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Keybot 11 Results  www.agr.ca
  Influence of Postharves...  
Mature green tomato fruit exposed to a pre-determined hormetic dose of UV-C (3.7 kJ/m2) and untreated fruit (control) were stored at 13°C and 95% relative humidity. After 10, 20, and 30 days of storage, fruits were randomly sampled and transferred to room temperature (23°C) for 7 and 14 days to allow ripening.
Nous avons entreposé à une température de 13 °C et à une humidité relative de 95 % des tomates pleinement développées, mais encore vertes. Une partie de ces tomates avaient été exposées à une dose hormétique prédéterminée (3,7 kJ/m2) de rayons UV-C, tandis que les autres n’avaient pas été soumises à ce traitement (groupe témoin). Après 10, 20 et 30 jours d’entreposage, nous avons sélectionné des tomates au hasard et nous les avons conservées à la température ambiante (23 °C) pendant 7 ou 14 jours afin de permettre leur mûrissement. Nous avons ensuite excisé de leur région équatoriale un morceau de péricarpe comestible en vue d’analyser ses constituants antioxydants. La teneur en acide ascorbique et en composés phénoliques totaux était plus élevée chez les tomates traitées aux UV-C que chez les fruits témoins, mais la teneur en lycopène était significativement plus faible. Le traitement aux UV-C n’a eu aucun effet significatif sur l’activité antioxydante de l’extrait hydrophile, exprimée en équivalent Trolox. L’entreposage et le mûrissement ont eu un effet positif sur tous les constituants bioactifs de la tomate évalués dans le cadre de l’étude. Nos résultats semblent indiquer qu’il serait actuellement possible de mettre au point des pratiques fondées sur la température et la durée d’entreposage qui permettraient de préserver les effets bénéfiques attendus des doses hormétiques d’UV-C et d’éviter leur effet négatif sur la synthèse du lycopène.
  Oat β-glucan increases ...  
Subjective satiety was increased at a β-glucan dose of 2.2 g (p = 0.039). Subsequent meal intake decreased by greater than 400 kJ with higher β-glucan dose (>5 g). β-glucan improves satiety and release of cholecystokinin is likely to be part of the mechanism.
Dans le cadre de cette étude, à l’aide de différentes doses de β-glucanes contenues dans des céréales pour petit déjeuner extrudées, nous avons obtenu des mesures biochimiques précises et des mesures subjectives de la satiété, puis nous avons mesuré l’apport énergétique d’un repas pris ultérieurement. Nous avons déterminé le poids moléculaire, la solubilité et la viscosité des produits contenant des β-glucanes. Sept hommes et sept femmes (IMC de 25 à 36 kg/m2) ont ingéré cinq petits déjeuners (différentes doses de β-glucanes provenant de deux procédés technologiques différents), et nous avons mesuré l’apport alimentaire après quatre heures. Nous avons prélevé du sang pour mesurer le glucose, l’insuline, la ghréline et la cholécystokinine et nous nous sommes servi d’échelles visuelles analogiques pour mesurer la satiété subjective. Le poids moléculaire, la solubilité et la viscosité indiquaient que les produits augmentaient probablement la viscosité du contenu luminal. Nous avons établi que les β-glucanes réduisaient la sécrétion d’insuline pendant 2 heures (analyse de la variance avec mesures répétées, p = 0,011) de façon proportionnelle à la dose, soit de 2,16 à 5,68 g par portion (p = 0,007). La concentration de cholécystokinine augmentait linéairement dans le même éventail de concentrations de β-glucanes (p = 0,002) chez les femmes. La satiété subjective était augmentée à la dose de β-glucanes de 2,2 g (p = 0,039). L’ingestion ultérieure de repas a diminué d’au moins 400 kJ lorsque la dose de β-glucanes est élevée (> 5 g). Les β-glucanes favorisent la sensation de satiété, et on croit que la libération de cholécystokinine pourrait jouer un rôle dans le mécanisme. Les produits ayant différentes sources de β-glucanes apportent un bienfait semblable, mais chaque produit nécessite d’être analysé individuellement.
  Influence of UV-C on Co...  
Amino acid content of the tissue was determined (GC-MS) during 12, 24, 48 and 96 h following UV-C treatment. The color change of broccoli florets was dose-dependent with minimal changes with UV-C doses between 0.9 and 1.2 kJ m-2.
Le brocoli (Brassica oleraceae) est l’une des crucifères les plus consommées en raison des composés bioactifs, des glucosinolates et des flavonoïdes qu’il renferme. Ces métabolites secondaires dérivés des acides aminés suscitent beaucoup d’intérêt en raison de leur effet possible sur la santé en matière de prévention du cancer. Il est souhaitable d’accroître la concentration de ces composés phytochimiques promoteurs de la santé dans les légumes par l’application de doses hormétiques de stress abiotique tel que le rayonnement UV durant la phase postrécolte. Dans la présente étude, nous voulions déterminer la dose hormétique de rayons UV‑C pour le brocoli et l’effet de tels rayons sur la couleur (angle de phase). Nous avons mesuré la teneur du tissu en acides aminés (CG‑SM) pendant 12, 24, 48 et 96 h après le traitement aux rayons UV‑C. Le changement de couleur des fleurons de brocoli était relié à la dose et les doses de 0,9 à 1,2 kJ m-2 ont causé des changements minimes. Cependant, c’est avec la dose de 1,2 kJ m-2 que le changement de couleur a été le plus lent à se produire; par conséquent, cette dernière a été jugée hormétique pour le brocoli. Les doses inférieures ou supérieures à la plage de 0,9-1,2 kJ m-2 ont entraîné un changement de couleur plus rapide. Les acides aminés présentant des titres élevés (> 100 μmol g-1) étaient la sérine, l’acide aspartique et l’acide glutamique. Le titre des pools d’acides aminés a diminué avec la dose de rayons UV‑C; l’appauvrissement maximal a été atteint avec les doses supérieures à 1,2 kJ m-2 (considérée comme la dose hormétique pour la rétention de la couleur des fleurons de brocoli) ou encore, tous les acides aminés, sauf ceux à chaîne ramifiée, ont présenté une concentration minimale à 1,2 kJ m-2 mais, au‑dessus de cette dose, leur concentration a augmenté. Il semble que la leucine soit un marqueur du jaunissement des fleurons de brocoli et son titre moyen dans le temps a augmenté avec la dose de rayons UV‑C et la durée de l’entreposage. Nos résultats portent à croire que la dose hormétique est importante sur le plan biochimique pour les métabolites secondaires dans le brocoli et que les changements du profil des acides aminés libres par suite de l’exposition aux rayons UV‑C permettraient de mieux comprendre les modifications provoquées par les rayons UV‑C chez les métabolites secondaires dérivés de ces acides aminés.
  Thermophysical properti...  
Results showed that density (1078-1112 kg m-3), leaf thickness (0.18-0.54 mm), thermal conductivity (0.55-0.70 W (m °C)-1) and specific heat (3.1-4.3 kJ (kg °C)-1) varied significantly (P < 0.05) between varieties.
Mis à part la chaleur de respiration, nous en savons peu sur les propriétés thermophysiques de la laitue fraîchement coupée. Les corrélations empiriques fondées sur la composition alimentaire demeurent la seule façon d’estimer les propriétés thermophysiques de la laitue fraîchement coupée. Les objectifs de la présente étude étaient de i) déterminer les propriétés thermophysiques de plusieurs variétés de petite laitue à couper et de légumes-feuilles du genre Brassica et ii) vérifier les propriétés thermophysiques mesurées en les utilisant dans un modèle de transfert de chaleur et en comparant les températures de produit prédites avec les températures de produit mesurées au cours d’une interruption simulée de la chaîne du froid. Nous avons ainsi mesuré la densité, l’épaisseur des feuilles, la conductivité thermique, la chaleur massique et l’activité de l’eau chez neuf variétés de petite laitue à couper et de légumes-feuilles du genre Brassica. Nous avons simulé l’interruption de la chaîne du froid à l’aide d’un incubateur à basse température, en réglant la température à 10 °C pendant un certain temps avant de l’abaisser à 2 °C. Les résultats indiquent que la densité (1 078 à 1 112 kg m-3), l’épaisseur des feuilles (0,18 à 0,54 mm), la conductivité thermique (0,55 à 0,70 W [m °C]-1) et la chaleur massique (3,1 à 4,3 kJ [kg °C]-1) variaient significativement (P < 0,05) d’une variété à l’autre. Toutefois, nous n’avons observé aucune différence significative de l’activité de l’eau (0,959 ± 0,006). L’utilisation des propriétés thermophysiques comme données d’entrée dans le modèle de transfert de chaleur nous a permis de constater que les températures mesurées et calculées présentaient une bonne corrélation (R2 = 0,98), avec une erreur quadratique moyenne de 0,57 °C, dans toute la plage de valeurs du taux de respiration, qui allait de 10 à 40 mg CO2 (kg h)-1. La valeur des propriétés thermophysiques nous a permis de prédire correctement la température des petits légumes-feuilles durant les interruptions simulées de la chaîne du froid. Une analyse de sensibilité réalisée à l’aide du modèle de transfert de chaleur indique que la conductivité thermique, la chaleur massique et la densité avaient des effets relativement plus importants sur le comportement thermique des petits légumes-feuilles que la chaleur de respiration.