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Rates of photosynthesis declined for Douglas-fir, hemlock, spruce, and pine when the plant water potential decreased from -10.0, -10.7, -12.4, and -6.6 bars (1 bar = 100 kPa), respectively, and became zero with potentials of -53.9, -39.7, -28.6, and -22.4 bars.
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L'auteur fit germer et croître des semis de Douglas latifolié (Pseudotsugamenziesii (Mirb.) Franco), Pruche de l'Ouest (Tsugaheterophylla (Raf.) Sarg.), Épinette blanche (Piceaglauca (Moench) Voss) et Pin lodgepole (Pinuscontorta Dougl.) pendant 4 mois et puis il les exposa à la sécheresse du sol. Il mesura le taux de photosynthèse des quatre espèces et les taux de respiration et de transpiration dans le noir des Douglas et des Pruches. Pendant une étude de survie, les semis furent soumis à diverses périodes de sécheresse et le manque d'eau fut mesuré avant que les plantes fussent arrosées de nouveau. La survie fut ensuite notée. Le taux de photosynthèse diminua chez les quatre espèces lorsque le manque d'eau excédait -10.0, -10.7, -12.4 et -6.6 bars(1 bar = 100 kPa)(chez le Douglas, la Pruche, l'Epinette et le Pin respectivement) et il devint nul à -53.9, -39.7, -28.6 et -22.4 bars. Groupés dans le même pot et soumis à la sécheresse, la Pruche subit un manque régulièrement plus grand que le Douglas, et l'Epinette un 'déficit' plus grand que le Pin. La Pruche put survivre des manques de seulement -40 à -60 bars tandis que les autres espèces survécurent à -110 bars au maximum.
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