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Jednak dobre wyniki nie znajdują poparcia w analizie fundamentalnej, pisze Alfred Adamiec, prezes domu maklerskiego Alfa: "Wygląda to na 'rajd Świętego Mikołaja', bo fundamentów do tak dużych wzrostów nie widać. Wynika to z tego, że instytucje finansowe chcą zamknąć rok dobrym bilansem, dlatego kupują wszelkie aktywa - od akcji do surowców (cena złota zanotowała kolejny rekord wszechczasów, a za baryłkę ropy trzeba płacić najwięcej od 26 miesięcy), żeby zamknąć rok dobrymi wynikami i zasłużyć na wyższe premie."
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L'indice des 20 plus importantes entreprises cotées à la Bourse de Varsovie, le WIG20, a atteint lundi sa plus forte valeur de l'année. En outre, la Bourse de Varsovie, plus grosse place financière d'Europe centrale et orientale, a clôturé en hausse mardi. Ces bons résultats n'ont toutefois aucun fondement, analyse Alfred Adamiec, président du comité directeur de la société de courtage de Varsovie DM Alfa, dans le quotidien libéral Gazeta Wyborcza : "Cela ressemble à un 'effet Père Noël' [courte période avec une forte hausse], car il n'existe aucune raison solide pour une telle progression. Celle-ci peut s'expliquer par le fait que les investisseurs institutionnels veulent clôturer l'année sur un bon bilan. Ainsi, ils achètent aujourd'hui des actifs - des actions aux matières premières - pour terminer l'année sur de bons résultats et percevoir une prime plus élevée (le prix de l'or a atteint un nouveau record et le prix du baril de pétrole n'a jamais été aussi élevé depuis 26 mois.)."
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