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So there is an urban planning or an urban phenomenon called the donut syndrome, or I guess more negative would be the rotten core, the rotten apple, where you get this centre of the urban centre being emptied out, being vacated, and the outer, the suburbs and the big centres, the big shopping centers developing.
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Alors on a le bord de la prairie rencontrant la ville, et ces édifices qui poussent, toute cette croissance à l’extérieur, qui fait presque tomber la table, devenant de plus en plus en plus grande. Entre-temps, le centre lui-même se vide, alors on a de moins en moins d’activité au centre de la table ou, dans ce cas, de la ville, et de plus en plus d’activité en périphérie. De là le titre de la pièce Périphérie (Outskirts), où la croissance se fait - le développement – à l’extérieur, le centre se vidant de ses activités. Il y a ce phénomène lié à l’urbanisme appelé le syndrome de la beigne; j’imagine qu’une manière plus négative de le dire serait de parler du coeur pourri, de la pomme pourrie, où le centre de la ville se vide et l’extérieur, la banlieue et les grands centres commerciaux, se développent. Alors je dois bien dire que c’est le cas pour Regina – il est clair que c’est ce qui arrive, d’après ce que je peux en juger.
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