués de dimères. Notre étude a permis de mieux comprendre les éléments influant sur l’évolution des génomes ainsi que les processus touchant les loci des dimères inhibiteurs de l’α-amylase et leur rôle dans les relations phylogénétiques dans la tribu des Triticées (Poaceae).
  Molecular and Cytogenet...  
The stem rust (Puccinia graminis Pers.:Pers. f.sp. tritici Eriks. and Henn.) resistance gene Sr39, which confers resistance to TTKSK (Ug99), has been incorporated into the wheat (Triticum aestivum L.) genome from Aegilops speltoides in the form of a chromosome translocation but it has not been deployed into adapted cultivars.
Le gène de résistance à la rouille des tiges (Puccinia graminis Pers.:Pers. f.sp. tritici Eriks. and Henn.) Sr39 d’Aegilops speltoides, qui confère la résistance à la race TTKSK (Ug99), a été introduit dans le génome du blé (Triticum aestivum L.) par translocation chromosomique. Le gène n’a cependant pas encore été déployé chez des cultivars adaptés. Dans la présente étude, nous avons eu recours à l’hybridation génomique in situ en fluorescence et à des marqueurs microsatellites pour caractériser les lignées de translocation portant le gène Sr39 chez quatre variétés de blé. Les résultats montrent que chez les lignées RL5711 et RL6082, les chromosomes dans lesquels la translocation a eu lieu ont une structure comparable. Chez la lignée PI 600683, nous avons constaté que le chromosome dans lequel la translocation a eu lieu a perdu la chromatine d’Ae. speltoides dans le télomère du bras long du chromosome 2S. Les chromosomes transloqués de six lignées de translocation issues du croisement PI 600683/3*HY438 avaient une structure comparable à celle du chromosome transloqué de la lignée PI 600683. Une lignée (P9714-AM03C51), cependant, présentait une réduction importante de chromatine d’Ae. speltoides dans le bras court du chromosome où avait eu lieu la translocation. Notre étude a montré qu’il est possible de réduire la quantité de chromatine d’Ae. speltoides chez certaines lignées de translocation blé-Ae. speltoides. Ces résultats, de concert avec la découverte de marqueurs microsatellites de diagnostic, contribueront aux efforts visant à raccourcir davantage les segments chromosomiques d’Ae. speltoides dans ces hybrides. L’inoculation expérimentale en serre de la rouille des tiges à des lignées de translocation a révélé que le gène Sr39 confère la résistance à au moins sept races du champignon de la rouille des tiges.
  Molecular and Cytogenet...  
The stem rust (Puccinia graminis Pers.:Pers. f.sp. tritici Eriks. and Henn.) resistance gene Sr39, which confers resistance to TTKSK (Ug99), has been incorporated into the wheat (Triticum aestivum L.) genome from Aegilops speltoides in the form of a chromosome translocation but it has not been deployed into adapted cultivars.
Le gène de résistance à la rouille des tiges (Puccinia graminis Pers.:Pers. f.sp. tritici Eriks. and Henn.) Sr39 d’Aegilops speltoides, qui confère la résistance à la race TTKSK (Ug99), a été introduit dans le génome du blé (Triticum aestivum L.) par translocation chromosomique. Le gène n’a cependant pas encore été déployé chez des cultivars adaptés. Dans la présente étude, nous avons eu recours à l’hybridation génomique in situ en fluorescence et à des marqueurs microsatellites pour caractériser les lignées de translocation portant le gène Sr39 chez quatre variétés de blé. Les résultats montrent que chez les lignées RL5711 et RL6082, les chromosomes dans lesquels la translocation a eu lieu ont une structure comparable. Chez la lignée PI 600683, nous avons constaté que le chromosome dans lequel la translocation a eu lieu a perdu la chromatine d’Ae. speltoides dans le télomère du bras long du chromosome 2S. Les chromosomes transloqués de six lignées de translocation issues du croisement PI 600683/3*HY438 avaient une structure comparable à celle du chromosome transloqué de la lignée PI 600683. Une lignée (P9714-AM03C51), cependant, présentait une réduction importante de chromatine d’Ae. speltoides dans le bras court du chromosome où avait eu lieu la translocation. Notre étude a montré qu’il est possible de réduire la quantité de chromatine d’Ae. speltoides chez certaines lignées de translocation blé-Ae. speltoides. Ces résultats, de concert avec la découverte de marqueurs microsatellites de diagnostic, contribueront aux efforts visant à raccourcir davantage les segments chromosomiques d’Ae. speltoides dans ces hybrides. L’inoculation expérimentale en serre de la rouille des tiges à des lignées de translocation a révélé que le gène Sr39 confère la résistance à au moins sept races du champignon de la rouille des tiges.
  Molecular and Cytogenet...  
The stem rust (Puccinia graminis Pers.:Pers. f.sp. tritici Eriks. and Henn.) resistance gene Sr39, which confers resistance to TTKSK (Ug99), has been incorporated into the wheat (Triticum aestivum L.) genome from Aegilops speltoides in the form of a chromosome translocation but it has not been deployed into adapted cultivars.
Le gène de résistance à la rouille des tiges (Puccinia graminis Pers.:Pers. f.sp. tritici Eriks. and Henn.) Sr39 d’Aegilops speltoides, qui confère la résistance à la race TTKSK (Ug99), a été introduit dans le génome du blé (Triticum aestivum L.) par translocation chromosomique. Le gène n’a cependant pas encore été déployé chez des cultivars adaptés. Dans la présente étude, nous avons eu recours à l’hybridation génomique in situ en fluorescence et à des marqueurs microsatellites pour caractériser les lignées de translocation portant le gène Sr39 chez quatre variétés de blé. Les résultats montrent que chez les lignées RL5711 et RL6082, les chromosomes dans lesquels la translocation a eu lieu ont une structure comparable. Chez la lignée PI 600683, nous avons constaté que le chromosome dans lequel la translocation a eu lieu a perdu la chromatine d’Ae. speltoides dans le télomère du bras long du chromosome 2S. Les chromosomes transloqués de six lignées de translocation issues du croisement PI 600683/3*HY438 avaient une structure comparable à celle du chromosome transloqué de la lignée PI 600683. Une lignée (P9714-AM03C51), cependant, présentait une réduction importante de chromatine d’Ae. speltoides dans le bras court du chromosome où avait eu lieu la translocation. Notre étude a montré qu’il est possible de réduire la quantité de chromatine d’Ae. speltoides chez certaines lignées de translocation blé-Ae. speltoides. Ces résultats, de concert avec la découverte de marqueurs microsatellites de diagnostic, contribueront aux efforts visant à raccourcir davantage les segments chromosomiques d’Ae. speltoides dans ces hybrides. L’inoculation expérimentale en serre de la rouille des tiges à des lignées de translocation a révélé que le gène Sr39 confère la résistance à au moins sept races du champignon de la rouille des tiges.
  Molecular and Cytogenet...  
The stem rust (Puccinia graminis Pers.:Pers. f.sp. tritici Eriks. and Henn.) resistance gene Sr39, which confers resistance to TTKSK (Ug99), has been incorporated into the wheat (Triticum aestivum L.) genome from Aegilops speltoides in the form of a chromosome translocation but it has not been deployed into adapted cultivars.
Le gène de résistance à la rouille des tiges (Puccinia graminis Pers.:Pers. f.sp. tritici Eriks. and Henn.) Sr39 d’Aegilops speltoides, qui confère la résistance à la race TTKSK (Ug99), a été introduit dans le génome du blé (Triticum aestivum L.) par translocation chromosomique. Le gène n’a cependant pas encore été déployé chez des cultivars adaptés. Dans la présente étude, nous avons eu recours à l’hybridation génomique in situ en fluorescence et à des marqueurs microsatellites pour caractériser les lignées de translocation portant le gène Sr39 chez quatre variétés de blé. Les résultats montrent que chez les lignées RL5711 et RL6082, les chromosomes dans lesquels la translocation a eu lieu ont une structure comparable. Chez la lignée PI 600683, nous avons constaté que le chromosome dans lequel la translocation a eu lieu a perdu la chromatine d’Ae. speltoides dans le télomère du bras long du chromosome 2S. Les chromosomes transloqués de six lignées de translocation issues du croisement PI 600683/3*HY438 avaient une structure comparable à celle du chromosome transloqué de la lignée PI 600683. Une lignée (P9714-AM03C51), cependant, présentait une réduction importante de chromatine d’Ae. speltoides dans le bras court du chromosome où avait eu lieu la translocation. Notre étude a montré qu’il est possible de réduire la quantité de chromatine d’Ae. speltoides chez certaines lignées de translocation blé-Ae. speltoides. Ces résultats, de concert avec la découverte de marqueurs microsatellites de diagnostic, contribueront aux efforts visant à raccourcir davantage les segments chromosomiques d’Ae. speltoides dans ces hybrides. L’inoculation expérimentale en serre de la rouille des tiges à des lignées de translocation a révélé que le gène Sr39 confère la résistance à au moins sept races du champignon de la rouille des tiges.
  Molecular and Cytogenet...  
The stem rust (Puccinia graminis Pers.:Pers. f.sp. tritici Eriks. and Henn.) resistance gene Sr39, which confers resistance to TTKSK (Ug99), has been incorporated into the wheat (Triticum aestivum L.) genome from Aegilops speltoides in the form of a chromosome translocation but it has not been deployed into adapted cultivars.
Le gène de résistance à la rouille des tiges (Puccinia graminis Pers.:Pers. f.sp. tritici Eriks. and Henn.) Sr39 d’Aegilops speltoides, qui confère la résistance à la race TTKSK (Ug99), a été introduit dans le génome du blé (Triticum aestivum L.) par translocation chromosomique. Le gène n’a cependant pas encore été déployé chez des cultivars adaptés. Dans la présente étude, nous avons eu recours à l’hybridation génomique in situ en fluorescence et à des marqueurs microsatellites pour caractériser les lignées de translocation portant le gène Sr39 chez quatre variétés de blé. Les résultats montrent que chez les lignées RL5711 et RL6082, les chromosomes dans lesquels la translocation a eu lieu ont une structure comparable. Chez la lignée PI 600683, nous avons constaté que le chromosome dans lequel la translocation a eu lieu a perdu la chromatine d’Ae. speltoides dans le télomère du bras long du chromosome 2S. Les chromosomes transloqués de six lignées de translocation issues du croisement PI 600683/3*HY438 avaient une structure comparable à celle du chromosome transloqué de la lignée PI 600683. Une lignée (P9714-AM03C51), cependant, présentait une réduction importante de chromatine d’Ae. speltoides dans le bras court du chromosome où avait eu lieu la translocation. Notre étude a montré qu’il est possible de réduire la quantité de chromatine d’Ae. speltoides chez certaines lignées de translocation blé-Ae. speltoides. Ces résultats, de concert avec la découverte de marqueurs microsatellites de diagnostic, contribueront aux efforts visant à raccourcir davantage les segments chromosomiques d’Ae. speltoides dans ces hybrides. L’inoculation expérimentale en serre de la rouille des tiges à des lignées de translocation a révélé que le gène Sr39 confère la résistance à au moins sept races du champignon de la rouille des tiges.
  Phylogenetic relationsh...  
Phylogenetic inferences of the polyploid Aegilops taxa were drawn based upon the analysis of 909 nuclear 5S rDNA sequences obtained from 15 Aegilops polyploid taxa (531 sequences new to this paper) and 378 sequences from our previous study on the diploid taxa.
Des inférences phylogénétiques au sein des taxons polyploïdes du genre Aegilops ont été tirées de l’analyse de 909 séquences nucléaires d’ADNr 5S obtenues auprès de 15 Aegilops polyploïdes dont 531 séquences résultent de ce travail et 378 séquences provenaient d’une étude antérieure de ces auteurs sur les taxons diploïdes. Les 531 séquences forment deux groupes orthologues (classes unitaires), à savoir les longues et les courtes unités AE1 identifiées précédemment au sein du jeu diploïde. Un examen des relations entre ces classes et les haplomes associés suggère que les séquences du haplome U présentes chez l’Ae. Umbellulata sont les plus proches des séquences T présentes chez l’Amblyopyrum muticum et que les séquences au sein des polyploïdes qu’on s’attendrait à être du type M qu’on retrouve chez l’Ae. Comos sont davantage semblables à celles des séquences du haplome T à l’exception de trois hexaploïdes (Ae. glumiaristata, Ae. Juvenalis et Ae. Vavilovii) et du tétraploïde Ae. Crassa où elles ressemblent aux séquences du haplome M. Ces trois taxons hexaploïdes sont vraisemblablement dérivés de l’Ae. Crassa tétraploïde (DM), tandis que le taxon le plus proche du quatrième hexaploïde, Ae. Recta, est l’Ae. Neglecta tétraploïde (UM). Sur la base de la distribution des classes unitaires, plusieurs phylogénies réticulées représentant les relations évolutives entre les taxons diploïdes, tétraploïdes et hexaploïdes ont été produites. Cependant, aucune de ces méthodes largement employées ne permettait de dépeindre les relations réticulées attendues sur la base des résultats d’analyses cytogénétiques au sein de ce groupe d’espèces allopolyploïdes. Ces résultats suggèrent que les relations évolutives dérivées de modèles fondés sur la base d’une bifurcation des espèces requièrent une interprétation prudente lorsque ces mêmes modèles sont employés chez des espèces qui présentent une évolution réticulée.
  Phylogenetic relationsh...  
Phylogenetic inferences of the polyploid Aegilops taxa were drawn based upon the analysis of 909 nuclear 5S rDNA sequences obtained from 15 Aegilops polyploid taxa (531 sequences new to this paper) and 378 sequences from our previous study on the diploid taxa.
Des inférences phylogénétiques au sein des taxons polyploïdes du genre Aegilops ont été tirées de l’analyse de 909 séquences nucléaires d’ADNr 5S obtenues auprès de 15 Aegilops polyploïdes dont 531 séquences résultent de ce travail et 378 séquences provenaient d’une étude antérieure de ces auteurs sur les taxons diploïdes. Les 531 séquences forment deux groupes orthologues (classes unitaires), à savoir les longues et les courtes unités AE1 identifiées précédemment au sein du jeu diploïde. Un examen des relations entre ces classes et les haplomes associés suggère que les séquences du haplome U présentes chez l’Ae. Umbellulata sont les plus proches des séquences T présentes chez l’Amblyopyrum muticum et que les séquences au sein des polyploïdes qu’on s’attendrait à être du type M qu’on retrouve chez l’Ae. Comos sont davantage semblables à celles des séquences du haplome T à l’exception de trois hexaploïdes (Ae. glumiaristata, Ae. Juvenalis et Ae. Vavilovii) et du tétraploïde Ae. Crassa où elles ressemblent aux séquences du haplome M. Ces trois taxons hexaploïdes sont vraisemblablement dérivés de l’Ae. Crassa tétraploïde (DM), tandis que le taxon le plus proche du quatrième hexaploïde, Ae. Recta, est l’Ae. Neglecta tétraploïde (UM). Sur la base de la distribution des classes unitaires, plusieurs phylogénies réticulées représentant les relations évolutives entre les taxons diploïdes, tétraploïdes et hexaploïdes ont été produites. Cependant, aucune de ces méthodes largement employées ne permettait de dépeindre les relations réticulées attendues sur la base des résultats d’analyses cytogénétiques au sein de ce groupe d’espèces allopolyploïdes. Ces résultats suggèrent que les relations évolutives dérivées de modèles fondés sur la base d’une bifurcation des espèces requièrent une interprétation prudente lorsque ces mêmes modèles sont employés chez des espèces qui présentent une évolution réticulée.
  Species abundance and s...  
Five species, Culiseta inornata (Williston), Aedes dorsalis (Meigen), Culex tarsalis (Coquillett), Aedes vexans (Meigen), and Aedes campestris Dyar & Knab accounted for 93.6% of the mosquitoes collected.
On a recueilli dix-sept espèces de moustiques à huit exploitations bovines dans le sud de l’Alberta, au Canada, entre 2002 et 2004. Cinq espèces, Culiseta inornata (Williston), Aedes dorsalis (Meigen), Culex tarsalis (Coquillett), Aedes vexans (Meigen) et Aedes campestris (Dyar et Knab) ont constitué 93,6 % des moustiques recueillis. Culiseta inornata, Ae. dorsalis et Ae. campestris étaient attrapés le plus tôt dans l’année. Cs. inornata était actif le plus tard et avait la période d’activité la plus longue. Ae. dorsalis cessait son activité fin septembre, se classant deuxième par la longueur de la période d’activité. Ae. campestris, premier à ne plus être actif, avait une période d’activité moyenne. Cu. tarsalis et Ae. vexans apparaissaient tard en saison et disparaissait fin septembre, montrant les plus courtes périodes d’activité. On a employé la régression logistique pour estimer les rapports entre le nombre de captures et l’abondance hebdomadaire moyenne de chaque espèce. Quand l’abondance moyenne se situait entre 0,19 et 0,30 femelle par nuit-piège, il y avait des captures dans 50 % des pièges. On a employé la régression logistique pour déterminer le moment du début de l’activité et les seuils de température pour l’envol. Les rapports entre le nombre de captures et la température hebdomadaire moyenne ont indiqué que le seuil de température était le plus bas pour Cs. inornata et le plus élevé pour Cx. tarsalis, et qu’il se situait entre les deux pour le reste des espèces. La régression logistique a montré que la présence des moustiques était surtout influencée par la température et les degrés-jours cumulés, seul Ae. vexans manifestant une réaction positive aux précipitations. Les modèles peuvent servir à prédire le début de l’activité en fonction de l’atteinte d’un seuil donné par les populations.
  Species abundance and s...  
Five species, Culiseta inornata (Williston), Aedes dorsalis (Meigen), Culex tarsalis (Coquillett), Aedes vexans (Meigen), and Aedes campestris Dyar & Knab accounted for 93.6% of the mosquitoes collected.
On a recueilli dix-sept espèces de moustiques à huit exploitations bovines dans le sud de l’Alberta, au Canada, entre 2002 et 2004. Cinq espèces, Culiseta inornata (Williston), Aedes dorsalis (Meigen), Culex tarsalis (Coquillett), Aedes vexans (Meigen) et Aedes campestris (Dyar et Knab) ont constitué 93,6 % des moustiques recueillis. Culiseta inornata, Ae. dorsalis et Ae. campestris étaient attrapés le plus tôt dans l’année. Cs. inornata était actif le plus tard et avait la période d’activité la plus longue. Ae. dorsalis cessait son activité fin septembre, se classant deuxième par la longueur de la période d’activité. Ae. campestris, premier à ne plus être actif, avait une période d’activité moyenne. Cu. tarsalis et Ae. vexans apparaissaient tard en saison et disparaissait fin septembre, montrant les plus courtes périodes d’activité. On a employé la régression logistique pour estimer les rapports entre le nombre de captures et l’abondance hebdomadaire moyenne de chaque espèce. Quand l’abondance moyenne se situait entre 0,19 et 0,30 femelle par nuit-piège, il y avait des captures dans 50 % des pièges. On a employé la régression logistique pour déterminer le moment du début de l’activité et les seuils de température pour l’envol. Les rapports entre le nombre de captures et la température hebdomadaire moyenne ont indiqué que le seuil de température était le plus bas pour Cs. inornata et le plus élevé pour Cx. tarsalis, et qu’il se situait entre les deux pour le reste des espèces. La régression logistique a montré que la présence des moustiques était surtout influencée par la température et les degrés-jours cumulés, seul Ae. vexans manifestant une réaction positive aux précipitations. Les modèles peuvent servir à prédire le début de l’activité en fonction de l’atteinte d’un seuil donné par les populations.
  Species abundance and s...  
Five species, Culiseta inornata (Williston), Aedes dorsalis (Meigen), Culex tarsalis (Coquillett), Aedes vexans (Meigen), and Aedes campestris Dyar & Knab accounted for 93.6% of the mosquitoes collected.
On a recueilli dix-sept espèces de moustiques à huit exploitations bovines dans le sud de l’Alberta, au Canada, entre 2002 et 2004. Cinq espèces, Culiseta inornata (Williston), Aedes dorsalis (Meigen), Culex tarsalis (Coquillett), Aedes vexans (Meigen) et Aedes campestris (Dyar et Knab) ont constitué 93,6 % des moustiques recueillis. Culiseta inornata, Ae. dorsalis et Ae. campestris étaient attrapés le plus tôt dans l’année. Cs. inornata était actif le plus tard et avait la période d’activité la plus longue. Ae. dorsalis cessait son activité fin septembre, se classant deuxième par la longueur de la période d’activité. Ae. campestris, premier à ne plus être actif, avait une période d’activité moyenne. Cu. tarsalis et Ae. vexans apparaissaient tard en saison et disparaissait fin septembre, montrant les plus courtes périodes d’activité. On a employé la régression logistique pour estimer les rapports entre le nombre de captures et l’abondance hebdomadaire moyenne de chaque espèce. Quand l’abondance moyenne se situait entre 0,19 et 0,30 femelle par nuit-piège, il y avait des captures dans 50 % des pièges. On a employé la régression logistique pour déterminer le moment du début de l’activité et les seuils de température pour l’envol. Les rapports entre le nombre de captures et la température hebdomadaire moyenne ont indiqué que le seuil de température était le plus bas pour Cs. inornata et le plus élevé pour Cx. tarsalis, et qu’il se situait entre les deux pour le reste des espèces. La régression logistique a montré que la présence des moustiques était surtout influencée par la température et les degrés-jours cumulés, seul Ae. vexans manifestant une réaction positive aux précipitations. Les modèles peuvent servir à prédire le début de l’activité en fonction de l’atteinte d’un seuil donné par les populations.
  Attempts to remove game...  
Rust resistance genes (introgressions S24 and S13) transferred to hexaploid wheat from two Aegilops speltoides accessions could not be used commercially due to associated gametocidal (Gc) genes. Crosses to wheat followed by rigorous selection for increased fertility were employed in an attempt to separate the unmapped S24 stem rust resistance from the Gc gene(s).
Les gènes de résistance à la rouille (introgressions S24 et S13) transférés au blé hexaploïde à partir de deux spécimens d’Aegilops speltoides ne pouvaient pas être utilisés à l’échelle commerciale, à cause des gènes gamétocides (Gc) qui leur sont associés. Nous avons employé des croisements avec le blé suivis d’une sélection rigoureuse favorisant une fertilité accrue, dans l’espoir de séparer du ou des gènes Gc la résistance à la rouille des tiges non cartographiée associée à l’introgression S24. Cependant, nous n’avons pas réussi à conserver dans les générations suivantes la fertilité améliorée des meilleures sélections. Comme la cartographie a révélé que l’introgression S13 (résistance à la rouille des feuilles, à la rouille jaune et à la rouille des tiges) se situe sur le chromosome 3A, nous avons employé une induction d’appariement allosyndétique pour essayer d’éliminer le ou les gènes Gc. Nous avons ainsi obtenu des sujets à fertilité et à port améliorés qui semblaient être des recombinants primaires, dont les meilleurs avaient échangé une petite région de la chromatine de l’A. speltoides tout en demeurant associés, mais dans une moindre mesure, à des effets imputables aux gènes Gc. Nous avons ensuite croisé avec le blé la sélection retenue, 04M127-3, qui semblait posséder le suppresseur Su1-Ph1. À notre grande surprise, l’effet gamétocide de 04M127-3 différait énormément de celui de l’introgression originale, ce qui a permis la récupération de 35 descendants recombinants résistants à la rouille des feuilles. Des marqueurs microsatellitaires et DArT ont révélé que chaque recombinant secondaire avait échangé la plus grande partie de la chromatine provenant de l’A. speltoides. Selon les données obtenues, la réaction gamétocide était peut-être régie par une interaction multigénique complexe, mais certaines observations préliminaires semblent indiquer que l’effet du ou des gènes Gc a été en grande partie éliminé. Il semble donc maintenant possible de séparer complètement les gènes gamétocides du gène de résistance à la rouille des feuilles (désormais appelé Lr66) associé à l’introgression S13. Cependant, les gènes de résistance à la rouille jaune et de résistance à la rouille des feuilles également associés à cette introgression ont été perdus au cours de la recombinaison.
  Analysis of intraspecie...  
A large number of wheat and barley varieties have evolved in agricultural ecosystems since domestication. Because of the large, repetitive genomes of these Triticeae crops, sequence information is limited and molecular differences between modern varieties are poorly understood.
Un grand nombre de variétés de blé et d’orge ont évolué dans les écosystèmes agricoles depuis la domestication. Les gros génomes répétitifs de ces cultures de Triticeae font que les données sur leurs séquences sont limitées et que les différences moléculaires entre les variétés modernes sont peu connues. Pour étudier la diversité génomique à l’intérieur d’une espèce, nous avons comparé de grandes séquences génomiques au locus Lr34 des variétés de blé Chinese Spring, Renan et Glenlea et du blé diploïde Aegilops tauschii. En outre, nous avons comparé les locus Vrs1 et Rym4 des variétés d’orge Morex, Cebada Capa et Haruna Nijo. La datation moléculaire a montré que les haplotypes du génome D du blé n’ont divergé qu’il y a quelques milliers d’années, alors que les haplotypes de certaines orges et de Ae. tauschii ont divergé il y a plus de 500 000 ans. Ces données indiquent qu’il y a eu flux génique à partir d’orges sauvages apparentées après la domestication, mais que ce phénomène a été rare ou inexistant dans le génome D du blé hexaploïde. Dans certains segments, les haplotypes comparés étaient très semblables, mais dans le cas de deux variétés aux deux locus Rym4 et Lr34, il y avait un point d’interruption séparant un segment hautement conservé d’un segment moins conservé. Nous avons interprété ces données comme provenant d’un point de recombinaison de deux anciens haplotypes, ce qui indiquerait que les génomes des Triticeae sont une mosaïque hétérogène et variable de fragments d’haplotypes. Une analyse des insertions et délétions a montré que les événements importants causés par l’insertion d’éléments transposables, des recombinaisons illégitimes ou des enjambements inégaux ont été relativement rares. La plupart des insertions/délétions ont été peu importantes et causées par un glissement de la matrice de courts homopolymères mesurant seulement quelques paires de base. Ces polymorphismes fréquents pourraient être exploités pour la mise au point de marqueurs moléculaires à l’avenir.
  Attempts to remove game...  
Rust resistance genes (introgressions S24 and S13) transferred to hexaploid wheat from two Aegilops speltoides accessions could not be used commercially due to associated gametocidal (Gc) genes. Crosses to wheat followed by rigorous selection for increased fertility were employed in an attempt to separate the unmapped S24 stem rust resistance from the Gc gene(s).
Les gènes de résistance à la rouille (introgressions S24 et S13) transférés au blé hexaploïde à partir de deux spécimens d’Aegilops speltoides ne pouvaient pas être utilisés à l’échelle commerciale, à cause des gènes gamétocides (Gc) qui leur sont associés. Nous avons employé des croisements avec le blé suivis d’une sélection rigoureuse favorisant une fertilité accrue, dans l’espoir de séparer du ou des gènes Gc la résistance à la rouille des tiges non cartographiée associée à l’introgression S24. Cependant, nous n’avons pas réussi à conserver dans les générations suivantes la fertilité améliorée des meilleures sélections. Comme la cartographie a révélé que l’introgression S13 (résistance à la rouille des feuilles, à la rouille jaune et à la rouille des tiges) se situe sur le chromosome 3A, nous avons employé une induction d’appariement allosyndétique pour essayer d’éliminer le ou les gènes Gc. Nous avons ainsi obtenu des sujets à fertilité et à port améliorés qui semblaient être des recombinants primaires, dont les meilleurs avaient échangé une petite région de la chromatine de l’A. speltoides tout en demeurant associés, mais dans une moindre mesure, à des effets imputables aux gènes Gc. Nous avons ensuite croisé avec le blé la sélection retenue, 04M127-3, qui semblait posséder le suppresseur Su1-Ph1. À notre grande surprise, l’effet gamétocide de 04M127-3 différait énormément de celui de l’introgression originale, ce qui a permis la récupération de 35 descendants recombinants résistants à la rouille des feuilles. Des marqueurs microsatellitaires et DArT ont révélé que chaque recombinant secondaire avait échangé la plus grande partie de la chromatine provenant de l’A. speltoides. Selon les données obtenues, la réaction gamétocide était peut-être régie par une interaction multigénique complexe, mais certaines observations préliminaires semblent indiquer que l’effet du ou des gènes Gc a été en grande partie éliminé. Il semble donc maintenant possible de séparer complètement les gènes gamétocides du gène de résistance à la rouille des feuilles (désormais appelé Lr66) associé à l’introgression S13. Cependant, les gènes de résistance à la rouille jaune et de résistance à la rouille des feuilles également associés à cette introgression ont été perdus au cours de la recombinaison.
  Phylogenetic relationsh...  
Relationships among the currently recognized 11 diploid species within the genus Aegilops have been investigated. Sequence similarity analysis, based upon 363 sequenced 5S rDNA clones from 44 accessions plus 15 sequences retrieved from GenBank, depicted two unit classes labeled the long AE1 and short AE1.
Nous avons étudié les relations entre les 11 espèces diploïdes actuellement reconnues chez le genre Aegilops. Une analyse de la similitude des séquences, fondée sur 363 séquences de clones d’ADNr 5S provenant de 44 obtentions plus 15 séquences provenant de la GenBank, a permis de représenter deux classes unitaires appelées « longue AE1 » et « courte AE1 ». Nous avons appliqué plusieurs méthodes d’analyse différentes pour déduire des relations à l’intérieur de chacun des haplomes, entre les divers haplomes et entre les espèces, don’t les analyses par maximum de parcimonie et maximum de vraisemblance des séquences consensus, l’analyse phylogénétique par « preuve totale » et l’analyse par « représentation matricielle avec parcimonie ». Aucune de ces méthodes n’a pu représenter des séries de marqueurs ou de classes unitaires pouvant distinguer les sept haplomes comme c’est le cas pour les haplomes établis dans d’autres genres appartenant à la tribu des Triticeae; toutefois, la plupart des espèces pouvaient être séparées sur les arbres phylogénétiques. Ces résultats indiquent que les haplomes reconnus actuellement sont si proches qu’ils pourraient être associés à des sous haplomes ou à des variants d’haplome. Le genre Amblyopyrum partage les classes unitaires d’ADNr 5S observées chez les espèces diploïdes d’Aegilops, ce qui indique qu’il en fait partie. Une comparaison des séquences d’Aegilops et de celles de Triticum a montré que la classe unitaire longue AE1 de Ae. Tauschii partage le clade de la classe unitaire longue D1 équivalente, c. à d. le donneur d’haplome D présumé, mais il n’en est pas de même de la classe unitaire courte A1. Les classes unitaires longues AE1 (mais non les courtes) chez Ae. Speltoides et Ae. Searsii partagent le même clade avec les classes unitaires longue [S1 et longue G1 précédemment identifiées, ce qui signifie que les deux espèces d’Aegilops peuvent également être considérées comme des donneurs d’haplome B présumés pour les espèces tétraploïdes de Triticum. Nous discutons de la nature semi conservée de la séquence d’espacement non transcrite chez Aegilops et Triticeae en général en posant l’hypothèse qu’elle pourrait provenir d’une conversion génique incomplète, d’une conversion génique biaisée, ou encore d’une évolution due à un processus de naissance et de mort.
  Phylogenetic relationsh...  
Relationships among the currently recognized 11 diploid species within the genus Aegilops have been investigated. Sequence similarity analysis, based upon 363 sequenced 5S rDNA clones from 44 accessions plus 15 sequences retrieved from GenBank, depicted two unit classes labeled the long AE1 and short AE1.
Nous avons étudié les relations entre les 11 espèces diploïdes actuellement reconnues chez le genre Aegilops. Une analyse de la similitude des séquences, fondée sur 363 séquences de clones d’ADNr 5S provenant de 44 obtentions plus 15 séquences provenant de la GenBank, a permis de représenter deux classes unitaires appelées « longue AE1 » et « courte AE1 ». Nous avons appliqué plusieurs méthodes d’analyse différentes pour déduire des relations à l’intérieur de chacun des haplomes, entre les divers haplomes et entre les espèces, don’t les analyses par maximum de parcimonie et maximum de vraisemblance des séquences consensus, l’analyse phylogénétique par « preuve totale » et l’analyse par « représentation matricielle avec parcimonie ». Aucune de ces méthodes n’a pu représenter des séries de marqueurs ou de classes unitaires pouvant distinguer les sept haplomes comme c’est le cas pour les haplomes établis dans d’autres genres appartenant à la tribu des Triticeae; toutefois, la plupart des espèces pouvaient être séparées sur les arbres phylogénétiques. Ces résultats indiquent que les haplomes reconnus actuellement sont si proches qu’ils pourraient être associés à des sous haplomes ou à des variants d’haplome. Le genre Amblyopyrum partage les classes unitaires d’ADNr 5S observées chez les espèces diploïdes d’Aegilops, ce qui indique qu’il en fait partie. Une comparaison des séquences d’Aegilops et de celles de Triticum a montré que la classe unitaire longue AE1 de Ae. Tauschii partage le clade de la classe unitaire longue D1 équivalente, c. à d. le donneur d’haplome D présumé, mais il n’en est pas de même de la classe unitaire courte A1. Les classes unitaires longues AE1 (mais non les courtes) chez Ae. Speltoides et Ae. Searsii partagent le même clade avec les classes unitaires longue [S1 et longue G1 précédemment identifiées, ce qui signifie que les deux espèces d’Aegilops peuvent également être considérées comme des donneurs d’haplome B présumés pour les espèces tétraploïdes de Triticum. Nous discutons de la nature semi conservée de la séquence d’espacement non transcrite chez Aegilops et Triticeae en général en posant l’hypothèse qu’elle pourrait provenir d’une conversion génique incomplète, d’une conversion génique biaisée, ou encore d’une évolution due à un processus de naissance et de mort.
  Phylogenetic relationsh...  
Relationships among the currently recognized 11 diploid species within the genus Aegilops have been investigated. Sequence similarity analysis, based upon 363 sequenced 5S rDNA clones from 44 accessions plus 15 sequences retrieved from GenBank, depicted two unit classes labeled the long AE1 and short AE1.
Nous avons étudié les relations entre les 11 espèces diploïdes actuellement reconnues chez le genre Aegilops. Une analyse de la similitude des séquences, fondée sur 363 séquences de clones d’ADNr 5S provenant de 44 obtentions plus 15 séquences provenant de la GenBank, a permis de représenter deux classes unitaires appelées « longue AE1 » et « courte AE1 ». Nous avons appliqué plusieurs méthodes d’analyse différentes pour déduire des relations à l’intérieur de chacun des haplomes, entre les divers haplomes et entre les espèces, don’t les analyses par maximum de parcimonie et maximum de vraisemblance des séquences consensus, l’analyse phylogénétique par « preuve totale » et l’analyse par « représentation matricielle avec parcimonie ». Aucune de ces méthodes n’a pu représenter des séries de marqueurs ou de classes unitaires pouvant distinguer les sept haplomes comme c’est le cas pour les haplomes établis dans d’autres genres appartenant à la tribu des Triticeae; toutefois, la plupart des espèces pouvaient être séparées sur les arbres phylogénétiques. Ces résultats indiquent que les haplomes reconnus actuellement sont si proches qu’ils pourraient être associés à des sous haplomes ou à des variants d’haplome. Le genre Amblyopyrum partage les classes unitaires d’ADNr 5S observées chez les espèces diploïdes d’Aegilops, ce qui indique qu’il en fait partie. Une comparaison des séquences d’Aegilops et de celles de Triticum a montré que la classe unitaire longue AE1 de Ae. Tauschii partage le clade de la classe unitaire longue D1 équivalente, c. à d. le donneur d’haplome D présumé, mais il n’en est pas de même de la classe unitaire courte A1. Les classes unitaires longues AE1 (mais non les courtes) chez Ae. Speltoides et Ae. Searsii partagent le même clade avec les classes unitaires longue [S1 et longue G1 précédemment identifiées, ce qui signifie que les deux espèces d’Aegilops peuvent également être considérées comme des donneurs d’haplome B présumés pour les espèces tétraploïdes de Triticum. Nous discutons de la nature semi conservée de la séquence d’espacement non transcrite chez Aegilops et Triticeae en général en posant l’hypothèse qu’elle pourrait provenir d’une conversion génique incomplète, d’une conversion génique biaisée, ou encore d’une évolution due à un processus de naissance et de mort.
  Phosphorus efficiency i...  
Long-term (over 14 years) experiments on winter wheat (Triticum aestivum L.)-rice (Oryza sativa L.) crop rotations were conducted in Southwest China to investigate phosphorus (P) fertilizer utilization efficiency, including the partial factor productivity (PFP), agronomic efficiency (AE), internal efficiency (IE), partial P balance (PPB), recovery efficiency (RE) and the mass (input-output) balance.
Des études à long terme (14 ans) sur les rotations des cultures de blé d’hiver (Triticum aestivum L.) et de riz (Oryza sativa L.) ont été menées dans le sud‑ouest de la Chine afin d’examiner l’efficacité d’utilisation d’engrais à base de phosphore (P), ainsi que la productivité partielle des facteurs (PPF), l’efficacité agronomique (EA), l’efficacité interne (EI), le bilan partiel de P (BPP), l’efficacité de récupération (ER) et le bilan massique (intrant-extrant). Les sept produits étudiés, Control, N, NP, NK, NPK, NPKM et NPKSt, représentaient diverses combinaisons d’engrais inorganiques (N, P et K), de fumier (M) et l’utilisation de paille de riz (St). Sans épandage de P, le sol pourrait fournir environ 14,7 à 22,5 kg de P/ha par année et produire en moyenne environ 1,8 t/ha de blé et 6,0 t/ha de riz. L’apport de phosphore a accru de 65,5 % le rendement des cultures de blé et de 11,4 % celui des cultures de riz, au cours de la période de 14 ans. Les valeurs de la PPF allaient de 80,2 à 177 kg de grains/kg de P utilisé pour le blé et de 222 à 255 kg de grains/kg de P pour le riz dans le traitement avec le NPK. Toutefois, l’EA moyenne au cours de cette période affichait une valeur de 31,9 et de 21,3 kg de grains/kg de P inorganique pour le blé et le riz, respectivement. L’EI atteignait 214 et 318 kg de grains/kg de P utilisé pour le blé et le riz, respectivement, pendant la période de travail du sol. Le BPP pour l’ensemble des cultures de rotation au cours des 14 années se situait entre 0,8 et 0,64 alors que l’ER moyenne du P était de 0,26 (variant de 0,22 à 0,29) pour les systèmes de culture blé-riz pendant cette période. Pour chaque 100 kg de plus de P/ha par année, la concentration de P prélevée par le sol par 0,5 M NaHCO3 à pH 8,5 (Olsen-P) augmenterait en moyenne de 4,12 mg/kg dans le sol. Pour le système de culture blé-riz, le taux d’application actuel de phosphore, qui est de 55 à 65 kg de P/ha par année, permet de soutenir des rendements annuels d’environ 3 t/ha pour le blé et de 7 t/ha pour le riz. La présente étude laisse entendre que les recommandations en matière d’utilisation de P dans les systèmes de culture blé-riz pour en accroître le rendement devraient tenir compte de l’efficacité d’utilisation des engrais à base de phosphore.
  Phosphorus efficiency i...  
Long-term (over 14 years) experiments on winter wheat (Triticum aestivum L.)-rice (Oryza sativa L.) crop rotations were conducted in Southwest China to investigate phosphorus (P) fertilizer utilization efficiency, including the partial factor productivity (PFP), agronomic efficiency (AE), internal efficiency (IE), partial P balance (PPB), recovery efficiency (RE) and the mass (input-output) balance.
Des études à long terme (14 ans) sur les rotations des cultures de blé d’hiver (Triticum aestivum L.) et de riz (Oryza sativa L.) ont été menées dans le sud‑ouest de la Chine afin d’examiner l’efficacité d’utilisation d’engrais à base de phosphore (P), ainsi que la productivité partielle des facteurs (PPF), l’efficacité agronomique (EA), l’efficacité interne (EI), le bilan partiel de P (BPP), l’efficacité de récupération (ER) et le bilan massique (intrant-extrant). Les sept produits étudiés, Control, N, NP, NK, NPK, NPKM et NPKSt, représentaient diverses combinaisons d’engrais inorganiques (N, P et K), de fumier (M) et l’utilisation de paille de riz (St). Sans épandage de P, le sol pourrait fournir environ 14,7 à 22,5 kg de P/ha par année et produire en moyenne environ 1,8 t/ha de blé et 6,0 t/ha de riz. L’apport de phosphore a accru de 65,5 % le rendement des cultures de blé et de 11,4 % celui des cultures de riz, au cours de la période de 14 ans. Les valeurs de la PPF allaient de 80,2 à 177 kg de grains/kg de P utilisé pour le blé et de 222 à 255 kg de grains/kg de P pour le riz dans le traitement avec le NPK. Toutefois, l’EA moyenne au cours de cette période affichait une valeur de 31,9 et de 21,3 kg de grains/kg de P inorganique pour le blé et le riz, respectivement. L’EI atteignait 214 et 318 kg de grains/kg de P utilisé pour le blé et le riz, respectivement, pendant la période de travail du sol. Le BPP pour l’ensemble des cultures de rotation au cours des 14 années se situait entre 0,8 et 0,64 alors que l’ER moyenne du P était de 0,26 (variant de 0,22 à 0,29) pour les systèmes de culture blé-riz pendant cette période. Pour chaque 100 kg de plus de P/ha par année, la concentration de P prélevée par le sol par 0,5 M NaHCO3 à pH 8,5 (Olsen-P) augmenterait en moyenne de 4,12 mg/kg dans le sol. Pour le système de culture blé-riz, le taux d’application actuel de phosphore, qui est de 55 à 65 kg de P/ha par année, permet de soutenir des rendements annuels d’environ 3 t/ha pour le blé et de 7 t/ha pour le riz. La présente étude laisse entendre que les recommandations en matière d’utilisation de P dans les systèmes de culture blé-riz pour en accroître le rendement devraient tenir compte de l’efficacité d’utilisation des engrais à base de phosphore.
  The γ-gliadin multigene...  
Sequence polymorphism and linkage disequilibrium analyses show that γ-gliadins are highly diverse. Phylogenic analyses indicate that there is no obvious discrimination between Sitopsis and Ae. tauschii at the Gli-1 loci, compared with diploid wheat.
Contexte : Les propriétés uniques de la farine de blé reposent principalement sur le gluten, une source importante de protéines pour les humains. Les γ gliadines sont considérées comme les protéines les plus anciennes de la famille du gluten de blé. La structure complexe des γ gliadines complique la détermination de leur fonction. En outre, les γ gliadines renferment plusieurs ensembles d’épitopes associés à la maladie cœliaque. Toutefois, aucune recherche systématique n’a encore été consacrée à ce sujet. Résultats : Nous avons isolé 170 gènes des γ gliadines du blé et des espèces qui lui sont étroitement apparentées, dont 138 séquences seraient fonctionnelles. La longueur de ces séquences est comprise entre 678 et 1089 pb, et la région répétitive est principalement responsable de cette hétérogénéité des γ gliadines sur le plan de la taille. Le motif P(Q/L/S/T/I/V/R/A)F(S/Y/V/Q/I/C/L)P(R/L/S/T/H/C/Y)Q1₋2(P(S/L/T/A/F/H)QQ)1₋2 se répète de 7 à 22 fois. Les analyse du polymorphisme de séquence et du déséquilibre de liaison montrent que les γ gliadines sont très diversifiées. Les analyses phylogénétiques indiquent que, contrairement au blé diploïde, il n’y a pas de discrimination évidente entre Sitopsis et Ae. Tauschii aux locus du gène Gli-1. Selon le nombre et l’emplacement des résidus cystéine, nous avons défini neuf motifs contenant des résidus cystéine et 17 sous groupes. Nous avons également classé les γ gliadines en deux types en fonction de la longueur du domaine répétitif. Les analyses de la composition en acides aminés indiquent que les γ gliadines contiennent une large gamme d’acides aminés essentiels et que les γ gliadines des sous groupes SG 10 et SG 12 et celles comportant un domaine répétitif court sont meilleures sur le plan nutritionnel. Un criblage des épitopes toxiques montre que les γ gliadines à motif C9 et celles comportant un court domaine répétitif sont pratiquement exemptes d’épitopes. Conclusion : Les γ gliadines du blé et des espèces d’Aegilops étroitement apparentées comportent des séquences diverses. Chaque groupe ou sous groupe contribue différemment à la valeur nutritionnelle et à la teneur en épitopes. Nous proposons que les gènes dont le domaine répétitif est court sont plus utiles et meilleurs sur le plan nutritionnel. Par conséquent, il est possible de sélectionner des variétés de blé contenant des γ gliadines moins toxiques, voire non toxiques, et plus nutritives.
  Allelic variants of the...  
amylose extender (ae−) starches characteristically have modified starch granule morphology resulting from amylopectin with reduced branch frequency and longer glucan chains in clusters, caused by the loss of activity of the major starch branching enzyme (SBE), which in maize endosperm is SBEIIb.
La morphologie des granules des amidons riches en amylose (ae−, pour amylose extender ) est typiquement différente, en raison de la fréquence de ramification moindre de ses molécules d’amylopectine et de la longueur accrue des chaînes de glucanes des amas, résultant de la perte d’activité de la principale enzyme de ramification de l’amidon, SBE (starch branching enzyme), qui dans l’albumen du maïs, est la SBEIIb. Une étude récente faite avec du maïs ae− chez lequel la protéine SBEIIb est absente (mutant désigné ae1.1) a révélé que de nouvelles interactions protéiques entre les enzymes de la voie de biosynthèse de l’amidon dans l’amyloplaste pourraient expliquer le phénotype du mutant ae1.1. Dans la présente étude, nous avons examiné un variant allélique de la mutation ae−, le mutant ae1.2, qui exprime une forme catalytique inactive de l’enzyme SBEIIb. Par rapport à l’enzyme active, il manque 28 acides aminés (Val272–Pro299) à l’enzyme du mutant ae1.2, qui est incapable de se lier à l’amylopectine. L’analyse de l’amidon du mutant ae1.2 révèle que les granules ont une morphologie différente et que leurs caractéristiques physico-chimiques sont également différentes de celles du mutant ae1.1 et du type sauvage, tout comme la teneur apparente en amylose et les propriétés de gélatinisation. Dans l’amidon du mutantae1.2, il y avait moins de chaînes de glucanes de longueur moyenne (degré de polymérisation 16–20) que dans l’amidon du mutant ae1.1. L’analyse biochimique de l’amidonae1.2 a montré des différences dans l’organisation et l’assemblage des complexes protéiques des enzymes de biosynthèse de l’amidon comparativement aux amyloplastes du mutantae1.1 et du type sauvage. Nous avons également constaté des différences dans la composition des protéines associées aux granules d’amidon. Chez le type sauvage et le mutant ae1.2, la formation des complexes protéiques dans le stroma était fortement accrue par l’ATP, et les complexes étaient facilement décomposés par un traitement à la phosphatase, indiquant qu’il y a, au cours de leur assemblage, une phosphorylation des protéines. Des expériences avec de l’ATP marqué ([γ‑32P]ATP) ont montré que la forme inactive de la SBEIIb chez ae1.2 était phosphorylée, et ce, tant pour ce qui est de la forme monomère que pour celle associée aux isoformes de l’amidon synthétase. Même si la SBEIIb inactive ne pouvait pas se lier directement à l’amidon, elle était fortement associée aux granules d’amidon, renforçant la conclusion selon
  Glyphosate- and acetola...  
In fall 2011, we surveyed 46 fields within a 20-km radius of the three chem-fallow fields for GR kochia. In the greenhouse, populations were screened with glyphosate at 900 g ae ha-1. Seven populations were confirmed as GR, the farthest site located about 13 km from the three originally confirmed populations.
Durant l’été 2011, nous avons étudié des populations de kochia à balais soupçonnées d’être résistantes au glyphosate dans trois champs de jachère chimique situés dans le sud de l’Alberta (désignés F1, F2 et F3 et appartenant à des producteurs différents). Dans le cadre de la présente étude, nous avons caractérisé la résistance au glyphosate (RG) de ces populations en nous fondant sur les résultats d’essais de réaction à la dose. Dans le cadre d’une expérience réalisée en serre, les trois populations ont présenté un facteur de résistance de 4 à 6 quant à l’effet du glyphosate sur la biomasse de pousses (rapport RG50) et un facteur de 5 à 7 quant à l’effet du glyphosate sur le taux de survie (rapport DL50). Nous avons obtenu des résultats similaires dans le cadre d’essais de réaction à la dose réalisés au champ à Lethbridge, en Alberta, au printemps 2012, avec la population de kochia du champ F2. À l’automne 2011, nous avons visité 46 champs situés dans un rayon de 20 km des trois champs de jachère chimique, à la recherche de sujets résistants au glyphosate. En serre, nous avons soumis les populations à un criblage au moyen de glyphosate, à raison de 900 g ea ha-1. Sept populations se sont révélées résistantes au glyphosate, dont la plus éloignée se trouvait à environ 13 km des trois populations dont la résistance avait été confirmée antérieurement; nous avons plus tard trouvé une autre population résistante, située à plus de 100 km de ces populations. En outre, nous avons évalué les populations en serre quant à leur résistance aux inhibiteurs de l’acétolactate synthase (ALS) (thifensulfuron  et  tribénuron) et au dicamba, et nous avons effectué une caractérisation moléculaire de la résistance des populations F1, F2 et F3 aux inhibiteurs de l’ALS. Toutes les populations résistantes au glyphosate étaient résistantes à l’herbicide inhibiteur de l’ALS, mais sensibles au dicamba. La résistance aux inhibiteurs de l’ALS est conférée au kochia par une substitution d’acide aminé en Pro197, Asp376 ou Trp574. Pour évaluer le risque de sélection des mauvaises herbes résistantes au glyphosate, nous avons utilisé un modèle empirique simple comportant un paramètre pour la pression sélective, fondé sur l’abondance relative des mauvaises herbes et l’efficacité du glyphosate, et un paramètre pour la longévité du réservoir de semences; nous avons ainsi constaté que, dans les Prairies canadiennes, le kochia à balais, la folle avoine et la sétaire verte étaient, dans cet ordre
  Species abundance and s...  
Five species, Culiseta inornata (Williston), Aedes dorsalis (Meigen), Culex tarsalis (Coquillett), Aedes vexans (Meigen), and Aedes campestris Dyar & Knab accounted for 93.6% of the mosquitoes collected.
On a recueilli dix-sept espèces de moustiques à huit exploitations bovines dans le sud de l’Alberta, au Canada, entre 2002 et 2004. Cinq espèces, Culiseta inornata (Williston), Aedes dorsalis (Meigen), Culex tarsalis (Coquillett), Aedes vexans (Meigen) et Aedes campestris (Dyar et Knab) ont constitué 93,6 % des moustiques recueillis. Culiseta inornata, Ae. dorsalis et Ae. campestris étaient attrapés le plus tôt dans l’année. Cs. inornata était actif le plus tard et avait la période d’activité la plus longue. Ae. dorsalis cessait son activité fin septembre, se classant deuxième par la longueur de la période d’activité. Ae. campestris, premier à ne plus être actif, avait une période d’activité moyenne. Cu. tarsalis et Ae. vexans apparaissaient tard en saison et disparaissait fin septembre, montrant les plus courtes périodes d’activité. On a employé la régression logistique pour estimer les rapports entre le nombre de captures et l’abondance hebdomadaire moyenne de chaque espèce. Quand l’abondance moyenne se situait entre 0,19 et 0,30 femelle par nuit-piège, il y avait des captures dans 50 % des pièges. On a employé la régression logistique pour déterminer le moment du début de l’activité et les seuils de température pour l’envol. Les rapports entre le nombre de captures et la température hebdomadaire moyenne ont indiqué que le seuil de température était le plus bas pour Cs. inornata et le plus élevé pour Cx. tarsalis, et qu’il se situait entre les deux pour le reste des espèces. La régression logistique a montré que la présence des moustiques était surtout influencée par la température et les degrés-jours cumulés, seul Ae. vexans manifestant une réaction positive aux précipitations. Les modèles peuvent servir à prédire le début de l’activité en fonction de l’atteinte d’un seuil donné par les populations.
  Species abundance and s...  
Five species, Culiseta inornata (Williston), Aedes dorsalis (Meigen), Culex tarsalis (Coquillett), Aedes vexans (Meigen), and Aedes campestris Dyar & Knab accounted for 93.6% of the mosquitoes collected.
On a recueilli dix-sept espèces de moustiques à huit exploitations bovines dans le sud de l’Alberta, au Canada, entre 2002 et 2004. Cinq espèces, Culiseta inornata (Williston), Aedes dorsalis (Meigen), Culex tarsalis (Coquillett), Aedes vexans (Meigen) et Aedes campestris (Dyar et Knab) ont constitué 93,6 % des moustiques recueillis. Culiseta inornata, Ae. dorsalis et Ae. campestris étaient attrapés le plus tôt dans l’année. Cs. inornata était actif le plus tard et avait la période d’activité la plus longue. Ae. dorsalis cessait son activité fin septembre, se classant deuxième par la longueur de la période d’activité. Ae. campestris, premier à ne plus être actif, avait une période d’activité moyenne. Cu. tarsalis et Ae. vexans apparaissaient tard en saison et disparaissait fin septembre, montrant les plus courtes périodes d’activité. On a employé la régression logistique pour estimer les rapports entre le nombre de captures et l’abondance hebdomadaire moyenne de chaque espèce. Quand l’abondance moyenne se situait entre 0,19 et 0,30 femelle par nuit-piège, il y avait des captures dans 50 % des pièges. On a employé la régression logistique pour déterminer le moment du début de l’activité et les seuils de température pour l’envol. Les rapports entre le nombre de captures et la température hebdomadaire moyenne ont indiqué que le seuil de température était le plus bas pour Cs. inornata et le plus élevé pour Cx. tarsalis, et qu’il se situait entre les deux pour le reste des espèces. La régression logistique a montré que la présence des moustiques était surtout influencée par la température et les degrés-jours cumulés, seul Ae. vexans manifestant une réaction positive aux précipitations. Les modèles peuvent servir à prédire le début de l’activité en fonction de l’atteinte d’un seuil donné par les populations.
  Allelic variants of the...  
amylose extender (ae−) starches characteristically have modified starch granule morphology resulting from amylopectin with reduced branch frequency and longer glucan chains in clusters, caused by the loss of activity of the major starch branching enzyme (SBE), which in maize endosperm is SBEIIb.
La morphologie des granules des amidons riches en amylose (ae−, pour amylose extender ) est typiquement différente, en raison de la fréquence de ramification moindre de ses molécules d’amylopectine et de la longueur accrue des chaînes de glucanes des amas, résultant de la perte d’activité de la principale enzyme de ramification de l’amidon, SBE (starch branching enzyme), qui dans l’albumen du maïs, est la SBEIIb. Une étude récente faite avec du maïs ae− chez lequel la protéine SBEIIb est absente (mutant désigné ae1.1) a révélé que de nouvelles interactions protéiques entre les enzymes de la voie de biosynthèse de l’amidon dans l’amyloplaste pourraient expliquer le phénotype du mutant ae1.1. Dans la présente étude, nous avons examiné un variant allélique de la mutation ae−, le mutant ae1.2, qui exprime une forme catalytique inactive de l’enzyme SBEIIb. Par rapport à l’enzyme active, il manque 28 acides aminés (Val272–Pro299) à l’enzyme du mutant ae1.2, qui est incapable de se lier à l’amylopectine. L’analyse de l’amidon du mutant ae1.2 révèle que les granules ont une morphologie différente et que leurs caractéristiques physico-chimiques sont également différentes de celles du mutant ae1.1 et du type sauvage, tout comme la teneur apparente en amylose et les propriétés de gélatinisation. Dans l’amidon du mutantae1.2, il y avait moins de chaînes de glucanes de longueur moyenne (degré de polymérisation 16–20) que dans l’amidon du mutant ae1.1. L’analyse biochimique de l’amidonae1.2 a montré des différences dans l’organisation et l’assemblage des complexes protéiques des enzymes de biosynthèse de l’amidon comparativement aux amyloplastes du mutantae1.1 et du type sauvage. Nous avons également constaté des différences dans la composition des protéines associées aux granules d’amidon. Chez le type sauvage et le mutant ae1.2, la formation des complexes protéiques dans le stroma était fortement accrue par l’ATP, et les complexes étaient facilement décomposés par un traitement à la phosphatase, indiquant qu’il y a, au cours de leur assemblage, une phosphorylation des protéines. Des expériences avec de l’ATP marqué ([γ‑32P]ATP) ont montré que la forme inactive de la SBEIIb chez ae1.2 était phosphorylée, et ce, tant pour ce qui est de la forme monomère que pour celle associée aux isoformes de l’amidon synthétase. Même si la SBEIIb inactive ne pouvait pas se lier directement à l’amidon, elle était fortement associée aux granules d’amidon, renforçant la conclusion selon
  Phylogenetic relationsh...  
Phylogenetic inferences of the polyploid Aegilops taxa were drawn based upon the analysis of 909 nuclear 5S rDNA sequences obtained from 15 Aegilops polyploid taxa (531 sequences new to this paper) and 378 sequences from our previous study on the diploid taxa.
Des inférences phylogénétiques au sein des taxons polyploïdes du genre Aegilops ont été tirées de l’analyse de 909 séquences nucléaires d’ADNr 5S obtenues auprès de 15 Aegilops polyploïdes dont 531 séquences résultent de ce travail et 378 séquences provenaient d’une étude antérieure de ces auteurs sur les taxons diploïdes. Les 531 séquences forment deux groupes orthologues (classes unitaires), à savoir les longues et les courtes unités AE1 identifiées précédemment au sein du jeu diploïde. Un examen des relations entre ces classes et les haplomes associés suggère que les séquences du haplome U présentes chez l’Ae. Umbellulata sont les plus proches des séquences T présentes chez l’Amblyopyrum muticum et que les séquences au sein des polyploïdes qu’on s’attendrait à être du type M qu’on retrouve chez l’Ae. Comos sont davantage semblables à celles des séquences du haplome T à l’exception de trois hexaploïdes (Ae. glumiaristata, Ae. Juvenalis et Ae. Vavilovii) et du tétraploïde Ae. Crassa où elles ressemblent aux séquences du haplome M. Ces trois taxons hexaploïdes sont vraisemblablement dérivés de l’Ae. Crassa tétraploïde (DM), tandis que le taxon le plus proche du quatrième hexaploïde, Ae. Recta, est l’Ae. Neglecta tétraploïde (UM). Sur la base de la distribution des classes unitaires, plusieurs phylogénies réticulées représentant les relations évolutives entre les taxons diploïdes, tétraploïdes et hexaploïdes ont été produites. Cependant, aucune de ces méthodes largement employées ne permettait de dépeindre les relations réticulées attendues sur la base des résultats d’analyses cytogénétiques au sein de ce groupe d’espèces allopolyploïdes. Ces résultats suggèrent que les relations évolutives dérivées de modèles fondés sur la base d’une bifurcation des espèces requièrent une interprétation prudente lorsque ces mêmes modèles sont employés chez des espèces qui présentent une évolution réticulée.
  Phylogenetic relationsh...  
Phylogenetic inferences of the polyploid Aegilops taxa were drawn based upon the analysis of 909 nuclear 5S rDNA sequences obtained from 15 Aegilops polyploid taxa (531 sequences new to this paper) and 378 sequences from our previous study on the diploid taxa.
Des inférences phylogénétiques au sein des taxons polyploïdes du genre Aegilops ont été tirées de l’analyse de 909 séquences nucléaires d’ADNr 5S obtenues auprès de 15 Aegilops polyploïdes dont 531 séquences résultent de ce travail et 378 séquences provenaient d’une étude antérieure de ces auteurs sur les taxons diploïdes. Les 531 séquences forment deux groupes orthologues (classes unitaires), à savoir les longues et les courtes unités AE1 identifiées précédemment au sein du jeu diploïde. Un examen des relations entre ces classes et les haplomes associés suggère que les séquences du haplome U présentes chez l’Ae. Umbellulata sont les plus proches des séquences T présentes chez l’Amblyopyrum muticum et que les séquences au sein des polyploïdes qu’on s’attendrait à être du type M qu’on retrouve chez l’Ae. Comos sont davantage semblables à celles des séquences du haplome T à l’exception de trois hexaploïdes (Ae. glumiaristata, Ae. Juvenalis et Ae. Vavilovii) et du tétraploïde Ae. Crassa où elles ressemblent aux séquences du haplome M. Ces trois taxons hexaploïdes sont vraisemblablement dérivés de l’Ae. Crassa tétraploïde (DM), tandis que le taxon le plus proche du quatrième hexaploïde, Ae. Recta, est l’Ae. Neglecta tétraploïde (UM). Sur la base de la distribution des classes unitaires, plusieurs phylogénies réticulées représentant les relations évolutives entre les taxons diploïdes, tétraploïdes et hexaploïdes ont été produites. Cependant, aucune de ces méthodes largement employées ne permettait de dépeindre les relations réticulées attendues sur la base des résultats d’analyses cytogénétiques au sein de ce groupe d’espèces allopolyploïdes. Ces résultats suggèrent que les relations évolutives dérivées de modèles fondés sur la base d’une bifurcation des espèces requièrent une interprétation prudente lorsque ces mêmes modèles sont employés chez des espèces qui présentent une évolution réticulée.
1 2 Arrow